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Chapitre 7

Emerhyion ne put plus bouger, cloué par la douleur. Il ne pouvait pas croire à ce qui se déroulait sous ses yeux.

La salle souterraine s'était transformée en tourbillon. Des yeux dorés, des bijoux, des cheveux retenus d'une pince se ruaient vers Anher.

Anher... comment pouvait-il agir ainsi ?

La stupeur se transforma peu à peu en agacement, qui à son tour se mua en une rage incontrôlable.

Il arracha de sa jambe la flèche qu'il avait reçu et la lança en direction du félon.

A sa grande stupeur, ce dernier esquiva le trait d'un mouvement souple, bien plus rapidement que ce qu'il avait laissé voir à ses compagnons lors des entraînements.

Le traître, ah le traître ! Les yeux d'Emerhyion s'étaient électrisés, tout son corps tremblait, sa mâchoire crispée jusqu'à la crampe.

Il ne faisait même pas attention aux armes qu'il décrochait des murs, toute son énergie était concentrée vers un seul but : tuer Anher.

Vous l'aurez compris chers lecteurs, la traîtrise n'était pas un précepte très apprécié du jeune Chevaucheur.

Pendant que ce dernier s'acharnait, le Grand Njël observait la scène.

Le Sombre avait fermé les yeux, il était d'un calme exemplaire. Entièrement détendu, il semblait ne pas entendre ce qu'il se passait.

Quant à Anher, il était impressionnant. Jamais on ne l'avait vu aussi doué. Les seules limites qu'il avait dans ses mouvements étaient celles de sa physionomie. Comme s'il était mû par une volonté étrangère à la sienne...

Le Grand Njël remarqua alors que ses yeux regardaient dans le vide.

L'Elfe noir.

Il fallait trouver un moyen pour l'arrêter. Le tuer ? Pas question, il n'y aurait plus personne à interroger. Le vieillard s'approcha discrètement de son prisonnier et lui hurla aux oreilles.

Aucune réaction, pas même un plissement de cils.

Il passa alors à la manière forte : des chatouilles sous les pieds. Non plus ? Ce n'était pas cela qui allait l'arrêter.

Il remplaça les pieds par les aisselles.

Tout d'un coup le Sombre sortit de sa torpeur. Anher cessa aussitôt de se battre mais se posta en défense devant le prisonnier.

Emerhyion allait profiter de cette soudaine immobilité pour l'empaler. Il n'en eut cependant pas l'occasion, le Grand Njël l'ayant arrêté dans son élan.

« Emerhyion, tu devrais apprendre à observer un peu plus tes adversaires » dit-il calmement alors que le Sylvain se débattait pour échapper à son emprise.

Il fit un tour de main et Anher se retrouva ligoté à côté du Sombre.

Emerhyion lui cracha au visage.

« Qu'avez-vous fait au jeune Elfe ? demanda Eod à l'Elfe Noir. »

Les yeux de ce dernier scintillèrent. Un trait mesquin se dessina le long de sa mâchoire.

« Vous n'avez qu'à le lui demander, rétorqua-t-il sans se départir de ce sourire ».

L'attention se tourna vers Anher. Il était amorphe, et semblait être plongé dans une léthargie profonde.

Emerhyion s'approcha de son visage absent et le détailla avec attention. Son ami n'était effectivement pas dans son état normal.

Il soupira, à moitié soulagé de voir que cette trahison n'en était pas réellement une. Il lui gifla la joue.

Anher se réveilla en sursaut, soudain redevenu lui-même. Ou presque... son corps était toujours immobile, comme séparé de sa tête. Ses yeux fixaient Emerhyion, convulsés par un effort invisible.

Il parla d'une voix tremblante.

« Après que Nähil ait disparu, les Chevaucheurs ont fait plusieurs missions de repérage. J'ai participé à la première d'entre elles. Nous nous étions séparés, je me suis donc retrouvé seul. J'attendais, caché derrière un arbre, lorsque plusieurs Sombres ont débarqué. C'était étrange, ils ne cherchaient pas à pénétrer le plus profondément dans la Forêt comme on avait l'habitude de les surprendre, mais plutôt à en sortir. Ils avaient les bras chargés de plantes.

Je me souviens m'être imposé devant eux.

Je me souviens qu'ils se sont regardés.

Mais après cela... »

il se tut. L'Elfe Noir ricana. Puis il détourna son regard et le planta dans le mur face à lui.

Anher prit une grande goulée d'air.

« Que... s'est-il passé ? Pourquoi... pourquoi m'avez-vous attaché ? »

Au fur-et-à-mesure qu'il prenait conscience de sa situation, la peur et l'incompréhension se peignaient sur son visage.

« Qu'est-il arrivé ensuite ? le pressa Emerhyion.

- Ensuite de quoi ? Je... »

Anher tentait de se détacher, il commençait réellement à paniquer.

Le Grand Njël quant à lui consulta les autres du regard.

Les trois Chevaucheuses n'osèrent pas reporter le leur sur le visage dur et fermé d'Emerhyion, aussi toute l'attention convergea vers Leirinè.

La vieille Elfe était absorbée dans la contemplation d'un mur ouvragé, aussi elle ne remarqua pas qu'elle était le centre du tableau. Il fallut un raclement de gorge pour l'extirper de sa concentration. Elle releva le nez, mécontente d'être dérangée dans ses occupations, haussa un sourcil et jaugea les êtres qui l'entouraient. Puis elle soupira et se mit debout.

La magicienne s'avança vers Anher et très attentivement scruta son front. Puis elle boucha le nez de son sujet et marmonna quelques paroles d'où jaillit une vague fumerolle plus verte que bleue.

Elle lui rendit sa respiration au bout de quelques instants et retourna s'asseoir face à son mur sans plus de considération.

Anher cessa de s'agiter.

Cinq paires d'yeux se focalisèrent de nouveau sur lui.

Il semblait réfléchir intensément. Soudain son regard s'éclaira, et il reprit le cours de son histoire comme s'il ne l'avait pas interrompu.

« Je n'ai pas eu le temps de me battre.

L'un des Sombres a entravé mon esprit afin que je ne puisse rien faire. Puis il m'a posé un sort de lien. Après quoi il a effacé mes souvenirs. Souvenirs qui ne reparaissent que lorsque ce sort est actif.

- Un sort de lien ? demanda l'un des Chevaucheurs.

- Oui, cela permet de se faire obéir aveuglément, répondit Eod.

- En somme, Anher est devenu un pantin, et ce depuis vingt ans, cracha Emerhyion. »

Ledit Anher allait s'exprimer quand il fut devancé par Leirinè, toujours face au mur, faisant sursauter l'assemblée.

« Non jeune Elfe tu ne seras pas détaché, c'est bien trop dangereux.

- Mais... avança timidement une Chevaucheuse... ce n'est pas ce Sombre qui t'a ensorcelé, non ? Pourquoi lui obéis-tu dans ce cas ?

- Les Sombres sont reliés par leur esprit, tu devrais le savoir. Si l'un d'entre eux te lance un sort tel que celui-ci, tu es à la merci de tous. »

Leirine, qui avait prononcé ces paroles, se détourna de son mur et ajouta en regardant Emerhyion :

« Ce qui explique sa réticence à poursuivre les recherches de Nähil. »

Le Chevaucheur sembla se détendre un peu, bien qu'ayant toujours les sourcils froncés.

Le Grand Njël parcouru du regard la petite assemblée et annonça après un temps :

« Mieux vaut aller se reposer. Ceux qui ont été blessés, allez vous soigner. Leirinè et Emerhyion, nous nous retrouvons ici demain. »

Le lendemain à l'aube, Emerhyion sortit du Quartier Général et rejoignit le Grand Njël et Leirinè devant le Tilleul-Chêne.

A peine s'étaient-ils retrouvés que la vieille Elfe, qui semblait avoir réfléchi toute la nuit, se mit à parler.

« Vous êtes conscients, j'espère, que désensorceler Anher a été facile et même un peu trop. Ce doit donc être une sorte de piège de la part des Elfes Noirs. »

Emerhyion n'avait pas pensé à cette éventualité, pourtant plus que probable.

Le grand Njël hocha la tête.

« Il nous faudrait raisonner comme un Sombre pour savoir de quoi il en retourne, dit-il.

- J'y ai réfléchi, continua Leirinè. Mais en tant que professeure, je ne suis pas souvent confrontée directement à eux. Emerhyion, par contre, toi qui es sur le terrain... »

Le Chevaucheur voyait très bien où elle voulait en venir.

« Mais leur esprit bien que précis est tordu, méandreux, ! Ils ont des manières de faire vicieuses et sournoises...

- Tordu, tu dis ? le coupa Leirinè. Ils ont au moins quelque chose en plus, commun à toutes les espèces.

L'instinct de survie. Ce piège n'a peut-être pour simple but que de le faire s'échapper. Je n'ai presque pas senti de résistance en brisant le sort. L'Elfe Noir aurait très bien pu faire exprès de me laisser l'annuler pour endormir notre méfiance. »

Elle plissa le front dans l'effort de la réflexion avant de reprendre.

« Seulement, c'était tellement facile, il a dû prévoir que nous suspecterions quelque chose. Je pense qu'il tient toujours Anher en son pouvoir. A cause du sort de lien, si nous en tuons un, nous tuons les deux. Il est donc protégé par notre compatriote.

Ça, c'est tordu, finit-elle avec un sourire enfantin.»

Emerhyion hocha la tête. Oui, ce devait être cela, si ce n'était plus. Il tourna son regard vers le Grand Njël. Celui-ci se frottait le menton d'un air pensif.

En discutant ils étaient entrés dans le Tilleul-Chêne et se tenaient à présent dans le couloir qui menait sous terre.

« Avez-vous remarqué que l'aura du Sombre est à peine perceptible ? »

Cette remarque fit tiquer le Chevaucheur. Leur discussion ne lui avait pas fait sentir ce détail étrange, mais il s'en rendait compte à présent.

« Ce n'est pas un piège, ajouta-t-il en hâtant le pas tout à coup.

- Mais... Eod... dit Leirinè sans pouvoir finir sa phrase »

Les trois sylvains firent irruption dans la salle obscure qui retenait Anher et le Sombre prisonniers.

Ce dernier, toujours lié au mur par magie, semblait lutter pour ne pas laisser son corps pendre.

Il avait l'air à bout de forces.

Leirinè d'un geste éclaira les lieux. Ils découvrirent avec effarement que la peau de l'Elfe Noir était devenue blafarde, plus pâle que ce que nous autres humains appellerions de la craie.

Emerhyion s'approcha. Le détenu ne respirait plus qu'avec difficulté. En observant de plus près, le sylvain s'aperçut que le bleu nuit qu'il connaissait aux Sombres était resté à quelques endroits sur sa peau. Il en préleva un peu, révélant la couleur laiteuse et faisant du même coup tressaillir l'Elfe. Emerhyion effrita la teinte entre ses doigts.

Alors là, il ne comprenait plus rien.

Il se tourna avec impuissance vers le Grand Njël. Ce dernier s'apprêtait à parler quand la voix d'Anher retentit.

« Cette poudre est une protection. Nous autres sylvains ne pouvons survivre longtemps à l'écart des arbres. Il en va de même pour les Sombres. Ce camouflage est fait de résidus de leur environnement d'origine. S'ils ne le renouvellent pas régulièrement en dehors de leur territoire, ils meurent. Le sort de lien m'a apprit beaucoup de choses... à mes dépends. »

Les yeux devenus rouges du Sombre lançaient des éclairs. C'est pourtant avec une voix fière bien qu'entrecoupée de respirations qu'il s'adressa à l'ensemble des sylvains.

« Vous pouvez détacher votre ami, nous n'avons plus aucun pouvoir sur lui. Le lien avec mes semblables s'est affaibli, l'heure est grave et non plus aux palabres. Vous devez nous aider. Ou l'ensemble de nos peuples va disparaître. »

Les sylvains se figèrent. Cette révélation sonnait d'autant plus vraie à leurs oreilles que toute sensation de lourdeur dans l'atmosphère, habituellement caractéristique aux Sombres, avait disparue.

Leirinè s'approcha du prisonnier et posa sa paume à quelques millimètres du front pâle.

« Ce n'est pas un piège ? Demanda-t-elle »

L'Elfe Noir eut une moue dégoûtée, comme s'il le regrettait, et nia de la tête.

La vieille magicienne retira sa main et dit en se tournant vers ses congénères

« Il ne ment pas. Toutes les protections qui entourent habituellement leur esprit sont absentes, il n'a pas plus de défenses qu'un nouveau né. »

Ce fait laissait sur son visage des traînées d'inquiétude mais aussi un pétillement dans les yeux.

Elle avait enfin compris, comme vous peut-être, ce qui constituait la force des Sombres.

Le fait qu'ils soient tous reliés d'esprit leur donnait leur légendaire quasi-invulnérabilité.

Mais ce lien neutralisé leur ôtait leur puissance de groupe.

Cela faisait une connaissance de plus à ajouter aux livres de Njëlet'tharan.

Eod s'avança à son tour face au Sombre.

« Qu'y a-t-il de si grave pour que vous imploriez notre aide ?

- Il y a eu une éruption à quelques kilomètres de la Grande Forêt. Nous avons prit les mesures habituelles pour qu'elle n'empiète pas sur les arbres. La lave, les cendres, les pierres, n'ont rien brûlé mais se sont glissées entre les racines, ont prit possession du sol. Et ce, jusque loin après la lisière. La taille de l'éruption était d'une ampleur inhabituelle, les forces du soufre ont été drainées vers les arbres, répandues sur une trop vaste surface. Par conséquent, loin de l'épicentre des Montagnes volcaniques et de notre lieu de vie. La concentration de soufre n'y est plus suffisante, et ne donne plus assez d'ombres. Il faut du feu, et la force de la Forêt. »

Eod, Leirinè et Emerhyion se regardèrent. Pour qu'un Sombre se confie ainsi, sans y être forcé, il fallait vraiment que la situation soit désespérée. Anher, redevenu tout à fait lui-même, se racla la gorge.

« Si ça ne vous ennuie pas, je ne serais pas contre être détaché... »

Leirinè leva la main sans y faire plus attention que cela, plongée dans ses pensées. Anher chuta au sol et se releva, frottant son corps endolori.

Puis il ajouta : « Je n'ai rien compris. Qu'est-ce que la force de la Forêt vient faire là-dedans ? Et les ombres ? »

Peut-être que le lecteur n'aura pas compris non plus, faute de connaissances. Nous allons donc traduire ici ce que va expliquer l'Elfe Noir.

Les Sombres, nés des ombres du soufre des Montagnes volcaniques sont les relais des courants magnétiques qui sillonnent ce monde.

« S'il n'y a plus d'Elfe Noir, ou si nous ne maîtrisons plus les courants, plus rien n'existe, reprit-il après une pause pour reprendre son souffle. La condensation du feu des volcans donne le soufre. Si la force du feu s'étire, elle n'est pas assez concentrée, donc pas assez puissante pour les ombres ; mais suffisamment pour rompre les équilibres et détruire la Forêt.

- Et la mer de sable , la Terre des Elfes croisés, la mer brumeuse ? demanda Emerhyion.

- Pour l'instant, la force du soufre ne s'est étendue que vers votre Pays de l'Est. L'éruption a envahi la Forêt. Il faut donc la protéger, et en même temps en drainer du combustible pour raviver les flammes des Montagnes volcaniques. Ainsi la concentration du feu sera suffisante pour créer du souffre. »

Emerhyion revit le Sombre, les bras chargés de plantes. C'était donc là l'explication de ces mouvements déraisonnés ! Mais cela n'expliquait en rien l'atteinte à Nähil et au Grand Njël. Cet Elfe ne disait pas tout, il en était persuadé.

Ledit Elfe commençait à cracher des caillots de sang. Néanmoins il continua, refusant la main secourable que lui tendait Eod.

Il dit, regardant Emerhyion du fond des yeux comme s'il avait lu son esprit :

« De vulgaires plantes ne suffisent pas à ramener la force du feu. Il faut un être qui relaye leur pouvoir. Le seul en ayant la capacité est le Grand Njël. C'est pour cela que nous avons essayé de l'emmener. Nous pensions que tout aurait réussi, comme prévu, mais évidemment avec vous autres il faut toujours qu'il y ait une écorce.

- Et Nähil ? demanda sèchement Emerhyion. »

Le Sombre haussa les sourcils.

« L'Elfe destiné à devenir Grand Njël après moi.

- Oh, celui-ci ! C'était un entraînement. Nous voulions voir si son pouvoir suffirait, mais le portail qui devait l'amener aux Montagnes volcaniques n'a pas fonctionné. Nous ne savons pas ce qu'il est advenu de... Nähil.

Emerhyion avait cessé un instant de respirer.

Nähil, un entraînement ? Un essai ? Utilisé comme un vulgaire objet à des fins d'exercice ?

Leirinè elle-même avait été ébranlée par la révélation. Elle s'était détournée de son mur et fixait Emerhyion.

Il devenait inquiétant. Sa peau virait au rouge, il respirait de plus en plus fort et commençait à poindre un grognement bestial qui ne demandait qu'à s'élancer hors de sa poitrine contractée.

La vieille Elfe jeta des regards entendus au Grand Njël.

Ce dernier attrapa le jeune Chevaucheur par le bras, l'enveloppant dans une puissante onde magique qui le paralysa partiellement.

Puis il s'adressa au Sombre.

« Comment se fait-ce que Nähil ait disparu ?

- Nous n'en savons rien.

- C'est une histoire de courants, reprit Leirinè. Sans rien ni personne pour relayer les courants magnétiques, ceux-ci s'ordonnent. C'est contraire à leur nature chaotique. Le relief s'en trouve anéanti. Sans reliefs, plus de battements. Et sans battements, la vie meurt.

- Comment sais-tu cela ? demanda Eod. »

Leirinè s'accroupit de nouveau face à son mur, et passa ses doigts sur la surface.

« Ce mur, reprit-elle, est fait du bois du Tilleul-Chêne. De tous temps il a été couvert d'aspérités, d'ornements naturels ou bien causés par les insectes ou notre peuple. »

Puis elle se leva et tira le Grand Njël à elle, appliquant la paume du vieux gourou sur la paroi.

« Qu'est-ce que tes rides sentent ?

- C'est... c'est lisse, dit-il, pantois. »

Puis il frotta ses doigts les uns contre les autres avant de les examiner. Ses propres rides commençaient à s'effacer.

« Je ne vois pas le rapport avec Nähil, éructa Emerhyion.

- Qu'est-ce qui est la définition même du relief ? Un portail de transport, répondit le Sombre qui semblait de plus en plus mal en point.Votre ami est sûrement mort, écrasé par autant de relief en décomposition. Ou alors... »

L'Elfe cracha un filet de sang, émettant un râle digne de ce que nous connaissons sous le nom d'aspirateur.

Les quatre sylvains se regardèrent. Avant de sursauter face à une nouvelle quinte de toux de la part du Sombre. Ce dernier les fixa une dernière fois, murmura quelque chose...

et mourut, exhalant un soupir de buée.


Le bonjour chers wattpadiens.  Après bien du temps d'absence, passé à quelques activités diverses et variées et sans importance comme les études, voilà la fin de cette histoire qui n'en finit plus de durer. Comme cette phrase d'ailleurs.

Ce n'est pas le dernier chapitre mais l'avant-dernier. Le dernier vous l'aurez dans pas longtemps. Attendez un peu, non mais, bande de petits n'impatients (je ne m'adresse sûrement qu'à une seule personne, salutation à toi ô courageuse qui a sagement attendu son heure)

Bien que ça ne relève plus trop de ce que j'écris maintenant, et qu'il y ait beaucoup d'incohérences, je tenais à finir cette chose, comme ça c'est classé.

 Et puis n'hésite pas à m'envoyer un ou mille petits commentaires critiques dans le constructivisme de la pensée intelligente. Sur l'écriture en elle-même et surtout sur la compréhension.

A plus face de citrus


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