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After school


      After school 

P.O.V. Of Harry 

 - Vous me faites tous chier, m'écriai-je soudainement à l'égard de mes amis. 

Ces derniers venaient de me rejoindre puisque c'était la fin de notre journée au lycée. C'était une habitude, mais aussi une règle de survie de rester au maximum ensemble, il n'est jamais bon de se retrouver seul lorsque l'on fait parti d'un gang. C'est pourquoi, dès que la sonnerie sonnait la fin des cours, nous avions pour habitude de tous nous rejoindre. De plus, si nous recevions une alerte de violation de territoire, ou si nous étions confrontés à un problème avec nos rivaux, nous étions tous les cinq ensemble et nous pouvions mieux prendre nos décision pour ensuite ordonner à nos hommes de tous les recoins de Holmes Chapel mais aussi des autres branches du gang en Angleterre. Le gang s'étendait aussi depuis récemment à l'étranger. Ainsi, nous étions de plus en plus nombreux, mais nous restions les cinq leaders, bien que je sois considéré comme l'unique leader, surement parce que j'ai créé ce gang. Et à bien des égards, j'étais l'unique leader, quand une décision devait être prise, seule ma voix comptait. Mais Niall, Liam, Louis et Zayn sont ce qu'on pourrait dire des sous-leaders, ou des seconds. Et en tant que second, ils ont tous une spécialité bien précise, par exemple, Liam trouve sa spécialité dans l'informatique. Ainsi, je ne prend pas de décision sans avoir eu l'avis avisé de mes 4 meilleurs amis, mais aussi mes seconds. Les Australiens pour leur part étaient des seconds, mais c'était différent, déjà parce qu'ils agissaient dans le plus grand secret, mais aussi parce qu'ils s'étaient intégrés au gang au fil des années, tandis que mes meilleurs amis étaient là depuis la formation du gang Styles. Enfin, bref. C'est ainsi que nous fonctionnons et c'est la raison pour laquelle nous étions toujours à cinq, et rarement séparés les uns des autres à moins que cela soit un choix stratégique. Ou quand je suis sous le coup de mes pulsions, notamment quand il est question d'une petite brune qui me fait totalement perdre la tête. 

Et justement, à ce moment, c'était à cause de cette même petite brune que j'engueulais mes meilleurs amis, alors qu'au final, ils ne faisaient rien de mal, si ce n'est rembarrer gentiment Niall à propos de son week-end en amoureux avec sa copine. Mais justement, il parlait de Niall et de sa copine, pendant que moi je devais cacher à tous la mienne, alors même que je mourrai d'envie de dire qu'elle était mienne. Sans compter que je ne l'avais pas revu depuis ce midi après l'altercation avec cette enflure de Connor. Et quand je l'avais quitté, elle était blême, je ne l'avais jamais vu aussi perdue, blafarde. Enfin, mise à part le jour où je l'avais sorti des griffes de Carlos, ou devrais-je plutôt dire, les jours. Et à part la douleur, la seule émotion que j'avais vu dans ses yeux étaient la colère. Quand elle avait posé son regard sur moi, elle n'était que fureur et désespoir. Tout comme je l'étais. C'est pourquoi j'avais commencé par lui dire "Putain, mais t'étais pas sérieusement dans les bras de ce connard à lui dire combien t'étais désolée? Sérieusement tu te fous de moi, ça doit être ça? T'es à moi Hope, t'as intérêt à bien intégrer ça parce que..." et j'avais finalement arrêté de parler quand je m'étais rendu compte qu'elle ne répondait pas. Elle tremblait, et je m'en étais inquiété, ce qui avait fait fondre ma colère d'un seul coup. Je m'étais alors approché d'elle pour la prendre dans mes bras, mais elle s'était alors reculé vivement et plus furieuse que jamais, elle avait sifflé "Ne me touche pas!" après quoi elle était partie à vive allure, tandis que j'étais bouche bée, et inquiet. C'est à ce moment que ses mots m'étaient revenus à l'esprit "si tu fais ça, tu vas me perdre". J'avais alors perdu pied avec la réalité, et j'avais vraiment pris conscience qu'elle était sérieuse. J'avais compris que je pourrais la perdre si je merdais vraiment. Et j'allai alors m'empresser de la rejoindre, j'avais besoin de savoir avec certitude que je ne la perdrais pas, qu'elle, elle serait toujours là, mais on m'avait intercepté avant. Louis. Il n'avait pas assisté à l'altercation avec l'autre connard, mais il avait assisté à la scène entre Hope et moi et avait jugé important de m'empêcher de la rejoindre. J'allai lui envoyer mon poing dans sa gueule d'ange, mais il m'en avait empêché. Puis il m'avait fait remarquer qu'il n'aurait sûrement pas pu intercepter mon poing si j'avais était en pleine possession de mes moyens. Il m'a ensuite dit qu'avec les filles, il valait mieux leur laisser un peu d'espace quand elles étaient furieuses, d'autant plus que Louis me connaissait, et il savait parfaitement que dans l'état dans lequel j'étais alors, je n'aurai fait qu'empirer la situation, sûrement en m'énervant au lieu de tenter d'apaiser la seule fille qui ait jamais compté pour moi de cette façon. Bien sûr, ma mère et Gemma était une exception. Rose en était une aussi... A cette pensée, j'avais aussitôt posé le regard sur la rose que je m'étais fait tatouer à l'étranger en souvenir de Rose. Et j'avais accepté à contre-coeur de suivre le conseil de Louis. Mais depuis, je ne faisais que ruminer. Et c'était pire depuis que la sonnerie signalant la fin des cours avait retenti. Les gars m'agaçaient royalement à parler du parfait petit couple que forment Niall et Emma, tandis que je ne savais même pas si ma copine allait accepter que je la touche de nouveau. Et Dieu sait que j'avais besoin de la voir, de la toucher. Elle n'en avait peut-être pas conscience mais elle était souvent capable de m'apaiser par son toucher ou par le son de sa voix. Hope était ma copine, bien que je ne le lui ai pas vraiment dit, j'y avais beaucoup réfléchi et j'avais finalement accepté l'idée que oui, elle était ma petite-amie. Enfin... là, je ne savais même pas si elle voulait me voir. Mais je n'allais sûrement pas la laisser me fuir. 

 - Harry, c'est pas parce que t'as merdé avec Hope que tu dois nous casser les couilles comme ça, s'exclama soudainement Zayn. 

Je le fusillai aussitôt du regard, mais ce dernier soutint froidement mon regard, pas inquiet pour un sous. Je serrai alors mon poing, me préparant sincèrement à lui mettre la raclée qu'il méritait, quand Niall intervint. J'ai pour habitude de ne pas me laisser distraire quand je suis sur le point de me battre, mais là, ce que mon ami avait dit avait fait mouche. 

 - Hope vient de sortir du lycée avec Luke, mec. Va la voir. 

Aussitôt, mon poing s'ouvrit, et sans plus me préoccuper de Zayn, je cherchai ma petite brune du regard. Il ne me fallut pas longtemps pour l'avoir droit dans mon champ de vision. Comme de plus en plus souvent, quand mes yeux croisèrent les siens, je sentis mon coeur battre un peu plus fort dans ma cage thoracique. Mais je grinçai des dents quand je vis qu'en me voyant, elle eut le même regard que celui qu'elle avait eu ce midi même quand je l'avais quitté. J'eu l'impression de recevoir un putain d'uppercut, et je me raidis et je m'apprêtais à me diriger vers elle, quand j'entendis un bruit sourd. Aux aguets, je sursautai et tournais le regard autour de moi pour regarder de quoi il était question, tout en vérifiant fréquemment qu'Hope était en sécurité. Je localisai enfin la source du bruit : un lycéen en moto s'était encastré dans la voiture d'un autre lycéen. Toujours sur mes gardes, je m'assurai que ce n'était pas une diversion, mais quand je revis les gars (qui étaient partis en repérage, à part Louis qui s'était rapproché ni vu, ni connu d'Hope au cas où) revenir vers moi en faisant un signe de tête négatif, je laissai retomber peu à peu ma vigilance, sans pour autant être inattentif. Cet incident me permit de me reprendre. 

Quand Louis arriva, je murmurai assez fort pour qu'il entende. 

 - Je ne vais pas aller la voir ici, devant tout le monde. J'irai la voir chez elle, je ne peux pas prendre le risque que les gens découvrent qu'il se passe un truc entre elle et moi, peu importe de quoi il s'agit. C'est trop dangereux. 

Mon meilleur ami acquiesça en silence, et un petit sourire ourla ses lèvres. Si je ne le connaissais pas, j'aurai pu lui faire ravaler son sourire, parce que la situation n'avait rien d'amusant. Mais je le connaissais et je savais qu'il me souriait pour me faire comprendre que j'avais agis comme il le fallait, que j'avais pris la bonne décision et que pour une fois, j'avais réellement mis de côté mes besoins et mes impulsions pour la sécurité d'Hope. Et Louis approuvait et respectait ça, d'autant plus qu'il considérait Hope comme sa meilleure amie fille. 

Je regardai une dernière fois Hope, et j'eus un pincement au coeur quand je vis qu'elle restait elle aussi sur ses gardes. Ma petite brune était toujours brisée, et j'espérais sincèrement qu'un jour elle pourrait passer au dessus de ça, je voulais qu'elle me fasse confiance pour sa sécurité à présent. Mais actuellement, je ne pouvais pas lui dire ça, pas alors qu'elle était aussi furieuse contre moi. Mais je chargeai tout de même Louis de rester, de la suivre en toute discrétion et de m'appeler dès qu'elle serait rentrée chez elle. Je devais lui parler, mais surtout j'avais besoin de la voir, de la toucher et de lui faire comprendre qu'elle était à moi, même si elle était furieuse contre moi. Et je devais le faire sans la mettre encore plus en colère. 

Ce qui n'était pas une mince affaire. 

*

*           *

Environ une heure et demie plus tard, Louis m'appela. Ayant déjà attendu trop longtemps, j'étais déjà arrivé à ma voiture quand j'avais décroché. Ce qui explique sans aucun doute que seulement dix minutes après le coup de fil de mon meilleur ami, je me retrouvai garé à un pâté de maison de chez elle, et que je me dirigeai en vitesse vers chez elle, à pied, tout en prenant garde de ne pas être reconnu et suivi. Précisément trois minutes après être sorti de mon Range Rover, je me trouvais face à sa maison. Avant toute chose, j'analysai la situation dans laquelle je me trouvais. Je dardais mon regard sur l'environnement qui m'entourait : la végétation entourant la maison d'Hope ne bougeait qu'au grès du vent, rien ne semblait sortir de l'ordinaire, mais je passais tout de même plusieurs fois les environs au peigne fin, pour des raisons de sécurité. Après avoir jeté un rapide coup d'oeil aux deux voitures de ses parents qui étaient garées dans l'allée menant à leur garage, j'empruntais le portique creusé dans la grille et entrai discrètement. Puis une fois n'est pas coutume, je m'assurai une dernière fois (et cette fois en m'approchant physiquement) que les haies et arbre du jardin des Ryder ne présentaient aucun signe de danger quelconque. Je vis aussi que les parents d'Hope étaient tous deux affairés dans la cuisine, et qu'ils semblaient bien trop occupés pour me remarquer. Mais ne tentons pas le diable, je m'écartai suffisamment pour ne pas être aperçu et passai au crible fin la rue que je pouvais voir de ma position. 

Les gens auraient sûrement dit de moi que j'étais parano, mais quand il était question de la sécurité de Hope, j'avais tendance à être un chouïa trop minutieux. Et j'avais encore du mal à comprendre pourquoi dans mon esprit. Je savais sans l'ombre d'un doute que cette fille comptait pour moi, même si ça me faisait toujours chier de le reconnaitre, mais je n'arrivais pas bien à mettre de mot sur ce que je ressentais précisément. Et ces sentiments me foutaient la trouille les trois quarts du temps, donc bon.

Passant une main dans mes cheveux, je tirai légèrement sur mes boucles brunes et levais le regard vers les fenêtres du haut. Rapidement, dans ma tête je tentais de me remémorer l'agencement de l'étage, pour déterminer avec précision laquelle des fenêtres pouvaient me permettre d'arriver jusqu'à Hope. Plus vite que je ne le pensais, je me souvins que la salle de bain donnait sur le jardin et qu'il y avait une vue imprenable sur l'immense chêne qui trônait dans leur jardin. Et ce jour-là, j'avais aperçu une porte entrebâillé juste en face de la salle de bain, qui donnait sur une chambre féminine, mais mûre par les touches de couleurs taupe et blanche. Un bouquin de chimie du lycée m'avait permis de comprendre qu'il s'agissait de la chambre d'Hope. Fier comme un paon, je su avec certitude quelle fenêtre serait la bonne, alors, je trouvais rapidement la gouttière et la testai, malheureusement elle ne me semblait pas être solide pour maintenir mon mètre quatre-vingt et mes quatre-vingt kilos. Passant à nouveau les mains dans mes cheveux, je réfléchis à toute allure, quand je remarquai que le chêne était beaucoup plus près de la maison que je ne l'avais d'abord pensé. Sourire aux lèvres, je me remémorais vaguement mon enfance durant laquelle je ne cessais de rendre ma mère folle en montant avec habileté aux arbres. Ce qui expliqua que moins de deux minutes après, j'étais sur une branche du chêne et que sans hésitation je me propulsai d'un bond pour atterrir sur le toit avec agilité. Je me préparai alors à rejoindre la chambre de Hope, quand je me fis la remarque qu'il valait mieux que je sois opposé à la route où personne ne pourrait me voir faire Tarzan. Sans compter qu'avec ma chance légendaire, la fenêtre de la salle de bain était ouverte. Je n'eus donc qu'à faire attention de ne pas faire de bruit et à entrer dans la salle de bain où je ne m'attardai pas avant de sortir discrètement dans le couloir puis d'ouvrir sans un bruit la porte juste en face. 

J'eus le souffle coupé quand je vis Hope dos à moi, une simple serviette sur son corps me laissant un aperçu de ses longues jambes fines et de sa peau nue encore légèrement mouillée. Je déglutis et du me faire violence pour ne pas lui sauter dessus alors même que je sentais tout mon sang quitter mon visage pour se diriger sous ma ceinture. Je fis un pas dans sa direction, étant incapable de m'en empêcher. Elle était tellement belle, sexy que ça faisait mal. Je n'avais jamais ressenti un désir pareil pour quelqu'un, sans compter ce qu'elle me faisait ressentir dans mon putain de coeur de glace. Et pour une fois, je n'avais pas peur de tout ce que je ressentais pour elle, je laissais tous ces trucs nouveaux et inconnus m'envelopper comme une bouffée d'air pur. Un sourire idiot se forma sur mes lèvres tandis que je continuai de me rapprocher doucement sans quitter Hope du regard, toujours inconsciente de ma présence dans sa chambre. J'entendis vaguement un chien aboyer et gratter à la porte, mais j'étais trop hypnotisée par Hope pour m'en préoccuper. Je plaquais mon torse contre son dos et déposai mes lèvres dans son cou au moment où elle allait se tourner pour aller ouvrir la porte à son chien. 

P.O.V. Of Hope 

J'étais enroulée dans ma serviette, en train de me sécher les cheveux tout en réfléchissant à ma journée, plongée dans mes pensées quand j'entendis Snow aboyer et gratter de ses griffes contre ma porte, attendant impatiemment que j'aille lui ouvrir et qu'il puisse venir se frotter contre moi. Cette pensée me permit de laisser momentanément retomber ma confusion, ma fureur et ma douleur, et à la place, un sourire se dessina sur mes lèvres tandis que je m'apprêtais à me tourner vers la porte et à aller ouvrir la porte à ma petite boule de poil blanche préférée. Mais au même moment, je sentis un corps venir se coller contre moi, et des lèvres douces et chaudes se poser dans mon cou. Je me raidis d'abord et j'étais sur le point de hurler quand je reconnu le contact, et j'eu confirmation quand je vis passer les mains recouvertes d'encres sur ma taille tandis qu'Harry me serrait contre lui, me rapprochant alors plus que jamais de lui. 

A cet instant, idiote comme je l'étais, j'oubliai ma colère, j'oubliai à quel point il m'avait blessé, à quel point j'avais peur qu'il ne me brise, j'oubliai mon chien, j'oubliai Connor, les gangs, Luke, Carlos, j'en oubliai même que j'aurai du être terrorisée par des contacts si intimes alors même que j'avais été violée... j'oubliai tout et me concentrai sur les sensations qu'Harry me faisait ressentir. J'en oubliai même que je ne portais qu'une serviette et à quel point ça aurait été facile pour Harry de me la retirer. Je laissais juste le désir me submerger alors même que la bouche d'Harry se promenait dans mon cou, et que ses mains me serraient toujours plus contre lui, de façon à ce que je sente une bosse de plus en plus proéminente au niveau de la courbure de mes fesses. Je gémis faiblement en réponse aux lèvres d'Harry dans mon cou, et sans m'en rendre compte (et j'aurai sans aucun doute honte quand ce moment retombera) je me frottais contre Harry pour créer une friction entre nos deux corps. Un grognement lui échappa et tout à coup, ses lèvres qui étaient en train de me faire un suçon disparurent, puis brusquement, Harry me retourna. J'eus à peine le temps de voir ses yeux assombris par un voile de désir, alors qu'il me poussait contre le mur près de ma fenêtre, puis maintenant mes poignets en hauteur, il m'embrassa, me goûta, me dévora avec passion. Et je lui rendis avec tout autant de passion son baiser enflammé, tout en passant mes mains sous son T-shirt. 

Cette délicieuse torture aurait pu continuer encore longtemps, si je n'avais pas entendu l'aboiement de mon chien inquiet à travers le brouillard de mes sensations. Alors, peu à peu, je redescendais sur Terre. Je me rappelai qu'Harry était entré par effraction chez moi, que nous étions seuls dans ma chambre, que je ne portais qu'une simple serviette, qu'il y a moins de 17 semaines j'avais été violée, et surtout que j'étais furieuse contre Harry. 

Alors brusquement, je dégageai mes poignets de ses mains et le repoussai, mais plus fort que moi, il m'en empêcha. Alors, tentant une autre tactique, je m'arrêtais de bouger, et plonger furieusement mes yeux dans les siens, je dis : 

 - Harry, si tu ne me lâche pas tout de suite je n'aurai aucun scrupule à hurler et te foutre un coup de pied dans tes bijoux de famille. 

Il maintint mon regard, ses lèvres formant une ligne dure, mais ses yeux n'exprimaient rien alors qu'il me répondit. 

 - Si ça peut apaiser ta colère, vas-y; frappe moi.

To be continued...

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