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Chapitre 14: Jalousie

Il est maintenant 19 heures et tout le monde est parti sauf Hayden et moi. La maison est alors assez calme. Hayden parlait avec mon grand-père tandis que j'étais devant la voiture avec Omar.

-Ava ?

-Oui, qu'est ce qu'il y a ?

Omar semble gêner ce qui est assez bizarre de sa part.

-Eh bien... Je voulais m'excuser pour mon comportement depuis que tu es arrivée. Je n'aurais jamais dû être aussi froid et peu aimable avec Hayden.

-Ce n'est rien Omar. De toute façon, c'est à Hayden que tu dois des excuses.

-Oui je sais mais tu as dû me détester.

-Mais non, je ne peux pas te détester. Je t'ai toujours considéré comme mon frère, tu as toujours été là pour moi, et je comprends que ça te fasse bizarre qu'il y ait Hayden maintenant.

-Bah, c'est surtout que j'ai l'impression qu'il me remplace dans ta vie.

-Tu ne devrais pas t'en faire. J'aime Hayden mais toi tu es mon frère. Je n'oublierai jamais tout ce que tu as fait pour moi.

-Alors tu ne m'en veux pas ?

-Bien sûr que non, à partir du moment que tu t'excuses auprès d'Hayden, il n'y a pas de raison. Et puis je t'aime trop pour ça.

Il sourit et on se fait un câlin, un câlin de réconciliation et d'amitié évidemment.

-C'est vrai que tu était une forte tête quand tu étais petite, dit-il lorsque que nous nous sommes séparés.

-Ne commence pas, je le menace.

-Non mais arrête ! Tu te rappelle quand on est allés au parc Han.

-Non, ne me parle pas de ça...

Il explose de rire.

-Tu avais eu tellement peur des crocodiles que lorsque tu as vu leur soigneur, habillé de verre, tu as crié que c'était des crocodiles et tu es partie en courant.

-Je n'avais que six ans, tu ne vas pas en faire tout un plat !

-On t'a cherché pendant trente minutes pour au final te trouver derrière les poubelles. D'ailleurs pourquoi les poubelles ?

-Je ne sais pas, peut être parce qu'elles sentaient tellement mauvais que je m'étais dit que les crocodiles ne viendraient pas me chercher ici.

Il est mort de rire, même après l'avoir frappé. Mais je finis par le suivre dans son fou rire, c'est vrai que j'étais conne quand j'étais petite.

Avec Omar, on se connaît depuis que j'ai quatre ans. Omar a deux ans de plus que moi, il avait donc six ans cette année-là. Je venais toutes les grandes vacances au Sénégal et il habitait à côté, du coup il passait tout le temps à la maison. Je passais alors ma journée avec lui à faire les 400 coups : courir après les poules dans la cour, espionner les adultes, voler de la nourriture dans la cuisine ou encore rentrer l'un des agneaux de mon grand-père dans la maison.

On se faisait tout le temps gronder mais qu'est-ce qu'on riait. Ensuite est arrivée Aïcha et nous avons formé le trio de choc. Je peux vous dire que c'est à cette époque qu'on a cherché à nous séparer et qu'on en a eu marre de nous: on préparait des plans pour commettre des bêtises, on arrêtait les voitures sur la route, on essayer d'attraper toutes les poules de la cour... Mais on se disputait aussi beaucoup entre Aïcha qui voulait commander, Omar qui cherchait à s'imposer et moi...entre les deux.

À cette époque, Omar était notre grand frère. Lorsque l'on jouer avec d'autres enfants, s'ils nous insultaient, nous frappaient ou quoi que ce soit d'autre, Omar se battait contre eux. Ce n'était peut-être pas le plus costaud mais il ne lâchait pas l'affaire. Au final, il y'avait toujours un adulte pour arrêter le massacre.

C'est lorsque j'ai eu quatorze ans qu'Omar m'a avoué ses sentiments. Au début, j'ai pris cela pour une blague et il ne m'a plus parlé pendant deux semaines. Après, je me suis excusée mais je lui ai dit que je ne savais pas si je l'aimais. En vrai, c'était faux : je ne l'aimais pas mais je ne savais pas comment lui dire. Je suis ensuite rentrée en France et nous n'en avons plus reparlé. Mais je sais que ses sentiments n'ont pas disparu, au contraire.

Pendant que l'on se remémorait nos souvenirs, je sentais un regard sur moi : Hayden. Mais il détournait le regard dès qu'il voyait que je l'avais surpris. Il continuait ensuite sa conversation avec mon grand-père comme si de rien n'était.

Au bout de dix minutes, mon grand-père et Hayden se disent au revoir : c'est l'heure pour nous de partir.

On salut tout le monde et ma tante nous donne du riz en disant à Hayden qu'il fallait qu'il mange, comme s'il ne le faisait pas assez...

On rentre finalement dans la voiture mais Hayden se met sur le siège passager à l'avant au lieu de se mettre a l'arrière avec moi. C'est bizarre mais je ne dis rien.

Le trajet se passe en silence. Arrivés à la suite, Hayden marmonne qu'il va se laver et part dans la salle de bain.

D'accord, quelque chose ne va pas. Mais qu'est ce que ça pouvait être ? La journée s'était pourtant bien passée. Ça avait été épuisant mais sympathique. Alors qu'a-t'il bien pu arrivé pour qu'il soit comme ça ?

Le boulot ? Sa famille ? La conversation avec mon grand-père ?

Il faut d'ailleurs que je lui demande à propos de cela. Si mon grand-père parle à quelqu'un en privée, c'est qu'il a quelque chose d'important à dire.

Et si en fait il n'avait rien du tout et qu'il était juste fatigué ? Je me faisais alors des idées.

Oh, ça m'énerve, je réfléchis trop ! Il faut que je lui parle et après ça ira mieux.

Je pars donc me changer dans le dressing, mettre une tenue plus confortable. Je téléphone ensuite à ma mère pour lui raconter ma journée. Elle est contente qu'avec Omar on se soit réconcilié même si elle n'approuve toujours pas notre comédie.

Il est plus de 20h et je pars dans le dressing où se trouve sûrement Hayden, mais il n'y est pas. Je me mets alors à sa recherche mais sans résultat. Je finis par le trouver dans le bureau en train de travailler.

-Hayden, depuis tout à l'heure je t'appelle, je lui dis après avoir toqué la porte.

-Ah, excuse-moi. J'étais plongé dans ce dossier.

-Ok.

Et je reste là à la porte. Hayden m'a lancé à peine un regard depuis mon arrivée.

-Tu es sûr que ça va, je lui demande.

-Oui, oui tout va bien. Je suis juste...fatigué.

-Ah d'accord.

Il avait cette fois-ci lever la tête mais n'osait pas me regarder. Qu'avait-il peur que je découvre ?

Dans tout les cas, il ne voulait pas me parler.

-Bon, je te laisse alors.

J'allais fermer la porte quand il m'interpelle :

-Oui ?

-Je te rejoins pour manger dans trente minutes.

Il est sérieux là ?!?! Il ne me dit rien sauf qu'il va venir pour manger ! Décidément!

-Ok.

Je ferme la porte, assez énervée par cette échange assez...glaciale.

Pourquoi me mentait-il ? Qu'il me cache certaines choses, je pouvais bien passer au dessus, mais là, il est froid comme la banquise et il n'est pas fichu de me dire pourquoi !

Je mets alors de la musique sur mon téléphone que je branche aux enceintes du salon. La musique est un moyen pour moi de me détendre. Je mets alors Locked away avec Adam Levine.

Cette chanson avait comme un effet relaxant sur moi, c'est l'une des raisons pour laquelle il s'agit d'une de mes préférés.

Je pars dans la cuisine de la suite. Et oui, il y en avait bien une mais le supermarché n'était pas à côté, donc le frigo est vide. Belle technique pour nous forcer à manger dans les restaurants de l'hôtel. Mais j'irai acheter des trucs demain, parce que manger au restaurant tout le temps, c'est lassant.

Je réchauffe le plat de ma tante dans le micro-onde tout en me déhanchant sur la musique.

Cela me détend tellement que j'en oublie le fruit de la colère.

J'étais en train de mettre la table quand Hayden arrive en jogging et débardeur. Je l'invite à s'asseoir puis je pars éteindre la musique. Je ramène alors le plat chaud prêt à être mangé.

Je nous sers et lui souhaite bon appétit. Il me remercie et nous mangeons en silence. Il a toujours envie de parler à ce que je vois.

-Sinon, comment as-tu trouvé cette journée, je finis par me lancer ?

-Euh...c'était bien.

-Mais encore ?

-Ma journée s'est bien passée, c'était marrant.

Il n'avait vraiment pas envie de parler.

-Toujours fatigué à ce que je vois.

-Oui.

-En même travailler en revenant alors que tu es fatigué, ce n'est pas non plus une très bonne idée.

-Je sais mais je dois faire un travail urgent.

Son ton était sec et n'impliquait pas aucune réplique mais ce n'est pas moi qui vais me taire. Cela me coupe directement l'appétit.

-Excuse-moi de demander, dis-je en me levant pour mettre l'assiette dans la cuisine.

Il m'avait vexé, j'essayais de le comprendre et de l'aider mais il n'en avait rien à faire. Il doit être content parce que maintenant je suis d'une humeur massacrante. Je lave mon assiette et mes couverts et pars au salon sans jeter un regard à Hayden.

Je décide de regarder un film et pars m'installer sur le canapé. Une petite couverture et un thé glacé et je suis prête à regarder le film.

J'hésite sur le choix du film et je mets finalement Coup de foudre à Manhattan avec Jenifer Lopez, l'un de mes films préférés. C'est un classique romantique qu'on se doit tous de regarder.

D'habitude, lorsque je regarde ce film, j'oublie tout et reste concentré dessus jusqu'à la fin. Je connais presque toutes les répliques mais je ne m'en lasse jamais de les dire à voix haute. Mais aujourd'hui je n'y arrivais pas.

Mes pensées tournent sans cesse vers Hayden puis vers John.

Depuis son coup de fil de samedi, je n'ai aucune nouvelle de lui. Mais je sais qu'il ne m'a pas oublié, au contraire. Il prépare sa vengeance dans l'ombre et il attend juste le bon moment pour le mettre à exécution. Cela a toujours été son mode d'action.

Il a toujours été secret, on se connaît depuis mes 18 ans, sept ans maintenant. On était amis pendant six ans et c'est après que l'on s'est mis ensemble. Il me rendait heureuse mais quelque chose n'allait pas et je ne savais pas ce que c'était.

Il était adorable, beaucoup de femmes auraient voulu être à ma place. Il était séduisant, gentil, drôle et très attentif. Mais moi, je le connaissais au-delà de tout cela, j'ai découvert pas mal de ses secrets et ce ne sont pas des petits... Mais il ne m'a jamais dévoilé quoique ce soit sur son trafic. Je savais juste qu'il était redoutable et craigné de tous. 

Ses gardes du corps étaient des brutes sans nom comme Titan qui avait tabassé ce pauvre garçon. Mais je n'avais plus très peur d'eux étant donné  que j'étais quasiment tout le temps accompagnée de leurs présences.

Oui, j'avais des gardes du corps moi aussi. Mais j'ai réussi à fausser compagnie à Miguel le jour du mariage.
Je l'aimais beaucoup mais si je voulais m'enfuir, il fallait que je lui échappe.

J'ai toujours été en sécurité avec lui, à part une fois à cause de cet enfoiré d'Anderson. Mais excepté cet incident, John a toujours su me protéger. Alors me retrouver seule après tout ce temps, c'est un peu dur.

Je ne sais pas ce qu'il prévoit, mais j'avoue que cela me fait un peu peur.

Je venais de voir les trois quarts du film lorsque Hayden s'assoit près de moi sur le canapé.

-Qu'est ce que tu regardes ?

-Coup de foudre à Manhattan, je réponds sans lui jeter un regard.

-Avec Jenifer Lopez, remarque-t-il, il est bien ?

Je hausse des épaules en guise de réponse.

-Je peux le regarder avec toi ?

-Dans tout les cas, ce n'est pas moi qui vais te forcer à te lever alors que tu es déjà assis.

-Pas la peine d'être aussi froide.

Je réagis au quart de seconde en lui lançant un regard noir.

-Moi, froide ? Tu te fois de moi là ?

-Je ne vois pas pourquoi tu t'énerves.

-Pourquoi je m'énerve ? Tu es sérieux quand tu me demandes ça ? Je te rappelle que tu m'ignore depuis qu'on a quitté mes grands parents. Que ce soit dans la voiture, quand on est rentré, quand on a mangé, tu n'en avais complètement rien à foutre de moi, tu étais froid et distant. Et là, tu te pointes comme une fleur comme si tout allait bien! Alors ne me demande pas pourquoi je suis froide après tout ça !

Il ouvre la bouche pour parler et la referme aussitôt. Il finit par se lever pour partir.

-Tu vas où ?

-Je m'en vais parce que je n'ai pas envie qu'on se dispute maintenant, je ne suis vraiment pas d'humeur.

Je me lève et me mets face à lui. Il m'intimide facilement par sa taille mais c'est la colère qui parle.

-Désolé mais il n'y a pas d'humeur pour se disputer. Tu as peur qu'on se dispute ? Ça tombe mal parce que je crois qu'on va se disputer. Tu oses venir t'asseoir à côté de moi et faire comme si de rien n'était et tu penses que je ne vais pas réagir ?!

-T'es chiante Ava, commence-t-il à s'énerver.

-Oui, je suis chiante mais toi tu es casse-pieds ! Tu crois que ça me fait plaisir de me disputer avec toi ?!

-J'ai une question à te poser : pourquoi ne veux-tu pas épouser Omar ?

Ce changement de sujet me perturbe et cette question me refroidit directement. Pourquoi il me pose celle-là ?

-Parce que je ne l'aime pas.

-Tu en es sûr ? Il est qui alors pour toi ?

-Je ne l'aime pas, je le considère comme un frère !

-Alors pourquoi le mec te drague ouvertement et tu ne réagis pas ?!

-Mais qu'est ce que tu me racontes, il ne me drague pas ! Du moins il ne le fait plus.

Il rigole mais je sais qu'intérieurement il boue.

-Si tu ne vois pas qu'il te drague c'est que tu es aveugle.

-Il ne me drague pas !

-Arrête de nier la vérité ! Tu le sais mais tu ne dis rien ! Mais dis-moi, c'était quoi alors tout à l'heure ? Il se pointe d'un coup alors qu'il ne te calcule presque jamais, vous parlez un peu et paf ! Vous vous faites un câlin !

-Il est venu s'excuser pour son comportement !

-Mais bien sûr, et après il va essayer de te faire tomber amoureux de lui.

-C'est que tu nous espionnais !

-Nuance, je te surveillais.

-Ah oui, pardon. J'avais oublié que j'avais un garde du corps !

-Ne te fous pas de moi !

Il allait partir quand je l'arrête.

-Mais c'est que tu es jaloux !

-Non, je ne le suis pas, se retourne-t-il.

-Si tu l'es. Sinon donne-moi une raison expliquant ta colère.

-Je...je ne suis pas jaloux. Mais en tant que fiancé, dit-il entre guillemets, je me dois de faire le jaloux.

Je ris tellement il est ridicule, ce n'est pas à moi qu'il va faire croire ça.

-A savoir que je le considère comme un frère, mais bien sûr.

-Tu le considères peut-être comme un frère, mais ce n'est pas son cas !

-Mais à quoi ça t'avance de faire une crise de jalousie là, à savoir que je suis la seule qui la voit ? Je te rassure, on n'est pas filmé.

Je me rapproche de lui pendant qu'il cherche une excuse.

-Tu aurais tout simplement pu faire une petite crise pendant que je lui parlais, non ? Fais pas semblant, je sais que tu es jaloux.

-Je ne pouvais rien faire, je parlais avec ton grand-père.

-D'ailleurs, vous parliez de quoi ?

Notre colère à tous les deux s'étaient dissipées, nous étions face à l'autre, les yeux dans les yeux. J'avais l'impression que c'était toujours comme ça entre nous, on se disputait et on se calmait d'un instant à l'autre.

-Il me parlait du fait que nous devions nous marier maintenant et que je devais te convaincre.

-Et qu'est ce que tu as répondu ?

-Je lui ai promis d'essayer de faire mon possible pour, même si tu ne te sentais pas prête.

-Et j'imagine qu'il a dit ça parce qu'il veut qu'on se marie ici.

-Oui, avant que l'on parte.

-Ils vont finir par nous tuer.

-Tu vas finir par me tuer.

-Hein ?

Je n'ai pas le temps de répondre qu'il se jette sur mes lèvres. Je me retrouve collée à lui, sa main sur ma hanche et l'autre sur ma nuque. Je réponds à son baiser en passant mes mains dans ses cheveux.

C'est un baiser sensuel et passionné, nous l'attendions depuis longtemps. Ses lèvres sont douces mais fermes sur les miennes, putain qu'il embrasse bien ! Il demande l'accès à ma langue que je lui cède volontiers.

Nos langues commencent alors un manège langoureux où chacun cherche à dominer l'autre.

Mon bas ventre se tord et mon corps frissonne de plaisir. Je ne le contrôle plus, il est soumis à Hayden. Je déteste ça, enfin non j'aime ça mais...bref.

Hayden me pousse sans me lâcher contre le mur et là, je peux vous dire que vous m'avez totalement perdu.

Hayden met sa main sur mon dos sous mon t-shirt pour me rapprocher encore plus de lui.

Il faisait chaud, très chaud et mon coeur battait à cent à l'heure.

On finit par se séparer à bout de souffle. Ses cheveux étaient tout ébouriffés à cause de moi, ses lèvres étaient gonflées de désir mais je suis sûre que les miennes l'étaient aussi. Mon T-shirt était remonté jusqu'en dessous de ma poitrine.

Nous étions toujours collés l'un à l'autre, les yeux dans les yeux.
Mon Dieu ! Les siens sont luisant de désir. Ses pupilles sont dilatées et ses yeux sont plus verts que d'habitude.

Merde ! Pourquoi a-t-il fallu que je tombe sur un apollon sexy comme lui ? Je suis censée résister mais face à lui, je ne me rappelle même plus de mon prénom.

Mais merde, qu'est ce que je fais ! On ne peut pas faire ça, parce que je sais que ça me détruira. Autant se dire la vérité, on sait tous que s'il recommence, je ne le repousserai pas plus que maintenant.

-Ava...

Sa voix était rauque et sexy. Je suis dans la totale impossibilité de répondre. C'est la première fois que ça m'arrive. Mais c'est aussi la première fois que je ressens tout cela. Avec John, c'était...différent.

-Désolé, continue-t-il, j'avais une folle envie de t'embrasser. En fait non, je ne suis pas désolé parce que je ne le regrette pas, au contraire parce que j'en ai toujours envie. Je rêvais de le faire depuis bien trop longtemps.

Je ne pouvais pas répondre alors je me contente de de regarder son visage, ou plutôt de l'admirer, son magnifique visage.

Putain ! C'est pas possible, je deviens une vraie sentimentale ! Déjà que je le suis un peu d'habitude...

Il sourit et s'approche encore plus de mon visage.

-Et à mon avis, toi aussi tu en rêvais, me chuchote-t-il. Tes yeux me le disent pour toi.

Eh merde! Eh bien regarde bien mes yeux parce que jamais je ne te le dirai !

Il effleure mes lèvres des siennes avant de laisser une traînée de baisers tout mouillés de ma mâchoire jusqu'à mon cou.

-Un jour, princesse. Patience.

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Voilà le chapitre 14!! Désolé j'ai pris un petit peu de retard mais j'ai enfin terminé de le corriger!

Comment trouvez-vous ce chapitre?

Entre Omar, John  et Hayden?
Trois mecs dans sa vie, c'est beaucoup ?

N'hésitez pas à voter et à commenter si vous avez des suggestions ou autres.

Je vous souhaite une très bonne année 2016 avec plein de bonnes choses !!
A la prochaine et bisous de moi!!

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