Chào các bạn! Vì nhiều lý do từ nay Truyen2U chính thức đổi tên là Truyen247.Pro. Mong các bạn tiếp tục ủng hộ truy cập tên miền mới này nhé! Mãi yêu... ♥

Chapter Seventy-Five

Quand on y pense, la vie n'est qu'un mirage qui disparaîtra d'un jour à l'autre en capturant chaque souvenir ou mémoire avec lui. La vie n'a rien d'éternel puisque comme les feuilles d'un arbre un jour d'automne, chaque être humain finira par être emporté dans le vent et être oublié.

Nous finirons tous par être oublié.

*.*.*.*

Unknow's Point Of View

"You and I
We don't wanna be like them
We can make it till the end
Nothing can come between
You and I
Not even the Gods above can
Separate the two of us
No nothing can come between
You and I
Oh, you and I"

(À écouter lors du chapitre - You and I ~ One Direction xx)

---

Rouge, la couleur à la fois représentative de la passion qui habitait l'humain et son goût de sang, de violence devrait-on dire. Cette couleur qui pourrait à la fois être représentative d'amour et de souffrance. Mais rien ne semblait alors violent ou représentatif de soif sanguinaire dans le spectacle qui s'offrait à lui et il était loin de ruisseler de passion du même fait.

Sa femme, quelques minutes plus tôt sur ses pieds, reposait dans le creux de ses bras, inconsciente et aussi pâle que la mort à une exception près ; sa robe autrefois claire était, peu à peu, devenue d'une teinte si foncée que la panique l'envahit aussitôt à grandes doses.

Les émotions qui affluaient en lui étaient si intense qu'il ne trouva mieux que d'hurler sa souffrance à pleins poumons dans les rues désertes de Londres.

La peur lui tordait le ventre, créant un nœud en son creux. Il n'était pas qu'apeuré, il était complètement paniqué à l'idée de la perde définitivement après les si nombreuses épreuves qu'ils avaient surmontées tout au long de leur mariage. Il l'a prit alors, pas le moindre du monde surchargé par le poids pourtant imposant de sa femme, et se mît à courir.

Il courait comme si sa vie en dépendait (ce qui était vrai dans un sens) et il devait se donner des airs de dingue mais celui lui était complément égal.

Seule sa femme comptait, seule Ezra semblait exister pour lui sur cette planète pourtant pleine à craquer de personnes. Elles lui paraissaient si peu importantes maintenant qu'Ezra était dans sa vie..

Il dérapa dans un tournant où le béton était gorgé d'eau de pluie et s'arrêta de justesse face à les fars lumineux d'un véhicule qui klaxonna à la vue de Zayn, en plein milieux de la route, Ezra dans ses bras.

-Aidez-moi!

*.*.*.*

Une foule de gens oppressait de part et d'autre son corps frêle et déstabilisé. C'était comme si ses membres inférieurs ne lui appartenait plus. Des questions retentissaient ici et là mais aucune ne retirait vraiment l'attention de Zayn, perdu dans le charabias troublant de ses pensées.

Ses gardes du corps s'affairaient du mieux qu'ils pouvaient pour le protéger mais il ne saurait dire ni combien ils étaient ni s'ils arrivaient à retenir la marée de gens.

Un seul objectif en tête et le reste comptait peu.

-Zayn, ralentit..

Il soupira à l'entente de la voix douce qui se voulait apaisante de Louis, derrière lui, et continua de tracer son chemin vers l'hôpital aux allures lugubres.

10 jours qu'Ezra avait été hospitalisée. 10 jours que son enfant avait été arraché aux entrailles de sa mère par césarienne. 10 jours qu'il ignorait complètement ses amis et les gens qui tentaient de l'aider dans cette passe de sa vie pourtant insurmontable.

Jamais la vie ne lui avait parue aussi peu généreuse et bonne.

Une main encadra durement son épaule et le tira vers l'arrière au moment où il allait franchir les portes ouvertes de l'ascenseur menant à sa femme.

-Merde, Louis! Jura-t-il entre ses dents avant de lancer à celui-ci un regards des plus noirs.

Mais Louis ne faisait que le regarder, impassible et ses yeux bleus reflétant un calme serein des plus troublants.

-Je ne vais pas te cacher que tu commences à m'énerver Zayn. Arrête de nous ignorer, nous sommes tes amis et non pas des foutus étrangers. Ce n'est pas de notre faute si Ezra à été hospitalisée ni de la notre si tu refuses tout contact avec ton enfant dont la vie ne tient que par un fil.

Les paroles de son ami eurent l'effet d'une gifle pour le pauvre Zayn qui s'écroula au sol, la tête entre les mains. Chaque parcelle de son corps était prise de sursauts.

Le fait était que Zayn était détruit de l'intérieur et il se sentait incapable de recoller les parties lui-même ou encore laisser les gens l'aider à le faire.

Parce que rien ni personne ne saurait comment les joindre de nouveau.

*.*.*.*

_Journal de Zayn_

"Chère Ezra, 11 jours que tu n'es pas là. Les médecins disent que le coma dans lequel tu sombres est des plus profonds et que les chances que tu en sortes indemne sont rares mais je ne les crois pas. Tu ne peux pas mourir, tu m'as promis, ne l'oublies pas s'il te plait. Je garde espoir à chaque nuit et a chaque jour et je tente de rester fort pour nos enfants mais.. Je n'y arrive pas, c'est trop dur. Tu ES ma vie Ezra, ne me force pas à le dire au passé"

"Chère Ezra, 17 jours que tu n'es pas là. Je n'ai jamais autant ressentis la tristesse de toute ma vie, peux-tu la ressentir toi aussi? Je me sens si seul et triste sans toi, c'est comme si depuis cette nuit, je ne suis plus un homme à part entière. Reviens moi je t'en supplies..."

"Chère Ezra, 23 jours que tu n'es pas là. Je n'ai pas encore osé aller voir notre enfant, je n'y arrive pas. Je sais que tu te souviens du jour où je t'ai dis que je n'arriverai jamais à l'aimer sans toi et je sens que pour une fois, j'ai fais l'erreur de prédire quelque chose de vrai. Je ne sais même pas si c'est un garçon ou fille et je ne sais encore moins si il ou elle va bien. Louis m'en donne quelques nouvelles vagues et je ne veux pas plus en savoir. Pardonne moi Ezra mais je n'y arrive pas. Comment l'aimer alors qu'il ma peut-être arraché à toi?"

*.*.*.*

Zayn's Point Of View

Devant moi se tenait le corps immobile et pratiquement sans vie de ma femme. 26 jours depuis cette nuit où ma vie a été perturbée et 26 jours que je suis perturbé moi-même par l'absence de celle dont mon monde tournait autour.

J'avais encore l'espoir qu'elle ouvre les yeux et qu'elle m'embrasse mais cet espoir commençait lentement à s'éteindre comme la joie de vivre en moi. Je ne savais plus comment me frayer un chemin parmi toutes les complications que resprésentaient ma vie.

Je n'avais même pas encore vu mon enfant ce qui était une inquiétude constante du coté de mes amis. Comment pouvais-je ne pas avoir envie de le voir? C'était pour la simple et bonne raison qu'il était, à mes yeux, un monstre. Cela sera toujours de sa faute si Ezra ne revient plus.

Mon téléphone, bruyant, m'arracha à mes pensées et je soupire en voyant le numéro de ma maison s'afficher.

-Allô maman?

Un silence se fit à l'autre bout du combiné puis un bruit ressemblant à un sanglot étoufé résonna silencieusement. Ce fut assez pour semer l'inquiétude en moi.

-Maman?

-C'est Aidan.

Mon souffle sembla m'être arraché d'un coup sec, tellement sec qu'une série de toux me secoua par la suite.

-Il.. Il..

-Maman, calme-toi et dis moi, soupirai-je, embêté.

Ma main trouve d'elle-même mes cheveux noir de jais ébourifé et je commence, sans m'en rendre compte, à effectuer des allés-retours dans les couloirs sombres de l'hopital.

Je détestais quand ma mère devenait nerveuse de la sorte et surtout quand il était question de mon fils perturbé à cause de l'absence de sa mère. J'avais été incapable de le gérer, étant beaucoup trop perturbé moi-même, donc c'était à ma mère et parfois à Niall et Fae que revenait la tâche de s'en occuper.

J'étais émotionellement et mentalement incapable de m'occuper de mes propres enfants, aussi pathétique que cela pouvais paraître.

-Il n'est plus à la maison, je.. Je l'ai cherché partout mon chéri, je te le jure mais..

Elle éclata une fois pour toutes en sanglots et je ne pus retenir une pointe de colère éclater en moi. Je la contrôle malgré moi parce que ma mère est anéantie et lui crier dessus n'aboutirait à rien du tout.

-Je pars de l'hopital, je vais le trouver maman, cesse de pleurer.

*.*.*.*

Quand j'étais petit, j'avais un certain besoin de solitude lors de moments où le monde me devenait insupportable. Ma mère s'en inquiétait toujours et pourtant, je n'étais jamais très loin. Toujours au même endroit, j'allais au bord d'un petit ruisseau et j'y lançait des rochers.

Je ne pensais alors pas à comment mes parents pouvaient être inquiets.

Sur ce point, peut-être qu'Aidan allait me ressembler. Pour une fois, devrais-je dire, puisqu'il ne m'avais jamais ressemblé, ayant le caractère de merde de sa mère et des goûts pour les sports que je n'avais pas à cet âge.

De plus, alors que je possèdais un tempérament réservé, Aidan ne l'était pas. Il révelait toujours le fond de ses pensées à tout le monde. Ezra disait toujours qu'il était juste spontané. Bien sûr.

En fin, tout ça pour me retrouver coincé dans les boisés derrière chez moi, à sept heure du soir, à chercher désespérément mon fils. La partie d'Ezra qui me gardait quelque peu en vie.

Mon soulagement fut donc incalculable quand je l'apperçus sur un rocher, jouant avec un bâton dans le sable.

-AIDAN!

Il sursauta et croisa mon regard, ses maigres sourcils froncés.

-Papa?

Je pousse un long soupir et me fraies un chemin vers lui, partagé entre un sentiment colérique et joyeux à propos de l'avoir retrouvé.

-Ne refais plus jamais ça, tu m'entends, jeune homme?

-Parce que tu t'en préoccupes, cracha-t-il, ses bras croisés sur sa poitrine et les larmes aux yeux.

Je reste statufié au bas du rocher, bouche-bée.

-Mais de quoi parles-tu Aidan?

-Tu t'en fous de moi et de Cora! Tu ne viens jamais nous voir, dis le que tu nous aimes pas!

De grosses larmes coulaient à présent sur ses joues et je ne pus retenir les miennes suites aux paroles blessantes mais pourtant franches de mon petit garçon à peine plus grand qu'un petit arbre peu enraciné.

Lâche, je me sentais comme un foutu lâche.

-Aidan..

-Je veux jute maman..

Je saute sur le rocher, légèrement déstabilisé et le soulève dans mes bas, le coinçant contre mon corps.

-Je t'aime Aidan, plus que tout mon coeur, sache-le...

*.*.*.*

_Journal de Zayn_

"Ma chère et tendre femme, la force de t'écrire me manque. Ta présence me manque. Tu manques aux enfants. Tout chez toi représente un manque en nous. Si tu pouvais voir comment tu nous manque, à tous... Je t'aime ma Ezra, je crois que nous avons assez versé de larmes à cause de ton absence.."

*.*.*.*

Unknow's Point Of View

Un orage venait d'éclater au-dessus de Londres et avec de si sombres températures viennent de sombres émotions. Zayn parcourait vigoureusement le stationnement de l'hopital pour s'arrêter sur un banc vide. Aussi vide que l'était son regard autrefois si puissant.

Le vent soufflait autour de lui et de sombres souvenirs vinrent le perturber.

FLASH BACK

21 mai 2015

Bradford, un endroit si détesté par la jeune famille Malik mais pourtant si cotoiyée par celle-ci. Chaque évènement les en approchait et l'anniversaire des jumeaux ne faisait pas office d'exeption. Zayn savait sa femme partie dans les champs près de la maison de ses parents et il n'avait qu'une envie, la rejoindre.

L'ambiance était si festive chez les parents du jeune homme qu'ils préféraient s'éclipser rapidement sans trop à avoir à donner d'explications soudaines.

Le soleil brillait de mille feu, faisant rayonner les fleurs autour d'eux, des plus petites au plus grosses. Ezra était en train d'arracher les pétales d'une marguerite une à une quand des mains se posèrent sur ses yeux brusquement, faisant naitre un sourire tendre sur ses lèvres pleines.

-Devine c'est qui!

-Hummm... Attends, la Reine d'Angleterre?

-J'ai tant que ça une voix de fille? Rigola Zayn.

-Non, sourit-elle en enlevant ses mains pour le regarder, ses yeux bleus pétillants d'amusement.

Il s'assit près d'elle et cueillit une fleur bleue qu'il lui offrit en souriant. Elle rigola d'un rire doux et discret puis la lui pris pour la jeter dans les airs. Elle dégageait alors tant d'insouciance. Puis, elle eu une idée. Elle ramassa tous les pétales blancs qu'elle avait arraché plus tôt et les lança dans le visage de son mari qui afficha une mine surprise.

-Tu vas me le payer! Ria-t-il enfin.

La jeune femme se leva alors en sursaut et partit à courir dans la clairière qui paraissait immense. Zayn la poursuivi et vu les maigres talents de coureuse de sa femme, il la rattrapa assez rapidement. Il entoura ses bras autours d'elle et la souleva dans les airs.

-Hey! Rigola-t-elle. Lâche-moi!

-Jamais!

-Contre un câlin?

-Hummm.. Tentant mais je préfère ça, dit-il en la tournant face à lui.

Et vivement, il posa fougueusement ses lèvres roses sur les siennes. Encore sous le choc, elle le fixa quand il rompit leur baiser puis sourit quand il prit place au sol, la plaçant sur ses geoux.

Le beau jeune se mit a jouer avec les longs cheveux de la jeune qui fit que le regarder, yeux pour yeux, deux regards tendrement amoureux.

-Zayn?

-Hum?

-À quel point tu m'aimes?

Il arrêta tout mouvement et souris, plaçant sa main contre la joue de sa tendre épouse.

-Plus que tu ne pourras jamais le croire.

FIN DU FLASH BACK

Il soupira puis enfouis son visage plein de larmes entre ses mains.

Une heure puis deux lui prit pour se diriger vers l'intérieur. Un drôle de sentiment lui broyait l'estomac et une légère pellicule de sueur luisait sur son front. Il ne savait pas trop pourquoi il se sentait comme cela et ne se posa pas plus de questions, les sourcils fronçés.

Son coeur battait à tout rompre quand il s'élança dans le couloir menant vers la chambre de son épouse et il se mit encore plus vite quand il vit un médecin à la mine sombre au seuil de la chambre.

Il était hésitant à s'approcher mais il le fit.

-Monsieur Malik.. Toutes nos condoléances...

Son coeur sembla s'arrêter de battre et la dernière chose qu'il vut fut le corps sans vie de sa femme.

*.*.*.*

Cinq jours plus tard

Je n'arrivais pas à dormir, je n'arrivais plus à dormir et sans doutes ne dormirai-je plus jamais. Les larmes afluaient de toute part de mon être, silencieuses. Les deux corps de mes amours se pressaient ensembles de l'autre côté du lit et cela ne fit que doubler mes pleurs.

Tant de choses me rappelait Elle en eux. Quand ils souriaient ou même pleuraient, je la voyait. Et cela me faisait mal, tellement tellement mal.

Je me lève silencieusement passant mon doigt contre le cadre représentant notre famille sur le bureau autrefois remplit de ses choses (mes amis l'avait vidé avant mon retour à la maison, me laissant que quqlques petites choses). Sur le portrait, on pouvait nous voir, moi et Elle avec nos enfants. L'un manquant.

J'avale difficilement ma salive tant je pleurais et me dirige silencieusement vers le corridor, ouvrant la porte en face de celle dans laquelle je venais de sortir. La pièce que je savais d'un jaune pâle était sombre et tout au fond trônait un berceau.

Je m'y approche, séchant mes larmes et ne réalisant qu'à moitié que ça allait être la première fois que je voyais mon enfant.

Une pointe de rage me faisais trembler mais aussitôt que mes yeux croisèrent les siens, indentiques aux miens, toute rage retomba brusquement. Ses yeux étaient curieux quand je m'abaisse vers elle, tremblant sous l'émotion.

Son petit corps fragile se cala facilement entre mes bras et j'éclate en sanglots en pensant à toutes les horribilitées que j'avais pus penser à propos de cet innocent enfant.

-Je.. Je suis si désolé Ezra..

Le bébé se mit a s'agiter et aussitôt, je la berce tendrement. Lui cherchant un prénom, je me rappelle un jour qu'Elle avait abordé le sujet un soir où le bébé était agité dans son ventre.

-Ellie Ezra Malik, je te protégerai toute ma vie et t'aimerai comme je l'ai aimée.

*.*.*.*

_Journal de Zayn_

"Mon amour, une semaine que tu nous a été arachée, une semaine que nous pleurons et une semaine que ma poitrine est déchirée par un trou profond qui me brule constament la poitrine. Je ne sais pas pourquoi je t'écris ni même pourquoi j'ai espoir que tu lises ce que je t'écris de où tu es. Sans doutes pour apaiser un peu le poid lourd qui me tord le coeur? Ma tendre Ezra.. Comment as-tu pus nous quitter? Tu avais promis. Je pleure sans arrêt, comprends-tu? Je pleure parce que mon seul amour n'est plus, je pleure parce que je ne pourrai jamais plus aimer, je pleure parce que nos enfants n'aurons plus jamais de mère, je pleure parce que je t'aime.. Je t'aime de tout mon être et cela pour toujours. Je donnerais ma vie pour entendre une dernière fois le son de ta voix ou de ressentir ton corps contre le miens. Notre petite fille à un prénom maintenant et j'espère qu'il te plait de là-haut. Je pris pour que tu sois son ange gardien à tout jamais et que tu sois tout autant bonne avec elle que tu l'as été avec moi.

Mes lèvres seront toujours tiennes et mon corps, tien, je te le réserverai pour toujours.

À bientôt mon amour,

Ton tendre et dévoué mari qui ne cessera jamais de t'avoir dans son coeur..."


---------

Hééé :) Alors.. Vous pleurez? Parce que moi, j'ai bel et bien pleuré (même si c'est pas mon meilleur chapitre) en l'écrivant, surtout aux parties du journal de Zayn qui me brisaient littéralement le cœur...

Alors mes petites Zara's fans, j'espère que vous n'êtes pas trop déçues par cette fin et que l'attente ne vous a pas parut interminable..

Plus que l'épilogue amigos, vos avis là-dessus?

Much Of love xx

Ps : que dites-vous d'Ellie? J'ai eu de la difficulté côté prénom haha xx

Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro

Tags: