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You and I

                            You and I 

P.O.V. of Harry : 

Le principal venait à peine de finir son petit discours sur la petite nouvelle qu'une jeune fille entra dans la classe, tête baissé, ses cheveux bruns volumineux et légèrement bouclés retombant devant ses yeux et son visage. Elle avait son bras en écharpe remarquais-je et elle boitillait légèrement. Elle avait tout de la jeune fille rescapée d'un accident ou de je ne sais quoi encore. Cela n'aurait pas du me faire quelque chose, j'aurai du m'en foutre comme de l'an 40, pourtant, pour une raison que j'ignorais, je n'arrivais pas à détourner mon regard d'elle. Je ressentais une sorte de curiosité, mêlait à de l'excitation à l'idée de la voir lever son regard. Je me demandais de quelle couleur serait ses yeux, et quelle forme aurait ses lèvres. Et clairement, ça m'énervait de me poser toutes ces questions. Alors, je m'apprêtais à détourner le regard, quand un détail me fit me crisper sur ma chaise tandis que je l'étudiais attentivement. 

Bizarrement, sa démarche me disait quelque chose et je ne comprenais vraiment pas pourquoi. Le type de fille comme elle, dans le genre coincée qui se faisait du mieux oublier, qui n'avait jamais de problème ou encore qui était la petite fille modèle n'était pas vraiment mon genre. Mais malgré tout ça, j'avais l'impression de la connaitre. Du moins de l'avoir déjà vu. Ce qui est plutôt étrange quand on y pense, parce que j'ai tendance à oublier le visage des filles qui ne sont pas mon genre. Mais elle... c'est différent, j'avais la certitude que je la connaissais. Mais d'où. Et pourquoi étais-je tant obnubilée par elle, à vouloir savoir comment elle était, et qui elle était? Je l'ignorais mais c'était vraiment en train de me prendre la tête. Pourtant, je ne me sentais plus capable de détourner la tête tant que je n'aurais pas mieux vu son visage. Alors j'attendis, en essayant de me montrer indifférent, alors que je bouillonnais d'impatience intérieurement. Et enfin, ce que je voulais arriva. Ainsi, lorsqu'elle releva la regard vers moi, je compris pourquoi elle me disait quelque chose. Son beau regard brun argenté se verouilla aux miens, alors que je me souvenais d'une chose qui m'avait ébranlé.

Ses larmes. 

Lorsque j'étais arrivé, il y a deux mois dans la partie Sud-Ouest de Holmes Chapel dans le but d'aller rendre une petite visite au nouveau membre des Murcia, Carlos, je n'avais pas prévu qu'il serait en pleine séance de torture mélangée au viol. Et quand j'avais constaté qu'il était bel et bien en train de faire ça, une fureur noire avait prit possession de moi. Cela me rappela trop de choses, trop la monstruosité des membres des Murcia. Pourtant, j'aurais été capable de torturer et de tuer une traître qui se serait rallier à mon camp ennemi, mais la violer? Pas question! Même pour une histoire de trahison, je ne violerai jamais quiconque. Je n'ai aucun scrupule à torturer comme je l'ai dis précédemment, et il est vrai que je suis un vrai connard avec les filles, je suis le premier à en être conscient et j'en ai complètement rien à foutre, c'est qui je suis. Mais jamais je ne prendrais une fille qui ne serait pas entièrement consentante. Mais cet enfoiré, il en était capable, pire il y prenait un véritable plaisir. Personnellement, je ne prenais aucun plaisir à faire souffrir contrairement à ce que beaucoup pense. Et cela, que ce soit un homme ou une femme. Bon, bien sûr, je ne dirais pas que je ne retire aucune satisfaction à venger mes proches ou mon honneur. Mais je le fais parce que c'est ce que se doit de faire un chef de gang, et oui ça me permet de relâcher la pression. Car oui, je suis violent, sûrement le plus violent de mes amis. Mais ça n'a rien à voir avec un besoin d'assouvir un putain de désir sexuel lié à la violence. Alors non, j'étais incapable de violer. En plus, il fallait vraiment qu'il y ait une bonne raison pour que je fasse du mal à une femme, un homme d'accord, une femme? Non. Et là, quand j'avais vu dans quel état se trouvait la jeune fille j'avais... complètement péter un câble!

Mais je m'étais pourtant abstenu de le tuer de mes propres mains parce que de toute façon cette fille avait sûrement dû le chauffer pour se retrouver à cet endroit, ça n'en faisait aucun doute, et de plus, je n'avais pas envie de me retrouver en prison parce que cette fille aurait été donner ma description à la police. Alors je m'étais contenté d'un avertissement pour cette enflure, mais prenant le temps de lui garantir que s'il osait à nouveau se mesurer à moi, je serais beaucoup moins clément. Il avait semblé terrorisé, mais pourtant, je n'étais pas dupe, il n'allait sûrement pas écouter ce que je lui avais dis et retenterait à un moment ou un autre de s'en prendre à mon gang. En particulier, il semblait vouloir prouver quelque chose en tentant de s'en prendre directement au haut de la pyramide hiérarchique du gang Styles. Il était idiot et suicidaire pour un nouveau membre de son envergure. Mais j'avais aussi vu son regard, un regard fou. Alors même que je le menaçais, il n'avait pu s'empêcher de continuer à fixer par advertance la fille, avec un regard avide de désir. Je lui avais aussitôt remis les idées en place avec un poing dans son visage, après quoi, il avait perdu connaissance. 

En ayant marre de repenser à cet épisode qui s'était passé il y a deux mois, je décidais de ne plus me préoccuper de cette fille. Enfin, c'est du moins ce que j'essayais de me persuader de faire, mais je n'arrivais pas pour autant à détourner mon regard de cette jeune fille qui m'avait marqué, depuis déjà deux mois. Cela faisait plus de deux mois qu'elle m'intriguait et pourtant je ne l'avais vu qu'une seule fois. C'était ça qui m'inquiétait... Elle n'était en rien mon genre, bien au contraire, elle était tout ce que je détestais chez une fille, elle était faible, innocente, intelligente, et incapable de se débrouiller toute seule. Mais pour une raison que j'ignorais, quelque chose me fascinait chez elle, enfin non, ce n'est pas de la fascination, juste de la curiosité. Ouais, c'est ça. Et puis, peut-être qu'elle pourrait me servir d'appât. Ouais ça c'est une bonne idée. 

Tout à coup, alors que j'étais toujours plongé dans mes réflexion, je sentis mon portable vibrer, ce qui me permit de redescendre sur terre et de cesser de fixer cette jeune fille, sans compter que ses beaux yeux bruns ne me quittaient pas non plus du regard. A mon plus grand agacement. 

Je baissais le regard sur mon portable posé sur ma table et je le déverouillai pour constater que le message que je venais de recevoir venait de l'un de mes meilleurs amis, Zayn. Nous avions beau être à moins de deux mètres l'un de l'autres, nous faisions ça à chaque fois, et ça , même avec Niall, Louis et Liam. Déjà, les textos aidaient pas mal pour discuter de nos dossiers cryptés, et en plus, cela nous permettait de montrer à tout le monde qu'on les envoyait tous se faire foutre. 

De ; Zayn
A ; Harry.
Hey mec ça va pas? Tu connais cette fille ou c'est juste parce que tu as désormais un droit de propriété sur elle? Mec, t'es bizarre depuis qu'elle est entrée dans la classe... 

Je relevais le regard vers lui, en secouant négativement la tête lorsque je croisais son regard brun inquisiteur. Il fronça les sourcils, alors je repris correctement mon portable entre mes mains, puis je lui répondis le plus évasivement possible ne voulant pas lui parler de notre petite "rencontre" d'il y a deux mois avec la belle innocente.  

De : Harry.
A ; Zayn.

Si, si. Ça va très bien même. Et à propos de cette fille, c'est aucune de tes deux propositions. 

Je rangeais mon portable dans ma poche de jeans noire moulant, au moment où Mrs. Mack et Mr. Ambrose s'exclamèrent en même temps, en disant -  ou plutôt, hurlant - « LUI? » , et quand je relevais le regard et que je vis tous les regards tournés vers moi, je compris qu'on parlait de moi. Aussitôt, un sourire aussi grand que celui du chat du Cheshire apparu sur mes lèvres, tandis que mes yeux vagabondaient entre Ambrose, Mack et la petite brune. Je pressentais que ce qui allait suivre allait me plaire. 

P.O.V. of Hope :

J'avais toujours mon regard vérouillé à celui de mon sauveur, alors que Mr. Ambrose et Mrs. Mack parlaient entre eux tandis que ma mère nous épiait discrètement en me lançant des regards rassurant dès que je détournais le regard des belles pupilles émeraudes de ce "Styles". 

« - Le soucis, c'est qu'à part à côté de Mr. Malik ou de Mr. Styles, je n'ai aucune place libre pour Hope, disait Mrs. Mack à Mr. Ambrose. 

Malgré le fait que j'avais toujours mon regard plongé dans celui du dénommé "Styles" j'écoutais le discours qui se passait entre Mrs. Mack et Mr. Ambrose d'une oreille attentive, et quand le jeune homme bouclé détourna le regard je pu enfin moi aussi me résoudre à l'imiter et prendre part à la conversation. Parce que j'avais une idée. Cette idée allait pouvoir me permettre de faire ce que je rêvais d'être en mesure de faire depuis deux mois : faire des remerciements. Alors, j'allai prendre la parole et proposer mon idée, mais Mr Ambrose avait déjà repris la parole, et par politesse je le laissais terminer. 

 - Ce n'est pas grave, je vais aller chercher une autre table et on va s'arranger, poursuivait Mr. Ambrose. 

Mais quand je compris de quoi il retournait, je m'empressais de saisir ma chance, et je proposais à mon principal et mon nouveau professeur d'Histoire une situation beaucoup plus simple que celle qu'il venait tout juste de proposer. C'était de toute manière ma seule chance de pouvoir lui parler, je pense. Je me lançais donc à l'eau, le plus innocemment possible. Et surtout, je tentais de paraitre forte et sûre de moi. 

 - Ne vous embêtez pas à aller chercher une autre table, cela ne me dérange pas de m'installer à côte de ce dénommé Styles.

Mes deux accompagnateurs se tournèrent vers moi avec une tenue crispée, alors qu'ils me regardaient les yeux ouverts comme des soucoupes et la bouche grande ouverte, tandis qu'ils se concertaient du regard, pas sûrs d'avoir bien entendu, et qu'ils se tournaient de nouveau vers moi et répétaient en même temps : 

 - Vous voulez être à côté de... de LUI?

Sur le dernier mot, ils n'avaient pas hésité à bien insister, tout en lançant des regards furibonds en direction de mon ange noire de la mort, alors que bientôt, tous les autres élèves de la classe les imitaient, des regards appeurés quand ils observaient le jeune bouclé et son autre disciple devinais-je, dans un coin de la classe. J'étais surprise par la réaction disproportionnée de mon nouveau principal, mais plus encore de la réaction de la professeure d'Histoire qui semblait pourtant si douce. Je n'étais pas non plus totalement idiote, j'avais bien compris que ce brun était un fauteur de troubles, qu'il aimait que les choses aillent dans son sens. Et puis je n'oubliais pas non plus dans quelle circonstance je l'avais rencontré. J'ignorais toujours pourquoi il s'était trouvé là, à tabasser mon geôlier. Et j'avais d'abord eu très peur de lui, mais en deux mois j'avais eu le temps de réfléchir : pourquoi devrais-je avoir peur de celui qui m'avait sauvé? Certes, il était terrifiant ce soir-là, et il s'était montré grossier, mais il m'avait sauvé, il ne m'avait pas blessé. Alors je lui accordais le bénéfice du doute et peut-être même un début de confiance. 

Quand Mrs. Mack et Mr. Ambrose avaient parlé - hurlé - , le jeune homme avait relevé le regard vers nous et lorsqu'il avait compris qu'on parlait de lui, il avait froncé les sourcils alors qu'un sourire méprisant et mauvais se dessinait sur les contours parfaits de sa bouche. Son sourire était aussi prononcé que celui du chat de Cheshire dans Alice au Pays des Merveilles. 

 - "Lui" a un prénom, dit méchamment mais narquoisement "Styles". De plus, je ne comprend vraiment pas pourquoi vous parlez de cette petite nouvelle sans importance et tout à coup de moi. 

Le fait qu'il me considère comme une "petite nouvelle sans importance" m'avait blessé alors que cela n'aurait pas du! Après tout, à part m'avoir sauvé la vie, il n'avait rien fait d'autre... Ah! Si, comme je me l'étais remémorais plus tôt, il m'avait complètement traumatisé et révolté avec son air de méchant garçon et ses paroles affligeantes. Et bien malgré moi, même si je lui accordai le bénéfice du doute, je n'étais pas non plus imbécile au point de ne pas comprendre que son air de méchant garçon ne devait pas être qu'un simple air.

Bon, d'accord, m'avoir sauvé la vie était quelque chose de très important, mais vu qu'il ne me considérait pas comme importante, j'allais en faire de même vis-à-vis de ce qu'il avait fait pour moi. Je sais, c'est une réaction pathétique, un peu immature, mais j'étais plus faible que je n'essayais de le faire croire. Alors, je serais à côté de lui, et je l'ignorais. Après tout, ce n'était peut-être pas plus mal. Oui c'était même peut-être mieux. Parce que je pouvais espérer qu'il ne m'ait pas reconnu ou qu'il ne se souvienne pas de moi, ainsi je n'aurai pas à m'inquiéter que des gens apprennent ce qu'il m'est arrivé. Oui c'était le mieux qu'il pouvait m'arriver, alors j'allai royalement l'ignorer. Même si j'aurai quand même voulu le remercier, mais tant pis.

Je tournai encore une fois un regard vers mes deux nouveaux professeurs et principal, alors que j'haussai les épaules.

 - Oui.  

 - Mais voyons... Hope... Avec ce que vous avez vécu, il n'est pas recommandé d'être près d'une personne aussi violente qu'Harry... 

Je me raidis, baissai furtivement le regard. Je sais que le professeur avait murmuré ses paroles pour que je sois la seule à l'entendre, mais j'avais la sensation que tout le monde l'avait entendu et que tout le monde avait compris. Alors, dans mon esprit, je me sentis me replier, je sentais les souvenirs affluer à nouveau. Mais je devais les combattre coûte que coûte, alors de toutes mes forces, je les repoussais. Puis relevant la tête, je regardais le principal et ma professeure d'Histoire, puis je tournais un regard vers ma mère, puis vers Harry... En passant, j'adorais son prénom, il était magnifique!  Enfin, bref. Je finis par tout de même affirmer ce que j'avais dit, même si le fait que je n'étais qu'insignifiante pour lui ne m'avait pas plu. Mais encore une fois, je me répétais que tout ça était pour le mieux. Et j'avais plus important à faire, là tout de suite. Je devais m'efforcer de me tenir droite et fière, montrant une confiance en moi et une force de caractère que je ne possédais pas du tout. 

 - Cela ne me dérange pas du tout. 

Ils semblèrent vouloir refuser de me l'accorder, mais au final, ils abandonnèrent et me laissèrent donc  m'installer à côté de Harry. Je leur souriais, et je leur fus reconnaissante de ne pas me demander de me présenter devant toute ma nouvelle classe. Je n'en aurais pas été capable. Et puis les gens n'avaient pas besoin de me connaitre, et je savais que la question de pourquoi j'arrivais ainsi au mois de mars dans un nouveau lycée aurait été soulevée, et c'était à éviter comme la peste. 

Je souriais et remerciais mon principal et mon professeur après avoir fait un dernier sourire à ma mère qui ne semblait pas du tout rassurée et elle le fut encore moins lorsque je me dirigeai vers ma nouvelle place à côté d'Harry. Intérieurement, je priais pour que ma mère tourne les talons et ne remarque pas les tatouages d'Harry ainsi que son attitude nonchalante et pourtant menaçante. Mais la chance n'était pas avec moi. 

C'est pourquoi, je ne fus qu'à moitié étonnée lorsque je vis soudainement ma mère faire son entrée dans ma classe avec un air paniqué sur le visage, tandis qu'elle s'empressait de m'appeler. 

 - Hope, pas question que tu sois assise à côté d'un garçon comme celui-ci! 

J'étais arrivée juste à ma table lorsque ma mère avait pris la parole, alors j'avais pu voir le regard d'Harry. Tout le long de mon ascension jusqu'à lui, il ne m'avait pas lâché du regard, me faisant légèrement rougir, et quand ma mère avait pris la parole pour dire cette phrase, son regard avait semblait s'embraser. Il avait alors momentanément lâché mon regard et s'était redressé dans une attitude beaucoup plus menaçante que jamais. J'en tremblais intérieurement de peur et je pinçais les lèvres. J'avais peur de ce qui allait suivre, je n'avais pas besoin que ma mère me fasse remarquer et encore moins que je sois détestée dès le premier jour par le bad boy du lycée. 

 - Déjà, sachez madame, que je m'appelle Harry Styles et j'apprécie qu'on me respecte! Dit-il le plus calmement possible. 

Je sentis le regard de ma mère se poser sur moi, alors que je regardais Harry qui regardait durement ma mère. Je n'aimais vraiment pas ce qui était en train de se passer, alors, je pris part à cette discussion. Tant pis pour l'impression que je voulais donner à mes nouveaux camarades avant d'entrer dans cette classe. De toute façon, je m'étais déjà bien fait remarquer, alors remarqué pour remarqué. 

 - Il n'est pas question que ma fille soit assise à côté d'un garçon comm... 

 - Maman, clamai-je d'un ton dur et sans appel, bien qu'un brin désespéré. 

Ma mère et Harry sursautèrent et tournèrent le regard vers moi. J'avais les yeux livides, le regard perdu alors que je combattais du mieux que je pouvais les larmes qui menaçaient de se créer et d'obscurcir ma vision. Je n'avais pas tout de suite pris conscience que j'étais dans un tel état, mais maintenant je sentais parfaitement que j'étais encore et toujours en train de mener un combat contre mon esprit, et contre mes yeux qui ne cessaient vouloir se débarrasser de mes larmes salées.  

 - Hope... Désolée... je... 

 - Ce n'est pas grave. Mais tout va bien se passer. 

Ma mère eut du mal à l'accepter, mais elle finit par hocher la tête et par quitter ma classe accompagnée par mon principal. Après ça, je me sentis embarrassée par tous les regards tournés vers moi, tous moqueurs sauf celui de Harry et de son ami. Eux restaient impassibles. Je finis par poser mon sac à l'aide de ma main gauche par terre en veillant à ne pas me faire mal à l'épaule, puis je m'installais à côté de Harry, sous son regard insistant.

Mais je l'ignorai. 

To be continued...


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