Chapitre 63 : Point de rupture
Je suis vraiment désolée. Je vous retrouve en bas. 😢
⚠️⚠️⚠️warning⚠️⚠️⚠️
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POV : Jimin
Il est plus de 19 heures quand je sors ENFIN du bureau de Mr Jeongun. C'était une de nos dernières entrevues pour mon TFE et il a absolument tenu à ce que nous relisions en détail chaque page de mon travail... Super. Heureusement que j'avais prévenu Jin Hyung que je ne pourrais sans doute pas travailler ce soir... Je ne sais pas comment, mais je le sentais que ça allait finir ainsi.
Nous sommes vendredi, le 30 mai. Il fait encore clair, bien que la lumière du soleil commence à se colorer d'une nuance dorée, indiquant qu'il descend de plus en plus bas. Il fait très doux et arrivé à l'extérieur du bâtiment, je pose mon sac à dos sur un banc pour enlever ma veste en jeans que j'avais enfilée en sortant du bureau. Vu le poids de mon sac entre mon PC portable, mon cours de puériculture, les livres que j'ai analysés et mon bloc-notes, je serai en nage en arrivant à la maison, même sans veste.
Je soulève cet âne mort qui me sert de sac pour le repositionner du mieux que je peux sur mes épaules, ma veste sur un bras. Je dois traverser tout le campus, désert à cette heure, pour atteindre le portail de l'entrée et sortir de l'université.
Les cerisiers ont perdu leurs fleurs depuis longtemps, remplacées par des feuilles pointues d'un vert tendre, agitées par le vent léger. Le chemin est bordé de tous les pétales roses et blancs qui s'agglutinent entre les petits pavés clairs. C'est tellement joli. Quand j'aurais un emploi à temps plein et une vie un peu moins chaotique, j'aimerai investir dans un petit appareil photo. Je pense qu'on peut en trouver de bonne qualité en seconde main. Je pourrais partir me balader en vélo le dimanche avec Namjoon et photographier des paysages, des gens, le ciel... On pourrait aller à la mer et profiter d'une après-midi au soleil, sur le sable. Je pourrais apprendre à développer mes propres photos, peut-être. J'aimerai tellement suivre une formation plus tard. Quelque chose d'artistique.
Quand j'étais enfant j'adorais les cours de danse auxquels mes parents m'avaient inscrit en dehors de l'école. J'étais assez bon, peut-être que je pourrais reprendre ? Est-ce que ça existe des cours de danse pour oméga adulte ?
Je tourne à l'angle du bâtiment des sports, humant l'air à pleins poumons. Quel calme. Mis à part le bruit de la circulation qui me parvient d'un peu plus loin, un silence parfait enveloppe tout le campus. J'ai la sensation d'être seul au monde.
Je sors mon téléphone de ma poche et m'arrête un instant pour prendre en photo du parc et des arbres autour de moi avant de les envoyer à Namjoon, accompagnées d'un petit mot.
A : Joonie :
Coucou, tu dois être occupé mais je voulais partager ça avec toi. C'est presque la golden hour et il fait super calme. ☀️ Tu me manques. 😔 Bisous je t'aime. 😘
J'envoie le message avant d'en écrire un nouveau :
A : Joonie :
Courage !! 💪💪💪
Satisfait, je verrouille l'écran avant de glisser à nouveau l'appareil dans ma poche et de relever la tête. Les yeux fermés, je hume encore une fois l'air pour l'imprégner au mieux de cette ambiance hors du temps...
Quand soudain, une fragrance que je n'attendais pas me parvient, ténue. C'est... un mélange de menthe et de pins... et autre chose. Un frisson me parcourt l'échine quand je réalise que cette odeur est celle de Jung. Je tourne la tête à droite et à gauche car en plus de son odeur qui se fait de plus en plus forte, j'entends les bruits d'une discussion me parvenir.
Je n'ai pas le temps de réagir que déjà trois personnes apparaîssent à l'angle du bâtiment devant lequel je suis à présent figé. Debout en plein milieu du chemin, il n'y a aucun moyen qu'ils ne me voient pas. Et pourtant, pendant une seconde, une idée stupide me traverse l'esprit :
"Les tyranosaures ne voient pas leurs proies si elles ne bougent pas."
Pour ensuite être remplacée par:
"T'es con Jimin !! J'aurais préféré un tyranosaure à ce connard de Jung. Dégage de là !"
Ne voulant pas attirer l'attention je me tourne vers la sortie pour continuer mon chemin en accélérant légèrement l'allure. Déjà que je dois empester la peur, autant ne pas en plus me donner une image de gazelle en train de fuir le lion.
Je suis presque à la moitié de la distance qui me sépare de l'entrée du campus. Je me vois déjà rentrer chez moi et appeler Jungkook pour me remettre de mes émotions quand une voix m'interpelle.
— Mais ca serait pas la petite pute de notre bien aimé Kim Namjoon que je vois là ?
Ne relève pas Jimin.
Ne te retourne pas.
Accélère un peu. Juste un peu.
Merde j'arrive pas à accélérer !
Je sais que mes jambes en sont parfaitement capables mais je sens la panique s'immiscer de plus en plus en moi et me paralyser doucement les membres.
Mon esprit quant à lui tente de se focaliser sur une seule chose : partir.
Parce qu'au fur et à mesure que les secondes s'écoulent, je sens Jung et ses deux potes se rapprocher et que ses phéromones se font menaçantes et dominantes au possible.
— Oh ! Je te parle oméga ! Retourne-toi !
Il faut que je rassemble toute ma volonté teintée de ma colère d'être traité comme un vulgaire objet pour ne pas lui obéir. Jung dirige toutes ses phéromones de domination vers moi et je les sens s'accrocher à mes vêtements avant de s'immiscer dans mon esprit pour me forcer à m'arrêter.
Mes jambes deviennent de plus en plus difficiles à bouger et la terreur s'empare de moi. Tout à coup quelqu'un me fait face et il ne faut pas être un génie pour savoir de qui il s'agit.
Je relève le visage vers Jung qui me regarde déjà d'un air mauvais.
— Alors... qu'est-ce que tu fais ici tout seul, oméga ? Tu sais que ce n'est pas très prudent de te balader comme ça sur le campus sans ce fils de chienne de Namjoon pour te protéger ?
— Laisse-moi passer, Jung. J'articule difficilement.
Waw. Je ne suis pas sûr qu'il existe un timbre de voix qui fasse encore plus "victime" que celui que je viens d'employer. Pourtant j'ai vraiment fait mon maximum pour adopter un ton déterminé.
— T'iras nulle part, oméga.
Putain qu'il me les brise à me rappeller mon genre à chaque phrase.
— Laisse. Moi. Passer. Je répète, un peu plus sûr de moi.
Je serre les poings. De un pour cacher leurs tremblements, de deux parce que plus il me parle avec cet air dédaigneux et suffisant et plus je sens la rage déferler en moi. Je ne peux malheureusement pas masquer mes phéromones qui trahissent mon changement d'humeur. Je sais parfaitement que je ne fais pas le poids contre eux, mais je ne peux pas m'empêcher de m'énerver. Pour toutes les fois où on m'a considéré plus comme un bout de viande sur l'étal d'un marché que comme un être humain à part entière.
— Ooooh mais c'est qu'il s'énerve le petit oméga ! Ca me plaît. En plus t'es vraiment pas dégueu hein ? Vous en pensez quoi les gars ?
J'entends les "gars" derrière moi ricaner. Leurs auras viennent frôler la mienne et me donnent la même nausée que lorsque l'alpha m'a agrippé dans la foule à la soirée d'Halloween. Leur intrusion me dégoûte. C'est comme s'ils posaient les mains sur moi.
En parlant de main...
Jung m'attrappe le poignet violemment avant de m'attirer contre lui. Je lâche ma veste et mon sac tombe par terre mais en ce moment c'est le cadet de mes soucis. Il me serre entre ses bras, me coupant la respiration avant de humer mes cheveux.
Je crois que je vais vraiment vomir. J'essaie de me débattre comme je peux, malheureusement il est beaucoup plus fort que moi, ce qui n'est pas un scoop.
Soudain, je le sens m'entraîner avec lui, il avance vite et mes pieds touchent à peine le sol. La terreur pure reprend ses droits sur moi, effaçant jusqu'à la moindre parcelle de rébellion. Je suis tétanisé.
Où m'emmène-t-il ?
Qu'est-ce qu'il se passe ?
Une porte s'ouvre, puis une autre. Une odeur de renfermé, de transpiration et de gel douche me parvient à travers les brumes des phéromones des trois alphas réunis.
Mes fesses atterrissent sur une surface dure, un banc. Je lève la tête, mes yeux me piquent et je retiens de toutes mes forces une larme de s'en échapper.
— Ca fait tellement longtemps que je rêve qu'on ait une discussion, tous les deux.
Je ne dis rien. Ca ne sert à rien. Dans les films les grands méchants parlent toujours pendant de longues minutes avant d'exposer leur plan diabolique. J'ai un peu la sensation d'être dans ce genre de scène complètement improbable. C'est toujours après un speech long à mourir et avant que le méchant commence à torturer sa victime que le héro intervient.
Sauf que là... personne ne sait que je suis là.
Seul avec trois alphas dont un qui me déteste de tout son être. Et qui me déteste encore plus parce qu'il me considère comme la cause de toute la violence qui s'est abattue sur lui. Les blessures que Namjoon lui a infligées il y a quelques jours sur le parking ne sont pas encore cicatrisées et son nez a conservé une forme bizarre.
Ca lui va pas.
— Ton homme a porté plainte contre moi.
— ...
— Réponds, oméga !
— Je sais.
— C'est toi qui lui a dit de le faire ?
— Non.
— Menteur. Tu fais que me pourrir la vie depuis que t'es entré dans cette salle de classe. Tu veux quoi ? Que je me fasse virer ?
— Si tu continues, c'est ce qu'il va se passer.
— J'crois pas non.
Un rictus mauvais déforme son visage et une nouvelle vague de phéromones me submerge, me forçant à baisser à la tête et à fermer ma gueule.
— Tu vas dire à ton homme de retirer sa plainte. Tu vas lui téléphoner, maintenant. Et peut-être qu'il ne t'arrivera rien.
— ...
— T'as compris ?
— Oui.
— Fais-le.
— Je sais pas si il va répondre. Il est en réunion.
Il se penche vers moi et attrappe ma mâchoire d'une main puissante avant de la serrer si fort que j'ai peur qu'elle craque.
— T'as intérêt à ce qu'il réponde, sinon tu vas avoir un putain de problème, oméga.
Il relâche mon visage en me rejetant en arrière et ma tête tape violemment sur le mur de briques. Un éclair de douleur me fend le crâne en deux et je ne peux m'empêcher de pousser un gémissement.
— T'aime avoir mal ? Ca tombe bien.
Je frémis à cette question qu'il m'a sussurée d'un ton mielleux. Les deux autres alphas auxquels je jette un coup d'oeil rapide me dévisagent d'un air carnassier. L'un d'eux passe sa langue sur sa lèvre en croisant les bras d'un air suffisant.
En tremblant, je sors mon téléphone de ma poche. Je ne parviens pas à le déverouiller avec l'empreinte tant je stresse et passe rapidement au code à quatre chiffre. Ma vue est brouillée, je peux à peine lire ce qu'il est inscrit sur l'écran. Je m'essuie les yeux du revers de la main avant de lancer un appel vers le nouveau numéro de Namjoon. En cet instant je prie tous les dieux pour qu'il l'ait dans sa main. Je sais qu'il le laisse souvent en silencieux dans son sac pour ne pas que quelqu'un dans l'entreprise sache qu'il a un deuxième téléphone.
La tonalité retentit plusieurs fois avant que j'entende une voix robotique m'annoncer que le correspondant que j'essaie de joindre ne peut pas répondre pour le moment et m'inviter à laisser un message vocal.
— Joon... C'est Jimin. S'il-te-plaît, rappelle moi. Vite.
Je ne sais rien articuler de plus alors je raccroche. J'espère qu'il comprendra parce que moi-même j'ai à peine entendu le son de ma voix.
— Dommage.
La tête toujours baissée, je respire difficilement.
— Il... a un deuxième numéro. Je murmure, à bout de souffle.
— Bah vas-y, essaie. Répond Jung d'un ton narquois.
A nouveau, je lance un appel, vers le numéro professionnel cette fois. Et à nouveau, les sonneries se suivent, sans qu'il décroche. J'en viens à maudire la Terre entière et plus particulièrement ces foutues réunions à pas d'heure un vendredi soir.
Je tombe à nouveau sur la messagerie, mais cette fois c'est la voix de mon alpha que j'aime tant qui résonne à mes oreilles. Il a dû enregistrer son message d'accueil quand il a reçu son téléphone à usage professionnel pour Kim Entreprises.
"Bonjour, vous êtes bien en relation avec la messagerie vocale de Kim Namjoon, de Kim Entreprises. Je ne suis pas disponible actuellement. Veuillez me laisser un message avec votre nom, vos coordonnées et le motif de votre appel et je vous recontacterai dès que possible."
— Nam... C'est encore moi. S'il-te-plaît, rappelle-moi... Je t'en prie.
J'appuie sur le téléphone rouge pour couper la communication et n'ose pas relever la tête pour regarder Jung. L'air est saturé de ses phéromones et je perçois de la satisfaction dans sa voix quand il commente:
— Comme c'est dommage...
En fait, il n'espérait que ça. Que Namjoon ne réponde pas, que personne ne sache ce qui est en train de se passer. Je n'ai aucune idée de ce qu'il prévoit maintenant, mais j'en tremble encore plus.
Une main s'abat violemment sur ma tête et ses doigts serrent plusieurs touffes de mes cheveux pour me faire relever le visage vers lui. Il pue la domination et l'envie. Ce qui me fait pleurer sans que je le contrôle.
— C'est vraiment dommage. Il va falloir qu'on lui fasse passer un message autrement...
Il m'attire en avant et me force à me mettre à genoux sur le carrelage. La douleur est telle que je suis certain d'avoir des bleus après ça.
Jung tire sur mes cheveux pour me tenir bien droit, le visage ravagé de larmes. Je ne peux plus m'empêcher de trembler ou de pleurer. J'ai trop peur.
— On fait moins le fier, maintenant. Hein, oméga ?
Il jubile.
— Je vais te tabasser si fort que même ta mère pourra pas te reconnaître.
Putain, mais comment on en est arrivés là ?
D'une main il maintient ma tête en l'air avant de m'asséner une énorme gifle de l'autre, me faisant tomber. Mon crâne frappe le sol dur et je vois des points noirs devant mes yeux. Paralysé par son aura dominante qui m'impose de rester où je suis, je ne bouge pas. Je tente difficilement de retenir un gémissement de douleur alors qu'un goût métallique envahi mon palais. Je crois que j'ai mordu ma langue en tombant.
Jung s'approche d'un pas avant de s'arrêter. Des voix me parviennent alors à travers les brumes de ses phéromones. Ses potes ont l'air moins sûrs d'eux tout à coup :
— Mec, arrête. Faut pas trop l'abîmer.
— Hyung à raison. On risque déjà de se faire virer avec ce qu'on vient de faire.
— Vous êtes que des couilles-molles ! S'énerve Jung. On va lui faire sa fête ! Depuis le temps que j'attends ça !
— Déconne pas, Jung. T'as déjà le dirlo et une plainte à ton cul, tu vas te faire saquer si tu continues. Il a compris.
— Vous comprenez quedalle en fait ?! Je vais lui montrer ce que c'est qu'un vrai alpha...
Ce disant il lève le pied et me donne un coup dans l'estomac si fort que j'en suis propulsé en-dessous du banc qui se trouvait dans mon dos, la respiration coupée. Par réflexe j'enroule mes bras autour de mon ventre pour me protéger et relève mes jambes en pliant les genoux.
J'entends les deux alphas crier sur Jung mais celui-ci n'écoute rien et se penche pour attrapper une de mes chevilles et me tirer hors de ma cachette.
— Jung ! Arrête !
Un nouveau coup s'abat sur mon flanc et me fais crier de douleur.
— J'me casse ! Lance un des deux autres.
NON !!! PITIE NE ME LAISSEZ PAS SEUL AVEC LUI !!!
— Tu vas nulle part ! Crie Jung avant de ramener son coéquipier vers lui en le tirant par son t-shirt qui se déchire en partie. Vous êtes tous les deux dans la même merde que moi maintenant alors vous restez ici !
— Mais t'es complètement taré !! Arrête !!
De nouveaux coups me frappent partout, sur les cuisses, les bras que j'ai levés pour protéger ma tête dans un réflexe purement défensif. Il s'attaque à mon dos aussi, m'arrachant des cris de plus en plus étouffés par les sanglots. J'ai l'impression qu'il est partout à la fois.
Soudain, il me soulève par les bras et me jette plus loin, face au sol. Je me rattrappe mal et entend un craquement avant de ressentir une intense souffrance dans le poignet droit. Mon visage s'échoue sur le sol froid et pendant quelques secondes je vois que mes mains sont tachées de rouge.
Je saigne...
— Tenez-le.
C'est quoi ce bruit ? On dirait...
Je regarde par-dessus mon épaule pour constater ce que je craignais: Jung est entrain de défaire sa ceinture, le regard complètement injecté de sang et l'air fou à lier.
Un des alphas tente de le retenir par le bras mais il se dégage rapidement avant de lui asséner un coup de poing en plein visage, le faisant chanceler.
— J'ai dit: Tenez-le.
L'autre alpha s'accroupit devant moi en regardant Jung d'un air apeuré avant d'attrapper mes poignets, me faisant crier alors qu'il serre trop fort celui qui me fait déjà mal.
— Qu'est-ce que tu vas faire, Hyung ? Demande-t-il.
Jung ne répond pas, s'approchant de nous avant de m'écarter les jambes avec ses pieds.
— Je vais montrer à Kim qu'il a qu'à faire gaffe à ses affaires. Tu pourras en profiter aussi après.
La poigne de l'alpha se resserre sur moi, me faisant me cambrer pour tenter de ramener mes bras contre mon torse, sans succès. Je pleure de plus en plus fort.
— Non... pitié... Jung... fais pas ça. Laisse-moi partir.
— C'est ça. Supplie-moi, j'adore ça. Sale merde d'oméga.
Il soulève mon bassin pour arracher le bouton et la fermeture éclair de mon jeans avant de le descendre jusqu'à mes genoux, entraînant mon boxer en même temps. Dans un dernier instinct je tente de me débattre violemment, mais entre la douleur qui irradie de mon poignet et l'étau qui m'enserre les hanches, je ne peux que gigoter faiblement.
— Putain, tiens le je te dis ! Crie Jung avant de m'attirer plus à lui.
Tout à coup, une voix que je ne connaîs pas me parvient, hurlant depuis l'entrée des vestiaires:
— JUNG !!!!! MAIS QU'EST-CE QUE TU FAIS ?????!!!!
★
Bon... j'espère que vous m'aimez encore après ça ? 😭
J'ai rédigé ce chapitre il y a quelques semaines et je me rappelle que je devais faire des pauses pour me remettre de ce que j'écrivais...
Le passage à tabac est quelque chose que j'ai vécu moi-même à l'école,
ayant été victime de harcèlement pendant des années.
Du coup je vous dis à lundi pour la suite...
A votre avis, qui a crié à la fin ?
I 💜 U
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