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Chapter Sixty-Four

MISE AU POINT

-> Je voulais juste vous parler de quelque chose. Certaines lectrices prennent beaucoup de temps à me faire remarquer chacune petite faute que je peux faire et je ne vous cacherai pas que ça m'agace. J'écris parfois très tard le soir pour pouvoir être sûre que vous vous lèverez avec un nouveau chapitre et je suis parfois, comme en ce moment, très fatiguée, alors excusez moi de ne pas toujours me corriger. Je ne vous demande pas de ne plus commentez mais faites attention et posez vous la question avant de me corriger sur quelque chose, est-ce que ça va l'agacer? La déranger?

J'apprécierais, merci xx

"All I need is a little love in my life
All I need is a little love in the dark
A little but I'm hoping it might kick start
Me and my broken heart
I need a little loving tonight
Hold me so I'm not falling apart
A little but I'm hoping it might kick start
Me and my broken heart" ♥

Harry's Point Of View

Il faisait froid, la pièce était froide, d'un froid intense et paralysant. C'était pénible et complètement inapproprié pour une température intérieure au mois de novembre. Je ne devais cependant par écarter la possibilité que je ne sois même pas à l'intérieur puisque je n'avais aucune, mais vraiment aucune, idée de où ce que je me trouvais.

L'idée d'ouvrir mes yeux à ce moment m'effrayais et je vous assure que je dus me convaincre moi-même avant que mes paupières ne s'ouvrent. Mes yeux papillonnèrent aussitôt, éblouis, et quand je réussi à y voir plus clair, mon trouble n'en fut que plus grand.

Des murs de briques rouges m'entouraient ainsi que plusieurs tables illuminées d'une ou deux lampes au plafond, je ne serais dire le nombre exact. Le seul bruit perspective était le doux ronronnement d'un air-climatisé et cette idée était vraiment folle. Qui voudrait d'encore plus d'air froid alors qu'il y en avait à la tonne à l'extérieur?

Je me lève doucement, courbaturé, puis frotte mes yeux de mon poing, voyant toujours tout d'une nuance brouillée et vague. Je m'appuie difficilement sur chaque chose que je croisais et quand je sors enfin de la pièce, j'en découvre une autre.

Un salon de tatouage. Fuck. Qu'est-ce que je faisais dans un salon de tatouage franchement?

-Enfin réveillé?

Je sursaute et me retourne pour apercevoir un homme aux aspects maussades et de forte carrure. À en déduire par tous les tatouages qu'il possédait, il était assurément le tatoueur. C'était franchement inévitable et tout ça sonnait comme un film pourri.

Le gars qui se réveille dans un salon de tatouage suite à une nuit arrosée, quoi de plus cliché?

-Humm ouais? Hésitait-je, nauséeux. Où je suis?

-C'est pas assez évident?

Ses yeux roulèrent sarcastiquement et il retourna vaguer à ses occupations. Ma mâchoire devint aussitôt profondément serrée par l'agacement et je m'écroule sur un tabouret en face de lui, les bras croisé sur ma poitrine.

-Je suis sérieux euh..

-Steve.

J'hausse un sourcil, surpris, puis réprime un soupir de découragement. Son prénom m'importait peu, franchement.

-Steve, qu'est-ce que je fou ici?

Il soupira et pointa un stylo dans ma direction.

-Tu es arrivé hier, m'a offert beaucoup d'argent, et je t'ai tatoué, fin de l'histoire.

Je le regarde, stupéfait, puis enlève rapidement mon sweat-shirt, à la recherche d'un tatouage quelconque. J'entendis Steve soupirer et quand je lève les yeux vers lui, furieux, il pointa son épaule et me tendit un miroir qu'il venait d'enlever d'en dessous du comptoir.

Pas sur mon épaule, non, sérieusement...

Je lève le miroir, la main tremblante, et fixe pendant un moment la pellicule de plastique bandant mon épaule droite. Fuck. Une partie de moi voudrais savoir ce qui est encré à mon corps à jamais mais une autre partie, non, effrayée par toutes les possibilités qui existent.

Je frémis à l'idée de tous les horribles tatouages que j'avais pu voir dans ma vie puis replace mon sweat-shirt, indécis.

-J'aurais peut-être pas dus te tatouer? Hésita Steve, derrière moi.

Je sentis chaque muscle de mon corps se contracter et la colère éclater en moi. Il était pas vraiment sérieux?

-Vraiment? Parce que c'était pas assez évident que j'étais complètement saoul?!

Il soupira puis posa son regard quelques secondes sur moi avant de se concentrer de nouveau sur son dessin. Je vais le tuer.

Liam's Point Of View

Ma craie produisait un bruit répétitif et ennuyant quand elle s'écrasait sur le tableau vert, un bruit auquel j'aurai très bien pus me passer aujourd'hui. L'envie d'enseigner n'était tout simplement pas là, aujourd'hui, tout simplement absente.

J'aurais donner n'importe quoi pour être n'importe où sauf ici, face à des personnes qui en attendait beaucoup de moi alors que je n'en attendais même pas de moi-même. Le fait était simple, comment motiver des élèves à persévérer alors que nous manquions nous-même de persévérance?

Voilà la vie dure d'un enseignant.

-Je compte bien recevoir vos rédactions à la fin de la semaine, ne l'oubliez pas, rappelai-je à mes étudiants alors que la cloche venait de sonner.

Un soupir collectif les pris et je ne pus, cette fois, retenir le petit élan de joie qui semblait vouloir ressortir de mon intérieur.

-Pas de soupirs, je vous parle de cette rédaction depuis un mois déjà!

Comme si ma remarque allait franchement changer quelque chose dans leur attitude. Ils n'allaient, pour la moitié, sûrement pas la faire et j'allais devoir mettre des sanctions même si je détestais le faire. La plupart du temps, je laissais couler et je donnais une seconde chance aux retardataires et c'était ce qui m'avais valut la réputation d'un "prof cool" comme ils aiment le dire.

Je n'étais pas pour me plaindre puisqu'avoir une bonne relation avec les adolescents était justement la clé d'un succès ici. J'étais toujours autant étonné quand mes élèves en venaient à se confier à moi mais le sentiment était si.. Gratifiant, que je m'en plaindrai jamais.

Il y avait même eu cette passe où personne ne me prenait au sérieux à cause de mon passé dans le monde du chant et ça m'avais vraiment déstabilisé. Pour chance, ça c'était calmé avec le temps.

-Bonne soirée monsieur Payne, éclata la voix d'une de mes élèves au moment où j'effaçais les dernières choses notées au tableau.

Je sursaute puis croise le regard d'Olivia, une élève particulièrement collante. Je la soupçonnais de voir en moi beaucoup plus qu'un enseignant mais comment la blâmer? Je n'avais que quelques années de plus qu'eux.

Habituellement, j'aimais qu'on me traite familièrement mais avec Olivia.. J'aurai préféré avoir l'air d'un petit vieux avec sa canne comme monsieur Banson, l'enseignant de chimie un peu disjoncté.

-Bonne soirée mademoiselle Stradford.

Elle hocha la tête, puis me regarda de haut en bas, me rendant complètement mal à l'aise. Je laissais pourtant paraître aucune émotion sur mon visage et j'essayais de rester le plus neutre possible, tâche difficile quand l'une de vos élèves est carrément en train de vous draguer.

Et le fait qu'il n'y ait que nous deux dans la classe amplifiait considérablement mon malaise.

-Est-ce que je peux vous poser une question?

-À propos de la rédaction? Marmonnai-je précipitamment, souhaitant à tout prix que ça soit ça.

La déception fut vraiment frappante à l'intérieur de ses yeux et je me sentis aussitôt mal. Je me disais ouvert alors pourquoi ne pouvais-je l'être à ce moment?

-Non.. En fait je voulais vous demander, pourquoi vous avez arrêtez One Direction? Me demanda-t-elle et à son ton de voix précipité, je sus qu'elle n'avait pas oser me poser sa vraie question.

Je sentis mon sourire pâlir. Je n'avais pas envie de parler de ça, pas du tout. Mais c'était une question et elle m'était adressée.

-Humm parce que nos intérêts différaient.

Cette réponse était d'ailleurs la même que je donnais à tout le monde qua'nd on me le demandais. Toujours la même.

-Oh.. Humm.. Merci monsieur.

J'hoche la tête et elle partit en jouant avec la sangle de son sac. Aussitôt qu'elle ne fut plus en mesure de me voir, je me remets à respirer plus convenablement et je pus m'empêcher de secouer la tête de gauche à droite.

Il faut croire que j'étais encore beau et ce, même pour les filles qui ne sont pas dans la même tranche d'âge que moi.

J'étais en train de desserrer le nœud de ma cravate quand j'entendis la porte de ma classe de littérature s'ouvrir. Je lève les yeux et sourit à la vue de Paige, toute mignonne dans sa robe et ses collants noirs. Un accoutrement visiblement trop sexy pour des adolescents de seize-dix-sept ans.

-Jolis collants, commentai-je et elle rougis tout en prenant place sur le bureau où j'étais assis à faire de la paperasse.

-Que fais-tu? Me questionna-t-elle et je lâche mon crayon pour mettre mes mains à plat sur ses cuisses.

-J'essaie de travailler mais une certaine distraction m'en empêche..

Elle rigola et je lève mon regard vers elle. J'aimais tout chez elle même si au début elle n'était là que pour me faire oublier Ezra. Je l'avoue encore aujourd'hui et avec regret puisqu'aujourd'hui, je l'aime comme un dingue et nous sommes fiancés depuis maintenant trois mois.

J'aimais ses yeux couleur olivâtre, ses cheveux blonds raides comme des épis de maïs, sa peau claire et particulièrement ses mille et une tâches de rousseurs qui étaient d'ailleurs moins proéminentes depuis que je soleil d'été était bel et bien disparu.

Tout chez elle me rendais complètement fou et fou, je l'étais complètement.

-Alors monsieur le professeur, puis-je prendre un peu de votre temps? Souffla-t-elle en attrapant le bout lousse de ma cravate.

-Peut-être bien, grognai-je.

Elle s'esclaffa, rejetant sa tête vers l'arrière. Elle était magnifique..

*.*.*.*

Ezra's Point Of View

Quand mes yeux s'ouvrirent le lendemain matin, mes joues étaient collantes et ma peau fiévreuse, pourvue d'une chaleur étouffante. Cette situation me rappelais quand mon père me criait dessus tard la nuit et se défoulait sur moi.. C'était toujours de cette manière que je me réveillais, légèrement pâteuse. La seule chose manquant étant les courbatures.

Je me lève pour faire notre lit seulement occupé par moi puis remarque que j'avais enfiler un chandail à Zayn pour dormir sans vraiment m'en rendre compte. L'habitude, j'imagine... Même si ça avait été inconsciemment, l'idée d'avoir dormi avec son t-shirt me retournais l'estomac.

Je ne voulais pas penser à lui, ni lui parler.

Je m'habille rapidement puis quand j'arrive en bas, je remarque avec surprise que la maison est complètement vide. La panique m'envahis doucement et je m'empresse d'appeler Zayn, son numéro étant dans mes favoris et donc facile d'accès. Je répète l'action une dizaine de fois avant de me résigner au son de sa voix sur le répondeur. Il n'avait quand même pas oser emmener nos enfants loin de moi et sans m'avoir avertie?!

Brisé, j'avais le cœur brisé. Je n'arrivais juste pas à croire qu'il avait pus me faire ça, mon mari, mon Zayn.. J'éclate durement en sanglot, mais qu'est-ce qui n'allait pas avec Zayn depuis hier? Avais-je fais quelque chose de mal?

Je pousse un long soupir emplis de sanglots et m'écroule au sol, ma tête logée entre mes mains. Je sentais tout doucement ma vie partir en vrille...

*.*.*.*

Zayn's Point Of View

-Où on va papa? Me questionna pour la centième fois ma fille et pour la centième fois, je lui répondis par un grognement visé à la faire taire.

Elle ne fit que me regarder une fois de plus, orgueilleuse, et je soupire. Bon sang, ces enfants étaient beaucoup trop accrochés à leur mère. ,avais beau être leur père, jamais ça n'allait remplacer la présence d'Ezra. Je devrais peut-être songé à me faire à l'idée que je n'avais pas été aussi présent qu'elle dans leurs vies.

C'était douloureux de l'avouer mais tellement vrai quand on y pensait réellement. Au début, je n'ai pas été là, ni pour eux, ni pour Ezra, elle qui n'attendait pourtant que ça, de l'aide. J'avais finis par le comprendre mais visiblement trop tard. Elle était leur parent ressource et je ne le saurai sans doutes jamais.

Une boule se longea dans mon estomac alors que j'essayais à nouveau de me concentrer sur la route vers Bradford, cette place que j'haïssais depuis que j'avais rencontré Ezra. Je ne trouvais plus aucun réconfort dans ma ville natale et c'était foutrement triste à dire..

-Moi je sais, grogna Aidan, appuyé dans le fond de son siège auto. On va chez mamie.

Je soupire face à l'intelligence de mon fils puis lui lance un regard sérieux à travers le recto-viseur.

-Vous allez être gentils avec elle, compris? Aidan?

Il me lança un regard noir puis croisa ses bras sur son minuscule torse, boudeur.

-Je vas l'être si tu me dis pourquoi tu réponds pas à maman.

Et merde.

-De quoi parles-tu? Grognai-je, tendu.

-Je sais qu'elle arrête pas d'appeler et que tu lui réponds pas. Pourquoi?

Je n'avais aucune envie d'expliquer à mon fils de quatre ans comment j'avais pus tromper sa mère lors d'une soirée comme un gros porc dégueulasse. Aucune. Perdre la fierté de son fils était vraiment une chose horrible pour un homme, je vous le garantis. C'est purement horrible de ne plus ressentir cette pointe de fierté qu'à votre fils quand il parle de vous à ses amis..

Pour un père, être le model de son fils est important, voire nécessaire.

-Papa et maman ont eu une petite dispute, ça passera.

*.*.*.*

Quand j'arrive chez ma mère, la surprise était peinte à son visage. J'avais peut-être en cours de route oublié de la prévenir mais bon, ma mère est une personne aimante et aimable, la surprise n'était que passive, j'imagine. Elle accepta avec joie de les prendre avec elle et cela me fit vraiment un poids de moins sur les épaules.

Je pouvais cocher ça de ma liste à faire, parler à Ezra étant la prioritaire et celle que je n'arrivais pas à faire, bien évidemment.

Quand je m'éloigne vers ma voiture, je remarque une voiture noire stationnée devant la mienne et plus je m'avançais pour en apercevoir le conducteur, plus un sentiment de doute se logeait en moi. Je crois que j'aurais dus passer mon chemin ou tout simplement lui foncer dedans.

Et merde.

Un frisson de colère couru tout le long de ma colonne vertébrale quand il sortit de son véhicule. Il n'avait pas changé. Absolument pas.

-Salut Zayn.

(COMMENTEZ ET VOTEZ! :$

-> des questions? N'hésitez pas à me les poser xx)

Bon matin / soir mes amours :)

J'espère que ce chapitre était moins décevant que le dernier, je fais de mon possible..

Kisses xx

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