... 1 semaines plus tart...

*Hôpital*

à peine 8h, que layna, en tenue d'infirmière, enchaina les visites quotidienne de ses patients avant d'allez faire des papiers à son bureaux. Elle tchéquait, trier ses mails, lorsqu'elle en reçut un, sous son nez, qui tombait à pique pour refaire son stock de produit de médecine.

« madame layna james moriaty                                                                                   fait le ???/???/??? à ?????

hôpitale ???

                                                ?????????????, centre d'approvisionnement de la médecine et de la santé

                                                 Directeur ??? ???

                                                ville de ?????

Objet: approvision de produit pour l'hôpital

Chers madame layna james moriarty. je vous fait parvenir ce message pour vous dire que votre commande n° XXXX,chez votre fournisseur monsieur ??? ???,  est disponible et vous attend rue ??? ???.

Pour rappel, cette commande fait office de médecin et ne doit pas être utiliser à d'autre fin que celle-ci.

Si vous rencontrez un quelconque problème avec les produits, ou si il vous s'en manque, ou que le/les produit/s n'est/ne sont pas à la bonne température, veuillez le signaler sur la feuille de contre-rendu.

Cet email confirme la réception de votre commande. Votre achat de ces produits ne sera définitif qu'une fois la transaction effectuer.

Nous vous invitons aussi à demander une facture pour plus de sécurité.

Veuillez agréer, madame moriarty, l'expression de nos sentiments sincères »

-Layna: super. on en avait besoin

Elle renvoya aussitôt l'accuser de réception, puis se leva pour allez au bloc. Mais au couloir, l'une de ses collègues l'accosta en cour de  route, pour lui demander, toute en marchant, un renseignement important.

-Infirmiére: madame, on à plus de ??? et de ???, ils nous en faut de toute urgence

-Layna: du calme. c'est pour la chambre 3 et 1?

-Infirmiére: oui

-Layna: pour la chambre 3 vous donnerez au petit kelio ........... et pour la chambre 1 .........., j'en est fait hier

-Infirmiére: entendu!!!

Sa collège s'en alla, tandis qu'elle continua sa route comme si de rien n'était.

...plus tard...

10h.

Installer dans sa chambre réfrigérer, Layna, en tenue chaude, était en pleine confection de nouveaux remèdes. Son téléphone sonna. Elle se lava aussitôt les mains et réponda.

-Layna« allo mon cœur!!! sa va!!!?»

-Albert:« oui sa va et toi? Tu fait quoi?»

-Layna:« je suis en pleine confection, j'en peux plus»

-Albet:« tu n'a pas reçut ta commande?»

-Layna:« non pas encore. je vais allez la chercher ce soir»

-Albert:« je vois. et c'est ou?»

-Layna:« à cotés de chez william et louis»

-Albert:«ok. bah on n'a qu'a ce rejoindre chez eux. tu pourra être la tantôt?»

-Layna:« hmm, je ne pense pas. j'ai les médicaments à surveiller et la commande. je vais surement rentrer tard ce soir»

-Albert:« oh, tu ne peux pas t'arranger. lya voudrait te faire voir un truc important»

-Layna:« un truc important?»

-Albert:« oui. elle n'a pas voulut me dire ce que c'était, mais elle veux te le faire voir. elle m'a même demander à veiller jusqu'à 3h, pour te dire»

-Layna:« hmm, bon ok je vais voir ce que je peux faire»

-Albert:« super»

-Layna:« hé, toi. tu fait quoi?»

-Albert:« (voix en fond) dit lui que tu est dans un bar» « je suis dans un bar, avec des filles qui dansent pour moi»

-Layna (rigolant) « comme si j'allait te croire. De un: je sais quand tu mens. de deux: Je t'ai entendu ???. et de trois: ne t'avise pas un jour de me fait cela sinon je te quitte, j'embarque ma fille avec moi, et je retourne chez moi»

-Albert:« (rigolant avec son collège) mais non, c'est ??? qui te fait marcher voyons. on vient de revenir de mission» « (voix de fond)salut madame moriarty»

-layna:« salut ???!!! laisse mon homme veux tu, j'y tiens»

-Albert:« (voix en fond) désoler désoler c'était pour vous faire enragez»

-Layna:« alors je peux parler à ta femme de ce que tu as fait un soir, avec moi»

-Albert:« (voix en fond) bon ok, je me tait....(déglutissant) madame moriarty, j'ai besoin d'aide là, Calmez vite votre mari qui me dévisage»

-Layna:« chérie, on plaisantait. c'était une façon de dire. Et fallait pas s'en vanter, n'est ce pas»

-Albert:« elle a raison. C'est comme même grâce à nous que vous êtes toujours ensemble» « (voix en fond)pas faux»

-Layna:« allez je vous laisse. je vais continuer»

-Albert:« ok, à tout à l'heure»

-Layna:« oui, à tout à l'heure. Je t'aime!!!

-Albert:« je t'aime!!!»

Son mari raccrocha. La femme reprit ses préparations.

...plus tard...

13h30.

Layna, changer en tenue de civil, observa une dernière fois ses médicaments en confection, puis donna les instructions à l'infirmière présente.

-Layna: bon alors voilà: il reste 20m. après tu sort les tubes, tu les met en cellules 1h, puis en flacon. une fois en flacon, tu les met dans le frigo, et seulement demain, je dit bien seulement demain, vous les utiliserez

-Infirmiére: entendu!!!

-Layna: de toute façon ??? est là au cas ou

-Infirmiére: ok

-Layna: bien je vais y allez. à demain!!!

- Infirmiére: au revoir madame moriarty!!! à demain!!!

...plus tard...

15h.

(durham)

*Résidence principale moriarty*

Ils eurent la surprise de voir débarquer layna, qu'ils accueillirent. Albert embrassa sa femme, qui prit ensuite sa fille dans ses bras, qui était très contente de voir sa mère. Personne ne s'y attendait. Sauf albert, qui avait rien dit.

-Lya(contente)(gesticulant)maman!!!!

-Layna: surprise hein? maman est partie plus tôt de son travail pour vous rejoindre. contente?

-Lya(souriant) oui!!!

-Albert: dit ma puce. tu n'avait pas quelque chose à montrer à maman?

-Lya: oh si: la surprise!!!

-Layna: une surprise?

Sa fille gesticula pour que sa mère la pause part terre, puis elle routa dans sa chambre, à l'étage.

-Layna: c'est quoi la surprise?

-William: tu verra

-Albert: attend. tu sait ce que sait?

-William: disons que, oui, vue que je l'ai en partie aider

-Layna: s'a y est je sais

-Layna/albert (se regardant) le contrôle de math

-Albert: c'est vraie que c'était aujourd'hui

-William: peux être bien, je sais pas

-layna: c'est sa, c'est sur

Ils entendirent leur fille revenir. Celle-ci avait mit une feuille derrière elle, pour ne pas qu'ils ne la voient, même si, ils la voyaient vue qu'elle était petite.

-Lya: ferme les yeux maman. toi aussi papa

-William: nous aussi?

-Lya(réfléchissant)heu hm

-William: pour le plaisir

-Lya: oui, allez, tout le monde ferme les yeux

les adultes s'exécutèrent.

-Lya: on ne triche pas

-Layna: oui madame

La fillette rigola, puis tenda la feuille devant eux.

-Lya: ta-dam!!!vous pouvez ouvrir les yeux!!!

Les adultes découvrirent la feuille, que la mère s'empressa de prendre dans sa main.

-Layna: ah. c'est un contrôle de math

-Albert: attention attention, vous avez un tonton professeur de math je vous signale. Si ce n'est pas bien il va vous gronder

William et lya se regardèrent du regard.

-Lya: maman. tu peux regarder en haut pour voir

Sa mère lisa attentivement, et vit la note.

-Layna: oh! elle a eu 10/10!!!

-Lya (fière d'elle) hé ouais

-Layna: bravo ma bébé!!! je suis fière de toi!!!

Le couple prirent leur fille dans les bras pour lui faire un gros bisous.

-Lya: c'est grâce à tonton william, il est trop fort. il m'a fait comprendre les maths, je sais pas comment il à fait. c'est de la magie

Tous sourirent.

-Layna: donc on doit dire merci à tonton?

-Lya: et à moi aussi

-layna(lui caressant le visage) oui c'est vraie

-Albert: Et, donc. faut fêter cela?

-Lya: oh bah oui

Louis ramena alors de quoi boire: champagne pour eux, et champomy pour la petite.

-Louis(versant dans le verre de sa nièce) regarde lya, ce que tonton à trouver pour toi

-Lya: c'est quoi?

-Louis: du champomy

-Lya: non (faisant le geste non avec le doigt) pas du qui pique tonton

-Layna: mais qu'est ce que t'a à la fin avec le qui pique

-Albert: aucune idée

-Layna: t'a l'air suspect à dire cela

-Albert: mais non

-Layna: mouais. On réglera cela

-Albert: au lit

-Layna: non. Au salon avec des coups de baguettes

-Albert: je vais me plaindre à mes frères. T'a entendu will, ta belle-sœur veux me frapper

-William: grand frére albert. ne serait t'il pas plus judicieux que vous régliez cela comme des adultes

-Albert: oui. Je te dirais pourquoi elle n'aime pas le qui pique. un jour

Le couple se bagarra avec un oreiller.

-Louis: écoute tonton ma puce. ce n'est pas du qui pique, et c'est à la pomme. d'après tonton william tout les petit enfants comme toi en raffole. c'est comme nous avec le vin

-Lya:....donc je suis grande?

-Louis: exactement

Tous prirent leur verres remplit et firent tchin avec la petite, qui avait apprit cela avec son père.

-Lya: regarde maman: je suis grande

-Layna: oui je vois cela. mais pas trop, hein

La maman regarda sa fille prendre une petite gorgée dans son verre, avant de l'enlever aussitôt de sa bouche, en grimaçant et pleurant.

-Lya(voix râleuse) c'est du qui pique sa! (voix normal) mais c'est bon

Tous rigolèrent sur le coup de l'attitude de la petite, qui les avait bien fait marrer. Le benjamin, sur le moment, aperçu une carte, qu'il avait poser le meuble depuis ce matin, et s'en souvenu.

-Louis: c'est vraie!

Il posa alors son verre, alla prendre la carte, et revena avec pour la donner à sa belle-sœur

-Louis: tient! on à reçut sa pour toi!

-Layna: merci beaucoup louis

Elle prit la carte que lui avait apporter son beaux frére, et chercha aussitôt l'expéditeur.

-Layna: ??? ???

«si possible, accepteriez vous de venir diner avec moi ce soir?»

-Layna: oui, je vois. vue que vous venez d'emménager ici et que je porte aussi le nom moriarty, il à cru que j'habite ici et vous l'a envoyer. désoler

-Louis: non, ce n'est rien

-Albert: c'est qui?

-Layna: mon fournisseur

-Albert: ton... fournisseur. qui t'invite à diner?

-Layna: oh, mais ne soyez pas jaloux mon chers mari

-Albert: moi? Jaloux? Jamais voyons, j'ai tout pleinement confiance en vous

Il lui fit un petit bisous rapide qu'elle lui redonna.

-Layna: vous n'avez qu'a venir. sa vous dit de venir avec moi?. comme cela vous verrez aussi votre voisin

-William(souriant)avec plaisir

-Layna: super!!! je vais le prévenir

..Plus tard...

18h.

*Manoir???*

Ils arrivèrent à l'heure convenu chez leur hôte: un homme âgé, qui les accceuilla avec son majordome et ses servantes. La femme le salua amicalement, puis présenta sa famille.

-Layna: monsieur ??? ???. voici mon mari, albert james moriarty!!!

-Albert(lui serrant la main) enchanté! monsieur le comte!!!

-???: je vous en prit, appelez moi dublin (apercevant la petite, qui se refrognait sur son père) toi, tu doit être lya je suppose?

-Layna: oui, c'est notre fille. tu dit bonjour ma puce

-Lya: bonjour monsieur!!!

Elle alla aussi lui faire un bisous.

-Comte dublin: salut toi

L'homme, accroupit, essaya de jouer avec elle, mais la petite, faisant sa timide, ne coopéra pas.

-Comte dublin: qu'elle est mignonne. Sa lui fait combien?

-Layna: bientôt 10 ans

-Comte dublin: mon dieux, déjà. que sa passe vite

-William: vous avez l'air d'aimez les enfants. vous en avez?

-Comte dublin: hé non, malheureusement. c'est mon regret de ne pas en avoir eu avec ma femme avant qu'elle meurt

-Layna: Comte dublin. voici mon beaux frére, william

-William(lui serrant la main) enchanté!!!

-Layna: comme vous le voyez, il est très intelligent. et il est professeur de math à l'université

-Comte dublin: vraiment? C'est incroyable sa

-William(souriant)merci beaucoup

-Layna: et voici mon autre beaux frére, louis. C'est le benjamin qui gère et administre nos terrains

-Louis(lui serrant la main) enchanté!!!

-Comte dublin: oh je comprend mieux maintenant. je me disait aussi que c'était pas possible quand j'ai ouïe dire qu'il y avait deux garçons moriarty qui habiter aussi

-Layna: oui

-Comte dublin: enfin. ce n'est pas bien grave. venez, je vais vous faire visitez

Le noble les fit entrer, visiter sa grande demeure, avant de les conduire au salon. Ils prirent l'apéro, puis se mirent à table, ou les domestiques leur rapportèrent leur repas et les boissons.

-Comte dublin (levant son verre)(portant un tost) je vous souhaite la bienvenue ici!!! je suis content d'avoir enfin des personnes comme moi!!! j'espère que nous nous entendront bien en temps que co-propriétaire des terres

-Albert(souriant)(verre lever comme tout le monde) oui, moi de même

Tous burent une gorgée.

-Médecin: monsieur, je vous prierez de ne pas trop boire ce soir, c'est important

-Comte dublin (s'arrêtant subitement de boire)(posant son verre) ah bon? Dommage

-Louis: vous êtes malade?

-Comte dublin: ce n'est rien. juste un petit soucie au cœur

-Albert(pensant à son frére) au cœur

-Comte dublin: oh. mais ne vous en faite pas pour moi j'ai ce qu'il me faut

Son majordome ramena le médicament.

-William: qu'est ce?

-Comte dublin: de la quinine, faite maison. je fait pousser le quinquinas, la plante qui sert à en faire. À la base, sa sert contre le paludisme, mais d'après mon médecin c'est aussi efficace contre le cœur

Il buva dans le flacon, qu'il tenait a la main, avant de le refermer et de le poser.

-Layna: vous prenez toujours cela

-Comte dublin: oui, pourquoi, ce n'est pas bon? au remarque, je ne suis pas médecin comme vous ma chère. je n'ai pas le choix: je dois faire confiance à mon médecin

-Layna: et vous avez bien raison

-Louis: alors, vous aimez le jardinage si je comprend bien

-Comte dublin(réfléchissant)(se touchant le menton) si j'aime le jardinage?. Hmm, oui on peux dire cela. j'aime collectionner les plantes rares (pensant à quelque chose) oh, j'ai une idée!!!

-Layna: moi je croit que je sait

-Lya: c'est quoi maman?

-Comte dublin: et si je te faisais visiter, à toi, à ton père et tes tontons, ma serre juste après. qu'est ce que t'en dit?. Comme cela je donnerais en même temps la livraison à ta maman

-Lya: maman, on peux?

-layna: faut demander à papa et à tontons

-Layna: papa?

-Albert: comme tu veux ma puce

-Lya: tontons?

-Louis: sa me dérange pas. s'a m'aidera à trouver de l'inspiration pour cuisiner

-William(souriant)(yeux fermer) oui, on en serez ravie

-Comte dublin: alors c'est régler. Nous irons après le repas

...plus tard...

23h.

Le repas finit, Le comte avait conduit ses invités à son petit abri, sa serre, allumer, qui faisait évoluer pas mal d'espèces de plantes et de fleurs, tous différentes les uns des autres. Cela demandait beaucoup de savoir et d'entretiens, ce qu'avait et faisait son jardinier, en plein travaille à leur arriver. La petite fut totalement émerveiller, qu'elle touchait quelques feuilles avec sa mère, qui lui disa si oui ou non elle le pouvait.

-Lya: t'a vue maman? Elles sont belles les fleurs et les plantes

-Layna: oui ma puce

-Comte dublin: alors? Qu'est ce que vous en pensez?

-layna: c'est toujours aussi beaux et merveilleux que dans mes souvenirs

-William(regardant au alentour) mais sa doit demander beaucoup de travaille et d'entretiens, non?

-Comte dublin: oui. mais j'ai un bon jardinier pour cela

Il leur montra son employé.

-Comte dublin: il s'appelle barton. il n'est pas très futé mais travaille bien

Layna regarda l'homme désigner, qui rangeait son matériel.

-Comte dublin: madame moriarty. vous voulez peux être allez voir votre livraison?

-Layna: hein? Heu oui je veux bien

Elle détacha son regard de l'homme pour suivre son hôte qui la conduisa dans son endroit réfrigérer de la serre ou était stocker la livraison. La femme prit le chariot et contrôla tout en détail.

-Layna: bien. tout est bon pour moi (remplissant le papier qu'elle redonna)merci beaucoup!!! c'est gentil!!!

-Comte dublin: de rien. sa fait plaisir que sa serve à quelque chose d'utile, surtout que vous avez reprit le travaille de votre mère. Je vous devez bien cela.

-Layna: merci. d'ailleurs, puis-je vous empruntez un camion pour ce soir? je vous le redonnerez demain

-Comte dublin: oui oui aucun soucie

Le noble donna les clés de l'engin. Le majordome de l'homme, qui était partie, revena avec un panier remplit de fruit.

-Comte dublin: c'est pour vous remercier. Voici des pamplemousses et autres fruits de mon jardin

-Layna: oh, fallait pas

-Comte dublin: bien sûr que si. vous avez acceptez mon invitation à diner

-Layna: merci beaucoup

Elle prit le panier à la main, que son mari prit ensuite. La femme observa de nouveaux le jardinier, devant elle, qui s'apprêter à partir

-Layna: chérie, tu veux bien allez mettre ma livraison dans le camion de monsieur dublin. j'ai quelque chose à faire

-Albert: oui, biensur

Sa copine parta aussitôt rattraper l'homme, déjà loin. Celui-ci, ayant finit de ranger son matérielle, s'apprêter quitter la serre pour rentrer chez lui, quand il la reconnu.

-Barton: oh, bonsoir madame moriarty

-Layna(sortant un sachet de médicament de son sac) tient! c'est des calmants. s'a l'aidera

-Barton(repoussant)non, je ne peux pas. vous avez fait tant pour nous et

-Layna(retendant)c'est gratuit. je ne vous ferez pas payez les médicaments. et j'insiste

L'homme hésita, avant de finalement accepter.

-Barton: merci beaucoup

-Layna: comment elle va?

-Barton: toujours pareil. j'ai l'impression de ne servir à rien...

-Layna: ne dites pas cela. vous avez étez très courageux tout les deux. Et je suis sur que ta présence la rassure

-Barton:.... pas sur

-Layna: comment cela?

-Barton: elle continue encore, elle met trois couverts

-Layna: c'est difficile, de perdre un enfant. Laisse lui le temps

-Barton: je sais. Je sais que c'est difficile

-Layna: je parlais pour toi

-Barton: comment cela, moi?

-Layna: c'est toi le pilier, barton. Plus tu tiendra, pus elle tiendra

-Barton: si vous le dites

-Layna: faites vous confiance Bon sang. C'est dans ses moments là qu'un couple doit se montrer solide

-Barton: oui. oui vous avez raison

-Layna: bien sûr que j'ai raison! ..... oh désoler, je me suis emporter (lui faisant un câlin) mais tu sait aussi bien que moi que vous n'êtes pas coupable. Le seul responsable, c'est lui

les deux fixèrent le vicomte.

-Barton: ...... je vais y allez. à plus

-Layna: appelez moi si vous avez besoin

-Barton: sa va allez. Profitez de votre famille

Elle regarda l'homme partir puis retourna avec les autres qui venait tout juste de finir de charger le camion.

-Layna: Vous avez réussis?

-Albert: oui. Avec william et louis, qui m'ont donner un coup de main

-Layna: merci beaucoup

-Albert: tu as fini ce que tu avait à faire?

-layna: oui

Elle régla la température du camion pour finir.

-layna: encore merci!!! c'était très gentil à vous de nous avoir inviter et de m'avoir donner ma commande

-Comte dublin: de rien voyons. et que dites vous de revenir un jour, prendre le thé dans ma serre? vous verrez, on se croirait au paradis

-Lya(contente)oh ouais!!!

-Albert: bon bah, on a parler(souriant)(yeux fermer) sa sera un véritableplaisir!!!

-Comte dublin: là je ne suis pas libre, mais la semaine prochaine vous irez? le mercredi? Après midi bien sûr

-Lya (tout bas) ouais!

-Albert: c'est parfait!!!

-Comte dublin: à mercredi prochain alors!!!

...plus tard...

01h00.

*Résidence principale moriarty*

Layna revena chez elle après avoir déposer la livraison à son équipe de nuit. Elle remarqua, en rentrant, son mari, qui l'attendait, tandis que louis était en haut, entrain de coucher leur fille. William, lui, était partie quelque part. Le couple s'installa sur le canapé, pour se reposer, quand ils entendirent du bruit dans les escaliers.

-Layna: sa va, elle dort?

-Louis: oui

-Layna(baillant)bien, je crois que je vais faire pareil moi aussi. en faite, will est ou?

-Louis: grand frére à dit qu'il voulait parler au jardinier du comte dublin

-Layna: ah

Elle n'eu pas le temps de prononcer d'autre mot qu'ils entendirent la porte d'entrée s'ouvrir.

-Louis: grand frére william!. sa c'est bien passer?

Celui-ci, arrivait, s'installa avec eux après avoir enlever et poser sa veste.

-William: oui tout c'est bien passer louis. et nous avons un nouveaux client

-Layna: écoute will, à propos de barton

-William: dit layna, je peux te poser deux trois question?

-Layna: oui quoi?

-William: barton m'a tout dit. C'est vraie pour leur fils?

-Layna: ah. il t'a dit pour le petit nathan (soupirant) oui c'est vraie. à la base, c'est moi qui m'occuper de lui. Sauf que ce jour là, on devait allez au mariage du docteur treyi vous vous en souvenez

-William: oui

-Layna: j'avais tout préparer pour transférer son dossier et le faire suivre dans l'autre hôpital à cotés. mais pour je ne sais quelle raison, il y a eu un imprévue. donc je l'ai remis dans un de mes hôpitaux

-Albert: alors c'était cela ces appels

-Layna: oui. mais sa maladie à pris rapidement le dessus. ils ont eu certes, le réflexe de demander à monsieur dublin de l'aide. mais

-William: Il n'a pas voulut prêter son médecin et le petit est mort. c'est sa

-Layna: oui. j'ai beaux être partie le soir même, il était déjà trop tard

-Albert: quelle sale type!

-Layna(blasé)je sais, mais que veux tu: c'est mon fournisseur. je doit malheureusement faire profil bas

-Albert: et l'autre hopital! Il aurait pu le prendre en charge! Sa leur aurait rien couter!

-William: avez t'il plus de place?

-Layna: non. j'ai fait des recherches, pour savoir, parce que c'est ce que je pensais, mais j'ai découvert qu'il l'avait pas prit parce que c'est un peuple et non un noble

-Albert: c'est lamentable!

-Layna: malheureusement, personne n'est comme moi ni toi

-Albert: bah il devrait!

-Layna: sa y est, tu est énerver. tu va pas dormir de la nuit

-Albert: non. je vais bien dormir en les imaginant mort

-Louis: grand frére albert...

-Layna: et l'autre question?

-William: en faite. .... Non, je peux pas. je peux pas te demander ni te faire cela

-Layna: tu veux en savoir en peux plus sur dublin. et plus précisément sur son médicament: la ''quinine'', je me trompe?

-William: non

-Layna: la quinine est un médicament classer comme puissant, un peux comme l'aupeline que j'ai utiliser pour louis étant petit. Et comme tout bon médicament (prenant un pamplemousse à la main) il convient de ne pas de le mélanger avec l'alcool, ou des agrumes si tu vois ce que je veux dire. car les furocoumarines contenu dans le fruit et le médicament ne font pas bon ménage et créer une surdose, ce qui engendre le pronostic vital engager de la personne suivit de la mort de celle-ci

-Louis: je comprend mieux pourquoi tu ne voulait pas que je mange d'agrumes

-Layna: ah moins que tu ne voulais mourir. mais je pense que certaines personnes n'apprécierer pas

-William: merci beaucoup

-Layna: de rien

-Louis: alors

-William: oui. nous allons éradiquer le mal

-Albert: tu veux dire, tuer le comte dublin

-William: non. ce n'est qu'un tremplin. nous allons éradiquer le mal dans les cœurs des gens (fixant layna) mais pour cela

-Layna: hé. c'est juste un fournisseur ok, j'en trouverais un autre. ne te tracasse pas pour moi et fait ce que t'a à faire

-William(souriant) oui

-Layna: bien

-William: à ce propos, je vais avoir besoin de vous. surtout de toi louis, j'aurais besoin de tes talents de cuisinier

-Louis: bien sur grand frére. je t'aiderais du mieux que je peux

-William: j'ai aussi convier monsieur barton avec nous

-Layna: donc tu lui à dit pour nous

-William: oui. J'avais pas le choix

-Layna: alors pourquoi ne pas plutôt allez chez eux. je suis sur que michelle sera ravis de vous rencontrez et de nous aider. elle adore la cuisine, et sa soulagera louis. puis lya sera contente

-Albert: pourquoi pas

-Layna je sait ou ils habitent. on n'aura qu'a y allez mardi après midi

-William: entendu

-Layna: vous verrez. Leur maison est géniale

... 4 jours plus tard....

15h.

*Maison barton*

Les garçons admirèrent la jolie batisse, qui était beaucoup plus petit que leur résidence. Albert comprit aussitôt pourquoi sa femme aimer. Leur hôtes vena les accueillirent.

-Barton(souriante) soyez les bienvenues!!!

-Michelle: bonjour

-Layna: michelle

La femme lui fit un câlin.

-Layna: sa va?

-Michelle: sa va

-Layna(lui massant le dos) je comprend. Mais ne t'en fait pas, tout ira mieux. Mon beaux frére william ici présent va vous aider

-William: madame barton. Layna m'a tout raconter. Je ne pourrais sans doute pas, même pas du tout effacer la douleur de la perte de votre fils, mais je peux vous faire sentir mieux

-Michelle: oui. merci beaucoup

-Albert(changeant de sujet) en tout cas, vous avez une très jolie maison

-Barton: allons, je suis sur que la votre est bien meilleure

-Albert: et pourtant, je suis sur que ma femme et ma fille se plairais ici. Pas vraie

-Lya: oui!!!

-Layna: pourquoi pas

Les adultes rigolérent.

-Michelle: en tout cas, lya a bien grandit. sa fait plaisir

-Layna (prenant sa fille à bras) hé oui, elle grandit vite. tu dit bonjour ma puce

-Lya: bonjour michelle

-Michelle(caressant sa joue) salut toi

-Lya:  michelle. il est ou nathan?

Ils avaient complétement oublier, qu'étant donner qu'elle jouait avec le petit quelque fois étant petit , elle allait le réclamer.

-Layna: oh, ma puce

-Michelle: nathan est partie au ciel ma chérie

-Layna: non, vous n'avez pas a

-Michelle: sa va allez, je vous assure (reprenant) nathan est partie au ciel parce ce qu'il était gravement malade

-Lya: oh...

La petite fit un câlin à la dame, qui sécha ses yeux.

-Barton: bon, aller, rentrer rentrer

Une fois rentrer, et après avoir visiter, ils passèrent au chose sérieuse en cuisine, ou louis leur donna un coup de main. La femme n'avait pas voulut au début, mais il avait tellement insister qu'elle avait céder.

2h aprés.

Tous ce réunirent au salon. Les trois garçons: albert,william, et barton, observèrent ce qu'ils avaient préparer pour demain, qui donner l'eau à la bouche.

-William(admiratif) c'est incroyable. Tout cela en si peux de temps.

-Louis: merci grand frére

La petite, elle, mangeait les chutes de gâteaux.

-William: c'est bon, ce que vous avez préparer ensemble?

-Lya: hm

Il essuya la bouche de sa nièce avec une serviette.

-Louis: vous voulez goutez?

-William: c'est à vous de goutez. En cuisine faut toujours gouter les préparations avant de servir

-Lya: comme moi

Layna,michelle et louis suivirent alors le conseil à la lettre, et commencèrent à déguster chacun leur tour. Mais quand ce fut au tour de louis, qui prit un bout, sa nièce le stoppa en catastrophe.

-Lya: non tonton. Interdit maman elle a dit. Tu est raller hm aller-gique

-Layna: c'est bon ma puce. Tonton est guéri, tu te souvient

-Lya: c'est vrai tonton?

-Louis: oui trésor

Tous furent attendrit par la bienveillance de la petite envers son tonton.

-Michelle(souriant)Je doit dire, je suis bien contente d'avoir eu de la main d'œuvre enfaite

Layna et louis sourirent. ils reprirent ce qu'ils avaient fabriquer pour les mettre au frais. Barton regarder sa femme, partant en cuisine.

-Barton: je vous remercie, monsieur willliam. je n'avais pas revue ma femme re-sourire depuis la mort de notre fils. et là, elle

-William: mais il n'y à pas de quoi. Je, enfin, on est la pour cela. mais ce n'est pas finit. demain, un gros travaille nous attend

-Barton: oui. Et on est prêt

...Le lendemain....

*Manoir comte dublin*

Le riche homme fut surpris, en voyant ses invitée débarquer, qu'ils avaient amener avec eux, non pas un, mais deux personnes en plus, et qui n'était pas du même milieu qu'eux qui plus être, ce qui était un comble pour lui. Il fit cependant profil bas. Et il avait eu raison de le faire, surtout qu'il appris que c'était juste leur ''serveur'' pour aujourd'hui, ce qui le rassura au plus au point. Sa joie continua lorsque l'un des beaux frére de layna lui montra son panier garni de cadeaux: les confections d'hier.

-Comte Dublin: oh, c'est fort aimable à vous, vous n'auriez pas du

-William: je sais, mon frére et ma belle sœur m'en ont dissuader, mais je trouvais malpolie de venir les mains vide sachant que sa fait la deuxième que vous nous invitez

-Comte dublin: merci beaucoup

Il demanda à l'un de ses serveurs de prendre le panier.

-Comte dublin: allez, venez, tout est déjà installer

L'homme emmena ses invitées et serveurs dans sa serre. Ils s'installèrent à table, tandis que barton et michelle, pressaient les pamplemousses.

-Comte dublin: alors vous faites aussi la cuisine?

-William: c'est notre petit frére, louis. servez vous, vous nous direz si vous reconnaissez le goût

Celui-ci ne résista pas longtemps et prit un toast qu'il dégusta en un instant. Il le trouva totalement délicieux, sans pour autant en trouver le goût .

-William(prenant un toast) vous ne le reconnaissez pas? Pourtant vous connaissez bien ce fruit

-Comte dublin: hmm, ce n'est pas du citron..ni de l'orange...non, je vois pas

-William: c'est du pamplemousse

-Comte dublin: vraiment? (reprenant un toast) j'ignorez que ce pamplemoussier faisait de si bon fruit

-Louis: vous avez l'air d'aimer. Nous avons aussi du jus, fraichement presser

Barton, qui avait remplit les verres, vena à eux.

-Lya: maman, c'est du qui pic?

-Layna: non ma puce, c'est du jus de pamplemousse. tu sait, celui que tu adore, comme le jus d'abricot

-Lya: oh ouais, trop bon

Sa mère lui souria, caressant sa tête. Tout ce passer pour le mieux et sans accros. Le drame survenu lorsque michelle entenda le comte dublin rigoler. Elle commença à le regarder méchamment, puis, à un moment, n'en pouvant plus, elle craqua complétement et se pointa devant eux, couteaux en main.

-Comte dublin: qu'est ce que?

-Lya (prenant peur) maman?

-Layna: viens chérie!

La mère écarta immédiatement sa fille, tandis que son mari, louis, et barton, stoppèrent michelle.

-Michelle(larmes aux yeux) je vais vous tuez!je vais venger son fils! Pour tout ce que vous lui avez fait!

-Barton: michelle! Non!

Le génie redressait son ami, par terre, qui prit son médicament, qu'il lui donna. Celui-ci, aussitôt lever, enragea contre les deux, malgré  les excuses de son jardinier qui lui avait apporter un  verre de jus.

-Barton: écoutez, monsieur, je

-Comte dublin: je veux pas de vos excuse! Vous êtes viré! Partez! Quant à votre femme, qu'elle reste ici des personnes s'en chargeront!

-William: allons, monsieur le comte, inutile d'appeler la police. il n'y a pas de mort, juste plus de peur que de mal. vous devriez faire preuve  de clémence

-Comte dublin: la clémence n'arrange rien!

L'homme ne colérisé pas. Il se senta mal au bout de quelques secondes, et commença à avoir des vertiges.

-Comte dublin (voyant trouble)qu..qu'est ce que?

-William(allant à table prendre son verre)(buvant un coup) oh, vous ne le saviez pas? votre médicament et le pamplemousse ne font pas bon ménage. Il augmente l'effet de la quinine, ce qui correspond à une surdose, avec pronostic vital engager

-Comte dublin (voix basse) qu..quoi? Comm....comment vous savez? Vous.. vous êtes (voyant le sourire de william) n..non.. c'est c'est layna qui

-William: hé oui, c'est moi. moi, william james moriarty, consultant du crime, qui est tout organiser et demander à ma belle soeur. vous êtes tellement imbu de vous même que vous faites uniquement confiance à votre personnel, sans vous doutez qu'ils vous empoissonnaient petit à petit

-Comte dublin (voix basse) Mon..mon médecin. appeler mon médecin. ou layna

-William: que j'appel un médecin?. Pourtant, on vous a demander la même chose une fois non. vous souvenez de votre réponse?

Le comte repensa aussitôt à cette fois, cette fois ou il a abandonner l'enfant à son sort.

-William(se penchant) alors dites moi: vous me payer combien pour appeler un médecin ou ma belle-soeur?

Le comte comprit qu'il s'en sortirait pas. Petit à petit, il tomba dans l'inconscience, jusqu'à mourir sur table, devant les trois garçons. Layna, ayant confier sa fille à michelle et barton, qui consoler sa femme, revena voir sa famille. Elle vit le comte, inerte. Elle l'ausculta pour plus de sureté, puis fit signe à william qu'il pouvait appeler le médecin.

-Médecin(accourant en catastophe) monsieur le vicomte !!!ou est monsieur  dublin!!!

-Layna: ici

-Médecin: monsieur le vicomte!!!!

-Layna: votre maitre est mort suite à une  réaction allergique à son produit. Étes vous sur de bien lui avoir prescrit la dose pour la quinine?

-Médecin: qu..quoi? qui êtes vous?

-Layna: layna james moriarty. je suis médecin et directrice des hôpitaux

-Médecin: moriarty?

-Layna: vous savez que c'est grave, d'autant pour un médecin, de ne pas avoir donner les dosages à un patient

-Médecin: je le sais! vous me prenez pour qui!?

Celui-ci n'insista pas plus et alla voir le mort. Il arriva à la même conclusion. Il appela les personnes qu'il devait appeler, puis, avec layna, fit la procédure.

..plus tart...

*Gare de cambridge*

Les moriarty s'apprétérent à dire au revoir pour de bon à leur clients. Ceux-ci partaient heureux, pour une toute nouvelle vie.

-Barton: je vous dit encore merci, monsieur william. tout cela, c'est grâce à vous

-William: non. Tout cela, vous l'avez accomplit de vos main. nous, on vous ajuste donner un coup de pouce, c'est tout. mais vous savez, vous pourriez travaillez dans le garden maiden et rester ici

-Barton: non (prenant une main à sa femme) on veux complétement changer de vie

-William: oui, je comprend

-Michelle: merci monsieur william. Grâce à vous, je peux enfin être en paix et apercevoir un monde nouveaux

-Barton: tu veux dire, le monde auquel ils aspirent

-Michelle: oui

-William: bien. conformément à notre contrat, je garde vos vies avec moi. Mais puisque vous avez aperçu une partie de notre plan, pourquoi ne pas continuer en restant en vie?

-Michelle:... je vois. vous m'ôtez ma raison de mourir, et vous me donnez une raison de vivre. Seulement, je ne sait pas si j'en serais capable. je n'ai rien qui me retient, si barton n'était pas là

-Layna: bien sûr que si tu as quelque chose qui te retient et tu le sait. Sa(pointant le ventre de michelle) dommage que nathan ne soit plus là. il aurait bien aimer voir son frére ou sa sœur

-Barton: C'est vraie. michelle?

-Michelle:...(souriante) décidément, on ne peux rien vous cacher, hein?

-Layna: hé non

-Barton(prenant sa femme dans ses bras) mais c'est génial!!! depuis quand!!!?

-Layna: je dirais, 2 semaines. Cette fois, prenez pas de risque inutile et appelez moi directement ok. je viendrais vous voir si vous pouvez pas venir

-Michelle: oui

-Barton: monsieur moriarty, j'espère sincèrement que votre plan se réalisera. De tout les nobles, vous êtes les seul différents

-Albert: merci beaucoup

-Layna: portez vous bien. Faites attention à vous

Le couple se regarda, souriant, avant de s'incliner et de prendre leur valises pour rentrer dans le train. Layna les regarda partir avec sa famille.

-Albert: bravo, will, bien jouer. comme cela, tu est sur qu'ils ne te trahiront pas. comme nous ( prenant la main de sa femme) parce que nous sommes tous james moriarty, et que nous partageons aussi le même crime, celui de notre passée