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Chapitre 1- Les origines

[Avant-propos: 

Cette version publiée comporte d'affreuses et vilaines fautes parfois, mais elle reste lisible, et ça ne gêne pas à la bonne apréciation de l'histoire. 

Il est inutile de me les signaler (sauf si vous aimez vous prendre la tête avec ça) car j'ai déjà corrigé ses fautes sur le document word où je travaille. 

Si vous voyez toujours des fautes, c'est parce que j'ai juste pas mis à jour cette verison wattpad. J'aurais peut-être la force un jour de reposter les nouvelles versions sans fautes des 61 chapitres déjà écris, mais pour le moment, c'est une énorme charge de travail que je ne suis pas prête à gérer.

Merci de votre lecture, je vous souhaite de passer un bon moment, c'est le plus important !] 




Un beau jour d'été, où l'on ne pouvait plus s'entendre tellement les cigales crissaient d'on-en-sait-où, un enfant fondait en larme. Il s'évertuait cependant à tenir debout, son corps faisant strictement barrage à son adversaire au milieu du parc :

- A... Arrête de l'embêter, tu... tu lui as fait assez de mal ! Son ordre ressemblait plus à une supplication, sa voix préférant se cacher tout au fond de sa gorge.

Ca oui, il voulait plus que tout se cacher loin du persécuteur dont il entravait la route. Ses jambes tremblaient si fort qu'on aurait dit qu'un tremblement de terre en était l'origine. Pourtant... Il était impossible pour lui de bouger d'un pouce. Contre sa volonté, le peu de muscle qu'il pouvait avoir se contractèrent pour lever ses mains bien hautes, mettant un therme à la violence qui venait d'avoir lieu :

- Si tu continues Katchan... Tu, tu verras ! Tu auras à faire à moi ! Il était lui-même peu convaincu de ses avancements, mais agir avec courage lui avait redonné un peu de confiance en lui. Il était l'ami de Katchan, ce n'était pas un mauvais garçon. Il avait certes cette fois été trop loin, mais Izuku était persuadé qu'il regretterait son geste quand il en aurait prit conscience.

Katchan ne me ferait pas de mal, si ?


Un peu plus tôt, avant que le vert prenne la défense d'un garçon aux cheveux mauve, les cinq enfants jouaient dans la bonne humeur. Izuku avait convaincu son plus proche ami, katchan, d'accueillir Tema dans leur groupe de jeu, un garçon gentil qui se retrouvait seul parce qu'il s'était disputé avec ses deux camarades habituels. L'amitié était une chose frivole pour des enfants de maternel, Izuku s'en doutait bien. Armé de compassion et de bonté, le vert lui tendit une main amicale :

- Ne restes pas dans ton coin, Tema, en attendant que tu te réconcilies avec Naroji et Aoko-chan, joue avec nous ! On est des super-héros qui combattent le crime !

- Déjà que je te tolère Deku, c'est pas toi qui choisi qui joue avec nous ou pas ! Lança férocement Bakugo dans son dos.

- Il a trop raison Bakugo ! C'est lui le chef !

Le blond pouvait toujours compter sur ces deux bras droits pour le soutenir, contrairement à cet idiot de Deku qui ne savait jamais rester à sa place.

Izuku n'aimait pas vraiment ce surnom rabaissant que l'extraverti lui avait trouvé. Mais sachant à quel point la tête brûlée n'aimait pas montrer ses sentiments aux autres, Izuku lui était déjà reconnaissant que Katchan lui ait accordé un surnom. En retour, le garçon lui en avait aussi trouvé un plutôt minion que son ami semblait apprécier, puisqu'il ne lui avait pas encore fait de reproches à ce sujet...

- S'il te plaît Katchan ! On s'amusera encore plus si on est nombreux ! La voix insistante du garçon plus petit que la moyenne fit son effet.

- On va s'amuser ouais... Tema peux jouer avec nous, à condition qu'il soit un vilain !

- Il n'en a pas forcément envie... La contestation d'Izuku mourut dans sa gorge, personne ne pu entendre ce qu'il disait la tête baissé. Tema n'avait en effet, aucune envie de jouer les méchants, mais il était très reconnaissant qu'on lui laisse une chance, alors il ne manifestait pas son sentiment d'injustice.

Tema avait d'abord accepté, mais quand les jeunes simulèrent un combat, Katchan avait vraiment utilisé son tout nouvel alter dont il était très fier sur le pauvre à la tintasse mauve. Renversé à terre par les flashs aveuglants des petites explosions qui sortaient des paumes du blond, Tema chouinait comme à chaque fois qu'un enfant de son âge s'égratignait. Mais cette fois, ce n'était pas pareil : Bakugo avait délibérément engendré des brûlures sur les bras de Tema. Pour Izuku, s'en était trop, ça n'avait rien d'un jeu. Il n'accepterait plus de regarder impuissant son ami jouer les terreurs avec son alter dangereux en attendant que le sien ne se déclare.

Les vrais héros protègent les faibles ! Se dit Izuku durant une fraction de seconde, aussitôt, avant même d'en avoir décidé, il s'était posté devant le blessé, pour arrêter la bêtise de Katchan, soutenu par ses deux admirateurs.


Durant quelques instants, Bakugo ne présenta pas de réaction. Il était bien trop surpris pour ça. Il n'aurait jamais cru cet incapable de Deku assez inconscient pour vouloir l'affronter sans alter. Ca l'avait déstabilisé, assez pour l'humilier. Quelque peu vexé que le vert ose se croire supérieur à lui, il préféra cacher sa frustration dans un rire nerveux. Il prit une grande inspiration, yeux fermés puis dessina un large sourire prétentieux :

- Toi, tu n'as même pas d'alter ! Qu'est-ce que tu crois idiot, c'est moi le plus fort !

Suivant leur chef, les deux enfants qui couvraient ses arrières déployèrent leurs alters. Ils étaient très physiques, des ailes et la capacité d'allonger ses doigts. Izuku espérait de tout son cœur que son alter se révèlerait dans un moment comme celui-ci, parce qu'il savait pertinemment qu'il ne ferait pas le poids. Qu'est-ce qui lui avait prit de se révolter alors qu'il n'avait aucune chance ?

Bakugo sûr de lui, joignit ses poings. Ses explosions parleraient pour lui :

- Tu crois pouvoir jouer les héros, Deku ? Son sourire se crispa, mais tout allait bien, le minable calmerait ses ardeurs après avoir eut une bonne leçon.

Izuku, quatre ans et plus vraiment toutes ses dents, n'avait pas eu le temps de crier de frayeur qu'il avait apprit une cruelle vérité sur la condition humaine : Nous ne naissons pas tous égaux.

En plus, Tema ne l'avait même pas remercié et s'était contenter de le regarder se faire tabasser, puis de s'enfuir retrouver ses parents au bout du quartier. 

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