chapitre 1: La femme chambre 208
La journée commençait plutôt bien pour Arthur Padille. Il s'était réveillé aux aurores, comme à son habitude, mais étrangement de bonne humeur pour une fois. Son entretien d'embauche d'aujourd'hui serait surement réussi et il pourrait commencer une nouvelle vie ! Car depuis son dernier job chez McFood il n'avait pas fait grand chose.. Débarquant d'entretien en entretien, si seulement on lui avait dit que la vie serais si dur ici ! Il avait du abandonner sa vie en France pour tenter le tout ici en Angleterre..
Il se regarda comme chaque matin devant la glace. Puis se rasa, il enfila son costume délavé, et partit avec une pomme comme seul petit déjeuné entrant dans son budget. Il arriva avec dix minutes d'avance à l'arrêt de bus le plus proche.
"Quel con cette instructeur quand même me retirer mon permis parce que je me suis peut-être trompé de file en même temps pourquoi les anglais roulent-ils de cette manière"...
Arthur aimait marmonné et se plaindre, c'était sans doute son passe temps préféré. Se plaindre de son inconfort, et se parler a lui même. Mais ce qu'il haïssait par dessus tout, c'était le froid et devoir partir tout les matins à cet arrêt de bus "toujours à l'heure avec 25 minutes de retard". Il ria en disant cela. Jamais il ne se serait douté dans quelles aventures la mènerait la personne qui crierait son nom dans le boulevard ce matin là.
Cette jeune femme qui s'écroulerait à quelques pas de lui, elle le connaissait mais comment cela était-il possible ?!
Comment pouvait'elle savoir qui il était, si c'était bien lui qu'elle avait appelé . Pour la première fois de sa vie Arthur cessa de se plaindre, il accourra le plus vite qu'il pu , appelant les secours elle pourrait être sauvée, sa blessure bien que considérablement impressionnante, n'était pas très profonde. Cela semblait tellement énorme jamais il n'aurait du être ici ;
Oui jamais il ne se serait douter du destin qui les unirait ce matin de décembre. En quelques minutes les urgences arrivèrent sur le boulevard, une course contre la montre était lancé, il fallait la sauver, il ne savait pas qui était cette femme , ni pourquoi elle le connaissait. Pour lui cela ne pouvait être que le hasard.. Et puis, avait-il bien entendu ? Avait-elle vraiment dis son nom, ou son esprit lui jouait des tours ? Il n'était pas du genre à croire au destin ou tout autres fantaisies de ce genre, mais l'événement de ce matin commençait à l'intriguer. L'ambulance roulait à une si grande vitesse secouant la cabine où il se trouvait, il regretta son petit déjeuné .. Ils arrivèrent en en hâte à l'hôpital tout était flou, tout se passait si vite, la jeune femme fut envoyée directement au bloc afin de tenter de la sauver. Ils parcoururent les couloirs blancs aseptiser de l'hôpital. Arthur avait ce que l'on appelle une "sainte horreur" des hôpitaux il se souvenait de ses 4 ans, lorsqu'il fit une chute du haut de son toit, , cela lui avait causé deux semaines effroyables dans l'horrible hôpital de son village et une jambe cassé.
Il sortit de sa rêverie, c'est incroyable ce à quoi on peut penser dans un moment comme ça ..Du sang s'écoulait le long du couloir, il remarqua aussi que ces mains étaient tachés de cette substance, ainsi que la totalité de sa chemise. Tout devint trouble autour de lui ,il ne put s'empêcher de s'évanouir en plein milieu du couloir ...
Arrivé au bloc on s'occupa de la jeune femme, vu qu'elle ne portait aucun papiers, ni carte d'identité sur elle, et qu'a l'évidence le jeune homme évanoui qui l'accompagnait ne la connaissait pas, le Docteur Ricaut s'occupa de « la jeune femme 208 ». Quelques heures plus tard alors que le soleil était a son apogée, Arthur se réveilla sur un canapé, une vieille femme se tenait en face de lui.
Tout cela était donc un cauchemars pensa t'il..
- monsieur ? Arborant son plus grand sourire la femme continua
- Elle est sauvé , vous êtes vraiment un bon samaritain ! Êtes vous certain de ne pas la connaître ?
Arthur entendait ces paroles mais ne sembla pas les comprendre, il scruta la vieille femme, elle avait de petits yeux bleu et des cheveux gris très court, des rides près des ses paupières s'accentuaient quand elle souriait.
- Com.. Comment ça ? Qui est sauvé ? Que c'est-il passé.. Puis Arthur vit le sang sur ces mains et se sentit mal
- Non, non ne retombez pas dans la pommes restez avec nous! Tout va bien, la jeune femme que vous avez ramené ici va très bien.
l'infirmière lui tendit un morceau de chocolat en souriant.
- Sauvé ? Ce n'était donc pas un rêve ? *il souffla de soulagement* Je suis tellement rassuré, et les hommes qui étaient derrière elle ?
- Oh , ça ce n'est rien, sans doute une bagarre qui à mal tournée, ne vous inquiétez pas d'accord ? Je m'appelle Maria si vous avez besoin de moi.
Arthur acquiesça, elle avait sans doute raison.
- Puis-je la voir ?
- Eh bien cela risque d'être compliqué, vous comprenez, habituellement seul la famille est autorisé à voir nos patients.
Maria contempla le visage désolé de ce jeune homme il semblait si bouleversé de ce qui venait de lui arrivé ;
- Bon d'accord puisqu'elle ne s'est pas réveillée, et que vous êtes se qui se rapproche le plus de la famille vous pouvez aller la voir, mais soyez calme elle est encore fragile.
Et Maria s'éloigna, laissant Arthur seul dans la salle de repos, il se rua dans la chambre 208 elle était la ! Allongée dans son lit les yeux toujours clos mais en vie
-Alors vous vous mademoiselle je peux vous dire que vous m'avez fais peur ! Si vous saviez comme je suis heureux de vous voir vivante, bientôt vous vous réveillerez ne vous inquiétez pas, et vous vous expliquerez sur cette bagarre.
Il quitta la chambre croisa le médecin qui s'occupait de 208.
Puis il revint tous les jours, du matin jusqu'au soir, il s'étonna que personne ne vienne la voir, que même personne dans les médias ne la recherchait, elle était quand même relativement jeune.. Il lui apporta des fleurs lui tenant la main pour qu'elle puisse se réveiller mais durant une longue semaine elle resta dans un coma prolonger.
PDV Arthur:
Pourquoi elle ? c'est vraiment bizarre où est sa famille. Il faut que j'aille me renseigner et mener mon enquête.
- Monsieur ? Le médecin qui avait remarqué sa venu chaque jour vint lui parlé.
- Monsieur j'ai remarqué votre venu ici depuis quelques jours, vous ne savez pas qui elle est ?
- Je vous assure que non mais personne ne vient la voir vous comprenez je dois attendre qu'elle se réveil .
-Bon samaritain et gentleman, c'est rare de nos jours ... (il se mit a ricaner puis repris plus sérieusement) je dois appelé les autorités compétentes
-Qui a-t-il avec 208 ? S'empressa d'interroger Arthur
-Cette jeune femme, hum Maria a retrouvé des armes sur elle peut être est elle une terroriste, ou quel appartient a un gang de la mafia Anglaise ou Asiatique.. Peut-être qu'elle est recherchée, je dois en charger la police vous me comprenez..
-Mais monsieur ! Elle n'est pas dangereuse (du moins je l'espère) laisser la au moins se réveiller s'il vous plait.
- Pourquoi essayez vous de la protéger ? Vous me cachez quelque chose ?
- Non , docteur je vous assure que je ne cache rien, mais tout de même laissé la se remettre de ces émotions, quel s'explique d'elle même sur son attaque ! Et justement, en parlant de ça je trouve ça honteux de l'avoir menottée à son lit !
Arthur arborait un visage sévère et strict.
- Les lois sont la lois Monsieur ! Je vous interdit de me dire comment faire mon travail !
- Ce que vous faites est injuste ! J'en parlerais, je suis journaliste alors tout le monde sera au courant vous la maintenez attaché alors que vous ne savez rien d'elle !
- Faites ce que vous voulez monsieur, cela m'est bien égal..
Puis le docteur repartit ce dirigeant vers son bureau, Arthur était rouge de colère, jamais il n'avait été aussi furieux. Il se dirigea vers la chambre de 208, pourquoi s'est-elle faites attaquer , pourquoi avoir toutes ces armes, le docteur a-t'il raison de la craindre ? Il resta dormir à côté d'elle, puis dans la nuit se leva pour aller a la cafétéria, boire quelque chose avec Maria, avec qui il avait noué des liens d'amitié au fils de ses visites. Ce qu'il ne se doutait ni l'un ni l'autre, c'est qu'un homme revêtue d'une capuche , venait de s'introduire dans la chambre 208, il s'approcha doucement 3 couteaux en main puis s'approcha tout prêt de 208, il était à quelques centimètre de son visage ! SOUDAIN
Posa simplement les coteaux et un revolver sous son oreiller, mais alors qu'il allait sortir... il se retourna prit la tête de 208 dans ses mains et l'embrassa tendrement. Il déposa une fleur sur sa table de chevet. Sur le cardiogramme de la patiente , le poul venait de s'emballer, cela interpellât le Dr Ricaud qui accouru dans la chambre, trouvant l'homme pencher devant 208, il le prévint que la police arrivait, mais alors qu'il voulu appuyer sur le bouton, l'intrus se rua sur le docteur, ou peut être était-ce l'inverse, mais l'événement qui se produisit ce soir soir la mit fin de la vie tranquille de Arthur Padille.
Le docteur s'écroula mort sur le sol. Après avoir pris le temps de cacher le docteur dans son bureau et fermant la porte, il s'effaça dans la nuit d'hiver. Il devint un silhouette puis une ombre. Aucune preuves aucun indices il avait tué le docteur Ricaut si froidement.
Lorsque Arthur revint à la chambre, il trouva 208 une fleur à coté d'elle, il sourit, Maria avait du passer par là, puis il posa ses mains sur les siennes et instantanément elle se releva d'un bond coupa net le tuyau relier a ses veines sur le choc. Elle s'évanouit puis se releva deux minutes après
- Où suis-je ? demanda t'elle a Arthur
Celui-ci ne pouvait détacher son regard du sien elle était enfin réveillé ! Il observa ces longs cheveux bordeaux virant au roux/rouge, sa peau elle en revanche était extrêmement pâle, les lignes de son visage était fin , de ses yeux en amande légèrement bridés émanait une couleur peu commune , ils étaient doré, lorsqu'il finit de l'observer il tiqua sur la question qu'elle venait de posé..
-Tout va bien mademoiselle vous êtes a l'hôpital vous avez été blessée, dans la rue je vous ai sauvé, vous êtes en sécurité vous allez avoir beaucoup de choses a m'expliquez.
Dit-il d'un ton rieur tellement heureux de pouvoir enfin lui parler. Elle le regarda longuement, son visage doux l'apaisait mais quelque chose la perturbait encore
- monsieur pouvez vous me dire .... Qui je suis et dans quel pays sommes-nous ?
Arthur fut renverser par cette nouvelle, son inconnue ne lui apprendra rien puisque celle-ci était maintenant amnésique le Dr Ricaut l'avait prévenu quelques jours avant, En effet sa blessure avait endommager ses nerfs cérébraux menant directement a la mémoire, il avait attendu si longtemps il espérait vraiment avoir des réponses mais la seule qu'il eu et qu'il n'y en aura aucune, pourquoi fallait-il qu'elle soit amnésique pourquoi ?!
Puis tout deux s'empressèrent de converser tout le reste de la nuit sur l'aventure qui les avait réuni.
Mon premier chapitre, j'espère que vous l'avez apprécié et que maintenant vous aimeriez savoir qui donc et cette jeune femme et cet homme meurtrier n'hésitez pas à laisser des commentaires si vous en avez envie !
A plus bande de Lecteurs !
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