Chào các bạn! Vì nhiều lý do từ nay Truyen2U chính thức đổi tên là Truyen247.Pro. Mong các bạn tiếp tục ủng hộ truy cập tên miền mới này nhé! Mãi yêu... ♥

19 | Les Affranchis face aux Assassins

[...]

Alvaro Prado... Cet homme aussi devait avoir des enfants... Je leur ai arraché leur père des mains... Il avait sûrement une famille...

Avoir une famille...

Avoir une famille...

-

——
———
————
—————
——————
———————
————————
—————————
——————————

[Bruit des vagues s'échouant sur la plage]

Maryam : Ali !!!! Viens te baigner avec nous !!
Demanda Maryam l'ex femme d'Ali à ce dernier.

Ali : Ça ne va pas non ? Elle est beaucoup trop froide ! Je préfère rester ici faire des châteaux de sables avec Ahmed !
Répondît-il.

Maryam : Vous êtes vraiment pas marrant... Allez quoi ! Ahmed viens voir Maman mon bébé d'amour viens !
Dit-elle en ouvrant grand les bras pour encourager son fils !

Le petit Ahmed la tête à peine plus grosse que ses brassards, se dépêcha de rejoindre sa Maman qui l'attendait au bord de l'eau.

Ali le rattrapa et se mit à le porter sur son dos.

[Bruit de pas dans le sable]

Ali : Attention on arriiiiive !!!! Attention bouche ton nez Ahmed !

Ali se mit à sauter dans l'eau avec son fils dans les bras.

*SPLASHHHH*

Maryam : Mais Putainnnnnn ! T'es inconscient ?! Tu veux le noyer ou quoi ? C'est qu'un gamin, pas un ado !

Viens ici mon bébé d'amour !! Papa le psychopathe à été méchant oui je sais mon cœur je sais...

Ahmed : Encore ! Encore Papa ! Encore !! Je veux faire Splash !
Dit le petit Ahmed content de s'amuser avec son père.

Ali : Monte sur mon dos on va faire le crocodile cette fois !

Maryam : Oh non pas ce putain de crocodile... Bon allez Aïcha, Aya et moi on se casse de l'eau ! Vous êtes chiant les garçons hein haha ! Vous nous éclaboussez tout le temps, pas moyen d'être tranquilles entre filles avec vous !

- 1h plus tard -

Une fois les enfants endormis en train de faire la sieste sur le sable, Ali et Maryam se mirent à discuter !

Maryam : Je sens qu'un grand événement va venir bouleverser nos vies Ali...

Ali : Moi aussi, je sens que nos vies ne seront plus jamais les mêmes d'ici quelques mois !

Je suis heureux que Dieu t'es mise sur mon chemin Maryam... Vraiment...
Dit Ali en posant la tête de son ex-compagne sur son torse.

[Respiration qui s'emballe]

Maryam : Moi aussi mon amour !
Dit-elle en le dévorant du regard, lui son amour, son bien aimé !

Ali et Maryam s'embrassèrent en fermant les yeux.

Mais en les rouvrant , Ali s'est soudainement retrouvé dans un désert de sable rouge et noir.

Le sable semblait s'étendre à perte de vue et la mer avait totalement disparue !

Le ciel était d'un rouge sang et les nuages semblait d'un noir intense.

Le soleil lui était noir.

Il se leva et se retourna vers sa femme Maryam.

Cette dernière lui dit.

Maryam : Vas-y Ali ! Avance mon amour et ne te retourne pas !

Ali se mit à avancer dans le paysage désertique sans fin depuis maintenant 5 minutes !

Voilà une éternité que je marche...

Le soleil me tape fort sur le front...

J'ai chaud...

Terriblement chaud...

Je me suis soudainement arrêté prêt d'une oasis pour m'hydrater...

Je vis mon propre reflet dans l'eau...

Soudain, j'aperçu dans l'eau le visage de ma femme Maryam qui semblait être juste à gauche du mien, j'ai longtemps regardé le reflet mais cette dernière ne cessait de me dire que je ne devais pas la regarder !

Soudain elle prit ma tête dans sa main et me noya de force dans l'eau !

Je ne puis respirer !

L'eau se mit à remplir mes poumons, puis elle se changea en sang, je me suis mis à me noyer dans leur sang !

Une fois ma tête sorti du cruor, je me suis mis à fuir dans le désert rouge mais cela m'était impossible, car il n'y avait de fin !

Puis ! Une voix se mit à me murmurer à l'oreille.

— Vas-y Ali ! Avance mon amour et ne te retourne pas !

— Vas-y Ali ! Avance mon amour et ne te retourne pas !

— NE TE RETOURNE PAS !!!

—  NE TE RETOURNE PAS !!!

[Respiration d'effroi et de panique]

L'envie de me retourner était plus forte que ma peur, je me suis donc tourné en direction de la source de la voix et je vis les cadavres de ma femme et de Yassine dévorant celui de mes enfants me hurler dessus que j'étais un meurtrier ! Leurs cadavres en putréfaction me dirent :

LE SABLE NOIR

— ALI ! TU NOUS AS TUÉ, TU NOUS AS TUÉ !!

LE SABLE ROUGE

— TU AS TUÉ TES PROPRES ENFAAAAAAAANTS

LE CIEL ROUGE

— ASSASSIN !!!

LES NUAGES NOIRS

— SAUVE NOUS !!

LE SOLEIL NOIR

— VENGES NOUS !!


Ali : NOOOOOON J'AI TUÉ PERSOOONE, MARYAM JE TE LE JURE ! C'EST LE FAUCON QUI L'A FAIT !! C'EST PAS MOI !!! JE N'Y SUIS POUR RIEN !! ALLEZ VOUS EN !!!
Dit Ali le visage recouvert de sang coagulé.

Leïla : ALI RÉVEILLE-TOI, JE MEURS ALI !!

J'ai ensuite ouvert les yeux et j'ai vu Leïla se faire poignarder par le Faucon !

[Bruit du poignard perforant les entrailles]

Impuissant, j'ai assisté à la scène sans ne rien faire !

Lilia s'est ensuite faite égorgée...

Puis, Le Faucon s'est approché de moi pour me planter son poignard droit dans le cœur...

En me poignardant, il me demandait :

Le Faucon : Ali !! Tu va bien ??

———————————
——————————
—————————
————————
———————
——————
—————
————
———
——

-

Leïla : Ali !! Tu va bien ??
Demanda Leïla.

Ali : Leïla ? Tu n'es pas morte ?
Demanda Ali à son tour.

Leïla : Tu rigoles ? Oh non... Ali c'est pas le moment de perdre les pédales mon frère...
Dit Leïla en le serrant très fort dans ses bras, comprenant qu'il venait de perdre connaissance.

Lombardi : C'est vrai que tu m'a l'air d'être dans les vapes Ali ! Tout va bien ?
Demanda également l'inspectrice.

Ali : Oui ! Oui ! C'est bon ! Je vais bien !
Affirma-t-il.

Élias : Parfait, alors c'est parti ! Tout le monde à son poste !
Ordonna Élias.

C'était quoi ça un rêve, un cauchemar ou bien une hallucination ?

Ça semblait tellement réel ! Je n'arrivais même plus à savoir si j'étais terrifié ou bien juste en train de mourir intérieurement...

Non ! J'étais terrifiée !

Mais malgré cela, j'allais devoir accepter le fait qu'ôter la vie des hommes présents dans cette pièce était la seule solution possible afin de pouvoir quitter ce taudis.

Tout le monde se tint prêt à tirer en direction de la porte dans l'attente que les hommes du Faucon se mirent à l'ouvrir.

Cachés derrière une table qui avait été installée en guise de protection contre les impacts de balles et les éclats de débris, Leïla, Lilia et moi avons entamé une conversation...

Lilia : Comment vous faites pour rester impassibles ?
Dit Lilia soudainement remontée.

Leïla : Mais... De quoi est-ce que tu parles ?
Demanda-t-elle.

Lilia : Yassine... Il est mort ! Et si on ne s'occupe pas de son...

Ali lui coupa la parole.

Ali : Tu redoutes qu'il soit enterré dans une fosse commune c'est ça ?
Lui demanda-t-il.

Lilia : Oui c'est ça... J'ai peur de ne pas pouvoir lui dire au-revoir...
Dit Lilia en fondant en larmes.

Lilia se mit à prendre sa sœur dans ses bras pour la calmer.

Leïla : Respire Sœurette ! Regarde-moi ! Tout va bien se finir, regarde-moi. On aura une autorisation du préfet pour l'enterrer dignement ne t'en fais pas pour ça...
Dit Lilia en attrapant la tête de sa sœur pour l'empêcher de fuir son regard.

Lilia : Leïla, Ali, tout ça s'est trop pour moi, je n'en peux plus bordel, je veux que ça s'arrête !

Si je perds encore ne serais-ce que l'un d'entre vous, je me suiciderai !
Dit-elle en les regardant et en pleurant toute les larmes de son corps.

Lombardi : Le plus dur à éliminer sera Izhak, mais le reste ce ne sont que ses chiens, et il ne semblent pas très expérimentés je le flaire facilement, je ne suis pas devenue inspectrice du jour au lendemain, cela requiert énormément d'analyses !

Leurs expressions corporelles semblant indiquer qu'ils ont rejoints la Madeleine récemment !

De plus Élias, Lamine, Malik et Rayan sont les plus compétant parmis les hommes d'Izhak ici-présents !
Et ils nous ont rejoint pour se mesurer à lui, nous avons toute les chances de notre côté, même si je dois l'avouer notre ennemi est plus nombreux !

Élias prit la parole pour dire.

Élias : J'aime quand vous êtes comme ça inspectrice ! Si vous redoutez le carnage qui va suivre, dites-vous tous que vous avez survécus au pire jusqu'à présent ! Et que ce n'est pas une sous-merde comme "le Piaf" qui va réussir à nous diviser !

Ali : En réalité, ce qui m'inquiète (me concernant) c'est ce qu'il se passera "après"...
Affirma Ali en rigolant Lilia l'air complètement apathique...

Lilia : Comment ça après ?
Répond-elle complètement confuse.

Ali : Si on parvient à sortir de ce traquenard, vous pourrez reprendre vos vies d'avant, mais moi j'ai été filmé entrain de coller une balle dans le crâne d'un ambassadeur...

Ma vie ne sera plus jamais la même, et je n'ai pas la force de vivre en cavale durant le restant de mes jours !

Alors je sais d'avance que je n'aurai jamais l'occasion de me rendre devant la tombe de Yassine... Parce que moi aussi je suis mort en quelque sorte...

Lombardi : Ne t'inquiète pas Ali je connais de très bon avocats et puis n'oublie pas que...

Ali lui coupa la parole.

Ali : Avec tout le respect que je vous dois inspectrice, je n'en ai strictement rien à foutre de ce que vous dites...
Les gens qui cherchent des solutions à leurs problèmes sont ceux qui sont dans le déni !

En ce qui me concerne cela fait depuis longtemps que je suis dans l'acceptation !
Car je porte la mort en moi, c'est comme ça depuis que je suis né, mon destin est tout tracé !

Alors quitte à mourrir j'aimerais embarquer ce fils de pute avec moi.
Mais je le sais d'avance que ce qui m'attend sera soit la prison soit la mort...
Dit Ali complètement essoré émotionnellement.

L'inspectrice Lombardi gifla Ali.

Lombardi : Quand on tient un discours défaitiste pareil, on est déjà foutu d'avance !
Si je te dis qu'il y aura un moyen pour te sortir des ennuis, c'est qu'il y en aura un, imbécile !

Décidément dans cette famille personne ne condescend à m'écouter !
Dit L'inspectrice pour remonter le moral à Ali.

Élias : Vous discuterez de ça plus tard, pour l'instant pointer tous vos armes en direction de la porte et tenez vous prêts à tirer sur quiconque pénètre dans la salle.
Dit il en se cachant derrière un meuble avec l'inspectrice et Lamine.

Lombardi : Ali, Leïla et Lilia c'est très simple, tirez sur tout ce qui bouge !
Leur indiqua l'inspectrice.

Leïla : Ça il ne faudra pas nous le dire deux fois inspectrice...
Dit-elle en se concentrant.

Lilia se mit à prier pour tout le monde au sein de la pièce, car c'est le seul moyen qu'elle a trouvé pour se détendre et contenir sa panique.

Rayan en profite pour bien leurs expliquer une dernière fois comment fonctionne les Beretta.

[Vent qui souffle sur la fenêtre]

[Bruits des battements de cœur d'Ali]

Le silence devenait tellement intense et long que j'entendais mon sang circuler dans mes oreilles, mes mains étaient moites et je ne ressentais plus aucune douleur au niveau de mon majeur gauche...

Mon corps tout entier se tenait prêt à affronter l'épreuve qu'on allait devoir affronter !

_______________________________________________________________

- Du côté d'Hermann -

[Toussements]

L'inspecteur Hermann se réveilla dans son véhicule d'opération qui s'est retrouvé coincé au sein d'une fosse causeée par les explosions des mines.

Par chance, les Mafiosi n'ont pas pu parvenir jusqu'au fond pour nettoyer à tirs de Kalachnikov l'intérieur des véhicules situés au fin fond de cette même fosse.

La profondeur de la fosse est estimée à 5m.

Hermann analysa les alentours afin de repérer des Mafiosi susceptibles de vouloir le finir en vidant leurs chargeurs sur lui, mais avant de sortir du véhicule il jeta un coup d'œil au sein du véhicule afin de secourir un potentiel survivant.

Tout les membres de l'U.A.T.D qui furent présents à bord ont péri.

Il essaya tant bien que mal de briser la vitre de son véhicule car il est impossible pour lui d'ouvrir les portes mais le ver anti-émeute des vitres refuse de se briser.

Il décida alors de détacher sa ceinture, le véhicule complètement retourné, il rampa sur le plafond pour tenter d'atteindre les portes arrière du véhicule blindé.

Hermann vit également les visages des hommes et des femmes qui furent présents à bord et qui sont morts sur le coup durant les explosions des mines.

Il parvînt à ouvrir l'arrière du véhicule puis il s'allongea dans le sol complètement exténué et respira un gros bol d'air...

Soudain il se mit à entendre la voix d'un des survivants demandant de l'aide au travers de son Talkie-walkie :

[Bruit d'interferance radio]

— Y'a t-il des survivants au sein du No Man's Land ?

Je répète y'a t-il des survivants au sein du No Man's Land ?

Nous sommes 21 actuellement...

Et nous sommes tous coincés dans un véhicule de transport de troupes, nous demandons de l'aide à quiconque entendra ce message d'urgence !

Hermann prit la parole et demanda à l'homme de décliner son identité !

Hermann : Ici l'inspecteur Hermann, je voudrais plus de précision concernant votre position et votre bataillon ! Afin de pouvoir vous porter secours !

— Nous sommes le 5ème bataillon du front Est, nous sommes enfuis sous de la terre, il nous est impossible de sortir de là !

Hermann : Position repérer, surtout gardez votre calme, je viens vous porter secours !

Hermann, Terminé !
Dit Hermann en mettant fin à l'échange.

Hermann vit un des soldats d'élite de l'U.A.T.D décapité au sol la mitraillette encore à la main, il s'avança vers lui, prit son arme et son sac à munitions de balles de calibre 5,56 x 45mm et prit ensuite sa plaque d'identification sur laquelle est écrit son prénom.

Hermann : Maximilien Collet... 23ans...
Dit-il en lui retirant sa plaque.

Pris dans un excès de colère il dit.

Tu ne sera pas mort en vain fiston...

Je les fumerais tous jusqu'au dernier !

Il prit sa photo, sa plaque d'identification et partit en direction du véhicule de transport de troupes du 5ème bataillon, ensevelit sous la terre.

Soudain 5 Mafiosi apparurent et se mette il lui tirer dessus, Hermann évita les balles en sautant dans un cratère la tête la première !

*TATTAATATA* *TATATATATA*

Son instinct de survie le poussa à se recouvrir de terre au maximum afin que les Mafiosi ne soient pas en mesure de l'apercevoir...

— Où est-il putain !? C'était lui j'en étais sûr
Dit un Mafiosi.

— Moi aussi je l'ai vu plongé dans ce trou !

— Que tout le monde fouille les alentours il a dû nous tendre un piège se connard, il doit être caché en dessous des débris d'engins !
Ordonna un Mafiosi qu'Hermann n'a pas été en mesure d'identifier.

Une fois les 5 Mafiosi partis, Hermann sortit de sa cache.

Il sortit à peine la tête du cratère, qu'il vit les 5 Mafiosi tenter de le dénicher en dessous des ferrailles.

Hermann ne perdît pas une seule seconde pour les canarder un par un de dos...

*RATATA* *RATATATARATATA*

[Tir en rafale]

Hermann parvint à éliminer 4 Mafiosi Parmi les 5 initialement présents mais 1 d'entre eux se planqua derrière l'épave d'un véhicule pour échapper au balle.

Hermann utilisa l'oeilleton de son fusil d'assaut pour parvenir à viser son crâne.

*RATA*

Hermann parvint sans problème à l'éliminer.

Il ne perdit pas de temps pour se hâter en direction du 5ème bataillon !

Hermann : Ici Hermann ! Je pense être arrivé mais j'ai besoin que vous me confirmiez votre position en générant du bruit, peut-importe comment d'ailleurs !
Ordonna-t-il.

Les survivants du 5ème bataillon ne perdirent pas plus de temps pour se mettre à tirer une balle au direction du sol afin qu'Hermann soit en mesure de les entendre !

*PAN*

Hermann les entendit !
Il arriva au dessus de leur véhicule qui était ensevelis à une profondeur d'au moins 3 mètre et se mit à creuser.

Alors Hermann se mit à creuser pendant une quinzaine de minutes...

Sans s'arrêter !

________________________________________________________________

*ROOOOOOOOAAAAAAAAAAARRRRR*
*ROOOOOOOOAAAAAAAAAAARRRRR*

Je sentis le vent caresser mon visage... Je sentis mon corps s'évader...

À dos de mes Lions je me suis senti plus libre que jamais...

Si jamais il devait arriver quelque chose à mon grand-frère je les buterai tous !

Et tout ceux qui sont en train de s'en prendre à lui, je les tuerai, je les tuerai, je les tuerai...

Car perdre Carlos est une de mes plus grandes peurs.

Sur le dos d'Atlas et d'Alba, les Lions du bras droit du Faucon.

Laguardia, Le Condor, Amarillo et Annes virent la lumière de la surface se rapprocher de plus en plus.

Laguardia : SAUTEZ !!!
Ordonna Laguardia à ses Lions qui firent un bond de géants.

Les voilà maintenant dehors prêts à en découdre avec les parachutistes et les soldats qui leurs barraient la route !!

Laguardia : Je compte pénétrer la tour numéro 2 pour sortir mon frère de là, j'agis comme un égoïste et j'en ai bien conscience ; sauf que je n'en ai strictement plus rien à foutre !

Si vous me suivez vous risquez de vous prendre une balle dans le crâne !

Et je refuse de mettre en péril la vie de mon frère pour vous sortir d'affaire alors descendez des Lions si vous souhaitez vivre !
Ordonna Laguardia !

Le Condor : Ferme ta gueule et ordonne à tes Lions d'avancer car personne ne descendra !

Si Carlos est en danger on se doit d'aller le secourir !
Lui expliqua Le Condor.

Laguardia : Parfait, mais sachez juste une seule putain de chose... Je serais prêt à tout les sacrifices pour le sortir de là, et vous êtes loin d'avoir conscience de ce dont je suis capable !
Dit Laguardia en prévenant tout le monde ici-présent !

Les parachutistes se mettent à courir en direction des Lions et se mettent à ouvrir le feu sur Laguardia et compagnie.

Laguardia : Atlas, Alba on y vaaaaaaaa !
Hurla-t-il.

[Rugissement de fauve]

Les lions se mettent au galop, en même temps, Le Condor et Laguardia se mirent à tirer sur tout ce qui bouge !

[Échanges de tirs]

À ce moment précis, Laguardia était devenu une bête féroce qui était prête à annihiler tout sur son passage.
Tout les soldats qui se trouvaient sur son chemin furent éliminés un par un, Amarillo et Annes s'accrochèrent tant bien que mal à la selle disposé sur le dos d'Alba.

Les Mafiosi présents dans la cour furent tous impressionnés par le charisme et la beauté des fauves de Laguardia ainsi que par la vivacité de ce dernier.
Atlas et Alba dévorèrent tout les soldats se trouvant dans leurs trajectoires !

Les Lions arrivèrent dans une allée où un barrage d'une cinquantaine de soldats avait disposé à la sortie de cette dernière.

Laguardia : STOOOOOP !!!!
Ordonna-t-il à ses Lions.

Les lions s'arrêtèrent !

Les soldats positionnés face à Laguardia qui se trouvait à une centaine de mètres, ce mirent à l'avoir en ligne de mire.

Soudain un lieutenant prit un mégaphone et dit.

- Laguardia !! NOUS VOUS SOMMONS DE VOUS ARRÊTER ET DE VOUS RENDRE IMMÉDIATEMENT !!!

Réalisant que discuter serait synonyme d'une perte de temps Laguardia décida de scruter les alentours pour tenter de détecter les positions de probables snipers.

[Laguardia regarde chaque coin de l'allée]

Le Condor : Alors ?
Demanda Aléssio.

Laguardia : Négatif !
Répondît-il.

Rassurer qu'ils n'aient pas eu le temps de prendre totalement possession des lieux, Laguardia répondît :

Laguardia : Lieutenant, j'ignore qui est-ce que vous êtes ni pourquoi est-ce que vous avez envie d'expérimenter la mort aujourd'hui, mais je n'ai pas plus de temps à perdre avec une sombre merde dépourvu de testicules comme vous !!

Nous vous sommons donc de vous écarter et d'arrêter de nous faire chier !!!
Hurla-t-il.

— Très bien... Vous ne me donner pas le choix...
Dit-il en chuchotant et en levant la main.

Laguardia et Le Condor comprirent immédiatement que les soldats s'apprêtait à faire feu sous les ordres du lieutenant !

Ils baissèrent donc la tête et dirent.

Laguardia et Le Condor : ANNES, AMARILLO BAISSEZ-VOUS !

Le Colonel de régiment de soldats parachutistes de l'air ordonna à ses hommes de faire feu sur Laguardia...

— FEUUUUUUUUUUUU !!!!!!!
Hurla le colonel.

[Tirs de fusils d'assauts]

*RATATATATATATA*

Les balles de très gros calibre faisait des ricochets sur l'armure anti-balistique des Lions de Laguardia.

Viser les yeux et les jambes des Mafiosi chevauchant les fauves était impossible car l'armure a été pensée pour ça.

Voyant que les balles ne parvenaient pas à percer l'armure des Lions, les soldats furent rapidement intimidés...

Laguardia, Le Condor, Annes, Amarillo, Atlas et Alba ; devraient normalement être à terre depuis bien longtemps !

— C'est quoi ce bordel ?
Dit le colonel.

— Colonel, quel sont vos ordres ? Doit-on continuer à tirer ?!
Demanda un soldat.

— Oui ne vous arrêtez pas !
Hurla ce dernier.

*RATATATATA* *RATATATATA*

Une centaine de Mafiosi de tout âge arrivèrent derrière Laguardia afin de se battre contre les soldats ! Ils avaient pensé à voler les boucliers anti-balistiques des hommes de l'U.A.T.D afin de pouvoir s'en servir contre les soldats de l'armée !

L'allée était en faite un grand espace servant de garage privatif, une centaine de voitures pouvaient y être garées de chaque côté.

Laguardia, Le Condor, Amarillo et Annes furent totalement surpris par l'apparition soudaine d'autant de monde !!

Laguardia : Les... Les gars ?!!

Qu'est ce que vous faites là !?
Demanda Laguardia complètement abasourdi.

Un Mafiosi répondît à Laguardia :

— En l'absence du Faucon, c'est toi qui est notre dirigeant, notre patron !

On se doit de se battre à vos côtés, et ce quitte à mourir !

Laguardia : Vous êtes donc prêts à vous battre ? Pour moi ?
Demanda-t-il

— OUI !
Lui répond le Mafiosi

Laguardia : Comment est-ce que tu t'appelles !?
Lui demanda Laguardia.

— Aaron, Je m'appelle Aaron !
Répondît t-il.

Laguardia : Je veux que tu restes en vie Aaron, j'aimerais te présenter au Patron !
Lui dit Laguardia !

Sur le dos de son Fauve, Laguardia tendît son poing à Aaron en signe de respect et de considération pour son courage !

Se dernier tendît également son poing pour toucher celui de Laguardia.

[Leurs poings se cognèrent très fort]

— Ca va partir en couilles...
Dit le colonel

— QUE TOUT LE MONDE SE TIENNENT PRÈS À TIRER SUR TOUT CE QUI BOUGE !!!
Hurla le colonel.

Laguardia : TENEZ-VOUS PRÊT LES BOUCLIERS EN AVANT !! QUANT À CEUX QUI BRANDISSENT LES ARMES METTEZ VOUS DERRIÈRE EUX TOUT EN TIRANT DANS LE TAS !
Ordonna Laguardia !

Un long silence régna !

Les soldats était terrorisé de voir des Mafiosi par centaines avec Atlas et Alba disposés à l'avant !

De plus, une vingtaine de Mafiosi étaient parvenus à grimper sur les toits des garages extérieurs afin de pouvoir faire les snipers !

À cet instant précis, Laguardia se souvînt des dernières paroles que ses parents lui ont adressés.

-

——
———
————
—————
——————
———————
————————
—————————
——————————

Castillo : Soyez des Lions, mes fils !

Ursula : Et rugissez ! Afin que l'on puisse vous entendre dans nos tombes...

———————————
——————————
—————————
————————
———————
——————
—————
————
———
——

-

Laguardia : Papa... Maman... Je jure de sauver Carlos pour vous !
Dit-Il en serrant le poing et en relevant la tête !

UN CLAN, UNE SEULE FAMILLE !!!
Hurla Laguardia !

— UN CLAN, UNE SEULE FAMILLE !!
Répondirent les Mafiosi.

Les centaines de Mafiosi se mettent à courir en direction des soldats qui se mettent à rouvrir le feu !

— AAAAAAAAAAAAAAAAH !

Les échanges de tirs entrent les deux camps offrent un spectacle digne d'une bataille opposant de Nations.

D'un côté nous avons la France dite "Populaire" :

- Méprisée de tous, issue en grande partie de l'immigration, si jeune et si forte, de tout âge et en manque de reconnaissance et de repères !

Et de l'autre côté nous avons les forces de la dite "Haute France" :

- Composée uniquement d'Ultra-riches qui profitent du malheur des plus démunis : corrompus par l'argent et le pouvoir ils manigancent et complotent derrière les projecteurs et le regard des français !

C'est ce système corrompu qui a permis l'expansion du trafic de drogue au sein du territoire et c'est à cause des élites du pays qui manigancent avec ceux qui tirent les ficelles de ce jeu malsain, que la violence a pu croître au sein du territoire...

[Rugissement]

Laguardia et Aléssio sur le dos d'Atlas entourés par les centaines de Mafiosi ; projectiles, fumigènes, revolver, LBD, fusil d'assaut, bouclier anti-balistiques et autres arsenaux militaires en main, se mettent à charger droit devant !

*RATATATATATATATATATATATATATATATATATATATATATATATATATATATTATAATTATATATATATATATATATATATATATATATATATATATATATATATATA*

*BKAM* *BKAM* *BKAM* *BKAM* *BKAM* *BKAM* *BKAM* *BKAM* *BKAM* *BKAM* *BKAM* *BKAM* *BKAM* *BKAM* *BKAM* *BKAM*

[Échanges de tirs qui n'en finissent plus]

[Crânes perforés par les balles]

[Sang giclant sur les murs et les visages]

Laguardia, La Condor, Amarillo et Annes se baissèrent pour éviter les balles

Une fois Laguardia et ses Lions arrivés juste devant le barrage des soldats, Laguardia ordonna à ses bestiaux de bondir au dessus des troupes.

Laguardia : ATLAS, ALBA, MAINTENANT !!!!!!!
Hurla-t-il avec les filets de bave sortant de sa bouche.

[Bonds des lions]

Atlas et Alba atterrirent sur les soldats présents à l'arrière du barrage, mais les soldats n'ont pas le temps de se concentrer sur les Lions que les Mafiosi réussirent à percer La défense ennemie et à égorger froidement les soldats.

C'est une véritable boucherie, une mise à mort générale, une guerre civile, un cruel et dévastateur champ de bataille...

Laguardia se retourna et dit :

Laguardia : Courage tout le monde...

Ses Lions se dirigèrent en direction de la tour numéro 2 là où Carlos est en train de se battre contre les soldats parachutés sur le toit de l'immeuble !

_______________________________________________________________

Au même moment de loin, Hermann est parvenu à dégager la terre jusqu'à atteindre la poignée de la porte du véhicule où sont retenus ses recrues.

Hermann parla dans son Talkie-walkie :

Hermann : Tenez-vous prêts, je m'apprête à ouvrir la porte du véhicule ! Vous n'aurez que quelques secondes pour sortir d'ici avant que la terre ne recouvre complètement le véhicule !!
Dit Hermann.

[Porte qui s'ouvre]

Il ouvrit la porte et se baissa pour attraper les mains des hommes et des femmes coincés dans se véhicule de troupes.

Hermann : Attrapez ma main !
Dit-il.

Il parvint à dégager les 21 personnes présentes à l'intérieur au bout de 5 minutes.

— Merci inspecteur ! Vous nous avez... Portés secours malgré les complications...
Dit un des subordonnés d'Hermann.

Hermann : Vous êtes membres de l'U.A.T.D ? N'est-ce pas ?
Demanda Hermann.

— Oui, inspecteur !
Répondît le subordonné.

Hermann : Quelle est notre devise !?
Dit Hermann.

— Protéger ses camarades, c'est se protéger soi-même !
Répondît-il aussitôt.

Hermann : Bien j'aime ça ! Vous n'êtes pas trop amochés ?
Demanda-t-il.

— On est juste un peu sonner mais sinon, tout va bien !
Répondît une membres de l'U.A.T.D !

Inspecteur ?
Demanda la soldate intriguée car Hermann est soudain devenu immobile en regardant quelque chose au loin.

Hermann : J'y crois pas... Le fils de putain...
Dit-il en fixant du haut de la steppe.

Ce fumier possède donc des Lions ? Et il les chevauche comme-ci c'était des étalons ?

Je crois rêver ce n'est pas possible !

Est-ce qu'il vous reste assez d'énergie tout le monde ?
Demanda Hermann en se retournant.

— OUI INSPECTEUR !!
Répondirent les survivants de l'U.A.T.D !

Hermann : Bien ! Je veux que vous vous accapariez d'un véhicule !

— Pourquoi faire Inspecteur ?
Demanda un soldats de l'U.A.T.D !

Hermann : Pour aller descendre ce fumier de Laguardia !!

Il nous est servi sur un plateau d'argent !!

Des occasions comme ça il n'y en aura pas 70 ! De plus tout le monde est trop occupé à s'entretuer pour prêter attention à nous !

— C'est du suicide !
Affirma un des soldats d'Hermann.

Hermann : Au point où nous en sommes, mieux vaut se jeter dans la gueule du loup afin de le détruire de l'intérieur ! Ça y est Dalila, le moment est enfin venu !
Dit Hermann en souriant de colère et de détermination !

_________________________________________________________________

- Du côté du Faucon -

Le Faucon se regardait dans le miroir de la salle de bain, il se parlait comme s'il était en train d'avoir une conversation avec son propre reflet...

Le Faucon : La mort est un cadeau que je ne vous offrirai pas, je vous importerai tous avec moi !

Si je ne pourrais pas vivre comme je l'entends, alors vous non-plus !

N'est-ce pas ça la justice !?
Dit-il en fou de rage !

Il sortît alors un paquet de médicaments sous formes de pilules...

Il les mît dans sa main et sa regarda dans le miroir une nouvelle fois.

Le Faucon : Regardez ce que vous avez fait de moi bandes de salopards...
Dit-il en dénigrant son propre reflet.

[Robinet qui coule]

Il avala ses pilules et ses cachets à l'aide d'un verre d'eau...

Le Faucon : Vous m'avez volé ma vie, à moi de voler la vôtre.
Dit-il en souriant et en versant une larme.

Il prit ensuite le verre dans sa main, recula et le jetta contre le miroir qui se brisa en mille morceau.

[Impact]

[Éclats de verres tombant par terre]

Alerté par le bruit, le Mafiosi se trouvant devant la porte de la salle de bain ouvrit la porte et vit le Faucon...

Complètement essoufflé...

— Tout va bien Patron ?
Demanda-t-il au Faucon...

Le Faucon : Tout va bien merci !! Monte là-haut voir se qu'il se trame, ils m'ont l'air bien silencieux là-bas...

Et ensuite reviens me voir pour me dire comment se portent Ali et Catarina !!
Lui ordonna-t-il en ramassant un bout de verre pour ajuster ses cheveux à l'aide de son reflet.

— Venez avec moi tout les deux !
Dit le Mafiosi à ses camarades.

Ils montèrent les escaliers; Kalachnikov en mains !

[Bruit du vieux parquet]

Ils arrivèrent ensuite à l'étage et se trouvèrent devant la porte, derrière-laquelle était censé se trouver les otages du Faucon...

[Bruit de la poignée qui s'ouvre]

La porte n'était alors même pas complètement ouverte qu'Élias, Rayan et Malik ont surgi par derrière, saisissaient par la bouche les 3 hommes d'Izhak et ce sont mis à les égorgé d'un coup sec.

Le sang gicla alors sur les murs et sur le sol, puis Ali, l'inspectrice et Leïla se sont mis à ramener les corps dans la pièce, afin de pouvoir s'accaparer leurs armes.

Lombardi, Élias et Lamine ont saisi les Kalachnikov tandis que Rayan et Malik retournèrent se cacher dans le grenier.

Trouvant étrange que son subordonné ne soit pas redescendu Izhak ordonna à Youssef et quelques Mafiosi de monter de nouveau à l'étage pour y connaître la situation...

Arrivé à l'étage, Youssef vit le sang qui mena jusqu'à l'intérieur de la pièce, la porte était fermé et un silence de plomb régnait là-haut !

Le Faucon : Du nouveau Youssef !?
Demanda Le Faucon...

Youssef se rapprocha du bord à l'extrémité du couloir pour répondre au Faucon qui se situait en bas.

Youssef : Oui Patron, il y a du sang par terre ! Et il mène jusqu'à l'intérieur de la pièce !

Quoi ? Comment ont-il fait pour se...

Oh non non non non non NON !

Le Faucon décida de monter les marches et se mit à découvert derrière le mur !

Il chuchota alors...

Le Faucon : Youssef ouvre la porte et rentre avec tes hommes !

Youssef s'avança vers la porte lorsque soudainement.

*RATATATATATTATATA*

[Tirs d'AK-47]

Youssef et les hommes chargés de pénétrer dans la pièce s'étaient faits tirer dessus à bout portant par une vingtaine de balles tirées par Lombardi, Élias et Lamine à travers la porte !

Le Faucon : IL ONT BUTÉS YOUSSEF, TOUT LE MONDE SE REPLIE !!!
Hurla Le Faucon !!

Le plan du Faucon se retourne à présent contre lui-même...

À suivre dans le prochain chapitre...

Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro