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Strange

Strange

P.O.V. Of Hope : 

Concentrée sur le cours de Mrs Mack, je prenais allègrement des notes sur son exposé concernant les conflits géo-politiques qui faisaient rage au Moyen Orient, ayant soudainement oublié l'incident du début de cours avec Amanda. Bien que déplorant, ce cours était à la fois passionnant. Certes, il était aussi une douloureuse constatation de ce qu'est l'Humanité actuelle, mais malgré tout intéressant à décortiquer. C'est ce genre de cours précisément qui me permettait de me faire un avis bien avisé sur le monde tel que nous le connaissons. J'avais toujours pensé que l'Histoire était bien plus que comter les récits des époques nous ayant précédé. L'Histoire doit nous servir de leçon, nous apprendre à ne pas faire les mêmes erreurs qui ont été faites par le passé. On doit en tirer profit pour rendre meilleur le monde. Mais on en était loin. Très loin même. D'autant plus qu'à mesure que la recherche avançait, les conflits devenaient de plus en plus terrifiant. Les gens n'hésitaient plus à se servir d'armes de pointes, dernières technologies pour parvenir à leurs fins. C'était inquiétant. D'autant plus qu'il ne s'agit pas seulement d'armes blanches ou d'armes à feu. Non, il y a aussi les armes biologiques qui peuvent décimer plus d'une population, ou les armes nucléaires. A cette pensée je grimaçai, soudainement distraite des explications de Mrs Mack. Crayon à la main, je le fis soudainement rouler le long de mes lèvres un jetant un coup d'oeil songeur autour de moi. Quand je le remarquai. 

Pendant les trente-sept minutes précédentes, j'avais tellement été plongée dans les explications de ma professeure que je n'avais même pas remarqué que mon voisin ne m'avait pas lâché du regard (à priori, en tout cas présentement il m'observait intensément). Et quand je parlais de mon voisin, je parlais évidemment d'Harry. Le souffle soudainement court, je plongeai mon regard dans le sien. Il m'adressa un petit sourire malicieux ce qui, fort heureusement, me permis de comprendre que sa colère l'avait déserté. En tout cas, il ne fusillait plus Amanda du regard comme s'il souhaitait la voir disparaître. Bien que je ne sois pas du genre rancunière, je ne pouvais nier que j'avais maintenant un véritable ressentiment pour cette...pimbêche. Donc je devais reconnaître que je serais heureuse si on m'apprenait qu'elle devait subitement changer de lycée, et même de ville. Tant qu'elle était loin d'Harry je n'aurai pas pu être plus heureuse. A cette pensée je jetais un coup d'oeil devant moi, dans la direction d'Amanda et je la fusillai du regard, mes jointures se resserrant presque inconsciemment autour de mon crayon. 

J'entendis vaguement le petit rire étouffé d'Harry, mais je ne le relevais pas. Mon autre main se resserra en un poing ferme autour de ma feuille de cours alors même que j'insultais intérieurement Amanda de tas de noms d'oiseaux. Quand tout à coup, ma chaise se mit en branle, sans pour autant faire de bruit. Surprise, je lâchai Amanda du regard en tentant de comprendre ce qu'il venait de se passer, mes yeux se dirigèrent aussitôt vers le sol, puis vers les autres pour voir s'ils avaient remarqué quelque chose, mais personne ne semblait me prêter attention. Puis je tournai la tête vers Harry, au moment où je le vis rapprocher ma chaise de la sienne. Je compris aussitôt ce qu'il s'était produit quelques secondes plus tôt. Surprise, j'interrogeai Harry du regard. Je ne comprenais pas pourquoi tout à coup, il n'avait plus peur de prendre le risque que nous soyons surpris. Alors même qu'il passait son temps à s'inquiéter à l'idée que les gens apprennent pour nous deux. Pas que ça me dérange que les gens apprennent pour nous, bien au contraire. Les seules personnes à qui je préférais cacher ma relation avec Harry étaient mes parents, et ils ne pourraient pas l'apprendre même si nous nous affichions avec Harry au lycée. Ainsi mes parents le sauraient quand je me sentirais prête à le leur dire, mais les autres, si ça ne tenait qu'à moi, je ne leur cacherai pas. Parce que je connaissais Harry maintenant, et bien que je ne cautionne pas tous ses agissements, j'acceptais maintenant tout. ce qui faisait qui il était. Je l'aimais pour ce qu'il était avec toutes ses nuances. Alors, plutôt que de me poser mille et une question, je me contentai de voir où cette situation présente nous menait. 

 - Que faites-vous Mr. Styles...? murmurai-je. 

Il me fit son fameux sourire malicieux, tandis qu'il terminait de me rapprocher de lui. Ma cuisse gauche était à présent collé à sa cuisse droite, et je sentis sa chaleur à travers mon jean. Le tout combiné à son regard intense et ses lèvres charnues, je sentis le rythme de mon coeur accélérer. Avec fascination, je le vis humecter ses lèvres du bout de la langue puis je vis sa tête se rapprocher de la mienne tandis que ses yeux faisaient l'aller retour entre mes lèvres et mon regard. Aussitôt, une chaleur diffuse se propagea dans mon ventre et je ressentis le besoin pressant qu'il m'embrasse, d'avoir ses mains sur moi, partout, même à des endroits où je ne pensais pas être prête à vouloir qu'on me touche à nouveau. Le souffle irrégulier, je vis le regard d'Harry se porter sur ma poitrine qui se soulevait à un rythme accélérée et je vis alors ses pupilles se dilater et son iris s'obscurcir. J'oubliai alors complètement le reste. J'en vins même à oublier que j'étais en cours, avec une trentaine d'autres personnes. J'oubliai tout pour me laisser happer par les sensations exquises qu'Harry éveillaient en moi, et par le besoin de le toucher. 

 - Je ne cherche qu'à vous séduire Mlle Ryder...

Harry souffla dans mon oreille, sur un timbre rauque. Je du me faire violence pour ne pas me jeter sur ses lèvres alors même que je resserrai mes cuisses les unes contre les autres. Ma raison me criait de me reprendre, me rappelant que j'étais en classe et que ça n'était pas du tout le moment de ressentir un pareil désir, mais mon corps semblait déconnecté de mon cerveau. Mon cerveau semblait sur le point de rendre les armes à son tour quand je vis le regard d'Harry s'attarder sur mes cuisses resserrées les unes contres les autres, ses iris semblèrent soudainement s'embraser et je l'entendis déglutir bruyamment. Je mordis ma lèvre inférieure en essayant de me détourner de toute cette attraction qu'Harry exerçait sur moi, je m'enjoignais de penser aux guerres au Moyen Orient, à la faim dans le monde, le paludisme, tout mais pourvu que je parvienne à me reprendre. Mais soudain, la main d'Harry se retrouva sur mes cuisses. Bien trop proche du centre de mon désir, et ce fut pire quand avec cette même main, Harry se mit à caresser lentement ma cuisse. J'avais soudainement très chaud, je ne parvenais pas à me tenir immobile, mon souffle était saccadée et j'étais tendue bien malgré moi vers Harry. Intérieurement je priais pour qu'Harry arrête, tout en ne le souhaitant pas. Mais je priais aussi pour que personne ne décide de s'intéresser à nous, parce qu'il devait être évident à ma tête de ce qu'il m'arrivait. 

 - Harry...exhalai-je d'une voix suppliante. 

Mais je ne savais même pas pourquoi je le suppliais réellement : d'arrêter? ou d'apaiser le feu qui brûlait en moi? Certainement un mélange des deux. Mais soudainement, les doigts d'Harry disparurent, et je ne sentis plus sa chaleur. Légèrement abasourdie, je le vis même éloigner à nouveau ma chaise de la sienne, puis il repris contenance à une vitesse impressionnante. Et alors il se mit à ranger ses crayons dans son sac sans même me jeter un coup d'oeil alors que j'étais moi-même dans tous mes états après qu'il m'ait allumé. Choquée, je tentais à mon tour de reprendre contenance, tout en tentant d'embrigader ma colère qui commençait à affluer, conséquence de ma frustration et aussi de mon agacement à sa capacité d'adaptation ahurissante. J'allai lui faire savoir ma colère quand, stupéfaite, je le vis se lever pour ramasser mon sac dans lequel il rangea mes affaires. Les yeux écarquillés, je l'observai sans même être capable de réagir alors que tout le monde s'était retourné pour le regarder faire. Lui les ignorait complètement. D'ailleurs, il m'ignorait aussi. Je cru même qu'il allait ignorer notre professeure. 

 - Mr Styles, je peux vous demander ce que vous faites au juste? s'exclamait Mrs Mack d'une voix stridente. 

Bouche bée, je vis Harry faire un signe de tête à Zayn qui se leva à son tour avec ses affaires rangés. Tous stupéfaits (la professeure compris) nous les regardions debout, sans comprendre ce qu'il se passait. Je vis Mrs Mack jetait un coup d'oeil à mon sac qu'Harry tenait et elle me jeta un coup d'oeil intrigué, tentant de toute évidence de comprendre ce qu'il se passait. Le truc c'est que moi-même, je n'y comprenais rien. Alors je ne pourrais pas l'aider davantage. 

 - Eh bien il se trouve que j'ai des choses à faire. En plus, votre élève ici présente ne semble pas dans son assiette, donc je vais être sympa, je vais l'accompagner à l'infirmerie. Zayn, on s'arrache. 

Ahurie, je les vis se diriger vers la porte, toujours assise sur ma chaise. Tout le monde regardait Zayn et Harry quitter la pièce, surpris sans l'être complètement. Je crois que ce qui les surprenait le plus (moi la première) ce n'est pas tant le départ avant la fin du cours des garçons, mais plutôt Harry qui avait pris mon sac en prétendant vouloir me conduire à l'infirmerie. Soudainement Harry s'arrêta à la porte, mon sac toujours dans sa main, et il me jeta un regard étrange. Il semblait faux, on aurait dit qu'il était froid, mais au fond, bien caché, je voyais comme une sorte d'éclat de malice. 

- Ryder, tu pourrais te magner le cul? J'ai pas que ça à faire, alors si tu veux aller à l'infirmerie pour régler ce qui ne va pas c'est maintenant ou jamais. 

Il dit ça tout en regardant vaguement l'heure sur sa montre. 

A la fois intriguée, et avouons-le, un peu furieuse, je me levais brusquement, les joues rouges et je le suivis. J'avais bien l'intention de lui passer un sacré savon à cet idiot arrogant. Mais avant ça, je m'arrêtais devant Mrs Mack et je m'excusais poliment de quitter son cours. Avec bienveillance elle reconnue que je n'avais pas l'air dans mon assiette (à cause de qui hein...) et qu'il était donc mieux que je quitte son cours. En revanche, elle me rappela qu'elle pouvait demander à quelqu'un d'autre qu'Harry pour m'accompagner chez l'infirmière. Je lui fis un petit sourire (en masquant ma désolation de lui mentir) et je lui affirmais que c'était bon. Puis une fois fait, je sortie précipitamment du cours, furieuse contre Harry. Ce dernier m'attendait avec Zayn, accolé à la rangée de casiers derrière lui et il ne me quittait pas du regard. Pas de chance, j'étais beaucoup trop en colère contre lui pour m'attarder sur son petit sourire qui avait pourtant pour habitude de me mettre dans tous mes états. Hors, là il avait dépassé les bornes. Non seulement il me titillait chaudement, très chaudement même en plein cours, mais après il redevenait tout à fait calme pour finalement me traiter comme un chien en m'ordonnant de sortir d'un cour! Je me dirigeai à pas furieux vers lui, mes yeux lançant des éclairs. De son côté, il ne me lâchait pas du regard tandis qu'il semblait expliquer à Zayn qu'il était en charge de prévenir Luke qu'aujourd'hui il était relevé de ses fonctions. A savoir : me protéger! Hors, repenser à ça redoubla ma colère.

- Espèce d... Putain j'arrive pas à croire que tu puisses te comporter comme un tel abruti! m'éructai-je.

J'étais maintenant juste en face d'Harry et je pointais son torse d'un doigt accusateur, ma fureur étant à présent à son comble. J'étais tellement furieuse contre lui que j'entendis à peine le rire de Zayn avant qu'il ne s'éclipse. Harry non plus ne semblait pas y prêter attention, trop concentré sur moi. Pour autant, il ne semblait pas réellement faire attention à ce que je lui disais, alors que j'étais pourtant en train de lui déballer toute ma colère à force de coups de doigts sur son torse et de mots secs. 

- Non seulement tu ne me préviens pas que tu me mets un putain de garde du corps dont je n'ai pas besoin, mais en plus il faut qu'un de tes anciens boulets sexuels m'agressent alors que je ne lui ai rien fait. Oh et n'ose pas prétendre que t'as jamais couché avec cette... cette pétasse parce que je te croirais pas une seule seconde! 

Pendant toute ma tirade, Harry semblait m'écouter avec attention, tout en étant à la fois distrait par autre chose, c'était assez troublant. En revanche, je l'avais à peine remarqué sur le coup, tout comme je n'avais pas vraiment eu conscience qu'alors que je me défoulais sur lui, il m'emmenait en direction de la sortie du lycée. C'est pourquoi, c'est seulement quand il intervint durant mon monologue que je pris conscience que nous étions à présent sur le parking, au niveau de sa voiture. 

- ...mais c'est pas tout, en plus tu te permets carrément de me chauf...

Je n'eus pas l'occasion de terminer mon savon, parce qu'Harry avait soudainement ouvert la portière de son Range dans lequel il me poussa sur le siège passager où il m'attacha avec la ceinture de sécurité. Abasourdie, j'arrêtais de parler et j'observai curieusement l'environnement (pourtant pas inconnu) de sa voiture alors même que ce dernier montait sur le siège conducteur. Aucun mot ne sortait de ma bouche, trop perturbée que j'étais à tenter de comprendre ce qu'il pouvait bien être en train de faire. C'est seulement quand il mit le contact et qu'il passa la première que je repris enfin contenance. 

- Mais qu'est ce que tu fais encore? Ma voiture Harry! 

Il me jeta à peine un regard, au lieu de ça il observa notre environnement afin de vérifier comme toujours qu'aucun danger ne rôdait, puis il appuya sur la pédale d'accélérateur avant d'élancer sa voiture hors du parking. Et c'est seulement une fois sortie du parking du lycée qu'il daigna me répondre. 

- Zayn te ramènera ta voiture chez toi, ne t'en fais pas. 

Pour autant, il ne me dit jamais ce que nous faisions. Et de mon côté, je ne décolérais pas, bien qu'il y ait ce soupçon d'intrigue qui occultait un peu ma colère. Mais je décidais alors que justement, j'étais en colère, alors je n'allais plus lui adresser un seul mot. J'étais vraiment agacée, il se comportait vraiment comme un crétin parfois. Et aujourd'hui il était au summum de l'idiotie. J'ignorai ce qui lui prenait aujourd'hui, mais décidément il était à côté de la plaque. D'accord, il apprenait en même temps que moi à sortir réellement avec quelqu'un mais là... merde, son comportement était complètement incohérent! J'étais encore en train de ruminer mes pensées quand je sentis la voiture s'arrêter. Malgré tout intriguée, je regardais par la vitre où nous étions et je vis alors que nous étions chez lui. 

- Tu te fous de moi?

Harry me jeta un bref coup d'oeil, mais m'ignora pour autant avant de descendre rapidement de la voiture et de venir me faire descendre. Je continuai mon petit speech alors même qu'il me faisait entrer dans l'imposante maison. 

- Tu m'as chauffé et ensuite laissée comme une idiote pour ensuite m'obliger à quitter le lycée, juste pour me ramener chez toi?! Et je paris que tu vas encore me laisser en plan chez toi pendant que t'iras faire je ne sais quoi et...

Soudainement j'étais plaquée contre la porte fermée, tandis que les lèvres d'Harry étaient sur les miennes. Déstabilisée, je ne voulais pas qu'il se serve de mes sentiments et de mon désir pour lui afin de me détourner de ma colère alors je tentais de le repousser. En réponse il mordilla ma lèvre ce qui me fit soudainement lâcher un petit gémissement étouffé. 

 - Si j'ai agis aussi étrangement c'était pour ne pas éveiller les soupçons... et t'avoir chauffé comme tu le dis si bien bébé, c'était surtout parce que j'en avais envie et aussi un peu parce que j'avais besoin que tu paraisses fiévreuse pour que les gens ne posent pas trop de question quand je te ferais sortir de cours pour t'emmener à l'infirmerie. Alors qu'en réalité, mon but premier n'a toujours été que de te ramener chez moi. 

Le souffle court, je tentais de reprendre contenance mais Harry ne me rendait pas la tâche simple. En effet, alors que je voulais essayer d'y voir plus clair, ce dernier ne trouvait pas meilleure idée que celle de passer ses lèvres dans mon cou. Il déposa une nuée de baiser de sous mon oreille jusqu'au creux de ma carotide. Je fermais les yeux face à tant de sensations, mais aussi pour essayer de repousser ces mêmes sensations. 

- M-mais... pourquoi...aujourd'hui? Maintenant? (je lâchai un gémissement quand Harry se mit soudainement à suçoter une zone particulièrement érogène de mon cou) ça ne pouvait... merde... pas attendre la fin de-des cours? 

Je sentis le sourire d'Harry contre mon cou quand il souffla "non" près de mon oreille. Puis il repris la parole, alors même que ses mains se baladaient sur mes hanches, puis venaient effleurer la courbe de mes fesses. 

 - Non parce qu'on devait être là pour la livraison...

De plus en plus intriguée, je posais mes mains à plat sur son torse pour le repousser. 

- La livraison? 

Il me fit un grand sourire en s'écartant finalement de moi. Complètement perdue, je tentais de sortir des vapes du plaisir, mais aussi de celles de ma colère pour tenter de me fouiller les méninges pour comprendre de quelle livraison il parlait. Quand Harry me fit alors signe de rester où j'étais et qu'il partit en direction du garage, je pus réfléchir un peu mieux. Pourtant, de toutes les livraisons dont il pouvait être question, il était certain qu'il n'avait pas besoin de moi pour la recevoir. Ce qui était certain, c'est que ça n'avait aucun rapport avec le gang. Mais alors pourquoi avait-il besoin de moi? Une ribambelle de questions me venaient en tête quand j'entendis soudainement les pas d'Harry qui venaient dans ma direction. J'allai reprendre la parole quand je le vis Harry avec dans sa main un sac de transport pour un animal auquel était tendu des ballons d'hélium. Mais ce qui me fit perdre tous mes moyens, ce n'était pas en soi les ballons, mais le petit miaulement que j'entendis avant qu'Harry ne tourne la cage vers moi. 

 - Joyeux anniversaire bébé. 

Je m'apprêtais à lui dire que mon anniversaire n'était que quand deux jours quand Harry ouvrit le sac. Et là, de la cage sortit le plus adorable des chatons. 

To be continued...


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