Mort Programmée
POV de Dean
Je me réveille dans l'obscurité, J'émis un long grognement étranglé, ma respiration est difficile et douloureuse. Ma tête était martelée par un vacarme aigue. Je sens quelque chose de chaud et humide coulé le long de ma tempe droite. Peut-être du sang me dis-je ? Je voulais bouger, mais je m'aperçue très vite que mes membres inférieurs sont bloqués par quelque chose de lourd. Mais par quoi ? Je ne peux que remuer que mes membres supérieurs. J'ai essaye alors de me mouvoir pour me dégager de cet endroit, mais ce fut impossible, mes jambes ne répondent pas à mon appel. Je suis fatiguée et je suis vidé de toutes forces. Je ne comprends rien à ce qu'il lui arrive, je ne me rappel de rien et cela m'agace fortement.
Quelques heures plus tôt.
Dix neuf trente à Baltimore, dans une chambre de motel. En ce début du mois de Juillet, il pleuvait à torrent lorsque l'aîné sorti de la chambre du motel pour aller chercher de quoi se restaurer. Il courut vers l'impala, puis parti pour un fast food. Lorsqu'il en trouva un, il fit sa commande et reparti pour la chambre du motel. La pluie ne cessait de tombée et de frapper le pare-brise de l'impala, les essuies glace étaient en position maximale ! Par ce mauvais temps, l'aîné était concentré sur sa conduite. Dean continuait à rouler sur l'asphalte détrempé, lorsqu'une forme se dessina devant lui, un cervidé traversa la route juste devant l'impala. Dean écrasa sa pédale de frein, pour l'éviter, mais avec la chaussée humide par les trombes d'eau, les pneus glissèrent. Dean ne parvint pas à contrôler sa voiture. Le volant tourna dans tous les sens, sans que l'aîné ne puisse rien n'y faire. L'impala fut plusieurs embarder, avant d'enchainer plusieurs tonneaux. Elle cessa sa course sur le toit à un mètre plus loin dans un ravin... Dean dont la tête avait percuté plusieurs fois,la vitre qui sous le choc s'était brisé, était inconscient, son front couvert de sang.
Un quart d'heure plus tard un homme au volant de sa Jeep, passait sur le lieu de l'accident, vit un faible halo de lumière émanée du ravin, il ralenti et se gara sur le bas côté de la route. Il descendit de sa voiture puis se dirigeât vers le rayonnement. Il jeta un coup d'œil en bas et vit les phares de l'impala allumées. Il descendit prudemment dans le ravin. Lorsqu'il arriva à la hauteur du véhicule il aperçu un homme la tête en sang. Il empoigna son téléphone et appela les secours.
- Les secours j'écoute ! Répondit une jeune femme.
- Bonsoir, il y a à eut un accident sur la route départementale N°95 un homme est coincé dans sa voiture, il est inconscient et blessé à la tête.
- Resté sur place je vous envoie une ambulance.
- Merci !
L'homme attendit les secours dans sa voiture. L'ambulance arriva quelques minutes plus tard. En voyant les gyrophares de l'ambulance, l'homme ouvra sa portière et leur fit signe. L'ambulance s'arrêta et trois hommes en sortirent et se précipitèrent vers l'impala. En voyant l'état de la carrosserie, ils appelèrent les pompiers en renfort, car ils ne pouvaient pas dégager le patient, dont les jambes étaient coincées par le volant. Ils ne pouvaient que lui prodiguer les premiers soins. Ils installèrent une minerve autours du cou de Dean. Quelques instants plus tard les pompiers arrivèrent sur le lieu de l'accident.
Quatre hommes s'occupèrent de dégager le patient de la voiture.
POV de Dean
J'entends un bruit strident, puis un claquement de porte, des voix que je ne connais pas et dont le langage n'est pas très clair pour moi. Mon cerveau est embrouillé par ce martellement bruyant que je subis depuis un moment maintenant. Je ne comprends rien à ce qu'il m'arrive. Il y a un boucan énorme autours de moi, du bruit encore du bruit, cela commence à me rendre fou.
-C'est bon il est dégager Dit une des voix masculine.
- Dégager... Mais dégager de quoi ? Me demandais-je.
Quelque secondes plus tard je sens que quelque chose, ou plutôt quelqu'un qui me touche. J'ai voulues leur dire non ! Mais impossible, aucun son ne sors de ma bouche. Je sens que je suis manipulé, par des personnes que je ne connais pas. Mais c'est quoi ce bordel ?
- Le pouls est faible et irrégulier ! Dit l'un des secouristes
- Monsieur, monsieur vous m'entendez ? Monsieur, monsieur, pouvez vous ouvrir les yeux ! Demanda le deuxième qui n'eut aucune réaction de la part de Dean.
- Mais qui me parle ! Pourquoi personnes ne me répond !
- Je lui pose une voie !
-Aïe ...
Quelque instant plus tard, Dean était fut installé sur le brancard et transporter dans l'ambulance. L'un des pompiers en désincarcérant l'impala, trouva un portable. Il interpella un des secouristes pour lui confier. Ce dernier le remercia avant de refermer les portes de l'ambulance.
Un nouveau claquement de porte, suivie d'un bruit strident. Pendant que l'ambulance se déplaçait à vive allure, l'un des deux secouristes regarda les numéros de téléphone qui avait été trouvé dans l'habitable de la voiture. Il y avait toute une liste, mais un seul numéro revenait souvent dans les appels, celui de Sam !
Le secouriste appuya sur la touche rappel, lorsque Sam vit l'appel de son aîné il répondit immédiatement.
- Dean, mais qu'est ce que tu fou ?
- Bonsoir Monsieur ! Vous êtes Sam ? Demanda l'ambulancier.
- Oui, mais qui êtes vous ? Pourquoi vous appelé du portable de mon frère ?
- Votre frère s'appel Dean ?
- Oui, mais que ce passe-t-il ? Commença-t-il à s'énervé.
- Monsieur, calmé vous ! Votre frère Dean à eut un accident !
- Oh mon dieu ! Est-ce que c'est grave ? Souffla Sam horrifié.
- Nous le conduisons à l'hôpital.
- Quel Hôpital ? Coupa net Sam.
- Mémorial hôpital Jeffrey Harrison.
- J'arrive ! Fit Sam en raccrochant.
Une chance pour Sammy que le motel n'était pas loin de l'hôpital. L'ambulance arriva à l'hôpital, avant que Sam ne soit là.
- Tension à 8.6 pouls 150, saturation à 90. Pupilles fixe et dilater !
Sam arriva quelque minute plus tard. Dean était déjà en salle d'examen. Il s'adressa alors à l'accueil.
- Bonsoir monsieur ! Dit-elle agréablement Puis-je vous aider ?
- Bonsoir ! Répondit Sam inquiet Une ambulance m'a appelé afin de me signaler que Dean Winthrop, avait été emmené ici suite à un accident de la route !
- Vous êtes ? Demanda la femme en regardant ses dossiers.
- Son frère ! Déclara le jeune homme de plus en plus inquiet Comment va-t-il ?
- Ils sont entrain de l'examiné ! Vous pourriez en profitez pour remplir le formulaire d'admission !
- Heu... Répondit Sam encore perturbé par la mauvaise nouvelle.
- Monsieur ! Monsieur ! Appela-t-elle en lui présentant les documents à remplir avec un stylo noir.
- Heu... Oui oui, je vais vous le remplir. Répondit-il d'une voix étranglé.
Une fois le formulaire rempile la secrétaire de l'accueil l'invita à s'installer en salle d'attente. Il se laissa tomber négligemment sur un siège. Sam commençait à trouver le temps long... Au bout d'une heure d'attente, un médecin vient à sa rencontre.
- Monsieur Winthrop ?
- Oui ! Répondit Sam angoissé.
- Docteur Franklin, se présenta-t-il, en lui serrant une poignée de main. Veillé me suivre s'il vous plait !
Sam le suivie, toujours aussi nerveux et angoissé. Arrivée dans le bureau le médecin l'invita à s'assoir. Sam s'installa sur le siège devant le bureau.
- Comment–va-t-il ? demanda Sam.
- Votre frère est dans le coma. Son cerveau à été gravement touché. Il a également sa jambe droite fracturée, ainsi que deux de ses côtes.
Sam qui avait écouté attentivement le médecin n'avait qu'une seule question qui lui vint aux lèvres.
- Quand va-t-il se réveillé ?
- Il est dans un profond coma ! Pour l'instant nous ne le savons pas, il faut attendre quelques jours pour savoir comment cela va évoluer.
- Puis je le voir ? Demanda Sam anxieux.
- Bien sur ! Je vais vous conduire à sa chambre. Les visites son autoriser de 13 H à 21 H. Vous avez donc encore quelques minutes devant vous !
- Merci docteur ! Répondit doucement Sam.
- Voilà ! Dit le médecin en lui désignant une porte. C'est ici !
Le jeune homme, lui sourit timidement et le médecin repartit dans le couloir, voir d'autres patients. Sam souffla un bon coup, posa sa main sur la poignée et la tourna... Il referma la porte derrière lui. Le jeune Winchester s'avança doucement vers le lit et observa son frère allongé dans les draps blancs. Il avait des bandages blancs autour de sa tête et une perfusion reliée à son bras, ainsi qu'un monitoring sur le torse, pour les battements de son cœur. Il s'avança doucement les yeux larmoyants, puis il s'assit sur la chaise qui était juste à côté du lit.
Sam contempla son frère allongé dans ce lit d'hôpital. Il semblait si paisible. Il avait du mal à imaginer ce qu'il avait pu le mettre dans cet état. Mais que c'était-il passé ? Pensa Sammy.
D'après les sites internet qu'il avait consulté, une personne dans le coma ne peux pas communiquer, mais peux entendre tout ce qu'il se passe autour de lui ! Sam venait chaque jour avec un magazine de mécanique ou un journal. Dean entendait tout ce qu'il se passait autour de lui, remerciait chaque jour son cadet, qui lui ne savait rien ! Il ne pouvait pas communiquer avec la parole, mais pouvait pensée. Lui aussi chaque jour il espérait pouvoir se réveillé et sortir de se merdier.
- Sam si tu pouvais me sortir de là ! J'en ais ral le bol de ce bip bip qui me siffle dans les oreilles jour et nuit ! J'arrive même plus à m'entendre pensée ! Pensait Dean.
Au bout d'une semaine il n'y avait aucune amélioration sur l'état de Dean. Sam venait chaque jour voir son frère espérant que chaque matin il verrait son frère réveillé. Mais encore ce matin il était toujours endormie dans ce lit blanc, inerte. Il continuait de lui lire les magazines c'est même devenue une routine.
- Bonjour Mr Winthrop ! Dit le médecin.
- Bonjour Docteur ! Comment va-t-il ? Demanda Sam.
- J'espérais que sont état s'améliore, mais nous sommes toujours au même point que lorsqu'il est arrivé dans notre service.
- Il n'y a rien à faire ?
- Nous allons lui faire un autre scanner, pour voir s'il y a une progression de son état cérébrale ! J'espère sincèrement qu'il va se rétablir très vite.
- Je l'espère aussi ! Souffla Sam. Quand allez-vous faire cet examen ? Se renseigna Sam.
- Demain matin à 9 h 00 ! Répondit le docteur Franklin.
- Quand aurez-vous les résultats ?
- Vers 11 h30 ! Je vais devoir vous laisser j'ai d'autres patient à voir !
- Merci Docteur.
Sam était toujours au chevet de son frère. Il gardait toujours l'espoir de voir son frère les yeux grand ouvert. Le lendemain matin, Sam arriva comme d'habitude. Il resta auprès de son frère toujours à lui lire les magazines, jusqu'à ce qu'il soit transporter en salle d'examen. Une heure plus tard Dean regagnait sa chambre. Vers onze vingt, quelqu'un frappa à la porte de la chambre.
Sam s'il te plait lit moi autre chose que ces magazines, j'en ai un peu marre...Trouve moi autre chose comme lecture... Je m'en lasse ! Je ne sais pas moi... tient du porno, ça changerait.
- Entrée !
Ah merde voici le baratineur en blouse blanche. Fait un effort Sammy, ne l'écoute pas...
- Bonjour !
- Bonjour Docteur !
- J'ai les résultats de votre frère !
- Et ?
Le toubib prit une chaise et expliqua la situation au jeune homme.
- Il n'y aucun progrès. Aucune activité cérébrale... Ajouta le médecin.
Eh voilà j'en étais sûr... Mais pourquoi tu ne m'écoute pas Sammy... Arrête de boire ses paroles, il raconte n'importe quoi ! Eh crois moi je suis au premières loge. Si tu pouvais m'entendre Sammy cela serait tellement plus simple.
- Ce qui veut dire ! Demanda Sam au médecin.
- Qu'il ne se réveillera probablement jamais ! Désolé de vous le dire votre frère est en mort cérébrale.
- Sammy je t'en pris ! N'écoute pas ce crétin en blouse blanche ! Même si je suis cloué sur ce maudit lit d'hôpital, je pense et je respire, donc je vies !
- Vous ne pouvez plus rien faire ? C'est ce que vous êtes entrain de me dire ?
- Je sais que c'est dur à entendre monsieur Winthrop. Mais avez-vous pensé au don d'organes ?
- N'y pensée même pas ! C'est non ! Rétorqua sèchement Sam.
- Bien comme vous voulez ! Mais je vous demande juste d'y réfléchir !
- Croyez-moi, c'est tout réfléchi ! Répliqua-t-il froidement.
Le docteur salua Sam puis sorti de la chambre.
- Bien dit mon petit Sammy... Tu as raison te laisse pas faire... Ce docteur de pacotille est un charlatan de première... Je sais que tu ne m'entends pas, mais je suis sur que je vais bientôt sortir de mon coma et partir de cette chambre de malheur. S'il te pait Sammy ne m'abandonne pas... Pensa Dean
Sam était nerveux, la question du don d'organe que le médecin lui avait parlé, le perturba. Il se posa alors tout un tas de questions.
« Ce docteur avait-il raison ? » « Pouvait-il prendre seul une décision aussi importante » Il avait déjà subit cette situation avec la mort de Bobby. Dean s'était même mit en colère contre ce mec qui voulait à tout prix avoir l'autorisation pour prélevé les organes de leur deuxième père. Il réfléchissait tout en traversant la chambre de long en large, les mains sur la tête, ne sachant plus ce qu'il devait faire. Mais une chose était sur il ne pourrait jamais laisser son frère mourir. Il avait déjà trop souffert lorsque Dean avait été emporté en enfer, son absence avait laissé un tel vide... Vide qu'il avait comblé avec de nombreuses chasses, pour ne pas tombé dans une fatale dépression...
Il ne voulait pas revivre une nouvelle fois cette situation ! Lorsque les visites ne furent plus autorisées Sam rentra au motel une fois de plus sans son frère... Son esprit était embrouillé, Sam n'avait quasiment pas dormi depuis que son aîné avait eut ce terrible accident.
L'impala avait été rapatrié dans une casse de la région, Sam avait été la voir. Elle était bien abîmer. Le gérant de la casse lui avait demandé ce qu'il devait en faire. Sam répondit qu'il devait la garder et que son frère la réparerait, comme il l'avait toujours fait.
Trois mois passèrent ou chaque jours Sammy espérait voir son frère se réveillé ! Mais plus le temps passait, plus le médecin harcelait Sammy, qui pour ce dernier donnait toujours la même réponse. NON !
En ce jour du 12 octobre 2012 le médecin revint une nouvelle fois vers Sammy mais cette fois ci il invita dans son bureau. Bien que Sam n'avait pas absolument envie de lui parler, il était curieux des nouvelles que pouvait lui apporter le docteur sur l'état de son aîné.
Dean de son côté avait entendu le doc.
- S'il te plait Sammy... Je t'en supplie...Ne l'écoute pas ce minable ... N'écoute pas ce qu'il te dit...C'est un menteur...Ne tombe pas dans le panneau de ce menteur... Sammy ne le suit pas... Je t'en supplie... J'ai besoins de toi... N'y va pas... Hurla Dean dans ses pensés.
Le médecin fit signe au jeune winchester de s'assoir sur la chaise en face du bureau.
- Comment va-t-il ? Se renseigna immédiatement Sam.
- Monsieur Winthrop. Nous avons fait de nouveau examen et les résultats ne sont absolument pas favorables.
- C'est-à-dire en langue claire ?
-Attendez, je vais vous montrez ses résultats.
L'homme de science alluma l'appareil pour éclairer les radios et commença à monter les différentes régions du cerveau de Dean.
- Vous voyez les zones sombres ?
- Oui ! répondit Sam d'une voix émue.
- Ce sont des zones qui ne sont plus en activité.
- Et ?
- Elles sont... Morte... Monsieur Winthrop cela fait déjà trois mois qu'il est dans un profond coma... Même s'il se réveille il sera handicapé à vie... Il ne pourra plus conduire. Ni se laver seul, ni aller aux toilettes...Ni exprimé normalement... ect...
A cette grave annonce Sam sentit les larmes monté aux yeux... Il posa ses fesses sur le siège... Ce que venait de lui apprendre le médecin eut l'effet d'un boomerang en pleine tête. Oh il savait que le médecin lui dit que le cerveau de son ainé était gravement endommagé, mais de la à pensé qu'il serait handicapé à vie. Dean n'acceptera jamais ça ! Dean aimait la chasse aux monstres, il aimait cette vie, celle qu'il avait choisie, s'il ne pouvait plus pratiquer la chasse, il ne l'accepterait pas... Dean était un battant, une jambe cassée, n'était rien pour Dean, mais tout le restant de sa vie dans un fauteuil roulant, ça jamais... Il préférerait mourir plutôt que de devenir dépendant de son cadet... Sam qui était toujours assit devant le bureau était tellement anxieux que ses jambes tremblaient. Quelle solution lui restait- il ?
- Monsieur Winthrop ?
- Oui ! Répondit San des trémolos dans la voix.
- Votre réponse sur le dont d'organe est toujours non ?
- Tout à fait !
- Comme je vous l'ai déjà dit, votre frère est dans un profond coma depuis maintenant 3 mois. Un seul donneur peut sauver 4 vies. Il y a environ 9000 personnes en attente d'un organe et 300 personnes décèdent par manque de donneurs. Je vous demande donc d'y réfléchir de nouveau.
-Docteur ! Mon frère respire et son cœur bat, il vit !
- Mais son cerveau n'est plus actif. Il est cliniquement mort. Sans le cerveau plus rien ne fonctionnera normalement. Je sais que c'est très dur à entendre et à accepter, mais c'est quelques choses de réel. Je vous demande encore d'y réfléchir.
- Je suis désolé c'est au dessus de mes forces... Répondit Sam les yeux larmoyant.
- Comme vous voulez, c'est vous qui voyez, mais ne réfléchissez pas trop longtemps. Des patients dans cet hôpital sont en attentent d'organes dont un enfant de 12 ans, ces patients ne pourront plus attendre bien longtemps. J'ai donc besoins d'une réponse d'ici ce soir.
Sam retourna dans la chambre de son aîné l'esprit embrouillé... Comment pouvait-il acceptez la mort de son frère ? Comment pouvait-il donner son accord pour un tel acte... Serte sauvé des vies dans leurs chasses était toujours de mise, mais là c'était tout autre chose, ce n'était pas la vie d'un inconnue, mais celle de son grand frère.
- Dean, si tu pouvais te réveiller, ce serait tellement plus simple... Ce que me demande ce médecin est au dessus de mes forces, je ne peux pas t'abandonner, j'ai déjà trop souffert de ton absence...
-Sammy ! Qu'est-ce que t'a demandé ce charlatan en blouse blanche ?
- Je dois lui donner une réponse ce soir... S'il te plait grand frère aide moi à prendre ma décision.
-Mais je ne demande que ça de t'aider mon petit Sammy...Mais je ne peux que penser et toi tu ne peux pas m'entendre... L'impasse totale, mon petit Sammy.
Sam avait pesé le pour et le contre toute la journée avant de prendre une décision. Celle qui prit n'était pas de gaité de cœur. Mais Dean dans son cas n'aurait pas abandonné... Mais au vu des résultats clinique cérébraux de son aîné, son cerveau était définitivement mort... Que pouvait-il faire d'autre, a part accepter qu'il n'y avait plus rien n'a faire pour lui, si ce n'est faire offrandes de ses organes pour sauvé 4 vies. Avait-il prit la bonne décision ? Plus personne ne pouvait lui donner son avis. Il ne lui restait que son frère, qui actuellement ne pouvait plus l'aider. Conclusion Dean était déjà parti dans un autre monde, et ce depuis trois mois. Dure réalité de la vie. Juste avant que les visites se terminé Sam fut abordé par le médecin. Bien qu'il n'acceptait pas la mort clinique de son grand frère, parce qu'il savait que si Dean se réveillait, il serait handicapé à vie, que Dean n'accepterait jamais cette vie, que Sam prit la plus grande décision de toute sa vie. C'est les yeux larmoyant qu'il donna son accord au docteur. Il du remplir un formulaire d'accord avant qu'il ne puisse quitter l'hôpital.
Il rentra doucement au motel ce soir là ! Complètement désespéré, se posant tout un tas de questions. Cette nuit la Sam ne dormi pas. Trop de questions en tête, trop anxieux. Perdre son frère à tout jamais était un retour en arrière, mais cette fois-ci il se dit que c'était pour la bonne cause.
Il consulta le net sur le don d'organe, il y passa toute la nuit. Don d'organe, don de la vie. Dont d'organes don de soit... tout les articles consultés indiquaient que c'était la meilleurs chose à faire. Lorsque soudain son attention fut attiré par un l'article d'un médecin retraité. L'article était très intéressant. Celui-ci disait.
RÉFLÉCHISSEZ BIEN AVANT D'AUTORISER LE DON D'ORGANES !
- Savez-vous qu'il est fortement conseillé d'avoir toujours sur soi un papier interdisant le don de vos organes - si l'on ne veut pas servir de magasin de pièces détachées, suite à une mort accidentelle - car son absence serait considérée comme une autorisation implicite de prélèvement de vos organes. Bien sûr, ceci concerne principalement un accident sur la voie publique, qui, en outre, entraîne légalement une autopsie systématique......
- Or, si vous lisez bien le formulaire d'autorisation, il est marqué : j'autorise le prélèvement de mes organes après ma mort. Et le piège se trouve là ! APRÈS MA MORT.
- Le docteur Paul B, spécialiste de la mort cérébrale depuis plus de 30 ans déclare : « Tout le monde (médical) sait qu'aucun organe prélevé sur un cadavre, même récent, n'est pas apte à la transplantation ». Le « après ma mort » est donc un mensonge et une tromperie. Afin de pouvoir tricher avec cette réalité, en 1968, la médecine a inventé le concept de «mort cérébrale» qui est devenu la nouvelle définition de la mort.
-Traditionnellement et logiquement, la mort c'est l'arrêt du cœur et l'arrêt du souffle. Cinq minutes après, plus aucun organe n'est utilisable.
- Le docteur B nous dit : « J'avais confiance en mes confrères médecins, persuadé que les transplanteurs étaient des gens honorables. Au fil des ans j'ai commencé à regarder de plus près ce qu'ils faisaient, et il est devenu clair pour moi que la raison pour laquelle on nous parlait de mort cérébrale était en vue de justifier la transplantation d'organes. On avait essayé de faire des transplantations de cœurs prélevés sur des personnes mortes, mais cela ne marchait pas. Il fallait pouvoir disposer d'un cœur battant prélevé sur une personne vivante.
- Les personnes dont la vie est en danger sont celles qui ont les organes les plus sains : celles qui ont entre 16 et 30 ans. Si une telle personne est blessée à la tête, on va immédiatement chercher à garder ses organes en forme, alors que les soins devraient viser à la maintenir, elle, en bonne forme. Ce n'est plus la personne qui est soignée, mais les organes !"
- A la question : Les organes comme le cœur, les poumons, le foie peuvent-ils fonctionner en l'absence de tout fonctionnement cérébral ? La réponse est OUI. Donc, une personne dont le cœur fonctionne, le sang circule, et la respiration est régulière peut donc aujourd'hui être déclarée en état de « mort cérébrale ».
-On sait pourtant que, dans ce cas, la plupart des fonctions vitales continuent, dont la digestion, l'excrétion (évacuation des déchets), et l'équilibre des fluides. Si « le mort » a des blessures, on constatera qu'il cicatrise, et si c'est un enfant, qu'il continue à grandir. Une femme enceinte en état de « mort cérébrale » peut continuer à porter son enfant. En revanche, une fois que ses organes vitaux sont retirés pour être transplantés, le « donneur » d'organe devient un vrai mort.
- Très souvent, les personnes en état de « mort cérébrale » sont sensibles aux opérations chirurgicales. C'est ce que les médecins appellent « l'effet Lazare », du nom celui qui ressortit de son tombeau. Pour pouvoir prélever les organes, les médecins doivent donc pratiquer l'anesthésie, ou injecter des substances paralysantes (où la douleur subsiste ?) pour éviter les spasmes musculaires, ou les changements brutaux de pression sanguine, de rythme cardiaque, et d'autres réflexes protecteurs. Ces informations sont très peu connues du grand public, et les familles à qui l'on demande d'autoriser un prélèvement d'organe ne sont malheureusement pas informées.
Je pourrais citer de nombreux exemples où les familles ont subi des pressions pour autoriser les prélèvements d'organes sur des personnes comateuses ou inconscientes déclarées en état de « mort cérébrale » ou « sans espoir de guérison ».
- Je donnerai seulement celui d'un Américain de 21 ans, en état de « mort cérébrale », qui était sur le point de se faire retirer ses organes vitaux lorsque ses deux sœurs, toutes les deux infirmières, décidèrent de vérifier qu'il était en effet bien mort (cérébralement). Discrètement, elles enfoncèrent une aiguille sous un ongle de pied, ce qui provoqua une forte réaction, prouvant qu'il était conscient. Il se remit ensuite complètement et déclara plus tard qu'il avait toujours été conscient et entendait les médecins autour de lui discuter des organes qu'ils allaient lui prélever !
- Reste une question carton rouge d'ordre métaphysique : Tous les praticiens en réflexologie connaissent le postulat basique du vivant du «Tout est dans tout »..... (Et inversement, n'est-ce pas ?)
- C'est en outre le principe holographique de la mémoire universelle (tapez holographie dans Google). Un seul exemple : tout votre patrimoine génétique depuis des générations est inscrit dans chaque ovule mesdames, dans chaque «supermatozoïde » messieurs (Waouhhh !). Personne ne conteste maintenant le fait que les milliards de cellules qui composent notre organisme sont toutes interconnectées de la tête aux orteils et que la conscience est un phénomène global du corps dont le cerveau est seulement le transcripteur. Aussi, de nombreux témoignages de transplantés relatent qu'ils ont connu des altérations de leur caractère ne pouvant s'expliquer que par l'interférence du programme psychique du donneur – que hélas on ne connait pas...
- Maintenant, personne n'est obligé de se ranger à ma vision pour ses choix personnels, mais quand il s'agit d'un membre de votre famille, soyez fair play de ne pas l'embarquer à la légère dans une dramatique salade.
Michel D.
A la lecture de cet article Sam était totalement anéanti.
- Mais qu'est ce que j'ai fait ? Pourquoi j'ai accepté... Dit-il en passant nerveusement ses mains dans les cheveux tout en faisant les cents pas.
Il venait d'autoriser la mort de son frère. Sam se sentait coupable, mal dans sa peau. Il parti directement pour l'hôpital. A huit heures il était dans la chambre de son aîné, il ferma la porte à clé pour ne pas être dérangé.
- Désole Dean, mais il faut que je sache...
- Que tu sache quoi ? Arrête tu chatouille le pied.
Sam fit le test, il enfonça une aiguille sous l'ongle du pied de son aîné.
-Aïeeeeeeeeeeeee... Lança Dean en hurlant... Non mais ça va Sammy ! Qu'est-ce qu'il te prend de me faire souffrir... Tu as perdu la tête.
Sous l'effet de la douleur Dean avait réagit en remuant l'orteil.
- Putain tu es conscient ! Dit-il en soulagé.
- Evidemment que je suis conscient... Pourquoi tu en doutais ?
Quelques minutes il rée ouvrit la porte. Peu de temps après le médecin entra dans la chambre.
- Bonjour Mr Winthrop.
- Bonjour Docteur. J'ai changé d'avis !
- Ecouter Mr Winthrop vous avez donné votre accord ! Le bloc opératoire est prêt. Toute l'équipe attend votre frère.
- Je m'en fou j'ai changé d'avis et c'est mon droit. S'énerva Sam. Vous ne pouvez pas m'obliger à rester sur ma décision. Je ne veux plus qu'il soit donneur ! Lança Sam en haussant le ton.
Au vu de l'énervement de Sam, le médecin n'insista pas plus longtemps et conduisit Sam au secrétariat pour qu'il remplisse un autre formulaire qui annulerait le premier.
Le personnel du bloc opératoire n'ayant pas été informé à temps que tout était annulé, Dean fut déplacé au bloc opératoire.
En salle d'opération tout le personnel était prêt. Arrivée sur place Dean fut immédiatement préparé et l'anesthésiste injecta à Dean une légère dose de substance paralysante. Dean senti le liquide lentement l'envahir et ses membres se détendre.
- Mais putain de merde ! C'est quoi ce bordel... Hurla-t-il dans ses pensées.
-Tout le monde est prêt ? Nous pouvons commencer à prélever ses organes ! Lança le chirurgien aux membres de son équipe, qui quant à eux répondirent par un mouvement positif de la tête.
-Mes organes... non mais vous êtes malade, je suis vivant... je suis vivant... pensa Dean en hurlant intérieurement.
- Scalpel ! Lança le chirurgien à son infirmière.
- Oh oh non non pas ça ! Hurla Dean dans ses pensées. Non mais je rêve là ! Dite moi que je rêve ! J'ai vécue des tas de truc, j'aurais pu mourir des centaines de fois avec toutes les chasses qu'ont n'a faites avec Sammy et c'est comme ça que je vais finir ma vie... Découpé vivant...Au secours aider moi ! Aider moi je vous en supplie... Hurla-t-il paniqué.
Le chirurgien approcha le scalpel de la poitrine de Dean et planta celui-ci dans la peau du jeune homme et commença à entailler la peau jusqu'à la chaire, qui sous l'effet de la coupure, se mit à saigner. Dean entendait tout ce qu'il se passait autour de lui, se mit intérieurement à paniqué. Malgré l'anesthésie qu'il avait eut, l'adrénaline du jeune homme fut plus fort. Il ressenti alors la brûlure de l'incision et ouvrit subitement les yeux tout en lançant un long gémissement.
La surprise fut tel que le chirurgien arrêta net ce qu'il était entrain de faire.
- Non de dieu il est conscient ! Cria l'anesthésiste.
L'infirmière horrifiée mit sa main devant bouche. Le chirurgien entreprit d'arrêter l'hémorragie de l'entaille qu'il avait faite. Dean quand à lui avait les yeux remplie d'effroi, totalement paniqué. Cherchant désespérément son petit frère Sammy.
Pendant ce temps Sam découvrit en revenant du secrétariat, que Dean n'était plus dans la chambre ! Il revint en courant auprès de l'administration.
- Mademoiselle ! Dit-il en tapotant sur le comptoir.
- Oui Monsieur Winthrop !
- Ou est mon frère ?
- Je vais me renseigner ! Lui dit-elle tapotant sur les touches de son clavier.
- Il est au bloc opératoire ! Lui répondit-elle.
- Mais ce n'est pas possible, l'intervention à été annulé ! Dit-il d'une voix aussi paniqué, qu'angoisser. Appeler moi le docteur Franklin ! Tout de suite ! Cria-t-il.
- Je ne peux pas il est en consultation.
- Ok ! Répondit-il en s'éloignant du comptoir administratif.
- Monsieur Winthrop ou aller vous !
Sam arriva devant la standardiste du docteur Franklin.
- Bonjour ! Je voudrais voir le docteur Franklin.
- Il est en consultation !
- Je sais ! Mais appeler le ! C'est une urgence. C'est à propos de mon frère ! Hurla-t-il énervé.
-Tout de suite monsieur !
Elle décrocha le combiné puis composa le numéro du médecin.
Celui-ci décrocha.
- Oui Maryse.
- Il y a monsieur Winthrop qui veut vous voir, il dit que c'est urgent, que ça concerne son frère.
- Dite lui que j'arrive.
- Il arrive. L'informa-t-elle.
Lorsque le médecin arriva vers Sam, celui-ci lui fit comprendre par son expression qu'il n'était pas content.
- Que se passe-t-il monsieur Winthrop.
- Mon frère à été emmené au bloc !
- Vous en êtes sur !
- Certain ! Il n'est plus dans sa chambre et la secrétaire m'a dit qu'il avait été transporté au bloc. Répondit-il nerveusement.
- Maryse passé moi le bloc 6 s'il vous plait.
Le téléphone sonna plusieurs fois avant que l'infirmière décroche le combiné.
- Allo ! Ici le Docteur Franklin. Dite moi avez-vous transporté Mr Winthrop au bloc pour prélevé ses organes.
- Oui, mais nous avons eut un souci.
- Un souci ? Le quel ? S'étonna-t-il.
- Il s'est réveillé !
- Vous pouvez répéter ça ?
- Il s'est réveiller avant même qu'ont lui prélevés ses organes. Il est en salle de réveille.
Le docteur Franklin raccrocha un léger sourire aux lèvres.
- Alors ! Demanda Sam anxieux en tapotant sa main sur le comptoir administratif.
- Votre frère c'est réveillé avant qu'ont lui prélèves ses organes Vitaux.
- Incroyable ! C'est bien mon grand frère ça ! Répondit-il un large sourire aux lèvres. Je peux le voir !
- Non pas pour l'instant il est en salle de réveille. Il sera dans sa chambre d'ici trois Heures.
- Trois heures ?
- Oui, c'est le temps qu'il faut pour qu'il récupère de l'anesthésie. Vous pouvez l'attendre dans sa chambre.
-Merci docteur ! Dit-il en lui serrant la main.
- Ne me remercier pas, remercier plutôt la chance. Je viendrais le voir lorsqu'il sera installé.
Sam parti rejoindre la chambre de son aîné. Sur le trajet il s'arrêta à la chapelle. Il y avait si longtemps qu'il n'avait pas prié. Il s'installa sur le banc du dernier rang et remercia dieu pour son geste envers son frère. Même s'il savait qu'un homme 45 ans c'était également réveillé quelques minutes avant de lui prélèves ses organes, Sam considérait le réveille de son aîné comme un miracle, comme quelques chose que dieu lui avait accordé ! Il resta dans la chapelle pendant trente minutes. Puis il reprit le chemin vers la chambre de Dean. Deux heures et demi plus tard, Dean fut amener dans sa chambre ou Sam l'attendait.
- Dean ! Comment tu sens ?
- Fatiguée... mais heureux d'être parmi les vivants... et surtout content de te retrouvé Sammy. Dit-il d'une voix essoufflée.
- Tu m'as fait si peur !
- Et moi dont, j'ai failli être découpé vivant.
- Désolé Dean, mais le médecin m'a dit que si tu te réveillais tu serais handicapé à vie. Que tu étais «cérébralement mort ». Qu'il ne pouvait plus rien faire pour toi. « Sans espoir de guérison »
- Et toi tu as accepté...
- Le formulaire indiquait « après la mort ». Je ne pouvais pas savoir que tu étais encore conscient.
- Ben si mon petit Sammy. Je pouvais te parler par la pensée mais toi tu ne pouvais pas m'entendre. Ne me refait plus jamais ce coup là !
- Toi non plus ! Rétorqua Sam en souriant.
Le médecin frappa à la porte.
- Docteur !
- Alors comment vous sentez vous Dean?
- Pour vous sera Mr Winthrop. Répondit amèrement Dean.
- Je sais que vous êtes en colère.
- Vous croyez ? C'est un euphémisme ! C'est à cause de vous que je me suis retrouvé sur une table opératoire, à me faire découpé vivant. C'est vous qui avez forcé mon frère à accepter, c'est donc vous le responsable ! Répondit Dean d'une voix glaciale.
- Vous ne devriez pas vous énervé ce n'est pas bon pour votre rétablissement. Argumenta le médecin.
- Tient en parlant de ça ! Je sors quand ? Demanda Dean.
- Oh là, pas si vite ! Il faut absolument que vous vous reposiez quelques temps.
- C'est-à-dire ?
- Une huitaine de jour !
- Vous plaisantez !
- Non ! Vous avez encore besoins de soins et de repos !
- Ben voyons...
- Avez-vous des vertiges, maux de tête, nausée ?
- Non ! Juste mal là ou j'ai été entaillé !
- C'est normal, la douleur devrait persister encore quelques jours. Je vais dire à l'infirmière de vous donner des antalgiques. Je vais devoir vous laisser j'ai d'autre patients à voir. Au revoir messieurs.
- Au revoir docteur.
Seul Sam avait salué le docteur, Dean quant à lui, avait lancé au médecin un regard noir de sens.
- Sam ?
- Oui Dean !
- Je n'ai qu'une seule envie c'est quitter cette enfer blanc. Retrouvé l'air libre. Je ne resterais pas 8 jours ici !
- Je n'en doute pas ! Tu en fais toujours qu'à ta tête !
- Et c'est toi qui dis ça ! Alors que tu ferai la même chose !
- Oui ce n'est pas faux ! Répondit Sam en souriant. Tu te rappel de ce qu'il s'est passé !
- J'ai dérapé sur la chaussée mouillé à cause d'un putain de cerf que j'ai voulu éviter, pour ne pas me le plafonner. J'ai fini dans le faussé. Après le noir complet. Dans qu'elle état est mon bébé ? Osa demander Dean.
- Comme tu peux l'imaginer elle est bien abîmée. Mais rien que tu ne puisses pas réparer.
Les deux frangins continuèrent de discuter jusqu'à la fin des heures de visites. Sam quitta l'hôpital et regagna le motel avec un moral d'acier. Désormais il savait que son frère était en bonne voit de guérison et pouvait enfin dormir une nuit complète. Ce soir là Sam dormi d'un sommeil profond et réparateur.
Dean sorti de l'hôpital 5 jours après s'être réveillé. Il mit du temps pour réparé son bébé mais une fois celle-ci remit en état. Les deux frangins reprirent la route au plus grand plaisir de Dean qui n'attendait que ça !
FIN
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