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Maintenant que le passé avait été visité, le travail de Yuna était terminé. C'était au tour de la fantôme du présent, Yeji, celle habillée tout en vert, la plus espiègle et la plus malicieuse. Elle aimait bien rire de tout et se moquer de rien, même quand il s'agissait de son boulot. Elle s'était bien amusé avec Jisung, dans l'appartement de Minho surtout, et maintenant, elle devait s'occuper de Minghao, et pour cela, elle devait l'emmener dans son présent, chez lui et chez quelqu'un qui avait le cœur de Minghao bien au chaud dans sa poche.

Elle s'approcha doucement du corps de son humain, qui était réapparu dans sa chambre initiale en 2016, et elle tapa sur son cou trois petites fois, murmurant de sa voix douce une phrase qu'elle connaissait par cœur :

" Intueamur nunc nobis in ordine ad bonum futurum, ad pacem invenies. "

Encore une fois, Minghao se réveilla avec une étrange sensation et il sursauta une nouvelle fois en découvrant Yeji sur son lit. Il soupira, sentant que ce ne sera pas la dernière fois qu'une femme le surprendra et il jugea la pièce dans laquelle il était. Il remarqua rapidement qu'il était de retour chez lui, dans son présent, mais qu'il n'était pas à l'appel. La sensation d'être là sans être réellement présent était toujours logée en lui, donc il imaginait bien que là où il était, c'était sa chambre mais qu'il était encore un peu absent, un fantôme tout du moins, qui pouvait traverser les murs et entendre les conversations des autres.

" nous voici dans le présent, et ne fais pas cette tête, personne ne peut nous entendre, je peux parler aussi fort que je peux, crier tant que je le veux, personne ne me remarquera. Comme tu as pu t'en douter si t'as un peu de jugeote, ce que j'espère, nous sommes semi présent dans ce monde, dans ton présent, nous voyons les images mais les images ne peuvent nous voir, paradoxales mais très plaisant, tu verras. "

Elle se leva ensuite et s'effondra sur le lit à côté de Minghao en ricanant, plongeant sa tête en plein dans un coussin. Elle releva néanmoins le crâne pour jauger l'humain devant elle et sourit, d'un amusement palpable.

" mon devoir est de te montrer que ta situation n'est pas normal, apparemment il faut te prouver qu'il faut que tu prennes une décision, et une bonne en plus. Barbant, mais mon travail, et surtout mon temps libre, dépend de toi, donc plus vite tu verras que c'est la merde chez toi, plus vite je pourrais faire la fête tranquille pour le réveillon. Magnifique non ?

- je suis pas sûr qu'on a la même définition de ce mot...

- Roh, sourit un peu, fait "hii", elle mit deux de ses doigts contre la bordure de ses lèvres, les étirant dans un sourire forcé, quoiqu'un peu comique, faisant pouffer Minghao et donc ricaner Yeji de ses propres bêtises. Bon, maintenant que monsieur est plus détendu, on va pouvoir passer aux choses sérieuses. "

Elle claqua des doigts et tout deux apparurent dans le salon où sa mère et son beau-père, Sounhi et Kai, étaient sur le canapé, et visiblement en pleine discussion sérieuse au vu du visage crispé de la femme et fermé de l'homme.

" cette étape, celle du présent, ne sera pas aussi longue que celle de Yuna, bon dieu non, je ne vais pas m'amuser à te balader partout dans la ville et dans chaque segments de ton entourage. Elle a du temps, j'ai la flemme perso. Bref, donc deux parties l'étape : l'une ici, l'autre chez l'un de tes plus fidèles amis, et surtout l'un des plus intéressants, un grand sourire fendit son visage sous l'œil sceptique de Minghao, rohh ça vaaa~, ce sera juste... Croustillant. "

Puis elle claqua des doigts et, soudainement, tout eût l'air de reprendre vie miraculeusement. Les mots qui semblaient s'être éteints de la bouche des adultes se mirent à se déverser par cascades, créant un semblant de dispute qui avait l'air assez houleuse. Tout s'était passé très vite que le brun n'avait pu suivre le début du commencement. Il n'avait compris que le strict minimum, et ce strict minimum, il portait un nom et pas n'importe lequel : le sien.

Une sorte de sujet fâcheux qui avait fini par être abordé et qui avait fait place à un éclatement. Minghao avait l'impression de retomber exactement sur la scène de sa mère et sa tante, quand l'une le critiquait pour ses notes et l'autre le défendait contre sa mère pour les bêtises qu'elle disait. Sauf que cette fois-ci, la dispute était bien plus grosse, bien plus grande, et avait en elle bien plus de sujets qu'une seule idée, elle avait tous les éléments qui restaient pour l'instant cachés, tous ces sujets que Kai n'osait jamais réfuter. Et maintenant, il avait complètement explosé, donnant son avis car il s'inquiétait.

Et pour le fils, mais aussi pour la mère.

" tu ne peux pas simplement passer à côté, Sounhi, c'est un sujet sérieux et tu ne peux pas juste fermer les yeux dessus en répétant que ça passera ! Ça fait parti de lui, que tu le veuilles ou non. Et si tu veux que cela changes, que ton fils ne soit plus handicapé par cela, il faut que tu prennes des mesures qui te sont demandés, par lui, depuis tellement longtemps !

- tu ne comprend pas, tu ne comprend rien. M'écoutes seulement tu ? Elle s'efforça de garder son calme, si je lui octroie des soins, que se passera-t-il ensuite ? Ils vont me dire quoi, hein ? Que mon fils a un problème ? Il n'en a pas putain, il n'en aura jamais !!

- et tu te demandes pourquoi il ne te parle pas ? Fit-il, légèrement déçu. Tu te mets des oeillères, préférant ton bonheur à celui de ton fils. Ses notes ne sont pas les tiennes, tu dois garder à l'esprit que ton fils fait son possible, et que s'il a un problème, c'est à toi de l'aider à le régler, pas à l'enfoncer en fermant les yeux ! Younhi, faut que tu te réveilles, ton fils va mal depuis la mort de ta sœur, il s'est fermé comme une huître et tu ne l'aide pas à aller mieux. Pire, tu l'enfonce !

- je fais ce que je peux-

- non, c'est ça le pire. J'ai essayé, je te jure, de ne rien dire, de te laisser gérer. Mais en voyant son état, ton état, il vous faut de l'aide.

- et quoi ? Tu vas te proposer en bon héro pour nous, pour m'aider ?

- mais tu ne comprend rien bon sang ! Je te dis de faire appel à un psychologue, pour ton fils, pour qu'il se sente mieux. "

Les paroles claquèrent dans l'air, soulignant un drôle de silence qui remplaça l'atmosphère électrique. Kai était à bout de souffle, rouge d'avoir essayé de débattre pendant tout ce temps contre un mur et lassé, fatigué, de ne pas être écouté.

" je ne comprend même pas pourquoi tu ne veux pas accepter le fait que ton fils ne fasse pas exprès d'avoir une moyenne basse. Je ne comprend pas pourquoi tu ne veux pas lui donner les moyens d'avancer, je ne comprend pas pourquoi tu te fermes dès qu'il essaie, dès qu'on essaie, d'avoir ne serais-ce que des réponses.

- parce que j'étais comme lui, finit-elle par crier. J'avais aussi besoin d'aide ! Mais personne ne m'a aidé, et regarde moi aujourd'hui : je vais bien. Je me suis construite moi-même, alors pourquoi aurait-il besoin de quelqu'un d'autre que de moi ? Moi aussi, j'avais des notes décroissantes, moi aussi j'étais souvent distraite, mais j'ai réussi à aller mieux. Pourquoi il aurait besoin d'aide ?

- ce n'est pas comparable, Soun', toi... Toi tu n'as pas de trouble, lui en a un, reprit il doucement, presque en chuchotant. Il faut... Il faut sérieusement que tu réussisse à avoir une discussion avec Minghao, et bon sang ne ramène pas tout aux notes. Minghao a besoin de sa mère, il a besoin de soutien, il a besoin de toi, et pas d'un robot qui le rabâche et le rabaisse sans cesse avec des notes. Tu n'es pas mauvaise, tu n'es pas une mauvaise mère, Sounhi, tu as juste besoin qu'on te montre le chemin, qu'on t'aide à savoir comment gérer. Je suis arrivé bien tard pour ça, Minghao n'avait seulement que cinq ans que je suis arriver dans ta vie, tu as dû l'élever seul avec ta sœur, mais maintenant je suis là. Je suis son père adoptif, je peux t'aider, te conseiller, aimer Minghao avec toi. Il faut juste que tu lui, que tu nous, laisses la possibilité. Laisse Minghao te parler, te conseiller sur sa vie et sur ses objectifs, et tu verras que votre relation sera meilleure qu'avant. "

Un petit silence claqua dans la pièce, la mère avait les mains sur la tête, des larmes silencieuses roulant sur ses joues rougies. Kai, lui, était en face d'elle, les genoux sur le sol, une mine inquiète au visage, il la serra doucement dans ses bras, de façon réconfortante pour lui signifier qu'il était là pour elle.

“ tu dois savoir que tes parents, ta mère en l'occurrence, sera toujours là pour toi. Mon objectif second, après te faire aimer Noël, et de te faire toucher la paix du bout des doigts, c'est de te faire comprendre que tu n'es pas tout seul, et que même si tu en as l'impression, il y aura toujours quelqu'un pour toi. Tu te rappelles des mots de ta tante ? "Ne te fermes pas aux autres, sois une fleure-

— qui s'ouvre quand le printemps est présent. ”

Minghao hocha la tête avec un petit sourire. Mine de rien, il avait tellement l'impression d'être incompris chez lui que voir sa mère se faire du soucis pour lui, ça le lui faisait plaisir, même si la voir pleurer lui fit beaucoup plus mal qu'il ne l'aurais cru. Il nota dans un coin de sa tête que quand tout redeviendra à la normal, il ira faire une énorme embrassade à sa mère, ça faisait tellement longtemps qu'il ne se souvenait même plus de la sensation des bras de sa mère autour de lui. Ça lui manquait.

“ c'est pas ta faute si tu t'es éloigné, si tu t'es senti incompris. Mais rappelles toi que ce n'est pas de la faute de ta mère non plus si elle ne comprend pas comment t'aider, si elle a des difficultés à te comprendre, il faut que tu lui laisses le temps de s'accommoder et que surtout, tu lui parles de ce que tu ressentes. Je le répète mais la communication est la plus grande clé, l'un des plus grand pilier, d'une relation.

— t'as raison. J'ai été stupide de me fermer.

— je ne dirais pas stupide, tes ressentis ne le sont pas et tes sentiments encore moins. C'est humain de faire des erreurs, et tu n'es pas le seul fautif là dedans. Il faut seulement que vous vous rendez compte de vos erreurs, tous les deux, pour avancer. Ta mère a l'air apte à changer, à toi de voir si tu es prêt à la pardonner pour tout ça. ”

Le brun s'avança vers le canapé avant de s'asseoir à côté de sa mère, en essayant de lui toucher le bras, en vain. Ses yeux s'embuèrent doucement, et il se laissa sourire en posant légèrement sa tête par dessus l'épaule de la femme, sa main allant sécher ses larmes énergiquement. Yeji, qui était restée en retrait, se laissa sourire tendrement.

“ on va y aller ?

— oh, il se redressa, oui, c'est vrai, il renifla puis se laissa ricaner, j'avais oublié qu'il y avait une deuxième étape. ”

Yeji secoua la tête avant de tendre sa main vers Minghao, qui se releva de là où il était pour la lui prendre. Tout deux disparurent d'un son flou, avant de réapparaître dans une pièce que le brunet avait l'air de bien connaître au vu de ses yeux écarquillés, jaugeant le salon autour de lui, allant de la télé, jusqu'à la table et en passant par le sapin.

“ je croyais que t'étais gentille, mais t'es une saloperie sur les bords quand même. ”

Yeji éclata de rire suite à sa phrase avant de faire une danse des sourcils, amusée, en l'observant regarder un cadre de photo illustrant deux petits garçons : lui et Junhui, alias Jun. Jun, son frère de cœur, son âme sœur, son ami depuis les couches culottes, celui qui faisait battre son cœur et son corps, celui qui occupait ses pensées et celui qui ne l'a jamais jugé pour ce qu'il est, malgré ses difficultés. C'était son plus fidèle ami, une amitié ambiguë qui le rendait dingue, mais aussi amoureux. C'était l'une des personnes auxquelles il estimait, il chériait, le plus.

En parlant du loup, le voici entrant de le salon, passant près du cadre auquel il adressa un regard tendre et il se laissa tomber sur le canapé, près du sapin recouvert de cadeau. On était le 25 après tout, aujourd'hui Junhui et Minghao devaient se rejoindre pour s'offrir des cadeaux avant le repas entre leur deux familles, une tradition, ce pourquoi le sapin était dors et déjà recouvert de la tête aux pieds. Mais cependant, une moue s'infiltra en travers de son sourire, une moue inquiète. Junhui était le confident de Minghao, et il savait tout, absolument tout, des états d'âmes de son cadet, les plus importantes et les plus imposantes. Ce pourquoi il avait l'air tellement inquiet : il savait que Minghao n'allait pas si bien que ça, pas si bien qu'il le laissait paraître.

Il était pire qu'inquiet, il se faisait pire que du mourront.

À sa suite, une femme élégante et respirant la tendresse entra dans la pièce pour s'asseoir à côté de l'adolescent. Elle avait un carré plongeant, des cheveux bruns avec quelques mèches blondes se dessinant dans sa nuque, ses lèvres étaient charnues, rosées mais sans maquillage. C'était l'une des femmes les plus adorables que Minghao avait pu connaître, c'était comme une deuxième maman pour lui, outre sa tante. Elle était d'une écoute sérieuse, et ne se permettait jamais de juger qui que ce soit.

“ je vois bien que quelque chose te tracasse, chéri.

— c'est... Il sembla hésiter, c'est à propos de Hao... La femme parue surprise puis un air inquiet remplaça ses traits parfaits.

— il s'est passé quelque chose ? Vous vous êtes disputés ?

— non... Mais... Tu sais bien qu'il me dit tout, qu'on se dit tout, et qu'il se confie beaucoup à moi. Je sais pas si c'est bien de te dire ça, s'il ne va pas être fâché et en colère contre moi, mais je sais juste plus quoi faire. Ça fait quelques mois déjà qu'il me fait part de sa relation avec sa mère, au début j'étais juste en mode... Mouais, ça va pas trop mais ça va s'arranger avec le temps. Sauf que, bah ça s'est pas arrangé quoi, ça s'est même empiré, et ça l'affecte plus que de raison. Il en est venu à s'enfermer dans les toilettes du lycée, en panique, juste avant un contrôle de S.E.S tellement il était stressé.

— c'est son aversion pour les notes ?

— je crois... Je crois que c'est pire que ça, m'man. J'te jure, je l'ai jamais vu comme ça. Je sais qu'il déteste Noël à cause de la mort de Younmin, mais là... Mais là, il s'est carrément endormi en cours pendant deux heures d'affilées. Ça peut paraître anodin mais-

— mais Minghao ne se permettrait jamais de dormir en cours, surtout dans une spécialité qui compte pour le bac. Est-ce que tu as fait ce que je t'ai dis ?

— je lui ai conseillé l'assistante sociale mais il- il a essayé, mais a fait une crise de panique devant la salle. J'te jure, j'essaie de l'aider mais-

— c'est pas ton rôle Junhui. Il ne faut pas que t'encaisse tout pour toi, je sais que tu tiens énormément à Minghao, plus que je ne le sache d'ailleurs, mais tu dois lui dire tout ce que tu penses toi aussi. C'est pas à toi de gérer ça, toi, c'est de l'épauler, le conseiller et le guider, pas supporter ses problèmes avec lui. T'encaisse tout avec lui alors que ce n'est absolument pas à toi de faire ça. Minghao est reconnaissant envers toi, mais lui mâcher ses pas ne va pas l'aider à avancer. Tu lui en as parlé de tes ressentis ?

— oui, il est au courant. Il sait que c'est dur pour moi, mais il m'a dit que si c'était trop, je pouvais m'éloigner. Mais je peux juste pas, j'ai trop besoin de lui...

— bon, tu sais quoi, pendant le repas, j'essaierai d'en parler avec sa mère. Pour l'instant, essaie de lui faire changer les idées. Ne lui parle pas de notes, pas de trouble, jouez, amusez vous et ne pensez pas au reste, j'm'en charge de ça, hm ? ”

Elle se pencha vers son fils avant de lui embrasser tendrement le front, le laissant par la suite seul sur le canapé. Une fois que sa mère ait disparu du salon, il se mit à soupirer en regardant le plafond en fermant les yeux.

“ prend soin de toi, Hao, s'il te plaît... ”

Minghao, qui était resté derrière tout ce temps, fit une mine triste en comprenant tout ce poids qu'il avait mis sur les épaules de son meilleur ami. Il sortit de sa poche son téléphone, et cliqua sur ses messages puis sur la conversation avec son ami, et vit tristement tous ces messages qui allaient d'un sens : le sien. Ils parlaient toujours de ses ressentis à lui, et jamais de ceux de Junhui.

Il lança un regard à Yeji, avant de souffler profondément, et, sachant pertinemment qu'il allait faire une action décisive, il cliqua sur 'envoyer un message' et sur deux numéros spécifiquement.

;; Mam

📩 Je veux prendre rdv chez un psy. Ça devient un besoin, et j'ai besoin que tu comprennes, et que tu sois avec moi. Je suis désolé d'être difficile au quotidien, et on a tous les deux nos tords, mais vois ça comme un enterrement de la hache de guerre : on aura une vraie discussion, et j'arrêterai de me fermer sur moi-même, je te le promets. Je suis tellement désolé pour toutes ces fois où je me suis enfermé autour de moi, et j'peux t'assurer que je te parlerai plus à l'avenir, je m'ouvrirai à toi. Je t'aime, tu le sais hein ?
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;; Jun 🤍✨

📩 *Screen*
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📩 J'ai pris rdv comme tu me l'as dit, ça y est. Et... Et je t'aime, sincèrement. Merci d'être là pour moi, Jun, vraiment. Cette après-midi, on prendra notre temps à nous pour parler, mais de toi également et pas seulement de moi. Tu me diras ce que tu as fait pendant les vacances par exemple, je sais que ça te fait plaisir de parler de ta famille. Tu me manques <33
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Pouahahahaha 3100 mots, allé j'vais me coucher, j'en peux plus là-

C'était une horreur à écrire okay ? C'est super difficile d'écrire sur ce sujet en essayant de montrer tous les aspects, et je crois que ça a été super maladroit, j'suis désolé pour ça mais j'fais de mon mieux TT

Bref, deuxième aspect de cette histoire : le fait que souvent, on se concentre sur soi, sans forcément faire attention aux autres alors qu'ils ont en besoin également. Ici, Minghao a été tellement focalisé sur sa relation avec sa mère qu'il n'avait pas fait attention à Jun, qui avait pris le rôle de protecteur, alors que des fois, les protecteurs eux-mêmes ont besoin d'être protégés <3

Bref, j'espère sincèrement que votre Noël s'est bien passé, et que vous avez été gâtés comme il se doit ahah perso effectivement, j'ai été bien gâté.e, beaucoup même :') Normalement, je devrais mettre en story Instagram ce que j'ai eu pour Noël, n'hésitez pas à passer du coup sur mon compte (@/yunhmen) pour voir !

Prenez soin de vous !

See you soon~