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Chapitre 42 : Intrusion

Jeudi soir, devant chez mes parents.

Ca doit faire au moins cinq bonnes minutes que je suis debout, raide comme un piquet sur le paillasson devant la porte de leur appartement.

Ma main est posée à côté de la sonnette, sur le mur.

Inspire. Expire. Inspire. Expire.

Dring.

Juste après avoir sonné j'insère la clé dans la serrure et pénètre dans l'entrée.

Ca sent le parfum d'ambiance aux agrumes et le produit multi-surfaces. C'est jour de ménage dans la famille Park. Je me penche pour défaire les laçets de mes chaussures quand ma mère apparaît au bout du couloir qui mène à la cuisine.

— Bonjour mon chéri !

— Bonjour, maman.

— Je suis occupée dans la cuisine, papa ne va pas tarder à rentrer.

— Ok.

"Courage, je pense fort à toi."

C'est le contenu du dernier message que j'ai reçu de Namjoon avant de me rendre chez mes parents.

J'avance dans l'appartement et arrive dans la cuisine, alors que ma mère est occupée aux fourneaux.

— Tu as passé une bonne journée ?

— Oui très bien.

— Ca a été à l'université ?

— Oui oui.

— Super. Et le travail ?

— Bien aussi.

— Tant mieux. Tu n'as pas eu trop froid en venant ?

— Ca va.

Bref, ma mère a décidé de noyer le poisson. D'agir comme si de rien n'était. Même si toutes ses questions ont plutôt l'air de cacher sa gêne et de meubler le silence que je laisserais planer sans aucun remord si elle ne faisait pas la conversation à coup de questions fermées.

Un bruit de porte d'entrée qui s'ouvre et se referme. Un trousseau de clés qu'on pose dans une coupelle, un manteau qu'on accroche à une patère et le parquet qui grince légèrement sous les pas du nouvel arrivant.

— Voilà ton père.

Sans rire ?

— Bonjour.

— Bonjour !

— Bonsoir.

Mon père me regarde à peine, embrasse ma mère sur le front puis ouvre une armoire pour prendre deux bols et deux paquets de gâteaux apéritifs avant de se diriger vers le salon. Au moins, lui, il ne fait pas semblant.

La soirée va être longue, je le sens.

Quelques instants plus tard, nous sommes tous les trois installés dans le salon, mon père et ma mère sur le sofa tandis que j'ai pris place dans un fauteuil, face à eux. Ma mère babille et tente de faire à nouveau la conversation pour trois, alors que mon père lui répond par monosyllabes, le yeux rivés sur les chips au sel qu'il a disposés sur la table entre nous.

— Jimin me disait que tout se passe très bien à l'université.

— Mmmh.

— Tu sais que ton père a reçu les félicitations de son patron pour un dossier délicat qu'il a réussi à gérer sans l'aide de son collègue ?

— Super.

— On a croisé Jungkook l'autre jour chez ses parents, apparemment il a un petit ami ?

— Oui. Il s'appelle Taehyung.

— Oh tu le connaîs ?

— Oui, on est souvent ensemble tous les qua... on se voit souvent à l'université.

— Ah super ! Je suis contente que tu te fasses de nouveaux amis.

— Merci.

Ma mère se tait le temps de piocher quelques chips pour les déposer délicatement sur la serviette en papier qu'elle a étalée sur ses genoux. Le silence qui s'abat sur le salon est tel que j'entends les bruits de circulation dans la rue, malgré que nous soyons en hauteur et que l'appartemment soit bien isolé. C'est dire.

Au moment où elle s'apprête à réouvrir la bouche pour dire je-ne-sais-quoi, mon père se redresse bien droit et déclare :

— Tu lui as dit ?

Il me regarde droit dans les yeux mais c'est à ma mère qu'il s'adresse.

— Non, pas encore.

— Dit quoi ?

— Est-ce que ça ne peut pas attendre qu'on soit à table ?

— Non, autant le lui annoncer tout de suite.

Ok, là je commence à flipper. C'est quoi le bail ? Pourquoi ils se parlent comme si j'étais absent alors qu'ils me dévisagent tous les deux ? Quelqu'un est mort ? Ils déménagent à l'étranger ? Ils me coupent complètement les vivres ? Ils sont tombés sur un chat mort sous mon lit ? Nerveux, mon regard passe de l'un à l'autre, jusqu'à ce que ma mère prenne enfin la parole pour s'adresser directement à moi :

— Jimin, nous avons contacté un marieur professionnel.

PAUSE.

Un... un quoi ?

— Pardon ?

— Nous avons appelé un marieur, une personne qui va t'aider à trouver un mari ou une femme pour la fin de ton année scolaire, ainsi tu seras à l'abri du besoin juste après avoir obtenu ton diplôme.

En cet instant, mon expression doit donner l'impression que je viens de me prendre un marteau en plein sur le petit orteil tout en marchant sur un Lego.

— Mais... quoi ?

Mon cerveau a du mal à traiter cette information, qui me semble à la limite entre l'absurde et le surréaliste. Mes parents ont contacté... un marieur ? Pour moi ? Pour me dégoter un ou une alpha? SERIEUX ?!

Du fond de mes entrailles je sens monter la panique, mêlée à de la rage et une profonde incompréhension.

— Mais... vous ne pouvez pas faire ça...

— Mais si, ne te tracasse pas, c'est très facile ! Je ne pensais pas que ces services "traditionnels" (elle mime des guillemets avec ses doigts) existaient encore de nos jours, il est vrai qu'à l'époque ton père et moi n'en avons pas eu besoin, mais apparemment ça fonctionne très bien ! Il nous a envoyé un prospectus avec son taux de réussite, un résumé de la méthode qu'il emploie pour trouver les paires compatibles et ses tarifs. Il est très bien, je lui ai parlé au téléphone et il serait ravi de te rencontrer, nous avons pris rendez-vous, il doit arriver d'une minute à l'autre.

Cette dernière phrase me fait bondir de mon siège, une sueur froide me parcourant la colonne.

— Il est hors de question que je rencontre ce type ! Pourquoi vous avez contacté un marieur ?! Je n'ai pas été assez clair ?!

— Je t'avais dit qu'il réagirait comme ça. Déclare mon père, la mine sombre.

Ma mère, quant à elle, ferme les yeux et se pince l'arète du nez entre le pouce et l'index.

— Jimin... tu ne nous laisses pas le choix. Tu ne fais rien pour trouver quelqu'un, pour assurer ton avenir. En tant que parents, il est de notre devoir de faire tout ce que nous pouvons pour que tu vives à l'abri du besoin. Et si cela implique de devoir faire appel aux services d'un professionnel, alors nous n'hésiterons pas à le faire.

— Mais enfin, je suis MAJEUR ! Je travaille, j'ai de bons résultats, je vais avoir mon diplôme ! Qu'est-ce qu'il faut que...

— Ce qu'il faut, c'est que tu comprennes que tu es un OMEGA, Jimin !!! Un oméga !!! Tu comprends ce que ça veut dire ?! Ca veut dire que si tu n'es pas marié, si tu n'as personne pour s'occuper de toi et assurer l'avenir de tes enfants, tu...

— JE NE VEUX PAS D'ENFANTS !!!

Oups... j'ai crié, je crois.

— Arrête avec ces bêtises, enfin, Jimin... Commence ma mère, les sourcils froncés. Bien sûr que tu auras des enfants.

— Je n'en veux pas ! Je n'en ai jamais voulu ! Et je ne veux pas me marier ! Vous comprenez rien ! Je vais terminer l'année, avoir mon diplôme avec option Puériculture parce que c'est la seule matière qui compte dans mon cursus mais j'irai bosser avec Seokjin !

— Tu veux dire que nous te participons à tes études à l'université pour que tu choisisses de ne pas te servir de ce que tu auras appris et au lieu de ça tu veux aller trimer comme caissier dans une supérette de quartier pourrie ?! C'est ça que tu es entrain de dire ?!

— Crois-moi, s'il y a avait eu n'importe quelle autre branche que Puériculture, c'est ce que j'aurais pris ! Même si cela signifiait apprendre à empailler des animaux !

— Tu délires complètement. Tu vas rencontrer ce monsieur, tu vas écouter ce qu'il a à te dire, rencontrer les professionnels qui travaillent avec lui pour ton relooking et...

— UN RELOOKING ? Mais vous vous foutez vraiment de ce que je veux en fait !

— NON ON NE S'EN FOUT PAS, JIMIN !!! MAIS VISIBLEMENT TU N'ES PAS CAPABLE DE SAVOIR CE QUI EST BON POUR TOI, ALORS C'EST A NOUS DE TE REMETTRE DANS LE DROIT CHEMIN !!!

C'en est trop. Au moment où je me retourne pour quitter le salon et par la suite, l'appartement, la sonnette de l'entrée de l'immeuble retentit dans le silence et l'interphone s'allume, laissant voir la tête d'un homme d'une cinquantaine d'année, tout sourire, avec un attaché-case sous le bras.

— Tu restes ici, le marieur est là.

Mon père passe à côté de moi pour décrocher l'interphone et ouvrir à cet intrus, mais ni une, ni deux je m'engouffre dans le couloir menant à l'entrée, attrappant ma veste, mon sac à dos et mes baskets. Sans même prendre la peine de me retourner j'ouvre la porte d'entrée à la volée et sort en courant de l'appartement, empruntant les escaliers, puisque l'ascenseur est entrain de monter à notre étage.

Arrivé dans le hall, essoufflé, je prends une minute pour enfiler mes chaussures et les lacer, avant de passer ma veste et d'attrapper mon vélo, alors que mon téléphone vibre dans ma poche.

6 appels manqués de : Maman.

De: Maman :

Si tu ne reviens pas immédiatement à la maison, ton père et moi te coupons les vivres.

Assis par terre au milieu de mon studio, je lis et relis le message reçu un peu plus tôt. Ma vue se brouille toutes les trois secondes à cause des larmes de frustration et de rage et mes joues sont brûlantes. J'ai également la gorge enrouée d'avoir pédalé à toute vitesse en respirant l'air froid de janvier. Une fois chez moi, je me suis enfermé à double tour en laissant la clé sur la porte, mes parents en ont un double et à ce stade-ci, j'ai peur de les voir débarquer chez moi pour me forcer à les suivre et rencontrer ce foutu marieur.

Je n'en reviens pas, à quel moment cette idée leur a paru être la solution à ce qu'ils estiment être mon "problème" ?

Mon vrai problème, par contre, c'est de savoir comment je vais m'en sortir sans le virement que me font mes parents tous les mois. Par chance, mon année scolaire a été réglée d'avance. Mais pour payer mon studio, la nourriture, les fournitures scolaires, les charges et les petits extras, je ne sais pas si j'aurais assez avec ce que je gagne tous les mois en travaillant pour Seokjin...

Installé à ma table-bureau avec une tasse de thé que je me suis fait pour tenter de me calmer un peu, je griffonne des calculs et dresse un tableau de mes rentrées et dépenses pour organiser mon budget. Je consulte le solde de mes comptes à vue et épargne sur l'app de ma banque et constate qu'en faisant très très attention, il y a moyen que je m'en sorte jusqu'au mois de juillet sans leur aide... Après ça, il faudra absolument que je trouve un travail à temps plein pour subvenir à mes besoins.

Mon téléphone vibre sur la table, je jette un oeil à l'écran qui vient de s'allumer, convaincu que c'est encore ma mère qui essaie de m'appeller. Mais c'est Namjoon.

Je respire un grand coup pour ne pas craquer quand j'entendrai sa voix et décroche.

— Allô ?

— Hello Minie, ça va ? Comment ça s'est passé chez tes parents ?

— Namjoon... *snif*

Ah bah super. Ca aura duré deux secondes.

Mes joues qui étaient encore humides et brûlantes de mes larmes sont à nouveau mouillées et je commence à avoir mal à la tête.

— Jimin ? Jimin, qu'est-ce qu'il y a ?

— Mes parents... ils...

Je pose mon front sur la table, le téléphone toujours à l'oreille et laisse échapper un gémissement de détresse. J'ai tellement besoin de lui, qu'il me prenne dans ses bras et me rassure, qu'il m'emmène dans sa forêt, loin de tous les tracas et que je m'y cache pour échapper à cette société, à mes parents...

— J'arrive, je suis presque en bas.

Quelques minutes plus tard, il sonne à la porte d'entrée et je me relève péniblement pour accueillir mon copain chez moi. Une fois arrivé, il ne prend pas le temps de se déchausser ou d'enlever son manteau et me fonce dessus, me serrant fort contre lui d'un bras pendant que d'une main il caresse mes cheveux et m'embrasse le front plusieurs fois, enfuissant mon visage dans son cou, tout contre ses glandes exocrines.

Ses phéromones trahissent son stress de me voir aussi malheureux, mais il tente tant bien que mal de les couvrir avec une odeur faite pour me rassurer. Et ça fonctionne, mes sanglots se tarissent et je le serre moi aussi tout contre moi. Cette étreinte est tout ce qu'il me fallait en cet instant précis.

Quand mes larmes s'arrêtent, Namjoon me demande tout bas :

— Tu veux en parler ?

— O... oui.

— Viens, on va s'asseoir sur le lit.

Il m'entraîne par la main après avoir enlevé ses chaussures et son manteau et passe son bras autour de mes épaules, attrappant une boîte de mouchoir au passage qu'il garde sur ses cuisses, au cas où.

— Vas-y, explique-moi ce qu'il s'est passé.

Je résume la situation en quelques phrases. Mes parents, le marieur, l'argent qu'ils ne vont plus me verser, mes calculs pour réussir à vivre tous les mois avec 400.000 wons en moins.

Namjoon a la mâchoire contractée, les yeux noirs.

— Ca ne peut plus durer. Il faut que tu me présentes à tes parents.

— Mais tu ne comprends pas, à ce stade, si on fait ça il vont presque exiger que tu me demandes en mariage ! Le but de la manoeuvre, ce n'est pas juste que j'aie un petit ami, c'est que je sois marié !

— Et bien, qu'ils l'exigent.

— Mais, Nam...

— Peut-être qu'on arrivera à les calmer en leur montrant que tu es déjà en couple.

— Non, non... je ne veux pas te mêler à ça.

Nam ne répond pas, plongé dans ses pensées.

— Ok. Si c'est ton choix.

Il a l'air blessé de ma réaction.

— Tu... tu es fâché ?

— Un peu.. pas vraiment. Je comprends ce que tu veux dire, on est pas ensemble depuis très longtemps et malgré ce que je ressens pour toi, et que j'espère être réciproque, je comprends que tu n'aies pas envie que tes parents nous causent mariage après seulement quelques semaines... même si les rencontrer ne me dérangerait pas du tout... pour officialiser auprès d'eux...

— Je suis désolé...

Tête baissée, je sens mes yeux se remplir de nouvelles larmes. Namjoon s'est relevé en parlant et, sentant ma détresse lui parvenir, s'accroupi devant moi, posant ses mains sur mes genoux pour attirer mon attention.

— Hey...

— Je suis vraiment désolé. Je veux pas que tu penses que je ne t'aime pas assez que pour te présenter à eux, c'est juste que... j'ai pas envie qu'ils nous mettent une pression de malade et que tu me quittes parce qu'ils sont trop envahissants.

— Je sais... viens là.

Passant ses bras autour de ma taille il m'attire tout contre lui, mon menton posé sur son épaule et les jambes enlaçant ses hanches, alors qu'il s'assied en tailleur à même la moquette.

— Calme-toi. On va trouver une solution. Tu veux que je commande à manger ?

— Je n'aurais pas assez d'argent pour payer ma part, Nam.

— Qui a parlé de payer ? Je te demande juste si tu veux que je nous commande à manger. Tu n'as pas dîné et il est tard, tu dois avoir super faim.

En réponse à cette affirmation, mon ventre gargouille de la manière la moins sexy qui existe sur cette planète. Namjoon laisse échapper un rire avant de saisir son téléphone d'une main tandis que de l'autre il me garde contre lui.

Je l'entends tapoter sur l'écran plusieurs fois avant qu'une notification lui arrive et qu'il jette le téléphone sur le lit derrière moi.

— Voilà, ça arrive dans vingt minutes.

— T'as commandé quoi ?

— Du poulet frit, de la sauce, du kimchi et du riz.

— Merci.

Je salive déjà, rien de tel que de la friture pour noyer le chagrin et les frustrations.

Couchés face à face dans mon lit, Namjoon me parle de la préparation du match d'ouverture de la saison de basket qui doit avoir lieu ce week-end. Je l'écoute d'une oreille distraite mais il ne s'en formalise pas, bien conscient que mes pensées sombres m'accaparrent presque entièrement l'esprit.

— Tu as reçu une réponse de ton prof pour ton sujet de TFE ?

— Oui... Il m'a fourni une liste de livres jeunesse à analyser en premier lieu, comme si j'étais pas capable de les trouver par moi-même. Je me demande s'il a pas envie de me tenir la main pendant que j'écris, tant qu'à faire.

— Je serais pas du tout d'accord avec ça.

J'éclate de rire à cette répartie associée à l'air soudain grincheux de mon copain.

— Je suis content de te faire rire un peu.

— C'était très drôle, je m'y attendais pas du tout. Je réponds en essuyant mes larmes (de rire, pour une fois).

— Bon, c'est pas tout ça mais je suis crevé, on dort ?

— Yes. Bonne nuit.

— Bonne nuit, fais de beaux rêves.

— Tant que je croise pas ce marieur dedans, ça devrait le faire.

— Et si c'est moi que tu croises ?

— Oh... alors là...

Je me mordille la lèvre en le regardant par-dessous mes cils en rougissant légèrement.

— Oooooh, ne me regardez pas comme ça, jeune homme à moins que vous cherchiez les ennuis...

— Je cherche rien du tout, je jure.

— Mouais...

Il me dépose un bisou sur le bout du nez avant de laisser tomber sa tête sur son oreiller d'un air dramatique avant de faire semblant de ronfler très fort.

— Si tu t'appliques encore un peu, tu pourras presque arriver au même volume sonore que quand tu dors vraiment.

— QUOI ?!

Ses grands yeux écarquillés me font éclater de rire encore une fois.

— Tu savais pas que tu ronfles en dormant ?

— Mais... si fort que ça ?

— Non, ça va, franchement ça ne m'empêche pas de dormir...

— Ouf, je préfère ça.

— ... pas tout le temps en tout cas.

— Mais arrête! C'est trop la honte ! Un jour tu voudras plus passer la nuit avec moi si ça se trouve !

— Mais si, j'ai trop besoin de tes grands bras de mâle alpha pour me sentir en sécurité dans ce monde de brutes.

— Ah, bon, ça va alors. Aller, on dort maintenant, sérieusement.

— Dormir sérieusement ? Genre avec les sourcils froncés et des lunettes en se tenant le menton tellement on fait des rêves sérieux ?

— T'es sûr que t'as envie de dormir, toi ?

— Bah oui, pourquoi ?

— Comme ça...

Après quelques minutes de discussion, Namjoon éteind la lumière et me rapproche de lui d'un bras pour caresser mes cheveux et m'aider à m'endormir. Je m'enfonce dans la forêt chauffée par les rayons du soleil et dont l'air est saturé de pollen, de papillons et d'un parfum de violette.

★ 

Bon bah voilà...

Ca pouvait pas durer les petits poneys à paillettes et les arc-en-ciel en barbapapa hein.

🦄🧸🌈

Prêt.e.s pour la suite ? 

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