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Secret's end




Secret's end

P.O.V. Of Hope

Figée, je fixais du regard Harry tandis que mon corps était pris de frisson alors qu'il tentait de s'habituer à la température de l'eau dans laquelle Harry nous avait plongé. Sa demande tournait en boucle dans ma tête sans que je ne puisse l'arrêter, et mon estomac commença alors à faire des siennes, mon esprit ne pouvant s'empêcher de se souvenir de tous les détails de mon enlèvement. Je tentai du mieux que je le pouvais de repousser à la fois nausée et souvenirs, mais le regard d'Harry m'implorait de lui dire tout ce dont j'étais capable de me souvenir. Je voyais dans ses yeux verts, qui ne sont pourtant habituellement pas si expressifs, qu'il en avait besoin. C'est important pour lui d'en savoir plus. Peut-être était-ce dû à son besoin pathologique de tout contrôler, ou alors, il avait une raison plus altruiste. Il y a encore deux mois, je n'aurai pas une seule fois pu imaginer qu'il puisse me demander ça pour une raison qui ne sert pas ses propres intérêts. Mais en maintenant presque 12 semaines, j'ai eu l'occasion d'apprendre à mieux le connaitre, et ce malgré ses jours d'absences à l'étranger. Je l'ai vu s'adoucir à mon contact, tout en restant fidèle à lui-même avec les autres. A mon plus grand bonheur. Parce que contrairement à ce que beaucoup pourrait penser, je ne cherche aucunement à changer qui il est. Je suis tombée amoureuse du mec attentionné, mais aussi du mec cruel et violent. J'accepte sa noirceur et je ne le juge pas. Je n'irais pas jusqu'à dire que je cautionne tout ce qu'il a pu faire dont j'ai eu connaissances, mais ces actes parlent pour lui-même. Certes il utilise à tout bout de champs la violence, la cruauté, et la manipulation, mais maintenant que je le connais, je sais que ses actions ont toujours un but plus noble que ce que les gens s'imaginent. Mais pourtant à cet instant, la seule chose que je souhaitais, c'était de l'éloigner de moi. Il était dangereux pour mon coeur et ma santé mentale et je ne savais pas comment le gérer. Je connaissais la détermination profonde d'Harry, je savais aussi qu'elle était d'autant plus intense qu'il s'agissait de moi, mais je n'étais pas prête.

- Je... je ne peux pas Harry. J'en suis... incapable, soufflai-je.

Son souffle vint buter contre mes lèvres, alors que ses yeux ne me quittaient plus. Son regard brûlait d'appréhension, mais pourtant d'une telle détermination, d'un tel besoin, que je sentis mon coeur se serrer. Me trouver confrontée à un tel regard émeraude me rappelait à quel point mes sentiments pour lui étaient forts, à quel point il me faisait me sentir en sécurité dans ses bras. Et ce sont ces sentiments qui me convainquaient chaque jour de plus en plus que mes sentiments étaient bien authentiques, qu'ils n'étaient pas l'oeuvre de mes démons. Mais je ne voulais pas voir ce regard se ternir quand il me regarderait. Parce que c'est ce qui allait finir par arriver quand il saurait tout. Il ne pourrait pas s'empêcher de me regarder avec dégoût, pitié. Je ne supporterai pas de susciter de tels sentiments chez lui.

- Tu en es capable, bébé. Tu as seulement peur, affirma-t'il.

Bouche bée, mes yeux s'écarquillèrent de surprise tandis qu'un petit sourire malicieux (qui n'atteignit pourtant pas ses yeux) incurva ses lèvres. J'ignorai qu'Harry me connaissait assez bien pour comprendre ce que je lui cachais, il avait vu derrière mes mots, su dès le début que j'étais juste effrayée, alors même que je me pensais excellente actrice. Mais à vrai dire, j'aurai du me douter qu'il était capable de voir à travers les non-dits. Je suis peut-être une bonne comédienne, mais lui excelle dans l'art de la manipulation. Et il n'est pas seulement question de manipulation des sentiments d'autrui, il est aussi question de sa capacité impressionnante à manipuler habilement les différentes facettes qui le compose. Il est tellement doué que quelqu'un qui ne le connait pas personnellement serait incapable de voir au-delà de l'image qu'il donne de lui. J'en étais moi-même la preuve vivante, pendant des semaines je n'ai vu qu'en lui un monstre qui ne ressentait des sentiments qu'en blessant les autres. Maintenant je sais que c'est faux, et je ne peux qu'applaudir son intelligence.

- Tu m'impressionnes chaque jour un peu plus..., chuchotai-je. Tendrement, en tentant de contrôler les tremblements de mes mains (qui n'avaient rien à voir avec la faible température de l'eau) je posai mes paumes sur ses joues. Harry prit alors une brève inspiration, tandis que la tension de son corps se relâchait.

Ma propre tension s'effila à mesure que le sang montait aux joues d'Harry, alors même que je pensais ça impossible. Je pinçai entre mes dents ma lèvre inférieure tandis que je contenais un petit rire, laissant finalement retomber mes peurs et mes insécurités. Le regard d'Harry tomba alors sur mes lèvres et ses yeux s'assombrirent, prenant une légère teinte onyx tandis qu'il se collait davantage à moi, sans en être réellement conscient à priori. A mon tour, je sentis mes joues s'échauffer alors même qu'instinctivement je fis mine de faire un pas en arrière face à l'intensité de son regard. C'est à cet instant que je me rappelais qu'Harry m'avait plaqué contre le mur de la piscine, ne me laissant aucune porte de sortie.

- Ah oui, je t'impressionnes..?

Son ton était inquisiteur, mais son regard était perdue dans une autre dimension que celle de sa question. Je souris, mes mains toujours sur ses joues, et je caressais avec douceur la peau tendu au niveau de ses zygomatiques. Je vis les muscles de ses bras se contracter puis ces derniers se rapprocher de moi.

- Ouais. Tu es le seul à savoir lire en moi de cette façon...

Je perdis à nouveau le sourire alors qu'une nouvelle pensée sonnait le glas dans mon esprit.

- Et c'est justement pour ça que j'ai si peur de t'en dire plus, Harry... Je n'ai pas envie que tu comprennes toute l'étendue de ce que j'ai pu ressentir.. et surtout.. je ne supporterai pas que le regard que tu portes sur moi change. Je ne survivrai pas à ta pitié, Harry.

Harry se figea, ses yeux remontèrent alors vers les miens, son attention étant complètement revenu à la situation actuelle. A nouveau son regard s'obscurcit, mais cette fois, cela n'avait rien à voir avec du désir, si ce n'est une sombre colère. Il y a encore quelques semaines, j'aurai cru qu'elle m'était adressée, aujourd'hui je savais qu'il n'en était rien. Si Harry Styles était furieux, c'était en général parce qu'une personne s'en était sciemment pris à quelqu'un qui comptait pour lui. Et je savais que je comptais pour lui, même s'il n'avait jamais vraiment mis de mot sur ses sentiments pour moi (comme je ne l'ai pas fais moi aussi), je savais qu'ils étaient là. A sa façon, il m'aimait sans doute, enfin il avait de l'affection pour moi ça c'était sûr.

- Je ne pourrais jamais ressentir de la pitié pour toi, Hope. Je ressens un tas de trucs pour toi comme l'admiration, la fierté de te voir toujours debout et si forte, mais parmi tous les sentiments que je ressens pour toi, pas un seul ne s'apparente de près ou de loin à de la pitié. Sache-le.

Les actes parlent parfois plus que les mots.

C'est à cet instant que je su avec force qu'il était sincère, que son regard sur moi ne changerait pas. Mais surtout, c'est à cet instant que je su avec certitude que je comptais pour lui. Bien plus que je ne l'avais imaginé d'ailleurs. C'est ce qui me permis de me défaire de mes entraves, de me libérer d'un poids.

Et de parler.

P.O.V. Of Harry

- C'est arrivé le jour de l'anniv... de l'anniversaire de sa mort... Ce jour-là, l'ambiance chez moi était plus que jamais déprimante, je veux dire, en tant normal mes parents et même moi, on essaye de prétendre qu'on a tous fait notre deuil mais c'est totalement faux. On est une belle bande d'hypocrites concernant Timothy. Parce qu'on continue de faire mine d'avoir accepté la chose devant les autres, on prétend qu'on n'est plus en colère, qu'on comprend parfaitement qu'avoir une crise cardiaque si jeune est certes, rare, mais que ça arrive. Mais la vérité c'est qu'aucun d'entre nous n'arrive à comprendre comment ça a pu lui arriver. Les médecins ont beau nous avoir répéter qu'il avait une malformation congénitale cardiaque sans connaissances sémiologiques connues donc dont on ignorait l'existence, ça n'atténue pourtant pas l'incompréhension. Je veux dire, il était si jeune, pourquoi lui? Pourquoi ce n'est pas moi qui avait cette malformation? Enfin... tu vois ce genre de questions que tout le monde se pose durant les phases de deuil. Sauf que même cinq ans après, aucun d'entre nous n'a réellement réussi à le faire ce fichu deuil. Oh mes parents tentent de se montrer fort pour moi, mais je n'ai jamais été dupe et ça ne va pas commencer aujourd'hui. On a tous été bousillés par sa mort, j'ai perdu mon jumeau. Il avait toujours été mon point d'ancrage dans la vie, alors... le jour de notre anniversaire c'est toujours l'un des pires jours de l'année. En général j'ai besoin de m'isoler et d'aller me rouler en boule dans mon coin pour broyer du noir, puis aller parler avec mon frère. Mais cette fois-là... je ne sais pas, je n'avais pas la force de prendre ma voiture, de quitter la ville pour aller au cimetière de Homes Chapel et d'aller lui parler. J'en avais marre de lui parler pour lui dire des choses qui l'auraient sûrement déçu. Alors je n'y suis pas allé. Du moins, j'avais prévu d'y aller en même temps que mes parents en fin de journée. Sauf que... Julian, un de mes amis d'avant.. il est venu me chercher chez moi. Il ne m'a pas laissé le choix, il m'a dit qu'il était là pour venir me sortir de grès ou de force, et que lui, Amber, Chad, Lily, Charlotte et Nick allaient me changer les esprits. Je ne voulais pas, j'ai tout fait pour refuser, la... discussion s'est poursuivi pendant près de 15 minutes avant que mes parents n'interviennent et me donnent l'ordre de sortir avec mes amis. Donc j'ai suivi Julian. Très vite, il s'est avéré qu'on rejoignait nos amis à une fête foraine dans notre ville, mes amies avaient pris avec eux des bières, mais je n'avais ni envie de boire, ni de m'amuser dans les manèges de la foire. Alors...après à peu près une heure, je me suis dis que j'avais attendu assez longtemps, que je pouvais repartir. Donc... j'ai profité que mes amies avaient le dos tourné pour partir. Ce n'est qu'une fois la fête foraine loin dans le dos que je me suis décidée à leur répondre en leur disant que j'allai bien, que j'étais repartie à pied et que je rentrais directement chez moi. Et c'est vraiment ce que j'avais prévu de faire sauf que... en route j'ai pensé à Timothy. J'avais soudainement envie d'être proche de lui, mais je ne voulais pas inquiéter plus mes proches, alors je ne suis pas partie à pied jusqu'au cimetière de Holmes Chapel. De Middlewich nous étions déjà à 10 minutes en voiture, à pied ça allait me prendre trop de temps d'autant plus que c'est une route dangereuse pour rejoindre les deux villes. Alors... je me suis rendue à notre endroit à nous. A la périphérie de Middlewich, il y a un petit coin de verdure où on est entouré à la fois par le cour d'eau Croco et le cour d'eau Dane qui longe Homes Chapel aussi. C'était un lieux calme où peu de gens passaient, c'était notre lieu à nous. Alors j'y suis allée. Mais quand je suis arrivée il y avait...Carlos. Je me suis tout de suite méfiée de lui, il m'effrayait sans que je sache réellement pourquoi. Alors j'allai partir. Quand il s'est soudain mis à me parler de Timothy.

Je grinçais soudainement des dents tandis que je resserrais mes bras autour de la taille de Hope en déposant des baisers dans son cou. C'était à la fois une technique pour l'apaiser elle, mais aussi et surtout pour me calmer moi. Je sentais que les choses allaient définitivement se corser maintenant et que ma patience allait être mise à rude épreuve, ou plutôt ma gestion de la colère. Déjà juste entendre la peur dans sa voix quand elle parle de Carlos.. ça me rend dingue! Je n'ai jamais autant désiré de toute ma vie buter quelqu'un. Mais le tuer d'un coup serait beaucoup trop gentil pour lui, il méritait de souffrir, de vivre ce qu'il avait fait subir à Hope. Le jour où je l'attraperai, je me promis de le torturer suffisamment longtemps pour qu'il me supplie de le tuer. A ce moment, je le blesserai suffisamment pour qu'il pense mourir, puis je le soignerai, et je recommencerai jusqu'à ce que j'estime qu'Hope aura été vengée.

- Harry...? ça va..? tu veux que j'arrête?

Surpris, je me figeai subrepticement et je me rendis compte que j'avais complètement perdu le fil à cause de ma colère. Merde. Je m'étais promis de ne pas l'interrompre, de ne rien laisser paraitre de mes réactions pour que ce soit plus facile pour elle, et comme un idiot dès qu'elle parlait de Carlos je foutais en l'air ce que je m'étais promis de faire. Je devais me reprendre, elle avait besoin que je sois fort pour elle, que je l'écoute sans émettre de commentaires qui pourraient la dissuader de continuer. Parce que bien qu'elle semble croire le contraire, elle avait besoin d'enfin en parler de façon volontaire avec quelqu'un en qui elle se sentait en confiance. Tout comme moi j'avais besoin de savoir comment c'était arrivé et ce que ce salaud lui avait fait.

- Non, excuse-moi bébé, continue. Promis je me suis repris, ajoutai-je quand elle me lança un regard sceptique.

- D'accord...

Elle examina une nouvelle fois mon regard, mais aussi mon visage et la tension de mon corps dans sa globalité, avant qu'un faible sourire ne se dessine sur ses jolies lèvres. Elle fit un petit mouvement de la tête qui semblait dire "je te crois" et à cet instant, je compris qu'effectivement elle avait réellement confiance en moi. Ce constat fut pour moi le plus beau des cadeaux, je n'aurai jamais pu rêver mieux qu'elle, son affection et sa confiance. Et c'est avec ces pensées à l'esprit que je parvins à faire complètement disparaitre la colère de mon esprit, enfin je parvins à la brider.

- Il m'a dit qu'il était un ami de Timothy, reprit-elle. Qu'ils s'étaient connus il y a des années, qu'ils avaient beaucoup joué ensemble. Au début... j'ai voulu y croire. Juste parce que je me disais bêtement que s'ils avaient été amis, ça m'aurait permis de pouvoir partager sur des choses inconnues pour moi concernant mon frère. Sauf que... il était trop inquiétant pour que ma raison ne revienne pas au galop. J'ai vite compris, quoique trop tard, que c'était impossible. De l'une, il était plus vieux que nous d'au moins 4 ans et Timothy avait 13 ans, cela signifiait qu'il aurait du connaitre Carlos au moins à 9 ans. Or à cet âge, nous ne sortions jamais seuls, nous étions toujours avec nos parents. Puis de l'autre, Timothy et moi n'avions aucun secret l'un pour l'autre, il ne m'aurait pas caché son amitié avec quelqu'un d'autre. Nous avions toujours eu les mêmes amies. Alors j'ai su que ce n'était pas le cas. Du coup, j'ai tenté de fuir de manière intelligente, mais Carlos était moins idiot que je ne le pensais. Quand il s'est rendu compte que je commençai à m'éloigner pour partir, il a sorti une arme. E-et... je... enfin... j'étais terrorisée, je ne comprenais pas...je ne comprenais pas pourquoi il faisait ça. Alors je le lui ai dis... j'ai essayé de comprendre comment il connaissait le nom de mon frère, pire comment il connaissait le miens... j'essayais de le faire parler, de détourner son attention tandis que discrètement je tentais de faire le numéro de la police. Tandis que j'essayai.. i-il..il a pris un malin plaisir à m'expliquer comment il m'avait aperçu quelques mois plus tôt, comment il était tombé... sous.. sous le charme. Comment j'étais devenue son obsession... alors il a eu l'idée de récolter le plus d'info sur Timothy et ma famille pour mieux m'attraper. Au fil du temps, au fil des mots, je me suis rendue compte de comment il devenait fou furieux, plus obsédé de mot en mot. Et je le voyais se rapprocher... j-j-je... j'avais tellement peur, j'étais glacée, parce que je comprenais exactement ce qui allait m'arriver si je ne parvenais pas à me sauver... alors j'ai appuyé sur la touche d'appel d'urgence, c'est à cet instant que j'ai reçu le premier coup de couteau, puis dans le même temps qu'il m'a violemment assommé. J'ai vite perdu connaissance... et puis quand je me suis réveillée j'étais...dans...dans cet-cette pièce...

Mon coeur se mit à saigner de douleur à mesure que les larmes dévalaient sur les joues de ma belle brune. Ma colère n'était rien en comparaison à ma douleur. Je souffrais de savoir ce qu'elle avait du ressentir, je souffrais de la voir dans cet état présentement et je me sentais sérieusement impuissant et ça me foutait en rogne. Mais un jour je ne le serai plus, un jour j'abattrai ce fils de pute et ce jour-là, ma copine sera enfin dans un monde moins effrayant, un peu plus sécuritaire. Je me fis la promesse de donner ma vie pour garantir à Hope la plus merveilleuse vie possible, je me jurai de la rendre heureuse, peu importe commun.

- Bébé, je te promet que je te protégerai jusqu'à mon dernier souffle. Même si un jour tu décides que tu ne veux plus de moi, je veillerai toujours sur toi. Et je peux t'assurer que tu n'auras bientôt plus à t'inquiéter de Carlos, bientôt tu pourra faire ta thérapie, te reconstruire et peut-être même réussir à faire ton deuil. Celui de Timothy mais aussi celui de la fille que tu étais avant ton... enlèvement. Je te le jure Hope, tu pourras bientôt aimer à nouveau le fait d'être une survivante.

Son regard larmoyant fixé sur moi, elle déposa soudainement des baisers sur mon visage.

- le fait d'être avec toi me rend déjà heureuse d'être en vie Harry. Tu ne m'as pas seulement sauvé des griffes de Carlos, tu m'as aussi sauvé de moi-même en me faisant ressentir des choses. D'abord la colère, mais c'était un excellent moteur pour savoir que j'étais vivante, tu m'as aidé à tenir le coup Harry et tu m'aides toujours.

Touché bien plus que je ne voulais l'admettre, je sentis une immense vague d'affection graviter autour de mon coeur. Dans un coin de mon esprit une petite voix me soufflait malicieusement que c'était bien plus que de l'affection, et je ne pouvais qu'approuver. Mais cette même voix me chuchotait que c'était de l'amour, et je n'étais pas encore prêt à faire face à ça. Même si je le savais déjà depuis un moment maintenant. Mais à cet instant, la seule chose que j'étais capable de faire pour lui montrer l'étendu de mon "affection" pour elle, c'était par le toucher.

Alors je l'embrassai avec toute la force des sentiments que j'avais pour elle.


To be continued...

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