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Retour d'enquête

La prochaine fois qu'il ferait ce genre de chose, Shura n'emmènerait certainement pas les deux frères ! Oh il n'avait rien à leur reprocher. Ayoros et Ayor s'était très bien comportés. Seulement, ils étaient malades en voiture, l'un comme l'autre ! On aura tout vu : des hommes capables d'atteindre la vitesse de la lumière avoir le mal des transports !

Bon à part ça, tout s'était bien passé. Le policier italien qu'ils avaient vu s'était montré très sympathique. Surtout après que les deux collègues se soient lancés pendant plus de deux heures dans une discussion très animée !

- Laisse-moi deviner ! avait rigolé Aldébaran. Il ont discuté de football !

- Aucune idée, lui répondit Ayor. Ils parlaient trop vite, j'ai rien compris.

- Un Italien et un Espagnol qui se rencontrent ! Ils peuvent parler que de ça !

Peut-être, toujours était-il que le policier italien leur avait montré le dossier sans difficulté et il les avait même emmenés jusqu'à la maison. Une maison sinistre, rajouta Ayor, qui sentait la mort. Rien qu'en s'approchant, les trois chevaliers avaient senti qu'il s'était passé des choses atroces dans cette demeure, même des années après, ils en avaient eu froid dans le dos. Et effectivement, cette maison avait été le théâtre d'atrocités. Outre les tortures et sévices perpétrés principalement sur des enfants, filles et garçons ; dans les sous-sols, les policiers déjà horrifiés par le spectacle à l'étage, avaient découverts un véritable charnier d'enfants de tous âges. Tous les membres de la famille, une dizaine de personnes, avaient été massacrés, surtout un homme d'une quarantaine d'année sur lequel l'assassin semblait s'être acharné. Il avait été émasculé à main nue et les organes génitaux avaient été profondément enfoncés dans sa gorge.

Et au milieu de ce carnage, quatre enfants, deux garçons et une fillette ayant subi des sévices étaient restés tétanisés et un dernier garçon indemne semblait totalement indifférent au massacre, pourtant la police pensait que ce dernier se trouvait à proximité de chacune des personnes au moment de leur mort, du sang de chacun d'entre eux maculait ses vêtements, en telle quantité que certains enquêteurs avaient émis la supposition que le garçon puisse être l'assassin. Mais en y repensant davantage, c'était aberrant. Comment un enfant de quatre ans aurait-il pu faire ça ? Mais l'un des policiers s'était tout de même hasardé à lui poser la question et le garçon avait simplement haussé les épaules, comme s'il s'en moquait. Les trois autres n'avaient jamais prononcé un mot. Le plus atroce était que ces mêmes enfants n'appartenaient aux Merconi. Ceux-ci les avaient achetés à des familles pauvres pour assouvir les désirs pédophiles et tortionnaire de l'un des fils.

Les trois chevaliers avaient été comme leurs compagnons aujourd'hui, ils avaient écouté le récit en silence en se disant que DM n'avait vraiment pas eu de chance et qu'il avait été précoce dans l'usage de ses pouvoirs. Et la directrice McGonagall regrettait amèrement d'avoir envoyer le garçonnet parmi ces monstres. Finalement, il avait raison, sorciers ou moldus, toute cette famille était pourrie.

Shura s'approcha d'Aphrodite pour lui tendre quelque chose. Le chevalier des Poissons hésita un instant avant de se saisir d'une vieille photo.

- Le policier me l'a donné en disant qu'elle n'était pas nécessaire au dossier.

Le cœur battant, Aphrodite retourna la photo avant de se pincer les lèvres entre ses dents. Sur la photo, un petit garçon aux cheveux et aux yeux bleus, le regard fixé droit sur l'objectif. Il n'avait pas beaucoup changé, son Luciano. Ce regard, Aphrodite l'avait déjà vu, juste avant que le Cancer n'emmène le reste du groupe là-bas, laissant le chevalier des Poissons sur place. Tout ça à cause d'une maudite promesse qu'Aphrodite lui avait arraché : ne plus retourner là-bas. Mais, il avait oublié une chose : le Cancer était retors et Aphrodite s'était contenté d'un « j'te promets, tu n'iras plus ». Mais en aucun cas, il n'avait promis que lui n'irait plus.

- Tu sais, finit par répondre Aphrodite, le regard toujours posé sur l'enfant qu'avait été son amant. Parfois, j'ai l'impression de sentir sa présence, qu'il est là tout proche de moi. Et lorsque je veux le rejoindre, je ne trouve que ce spectre.

- Je suis désolé, Aphrodite, s'excusa de nouveau Ayoros. J'aurai vraiment préféré ramener Masq... Luciano plutôt que le Balrog.

- Je sais, je ne t'en veux pas. C'est à Luciano que j'en veux. Avant il s'en serait moqué, il n'aurait suivi que s'il avait pu tuer...

- Pourquoi êtes-vous allé là-bas ?

- Au début, je pensais que c'était par accident. Mais je crois plutôt que c'était plus pour échapper à la Wyverne. C'est là que j'y suis allé la première fois.

Par contre il ne savait pas si Rhadamanthe était au courant de ce passage dans le puits des âmes, le dernier chemin. Mais Luciano lui avait dit, ceux qui meurent en Enfers vont là-bas. Et en réponse à l'étonnement de ses amis, Aphrodite leur répondit que oui, après leurs morts devant le mur des Lamentations, ils s'étaient tous retrouvés là-bas. Et par conséquence, tous les spectres morts en Enfers avaient aussi atterri là-bas, comme Rune. Mais il fallait avoir conscience de ce « monde » pour le percevoir, seulement, les autres chevaliers n'en avaient pas eu conscience contrairement à lui puisqu'il y avait déjà été avec Luciano.

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