La semaine suivante après le défiler

Mr X's Empire
10h00

Ça va faire une semaine que je n'ai pas eu la visite de Carl c'est à ce demande est-ce qu'il n'a pas déjà quitté la ville. Non mais, sérieux ça fait une semaine, il compte se montrer quand ? Sinon le défilé était un véritable succès. Je me suis bien débrouillé tout comme les mannequins et Tove Lo était époustouflante franchement cette soirée était une soirée de rêve et j'ai réussi à canaliser mon stresse. Mon chéri m'a aidé. Il a fallu qu'on passe un peu de temps dans ma loge et qu'on échange un moment intime mais, j'étais plus détendu après. C'est un peu bizarre mais, après mettre défouler je me sentais plus détendu, épuisé mais, détendu. Là nous concentrons notre énergie sur la vente privée. Il faut que ma collection entre en magasin. J'étais en train de partir en direction de mon bureau quand d'un coup je suis tombé sur Ludivine.

- Alors tu as regardé les nouvelles, le défiler à fait fureur, me dit-elle avant de me tendre sa tablette.

- Ouais, j'ai regardé et à chaque fois je découvre un poste différent, lui dis-je riant doucement avant de prendre sa tablette pour regarder ce qu'elle me montrait.

- Ce défiler a été le plus médiatiser de tous les temps, entre les postes sur Instagram, le live et le tournage en coulisse, ça a marché du feu de dieu, me dit-il elle alors qu'elle continuait de marcher à mes côtés.

Selon l'article que j'avais sous les yeux qui parlait de la collection le rédacteur disait qu'il n'avait jamais vu un défilé aussi original. Tous les mannequins avaient des masques. Il aussi dit que la collection dégageait beaucoup de mystère et sensualité. Je suis bien d'accord avec lui. Mme X est sensuelle. Il y avait aussi quelques vidéos une concentrer sur les mannequins qui défilait et l'autre sur la performance de Tove Lo.

- J'espère que la vente privée sera aussi réussie, ajoutais-je le sourire aux lèvres avant de lui rendre sa tablette.

- Mais, oui elle le sera et tu auras un plus petit public donc moins de raison de stressé, me dit-elle.

Elle a raison mais, ça me stressé quand même. Il y a tellement de chose qui me stresse surtout la sortie de Carl mais, pour l'instant il n'a toujours pas fait surface. Donc je suis encore plus en panique. Après je suis entourée grâce à mon chéri, je suis suivi partout par un garde du corps, elle s'appelle Melvin quand je dois sortir, il me suit et conduit ma voiture et quand je suis ici, il surveille la porte de mon bureau. Quand il est dans le coin on peut dire que je suis un peu rassurée.

La police n'a toujours pas retrouvé Carl je suppose qu'il s'est planqué quelque part. Dés parents leurs ont donner toutes les propriétés à son nom qu'ils connaissaient mais, apparemment il n'est dans aucune d'entre elle. Si ça se trouve il est caché dans l'une d'entre elle mais, bien cacher ou alors il avait du fric cacher quelque part et il l'a pris pour s'acheter une nouvelle planque ? Parce qu'il n'a pas utilisé une seule sous de son compte sinon ils l'auraient déjà retrouvé. Je dois bien admettre que les flics sont dépassés, ils ne savent plus où chercher et moi non plus.

- Ne me dit pas que tu penses encore à Carl, me dit Ludivine.

- Comment ne pas y penser ? Il est en liberté, à attendre que je me retrouve seule, ajoutais-je.

- On ne te laissera pas seule et les flics vont l'attraper je te le promets, me rassure-t-elle en posant sa main sur mon bras. Pense plus à ça, ajoute-t-elle avant de m'entraîner dans mon bureau.

Je suis allé m'asseoir dans mon fauteuil tandis que Ludivine est allée me chercher un verre d'eau. Quand elle est revenue, elle me l'a tendu et j'ai bu tous les verres d'une traite. J'avais soif sans m'en rendre compte. J'ai ensuite pris une grande inspiration avant de me reconcentrer sur mon travail. Je ne vais pas m'arrêter de vivre parce que ce malade est encore en liberté pas vrai ? Hein je ne vais pas le laisser me marcher dessus comme ça.

- Tu devrais peut-être rentrée à la maison, me propose-t-elle. Et te concentrée sur ton roman, ça t'aidera à te vider la tête, me dit-elle.

- Non il faut que je me concentre sur mon travail sinon qui sait qui va le faire, lui demandais-je.

- Rony ? Me suggère-t-elle. Aller je te ramène, ajoute-t-elle en me prenant la main.

C'est vrai que Rony est mon assistante mais, quand même je ne vais pas aller lui mettre une tonne de boulot sur les bras bon après c'est vrai que je n'ai pas une tonne de boulot non plus mais, elle a déjà assez à faire comme ça. Malheureusement, Ludivine ne m'a pas laissé le choix. Elle a pris mon sac puis, elle m'a pris la main pour que je me lève. Je ne voulais pas mais, m'avancer sur le tome 2 de mon roman me ferait sûrement du bien. Parler de ce que je suis en train de vivre me fera sûrement du bien vous en pensez quoi ? Ouais, ça me ferait du bien. Du coup je me suis levée et je l'ai suivi hors de mon bureau.

- Melvin je la ramène, lui dit-elle.

- Je vois suis, nous dit-il.

Nous avons donc rejoint le parking ensemble, Melvin est monté dans ma voiture et moi je suis monté avec Ludivine. Elle m'a ramené à la maison puis, elle est retournée au boulot, elle m'a laissé avec Melvin.

Mr X's House
14h30

Ce que j'ai fait de ma journée, je suis allée me mettre à l'aise pour commencer en me mettant en short et débardeur puis, j'ai attrapé mon pc, son chargeur et mon téléphone pour descendre dans le salon, il faut quand même que je sois à la vue de Melvin et je n'aime pas trop qu'il guette devant la porte de ma chambre je veux qu'il ne me lâche pas des yeux mais, je ne veux pas qu'il rentre dans ma chambre alors ça non. J'étais tranquillement assise sur le canapé entrain de tapoter sur mon clavier quand d'un coup mon téléphone c'est mis à sonner. Je l'ai donc pris pour voir qui c'était. C'est l'école de Roby. C'est donc intriguer que j'aie décrocher.

- Allo ?

- Bonjour, c'est bien Penny Feldman-Spark ? Me demande une dame de l'autre côté du téléphone.

- Oui c'est bien elle, lui répondis-je.

- C'est à propos de votre petit frère Roby, nous ne l'avons pas vu en cours aujourd'hui donc c'était pour savoir s'il était malade, m'informe-t-elle.

- Comment ça vous ne l'avez pas vu, on l'a déposé en cours ce matin, lui informais-je.