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Chapitre 34



Je n'ai pas lue le dernier livre des Héros de l'Olympe. Si certain d'entre vous l'ont lu, ne me jugez pas je ne sais pas comment tous ça fini. Je crois que je voulais m'éviter de faire le deuil d'un livre que j'ai beaucoup apprécier. Je ne sais pas ce qui se passe vraiment à la fin, comment les personnages ressortent de cette épreuve et s'il sont toujours en contact. Bref, pour vous qui devez être des fans de ces livre : Désolé. Voilà, bonne lecture !

Le vent caressant mon visage n'était pas une sensation désagréable. Un sentiment quelconque de liberté.La nuit était fraîche et confortable. Les étoiles n'étaient pas visibles. J'aurais voulu que ma vie ne soit que de lever de soleil , puisqu'il devait se lever bientôt, et de douce brise sur mon visage. Le Destin fait de bien drôle chose, cependant.

Il faut se rappeler que le soleil doit se coucher pour pouvoir se relever et que les vents violents étaient nécessaire. Éole deviendrait fou s'il ne pouvait pas faire crier les vents comme ça lui chantait.

J'entendis Léo rire derrière moi.

- Alors, voler n'est pas si mal ?

Je fis un effort considérable pour continuer de me dire que ce bateau était sur l'eau. Depuis qu'il c'était élever dans les airs, je continuais de me dire qu'il était sur l'eau. Même si je n'arrivais toujours pas à m'imaginer flotter, ça arrivait à me rassurer légèrement. Je savais qu'il flottait, seulement l'était sur lequel il flottait n'était pas liquide. Je ne m'étais pas approcher du bord. J'étais assisse par terre, les jambes croisées et les yeux fermés.

- Dit moi que nous allons nous poser sur l'eau bientôt.

Ma voix tremblait, tout comme mes mains.

Léo s'approcha de moi lorsque j'ouvris les yeux. Il prit mes mains tremblante entre les siennes et me fit me lever debout.Il ne me quitta pas des yeux au moment où il se mit à reculer vers le bord. Il mit ses mains sur mes hanches et me retourna lentement. Il me leva et mit mes pieds sur les siens. Il agissait avec beaucoup de délicatesse, comme si j'étais une poupée de porcelaine qu'il avait peur de casser. Il chuchota dans mon oreille :

- Approchons nous du bord.

En marchant lentement nous nous approchions. J'entendait la suite avec beaucoup d'appréhension. Je n'avais jamais pris l'avion, je ne pouvais pas savoir comment c'était d'être si haut au-dessus du sol. Je pris de grande respiration pour essayer de calmer mon cœur battant à cent miles à l'heure. Je n'avais pas le vertige, je ne savais seulement pas à quoi m'attendre. C'était plus comme si j'avais peur d'avoir peur. Je garda les yeux fermés, mais Léo dit :

- Ouvre les yeux.

J'obéis lentement et retint ma respiration. Nous passions au-dessus de New York. Pas trop haut pour ne pas se faire voir, mais assez pour voir la vie nocturne de la ville qui ne dort jamais. Manhattan était magnifique, Times Square était à couper le souffle et tout ce que nous pouvions voir du Central Park était quelques lumières de réverbères. Je savais que nous n'étions pas loin de l'Olympe en posant les yeux sur l' Empire State Building. Une aura émanait du bâtiment. Je leva les yeux et vit que nous étions tout près.

- Léo, nous ne devrions pas être là.

- Pourquoi ?

Il garda son regard sur la ville. Moi, je gardais les yeux au ciel imaginant les douze olympiens poser leur regard sur nous et nous regarder comme si nous étions une mouche dérangeant leur vision.

- Je ne crois pas que les Dieux aiment être dérangés.

Je le vis fronder les sourcils et regarder vers le ciel sans étoiles. Ses bras devinrent tendues autour de ma taille.

- Léo peut-être devrions nous penser à changer la vitesse de notre croisière ?

Il devait être parfaitement d'accord parce qu'il n'hésita pas avant de me répondre.

- Parfaitement d'accord.

Il se dépêcha pour se rendre à l'arrière du bateau pour changer la vitesse. Cependant, le changement fut si soudain que je tomba au sol. Vous savez quand vous vous cogner le coude, cette drôle de décharge électrique qui parcours votre bras et qui semble s'attarder à votre petit doigt ? C'est exactement ce que je ressentais !

- Léo, quand je dis changer de vitesse, ça ne veut pas dire qu'il faut me jeter par dessus bord !

Je fus complètement ignorée puisqu'il était trop occupé à nous éloigner de la ville qui ne dort jamais. Je vis les lumières de la ville se faire remplacer par d'autres qui étaient, cependant , en moins grand nombre.

- On l'a vue de près au moins.

Je sursauta au son de sa voix, mais lui souris lorsque je fus face à lui. Je ne répondit pas, mais observait le ciel. Les étoiles étaient maintenant visibles, ce qui voulait dire que nous étions maintenant assez loin de New York City. La journée avait été longue et je commençais à en ressentir les effets. Je m'assis sur le pont et laissa s'échapper un bâillement. Léo s'assit près de moi et je laissa ma tête tomber sur son épaule.

- Est-ce que je peux savoir où nous allons maintenant ?

- Je croyais que tu n'allais jamais me le demander.

Il commença à me raconter la quête sur laquelle nous nous lancions. Il dit que nous rejoindrons Hazel Levesque en Californie. Hazel une demi-dieux était la fille de Pluton, l'équivalent romain d'Hadès, avec qui Léo faisait équipe lors de la quête pour arrêter Gaïa. Il dit qu'elle pourrait nous aider à enchanté une carte pour savoir la position de Calypso. Cependant, il faudrait une magie puissante pour faire cela et ,honnêtement , je doutais qu'elle en soit capable. Qu'arriverait-il si nous étions incapable de trouver son emplacement ? Je ne crois pas qu'il abandonnerait si facilement.

Je savais avec certitude qu'aucune difficulté n'arrêterais Léo : il avait un crâne bien trop épais. C'est à ce moment, regardant Léo dont le visage était baigné par la lueur de la lune, que je me demanda s'il ferait la même chose pour moi.

Le doute revint, mais je l'accueillis. Je n'étais déjà pas sûre à propos de cette quête en commençant, mais je n'allais pas abandonner maintenant. Surtout que nous étions quelque milliers de pieds au dessus du sol.

Léo avait fait une promesse et il est homme de parole. Je lui en avais moi-même fait une en venant avec lui et je savais que pour rien au monde je ne la biserais.

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