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Chapitre 40

" La confiance est la chose la plus difficile à obtenir et la plus facile à perdre", Auteur inconnu

****


Les deux semaines qui nous séparaient du départ des fillesse sont très vite écoulées. Durant cette période, la vie a repris son coursnormale, non sans quelques changements.

En effet, cette nuit du côté interdit de la forêt m'a parut lointaine au fil des jours maisen même temps proche.  Avec les filles (Lau, Gaia et Joyce), nous ne sommes quasiment plus adressez la parole dans lesjours qui ont suivit l'annonce de notre punition. Joyce s'est trouvée un grouped'amis de Change-peaux, auquel apparemment Wanda l'a intégré.  Gaia, elle, a fuit le QG. Il était très rare de la voir vagabonder parmi nous. Laude son côté s'est un peu renfermée sur elle-même.  Et J'ai pu remarquer qu'Elana et elle ne separlaient plus également. Quand elle n'était pas dans sa chambre, elle étaitsoit avec Joyce et sa bande ou moi.

Pour finir,  quand àmoi, j'ai passé mes deux semaines en compagnie d'AR. Bien sûr quand je dis avecAR c'est également avec Steph et Danielle. Au début, elles avaient l'airseptique, et j'avoue que je l'étais aussi. Cependant le temps que nous avons passés ensemble m'a fais changerd'avis sur elles et vice-versa.

Quand à Elona , elle a adopté un comportement qui ne m'a paspermit de savoir si elle a su la vérité à propos de l'endroit où nous étions cette nuit là.  Concernant ma punition pour mon altercationavec Ella au réfectoire, elle n'est pas revenue là-dessus, mais je ne peuxm'empêcher d'appréhender ce qui va venir.

Nous sommes le dernier soir avant le départ des autres pourles vacances. Lau, Danielle et Steph se sont proposées pour préparer le dîner.

Joyce et Gaia sont parties je ne sais où, quand à Elana ,cette dernière a déjà plié bagage ce matin. 

AR et moi sommes dans ma chambre. Cette dernière observe lesphotos que j'ai accroché sur mon mur au dessus de mon lit. Assise à mon bureauelle est dos à moi.

-       C'est ta mère ?, me demande-t-elle enmontrant du doigt la photo mes parents souriants.

-       Oui

-       Elle est belle

-       Merci, dis-je touchée.

-       J'ai toujours crû que ta couleur de cheveuxétait fausse

J'arque les sourcils et porte une main àmes cheveux.

-       Merci, fais je sarcastiquement et légèrement vexée qu'elle puisse penser ça .

Il faut dire qu'en un laps de temps, AR etmoi sommes devenue proches. Je pourrais dire même que nous sommes proches duterme « amies ».

Même si au départ je restais sur mesgardes, quand à notre future collaboration. Elle m'a vite décrispée. Jepourrais dire même  que je me suishabituée à son côté : princesse dirigeante, qui n'a rien de bien méchantau fond.

Quand à la question d'imposteur nous n'enavons plus vraiment parlé, juste effleuré le sujet à quelques reprises lorsquenous étions seules.

J'ai même découvert , qu'elles ( AR ,Steph et Danielle), connaissaient pas mal de monde chez les racines et leschanges-peaux et une poignée de personne chez les garous. Quand je lui aidemandé comment elles avaient fait, elle m'a tout simplement répondu :«  tu sais, nous sommes les moins nombreuses, tout le monde nous connait.Et puis faut avouez qu'on est pas mal ».

J'avais rigolé ce jour là,  mais je n'ai pas sentie qu'elle m'ait toutdit. Néanmoins je n'ai pas insisté. Au fond je pense, qu'au-delà de notregroupe, AR a des soupçons sur les autres espèces concernant l'imposteur.

J'attends juste qu'elle m'en parleelle-même, ou alors le bon moment pour le  lui demander.

-       Genre non mais pour de vrai. Y'a des jours tescheveux ont l'air d'être bruns et d'autres roux.

-       C'est la lumière.

Elle lève les yeux au ciel et se re-concentresur les photos de nouveau.  Je la suis duregard sillonné mon mur avant qu'elle ne s'arrête sur une autre photo.

-       Cousines ? , demande-t-elle et j'examine lecliché.

La photo a été prise cet été, à une plageavec Effie et Lys, mes deux meilleures amies.

C'était une plage privé appartenant à leuroncle.

-       Non, meilleures amies, dis-je et AR sourit d'unedrôle de façon. Quand à moi ça me fait bizarre de parler d'elles maintenantalors que ça fait trois mois que je n'ai pas penser à elles. Un mal être meprend quand je pense à mon départ, au fait de ne leur ai même pas dit aurevoir.

-        Ca vaGillian ?, me questionne AR, assise à présent sur mon lit elle me faitface et ne sourit plus.

-       Oui ca va , dis je en me ressaisissant, tudisais ?

-       T'avais l'air d'être partie loin , me fait elleremarquer.

Je souris laconiquement,

-       Oui je sais, ça m'a rappelé des trucs, dis-je enfaisant des vagues dans le vide avec ma main.

-       Ha , fait elle avant de parcourir ma chambre duregard, puis elle me fixe.

-       Au début je croyais que tu mentais, dit-elle denouveau.

-       Sur quoi ?, rétorqué-je surprise.

-       La photo avec les deux filles

-       Elles s'appellent Lys et Effie. Ce sont mes deuxmeilleures amies, re-dis je irritée qu'elle me suspect de mentir.

Je pensais que nous avions dépassés cestade là maintenant         .

-       Oui je sais tu l'as dit et ...

-       Pourquoi tu redemandes alors ?, la coupé-jesur un ton, qui sans le vouloir, agressif. AR fronce les sourcils.

-       Calme-toi Gillian. Je ne fais rien de mal, dit-ellealors. Ce qui  a le don d'ailleurs dem'énerver encore plus.

-       Tu es entrain de faire comme si j'étais entrainde mentir ou je ne sais pas quoi !

-       Mais non !, se défend-elle véhémente, puisplus posément en rougissant,  maisj'avoue que parfois je doute de ton honnêteté Gil.

Je retiens un rire.

-       Tu rigoles là j'espère ? , fais-je alorstotalement vexée à présent.

Elle croit elle peut être que je lui faisconfiance les yeux fermés peut être ?

Avec ses sourires plus que suspects etmesquins les uns que les autres à longueur de journée là ?

-       Gillian ce n'est pas ce que je voulais dire ,dit elle alors d'un ton ferme.

Je pince alors des lèvres essayant derefoulée ma colère naissante. Elle poursuit alors :

-       Ce que je voulais dire c'est que parfois quandje te pose des questions simples, tu prends du temps pour répondre, comme si tuavais peur de laisser échapper un truc ou comme si tu ne savais pas.

-       Tu fais exactement la même chose,contre-attaqué-je machinalement.

Certes commeelle l'a dit,  j'essaie de ne paséchapper certains trucs, mais est ce qu'elle peut réellement me lereprocher ? Je  ne crois pas, lapreuve moi-même je ne lui en tiens pas rigueur alors qu'elle en fait de même.Ça crève les yeux qu'elle dissimule des trucs.

AR soupire.

-       Bon tu sais quoi ? Laissons tomber. On neva pas se prendre la tête pour ça ?, propose-t-elle en un sourire.

Une partie demoi me dit que non, qu'elle veut passer outre juste parce qu'elle est enposition de faiblesse.

Néanmoins, moncôté rationnel prend le dessus et je finis par me décrisper et àacquiescer. 

AR m'adressealors un large sourire, qui finit par effacer tout la colère que j'éprouvais.

-       Bon qu'est ce je disais avant que ça ne parte encouille déjà ?, dit elle en levant les yeux au ciel et je rigole.

-       Tu regardais mes photos

-       Ah ouai, dit elle en se tournant vers mon murpuis de me regarder.

-       A la base j'étais venue pour te demander ce quetu voulais

-       Comment ça ce que je voulais ?

-       Pour Noël

Je fronce lessourcils, incompréhensive.

-       Mais je reste là AR, dis-je

-       Je sais. Mais qu'est ce que tu veux que je teramène ?

Comme je m'en suis rendue compte un peuplus tôt , au-delà de là AR qui se méfie de tout et qui cache beaucoup dechose, il y a cette AR là. La gentille AR, la sympathique Amber-Rose. 

-       Tu sais même si ne je sais pas la vraie raisonde votre punition, je trouve vraiment que c'est injuste de vous empêcher derentrer pour les fêtes. Surtout que sur l'accord qu'on a signé pour venir ici,il n'est indiqué nulle part qu'ils ont le droit de vous garder ici sans raisonvalable.

-       Le problème AR, c'est que je n'ai pas lu cettecharte avant de venir ici. Et comme je te l'ai dit la dernière fois, je n'airien signé pour venir jusqu'ici.

-       Tes parents ont dû le faire

Sans rien me dire ?

-       Peu importe, dis je en balayant le vide de lamain, étant donné que tu n'a pas la charte ici en rentrant tu pourrais m'enramener une copie  non ?

Le jour où AR m'avait parlé de l'existencede ce contrat je lui avais demandé si elle pouvait me la passer, mais les joursqui ont suivis elle m'a dit avoir cherché mais ne l'avoir pas retrouvé. Puisqu'il se pourrait qu'elle ait un exemplaire sur son ordi, qui est resté chezelle.

-       Oui, tu as raison, concède-t-elle alors.  Puis elle reprend, mais je suis presque sûreque parmi vous au moins , il y en a une qui l'a forcément lu avant de venirici. Pourquoi elle ne se sert pas de cette information pour vous faire partir ?

-       Ouai c'est pas bête, dis-je pensive, mais dismoi de quoi parle la règle à propos de l'interdiction de nous laisserrentrer ?, demandé-je  et AR fronce les sourcils.

-       Bas je ne sais plus vraiment moi, dit elle en sepassant une main sur le visage puis  elleplisse des yeux avant de répondre, je crois qu'en gros ça disait  que les autorités de Dom avaient le droit denous empêcher de rentrer chez nous si nous avions commis des délits grave.

-       Un délit grave comment ?

AR hausse les épaules de façon détachéen'ayant aucune idée de l'ouragan qui est entrain de se déferler en moi.

-       Je  nesais pas. Un meurtre par exemple

Une bouffée de panique me submerge et lesidées s'enchaînent  dans mon esprit :

La disparition de Lau

Le côté interdit de la forêt

Lau inconsciente

Le corps de la fille

Sa tête

L'enterrer.

-       Gillian ça va ? , me demande AR mais jesuis incapable de répondre.

Mon cœur bat si fort que j'ai l'impressionde ne sentir que lui.

Je sens se rapprocher de moi , me prendreles mains tout en s'agenouillant devant moi.

-       Hé Gillian, m'interpelle doucement  de nouveau mon amie mais je reste muette.

-       Qu'est ce qu'il y a Gillian ? Est ce que çaa un rapport avec ce qui s'est passé cette nuit là ?

Je ferme les yeux et je me sens comme aubord du gouffre . Quand je les ré-ouvre j'ai les larmes aux yeux.

De ce qui c'est passé cette nuit là, j'y airepensé des centaines de fois.  Plusd'une fois je l'ai réalisé.

Mais là à présent, je ne sais pas pourquoimais ça m'a l'air d'être une réalité. Si au début, nous avions douté de ce quesavait Elona, maintenant j'en suis sûre.

Elona sait ce que nous avons fait cettenuit là.

*****  

 Après que je me sois calmée , AR est toutsimplement sortie de ma chambre, sans me poser de questions à mon pus grandbonheur.

J'en ai profité pour aller me doucher avantque nous passions à dîner.

Lorsque je me suis rendue dans la salle àmanger c'est d'abord la délicieuse odeur de steak sauté qui m'a accueilli. J'aiété ensuite agréablement surprise de voir que tout le monde était à table à desexceptions près. Ma surprise a été Gaia, elle qui avait dit ne pas pouvoirparticiper au dîner d'au revoir.

Je me retrouve à m'assoir entre AR et Gaia.Près de Gaia, Danielle puis Lau. Normalement devrait s'en suivre Joyce, quin'est pas là, Dieu seul sait pourquoi .

Près de AR se trouve se trouve Steph etcomme Elana est déjà rentrée au palais ce matin, il y a un siège vide entreJoyce et elle.

-       Je pensais que tu n'allais pas nous tenircompagnie ?, glissé je à Gaia gentiment, mais cette dernière me regarde dehaut en bas sans me répondre.

Je fronce les sourcils et me redresse.

Ok...

-       Elle est où Joyce ?, demande Lau tandis queles discussions allaient de  bontrain.  Entre temps j'ai appris queRochelle allait nous rejoindre pour le dîner.

-       Je suis là, résonne la voix de cette dernièrederrière moi.

Je me tourne en même temps qu'AR et je suissurprise de la voir accompagnée de Wanda.

Elle s'avance dans la pièce son amie surles talons. Sans un mot elles s'installent sans un mot.

-       Bonsoir à vous aussi, dit sarcastiquementAR .

Joyce affiche  un sourire hypocrite bien à elle.

-       Bonsoir Amber-Roser

-       Tu ne nous présentes pas ton amie ? ,demande sur un ton moqueur Gaia .

Totalement surprise par son intervention jela regarde attentivement.

-       Etant donné que pendant les deux dernièressemaines, tu as passé tout ton temps à trainer  je ne sais où, c'est clair que tu ne peux passavoir, les gens qui rentrent et sortent d'ici.

AR ricane en secouant la tête avant deboire une gorgée de son eau de vie.  Quandà moi je suis totalement éberluée par ce qu'elle vient de dire.

-       J'ai été tout le temps au QG ,mais je ne saispas qui elle est ta pote hein, dit alors Steph en la regardant d'un aircontrarié.

-       Tout tourne autour de vous de toute façon donccomment veux tu savoir qui elle est ?

Amber-Rose s'esclaffe et moi je suis ladiscussion totalement abasourdie.

-       On s'en fout de ta philosophie de merde là.C'est qui ? , demande alors Gaia sur un ton véhément.

-       Je m'appelle Wanda. Je suis une change peau ,finit par se présenter la fille.

-       Elle nous a aider à désinstaller le camping,trouve juste d'ajouter Joyce.

Je me retiens de rouler des yeux.

-       Bas tu vois c'était pas si dur , se moqueAR avant d'ajouter sur un ton enjoué , n'empêche que ta pote elle peut pasrester dîner avec nous.

-       Et pourquoi ?, demande vivement  Joyce, Elana n'est même pas là ,continue-t-elle.

-       Justement ! , affirme Lau d'un ton mordantavant de se radoucir, Rochelle a dit qu'elle dînerait avec nous alors

Joyce nous regarde toute une par une, etelle arbore un air furieux à peine contenu.

-       C'est sympa de m'avoir prévenu !, dit elleavant de  regarder son amie puis nous,j'ai l'air d'une conne maintenant.

-       Y'a pas de quoi, dit alors AR d'un ton détachéque je n'apprécie pas vraiment compte tenu de la situation.

Joyce se lève subitement, suivit de sonamie qui le fait calmement, comme si elle ne prenait pas part au conflit.

-       Ce n'est pas grave. Bonne appétit, affirme alorscette dernière en un sourire avant de sortir de la pièce.

Joyce ne bouge pas , mais nous incendie duregard.

-       Je te jure Amber-Rose que si j'étais blanchej'aurais rougie, dit-elle alors sarcastique avant de s'en aller également.  Un claquement de portes résonne

-       Non mais quelle malpolie !, s'exclameDanielle et je me retiens de lui signaler qu'elles ont des comportements pireque ça parfois.

Lau à l'autre bout de la table souffleavant de déclarer :

-       Bon il faut aller la chercher, parce queRochelle ne vas pas tarder à arriver. On ne va pas commencer sans elle.

Elles me regardent alors toutes l'aird'attendre quelque chose.

Je soupire à on tour.

-       C'est moi qui doit y aller ?

AR m'adresse un demi-sourire, avantd'apporter son verre à sa bouche. Je soupire de nouveau avant de me lever.

Je sors de la salle à manger, puis jem'engage dans le couloir avant d'aller me retrouver en face de la ported'entrée de la chambre de Joyce. Je m'apprête à toquer à cette dernière lorsquela voix de la propriétaire m'interpelle derrière moi, me faisant sursauter parla même occasion.

-       Qu'est ce que tu fais là ?

Je me retourne vers elle, et elle a lesbras croisés sur sa poitrine un air las peint sur le visage.

-       Il faut que tu reviennes à table, dis-jeautomatiquement et elle ricane.

-       Depuis quand tu me donnes des ordres toi ?Non mais tu t'es pris pour Dieu Gillian, m'attaque-t-elle et je n'ai même pasla possibilité d'en placer une qu'elle continue, c'est traîner avec Amber-Rosequi te rends comme ça ?, crache-t-elle.

Je plisse des yeux vexée par ses propos.

-       AR n'a rien fait . C'est quoi tonproblème ?

Elle arque un sourcil comme si elle étaitsurprise, puis elle sourie narquoisement.

-       C'est bien tu prends la confiance,marmonne-t-elle et je serre les dents, mon problème ma petite chérie c'estqu'on vient de renvoyer mon amie de table, alors que je l'avais invité.

-       Et bien t'aurais dû demander avant de l'inviter.

Joyce fronce les sourcils, et elle adopteun air méchant.

-       Dégage

-       Excuse-moi ? , dis-je outrée par lavéhémence de ses propos, néanmoins je ne bouge pas.  Comme elle l'a fait tout à l'heure avec moi,je ne lui laisse pas l'opportunité de parler, finalement c'est quoi ton problème avec moi ? Parce que je ne saispas. Je croyais que ça collait entre nous. Depuis le camping tu fais comme sij'étais ton jouet. Un jour tu m'aimes bien, le lendemain tu me craches à lagueule.

Joyce ne réagit pas, mais m'observesimplement.  Toutefois, je me senssoulagée de lui avoir dit ça, parce que ça me grattai depuis le jour où ellem'a attaqué dans l'amphi après que AR m'ait traité de menteuse. 

-       Et toi c'est quoi ton truc avec Amber-Rosesérieux ? T'es franchement naïve, si tu penses que c'est pote ! Cettefille c'est comme un requin, quoi qu'elle fasse y'a toujours un profit qu'elletire. Tu ne vois pas qu'elle te manipule.

Je secoue la tête énervée qu'elle puisse meparler de ça parce que c'est constamment ce problème que je me pose lorsquej'étudie ma collaboration avec AR .

Est-ce que le profit de cette relation, sije puis dire « amitié » va dans les deux sens, ou est ce que AR memanipule ?

-       Je te parle de toi et toi tu es là à radoter surAR . C'est quoi le problème exactement avec moi ? J'ai fais quelquechose de mal ?.

Joyce fait une grimace que je ne saurais interpréter avant de dire.

-       J'ai un tas de trucs à te reprocher. Mais tonamitié avec Amber-Rose fait partie des principales.

-       Tu déconnes ? , rigolé-je nerveusementcomplètement remonter. C'est elle qui me reproche des trucs ?

Elle fait non de la tête.

-       Pourquoi tu veux être avec elle de toutefaçon ? Tu trouves que son jeu est le plus cool c'est ça ? Et commet'es même pas fichu de connaître le tien tu veux vivre à travers les autres, ette faire remarquer ?

Je suis totalement sans voix. C'est commeça qu'elle me voit ?

Complètement abasourdie je réplique toutbêtement :

-       Est-ce que moi je te parle de ton nouveau grouped'amis ?

-       Ce n'est pas pareil. AR est une connasse.

Je ricane sans pouvoir m'en empêcher.

-       Vous êtes pareilles alors, sauf que toi tucaches bien ton jeu, craché-je avant de me décaler de sa porte et de m'enaller, non sans la bousculer par l'épaule sans ménagement.

J'arrive à la salle à manger, le cœurbattant, furieuse à présent.

-       Elle ne vient pas, dis-je simplement avant dem'assoir.

Les filles ne font aucun commentaire, et jem'en sens soulagée. Elles reprennent leur discussion, mais je suis incapable desuivre. J'ai la gorge serrée en repensant aux paroles de Joyce.

Elle m'a touché plus que je ne l'auraisvoulu. Je me sens humiliée comme jamais jusqu'ici.

-       Hé , ça va ? , me chuchote AR à l'oreilleet je cligne plusieurs fois des yeux chassant mes larmes proéminentes.

-       Oui t'inquiète, dis-je  d'une voix loin d'être convaincante. Elle meregarde d'un drôle d'air avant de dire.

-       C'est drôle comment vous êtes avec les autres,dit elle et je sais qu'elle fait référence à Lau , Gaia, et Joyce.

-       Pourquoi ?

-       En général les secrets ça resserre les liens.Vous ça vous éloigne.

Mo cœur bat encore plus vite à cette phraseet j'ai dû mal à déglutir.

-       Si tu savais, fais-je alors bassement et ARsourit de façon languissante.

J'avale d'une traite l'eu de vie en face demoi et je rencontre le regard de Lau. 

Si AR savait le genre de secret qui nouséloigne.


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