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Chapitre 31 : Pas cet oméga-là


Bonjour à tout.e.s ! Voici la suite, bonne lecture ! 




Des disputes, nous en avons déjà vécu mes parents et moi. Comme toutes les familles. Mais jamais aussi fortes.

Assis dans le bus, le front collé à la vitre, je ne regarde pas mon téléphone que je sens vibrer contre ma cuisse par intermittence. C'est sans doute ma mère qui essaie de m'appeller pour me ramener à la raison.

Je descends un arrêt plus tôt que prévu, histoire de marcher un peu dans le froid pour me calmer et me remettre les idées en place.

Il est encore tôt, normalement j'aurais dû rentrer chez moi dans deux heures. Quelque part je suis heureux d'avoir un peu de temps pour moi à la fin de cette foutue journée de Noël.

Je m'arrête dans une boulangerie exceptionnellement ouverte pour me jeter sur la première chose sucrée qui me passera sous les yeux et ressors de là avec deux tartelettes, une gaufre et une barre de chocolat. Tout sauf de la bûche, je ne peux plus les voir en peinture celles-là !

Arrivé chez moi, je me déchausse avec les pieds, sans prendre la peine de délacer mes chaussures et laisse mon sac par terre avant de me débarrasser de mon manteau.

Du thé, il me faut une tasse de thé. Et une douche pour me défaire de l'odeur de renfermé que mes habits ont pris chez ma tante ainsi que de cette affreuse odeur de colère qui me colle à la peau.

Sous l'eau chaude j'utilise le gel douche parfumé que Jungkook a laissé chez moi il y a quelques semaines, histoire de me remplir les narines avec quelque chose d'agréable.

J'enfile un pyjama en pilou, me sèche les cheveux et constate que j'ai gardé les boucles d'oreilles que ma mère m'a demandé de porter aujourd'hui. D'un geste rageur je les arrache presque et les jette sur le bord du lavabo.

Le reste de l'après-midi passe entre overdose de sucre, thé chaud et dramas qui me vident la tête.

C'est seulement après le cinquième épisode que je cherche mon téléphone pour consulter mes notifications.

Trois appels manqués de "Maman"... Je m'en doutais.

Mais j'ai aussi deux appels de Namjoon et un message.


De : NamJ94 :

Coucou Minie ! J'espère que ta journée se passe bien ! Ici on va seulement passer au goûter. Tu me manques terriblement. On peut s'appeler ? 🥰


Je regarde l'écran avec les sourcisl froncés.

J'en ai marre de tout. Marre d'être un oméga, marre de n'avoir aucune chance de m'élever dans cette société. Tout cela me revient dans la figure après plusieurs semaines de pur bonheur aux côtés de Namjoon. J'avais presque oublié quelle était la place qu'on s'attendait à ce que je garde... Et ses petits surnoms mignons comme "Minie" ne font que me rappeler qu'en fait c'est tout ce que je suis... Une petite créature fragile et faible dont quelqu'un doit prendre soin, sinon elle sera perdue et à la merci des prédateurs qui rôdent dans l'ombre.

Il ne vaut mieux pas que je réponde maintenant, j'ai peur d'être désagréable avec lui alors qu'il ne le mérite pas du tout... Il a toujours été respectueux et gentil avec moi.

Au milieu de l'épisode suivant, mon téléphone vibre à nouveau. Namjoon.

Après quelques secondes je décide de décrocher, en soufflant pour me détendre.

— Coucou ! Ca va ?

— Salut, ca va.

— Ouch. Ca n'a pas l'air pourtant.

Reprends-toi, Jimin.

— Si, si, je suis juste crevé de cette journée.

— A qui le dis-tu ! Moi aussi je suis mort ! Et là, tu sais ce qui me ferait plaisir ?

— Non ?

— C'est d'être près de toi. Tu es déjà rentré au studio ?

— Euh...

— En fait... Je suis en bas. Mes parents m'ont déposé au campus et en passant en voiture j'ai vu de la lumière chez toi... Du coup... Si je ne te dérange pas, bien sûr... Bah je suis là. La porte de l'immeuble est fermée à clé donc je suis dehors.

Ok. Moi qui voulais profiter de cette soirée pour me calmer correctement, c'est foutu. je ne me vois pas remballer Namjoon maintenant alors qu'il est en bas de chez moi et qu'à nouveau il n'est absolument pas responsable de ce qu'il s'est passé cette après-midi, ni de toute cette foutue société à la con alphacentrée.

— Tu peux sonner, comme ça je pourrais t'ouvrir à l'interphone directement.

— Super ! A tout de suite !

Dans la seconde, la sonnette retenti dans tout l'appartement et j'appuie sur le bouton marqué d'une petite clé pour laisser entrer mon copain.

Je déverrouille la porte d'entrée et attend qu'il toque pour l'ouvrir et le laisser entrer.

— Hello ! Je suis si content de te voir !

Il m'encercle de ses bras et me presse contre son coeur. Dès l'instant où son odeur me parvient, je me détends instantanément. Voilà ce que je devrais faire pour quand je suis stressé ou énervé : me balader partout avec un tissu imbibé de lui.

Je passe mes mains autour de sa taille et le serre fort, aussi fort que je le peux. Il s'écarte un peu pour me regarder d'un air interrogateur:

— Tout va bien ?

— Oui ça va...

— Tes phéromones disent le contraire. Il s'est passé quelque chose chez tes parents ?

— Laisse tomber, c'est rien.

— Non, Jimin, ce n'est pas rien. Ton appartement sent la rancoeur et la tristesse et je suis là aussi pour t'écouter quand ça ne va pas, alors parle-moi.

— Ca va, je te dis...

— Mais tu...

— Mais c'est pas vrai ! Pourquoi tu veux absolument savoir ?!

— Parce... parce que je t'aime, Petite Fleur.

— Mais arrête avec tes surnoms à la con ! Je suis pas une fleur, j'ai jamais voulu en être une, ok ? Toi aussi tu vas essayer de m'enfermer dans la case de l'oméga bien gentil, discret et obéissant ?! J'en ai marre de vous tous !

J'essaie de me dégager mais Namjoon resserre sa prise sur moi, l'air peiné mais déterminé.

— Nam, lâche—moi. Tu peux rentrer chez toi, je ne vais que te rendre triste.

— Hors de question. Encore moins maintenant.

— Pourquoi tu insistes comme ça ?

— Je te l'ai dit: Je t'aime et je compte bien partager avec toi les moments sympas et les moments merdiques. Alors on va aller s'asseoir et tu vas m'expliquer ce qui a mis mon copain dans cet état-là.

Il me lâche et prend ma main dans la sienne pour m'entraîner dans la pièce principale, m'asseyant sur le lit. Lui s'assied en tailleur par terre devant moi, les mains sur mes genoux et le regard doux. Malgré ce que je viens de lui asséner en plein visage, il n'est pas parti. Son odeur s'est faite plus douce, plus rassurante. Une envie de me protéger transparaît dans toute son attitude et j'en suis tellement touché que je ne peux plus retenir mes larmes qui coulent doucement de mes yeux pour s'écraser sur mon pyjama.

— Jimin...

Il presse mes genoux de ses doigts, pour me montrer qu'il est là pour moi.

— C'est ma famille, toute cette pression... Cette société, les omégas... J'en peux plus, Nam. J'en ai assez qu'on essaie de me forcer à rentrer dans une boîte qui n'est pas faite pour moi.

Je lui raconte tout depuis le début : ma relation devenue tendue avec mes parents, moi qui ne répond presque pas aux remarques et insinuations de mes géniteurs et du reste de ma famille pour ne pas faire de vagues depuis des années, la frustration et la colère qui se sont accumulées, les attentes qui pèsent sur moi... La peur de tomber amoureux, pour que finalement ça arrive avec lui, le stress de ne pas oser parler de notre relation avec ma mère et mon père parce que je ne veux justement pas qu'ils nous mettent encore plus de pression en s'imaginant une relation "stable et sérieuse" qui pourrait déboucher sur un mariage avec moi en oméga au foyer dévoué et lui en alpha dominant qui ramène les sous à la maison pour m'entretenir...

Je parle de cette journée, des remarques, de la dispute qui a suivi et de cette rage qui m'habite à nouveau rien qu'en lisant ses gentils messages et ses petits noms d'amoureux. Je finis en m'excusant d'être aussi moi, aussi peu docile.

Namjoon s'est installé sur le lit pendant mon monologue, me serrant d'abord dans ses bras pour ensuite s'appuyer sur les oreillers et me positionner à califourchon sur lui, m'attirant pour me serrer fort contre son coeur. De longues minutes passent, je frotte mon nez contre son cou, m'enivrant de son odeur bienfaisante. Le calme revient tout doucement en moi. Finalement, en parler avec quelqu'un était ce qu'il me fallait.

Namjoon prend la parole après avoir digéré toutes ces informations :

— Jimin, je ne pourrais jamais comprendre totalement ce que ça fait d'être un oméga, puisque je n'en suis pas un. Par contre, je peux te promettre de tout faire pour déconstruire ce qui m'a été inculqué depuis mon enfance et t'apporter tout le soutien dont tu as besoin. Tu n'as pas besoin de prétendre avec moi. Si tu n'as pas envie d'agir d'une certaine manière, je ne te forcerais pas. Je t'aime comme tu es, depuis le tout début. C'est justement ce qui m'a plu chez toi, tu ne te laissais pas faire, tu étais farouche et fier. Et c'est toujours ce que j'aime chez toi. Tu es intéressant, intelligent et drôle. Si tes parents te mettent la pression, retient simplement que moi je ne te la mettrait jamais.

J'expire un grand coup. C'est tout ce que j'avais besoin d'entendre dans cette situation. Et c'est un alpha qui m'a dit tout cela. Les larmes coulent à nouveau et en me redressant pour faire face à Namjoon, je vois que lui aussi a les yeux humides.

— Oh non ! S'il-te-plaît, ne pleure pas ! Je m'écrie.

— J'y peux rien, te voir et te sentir si triste, ça remue quelque chose en moi et ça vient tout seul. Pardon.

— Ne t'excuse pas, c'est moi qui ait été infect avec toi.

— Est-ce que je peux toujours t'appeller "Minie" parfois ?

Sa question me frappe en plein coeur. C'est vrai que dans le feu de la situation je n'ai pas réfléchis à ce que je lui disais et je lui ai reproché les petits noms qu'il me donne... Alors que j'adore ça. Mais sur le moment cela me semblait la personnification de cette attente envers les omégas d'être doux et gentils. Alors j'ai assimilié Namjoon, l'alpha le moins alpha dans son comportement que je connaisse à tous ces problèmes et cette pression...

— Oui ! Oui, tu peux continuer. Je m'excuse, j'étais trop en colère, mes mots ont dépassé ma pensée.

— J'ai compris pourquoi tu m'as dit cela. Mais comme je te le disais, je ne t'appelle pas comme cela pour te réduire à un rôle ou à quelque chose que tu ne veux pas être. Si tu veux que je trouve autre chose qui te corresponde mieux, parce que j'aime bien te donner un surnom, je peux chercher.

— Non, "Jiminie", "Minie" ou "Petite Fleur" c'est parfait.

Je lève un doigt:

— De un, parce que je suis petit.

Et poursuit en levant un deuxième doigt:

— De deux parce que je sens la violette. Donc c'est tout à fait approprié.

Namjoon rit et me serre à nouveau contre lui.

— Merci. Je t'avoue que je n'ai pas beaucoup d'imagination pour ça alors j'avais peur de devoir me mettre en quête d'un nouveau surnom.

— Mais moi je n'en ai pas pour toi.. Ca ne te dérange pas ?

— Non, pas du tout. Le jour où tu en trouveras un qui te plaît, je le prendrai avec plaisir. En attendant, "Nam" ou "Hyung", c'est très bien.

— Merci.

Nous restons encore un moment dans les bras l'un de l'autre.

— Est-ce que tu veux dormir ici ?

Oh, oui. Pourquoi pas ? Mais je dois rentrer à l'internat prendre des affaires de rechange, je suis venu en quatrième vitesse et je n'ai même pas défait mon sac dans ma chambre. Tu viens avec moi ?

— Mais je suis déjà en pyjama... Je réponds avec une petite moue.

— Oh c'est dommage... Je vais devoir me défendre tout seul contre les mille dangers qui m'attendent dans la nuit noire jusqu'à ma chambre que je voulais te montrer...

— C'est vraiment obligé que tu retournes chercher des affaires ?

— Ma mère m'a donné un plat à mettre au frigo et j'ai oublié de le ranger, alors je préfèrerais, oui...

— Bon d'accord.

Je me relève du lit pour passer un jean dans la salle de bain. Malgré ce que nous avons déjà partagés avec Namjoon, je ne me sens pas encore assez à l'aise pour me changer sous ses yeux.

Quelques minutes plus tard nous avancons main dans la main sur le trottoir, dans le froid de cette nuit de Noël.

Je ne suis jamais entré dans les bâtiments qui servent d'internat aux étudiants de l'université.

Celui dans lequel nous pénétrons est haut de cinq étages. Nous prenons l'ascenseur jusqu'au dernier et Namjoon se dirige vers le fond du couloir.

— Les plus petites chambres sont aux trois premiers étages. Les autres sont plus grandes. Mes parents me paient le loyer, donc ils ont choisi pour moi...

C'est vrai que la famille Kim est assez riche dans cette ville. Je l'oublie parfois, tant Namjoon ne fait pas étalage de son argent.

Nous avançons jusqu'au milieu du couloir et Namjoon ouvre la porte avec le même pass qu'il a utilisé pour la porte de l'immeuble.

Il allume la lumière avant de me laisser la place pour me faire entrer en premier.

La pièce est grande. Plus spacieuse que mon studio entier. Le mobilier est simple et moderne, dans un style scandinave. Un tapis vert occupe une grande partie de la pièce. Un bureau est placé face à la grande fenêtre, alors qu'une bibliothèque bien rangée occupe l'espace sur la droite. Le lit fait plus ou moins la même taille que le mien et en face, à l'autre bout de la pièce, se trouve une porte qui donne sur une petite salle d'eau, étroite mais fonctionnelle.

Un mini frigo occupe une partie de la penderie. Namjoon y range le fameux plat pour lequel nous sommes sortis dans le froid.

J'avise un grand sac de sport au pied du lit, que Namjoon vide en posant ses vêtements en une pile sur une des étagères de son dressing. Je m'assieds sur le lit, les pieds dans le vide. Il est plus haut que le mien. Je laisse mon regard survoler cette pièce. Ce doit être très agréable de travailler et d'étudier face à cette grande fenêtre qui donne sur le parc de l'université et en partie sur le terrain de basket en contre-bas.

Plusieurs affiches d'expositions d'art contemporain sont collées au mur par des petits bouts de papier collant coloré. Au-dessus de la tête du lit, j'avise un objet que je ne m'attendais pas à trouver là : un noeud en paille tressée.

Je me décalle un peu pour m'approcher et le toucher du bout des doigts.

— C'est une sorte de porte-bonheur. J'ai trouvé ça en vacances sur Jeju. C'était un vieux monsieur qui vendait ça sur le pas de sa porte. C'est joli, non ? Il les faisait à la main. Ca aide pour les cauchemars ou un truc du genre, mais je ne me souviens pas exactement.

— C'est marrant que tu aies un noeud comme celui-là au-dessus de ton lit. J'ai un ami qui en fait aussi.

— Un ami ?

— Oui, lui aussi est un peu âgé et il a vécu une partie de sa vie à la campagne. Il appelle ça la "Magie des campagnes" et il m'en a déjà donné un pour réussir mes examens.

— Et ca a marché ?

— Je ne sais pas si ça a joué plus que mes heures d'étude, mais en tout cas il était heureux de le faire pour moi, sa femme est assez... terre à terre et elle n'aime pas trop qu'il parle de ces "sornettes".

Je ris à la pensée du couple d'omégas. Il faudra que je prenne de leurs nouvelles un de ces jours.

— Tu crois qu'il m'en ferait un pour réussir tous mes matches de basket de la saison et remporter le tournoi avant que je quitte l'université ? Demande Namjoon, tout sourire.

— Je peux toujours lui demander ! Je réponds en riant.

Namjoon vient s'asseoir à côté de moi sur le lit et me regarde tendrement.

— En fait, si j'ai tant insisté pour qu'on revienne ici, c'est aussi parce que j'ai un petit cadeau pour toi.

— Quoi ?! Mais Nam, je n'ai rien à t'offrir moi !

— Je n'ai besoin de rien de plus que ce que tu m'offres déjà et je tenais vraiment à t'offrir ceci.

Il sort un petit paquet rectangulaire de derrière son dos et me le dépose sur les genoux. Je le regarde faire, surpris et gêné de ne pas avoir pensé à lui acheter quoique ce soit pour Noël.

T'es vraiment nul, Jimin ! C'est la base d'offrir un cadeau à son copain aux fêtes et aux anniversaires !

— Mais je... Je me sens vraiment bête maintenant !

— Chuuut, c'est rien je te dis. Ouvre-le.

Délicatement, je soulève le paquet. Ce doit être un livre.

Je déchire doucement le papier à l'une des extrémité et tire sur l'objet pour le faire glisser hors de l'emballage.

C'est bien un livre... Ou plus précisément, un manuel.

"L'anglais pour les débutants, niveau 1."

Je lis et relis le titre pendant quelques secondes avec de grands yeux.

— C'est pas grand chose, mais j'ai trouvé que c'était... je sais pas... symbolique ? C'est comme ça qu'on s'est rencontré. Je sais qu'au début j'ai été maladroit... Et tu m'a dit que tu allais apprendre l'anglais d'une manière ou d'une autre alors quand je l'ai vu à la librairie, j'ai pensé...

— ...

— Jimin ?

— Namjoon...

— Tu n'aimes pas ? Je suis désolé, je peux chercher le ticket et aller l'échanger si ça ne te plaît pas...

Je pose ma main sur la sienne et plonge mon regard dans le sien.

— C'est parfait. Merci. C'est... tout un symbole, comme tu dis.

Nos visages se rapprochent doucement et nos lèvres se lient pour un baiser plein de tendresse.

Namjoon ne se rend peut-être pas compte, mais en m'offrant ce manuel pour apprendre l'anglais par moi-même, il envoie un message fort.

Ces quelques pages reliées me prouvent qu'il m'acceptera comme je suis, avec mon envie d'apprendre, même des matières qu'on ne considère pas communément comme adaptées aux omégas, mais qu'en plus il croit en moi, en ma capacité d'apprendre seul une nouvelle langue. Et le fait qu'il se souvienne de cet épisode de notre relation alors qu'elle était encore inexistante est tellement romantique...

— Il y a un code QR dedans et un site internet avec des exercices de grammaire et de prononciation. Se sent-il obligé de m'expliquer quand nous reprenons notre souffle.

Je plonge avec plus de fougue et demande l'accès à sa bouche en caressant ses lèvres de ma langue. Il accepte cette invitation à plus dans la seconde et passe ses bras autour de mes épaules pour me rapprocher encore de lui.

Finalement, je suis plus qu'heureux d'être rentré tôt, que Namjoon soit venu me retrouver chez moi un jour plus tôt que prévu et que nous passions cette soirée (et cette nuit) ensemble.

Sur le chemin pour rentrer chez moi, je ne peux m'empêcher de l'admirer, mon alpha, si grand et fort avec un visage doux et serein, son sourire et ses fossettes qui creusent ses joues alors qu'il balance légèrement nos deux mains jointes.

La lumière des guirlandes et des réverbères illuminent son regard et en cet instant il me semble tout simplement parfait. 


Je sais pas vous, mais Indigo rythme toutes mes journées en ce moment.

A la semaine prochaine ! Prenez soin de vous ! 

I 💜 U

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