Noble 10: prima donna
....2 jours plus tart...
...2 jours auparavant...
*Manoir moriatry*
C'était la nuit, enfin, le lendemain matin. Il était 2h. Un portable sonna. Albert réveilla sa femme, qui dormait à point fermer, en disant que c'était elle. Layna ne répondait pas. Seulement, contre toute attente, c'était le sien. Surpris dans un premier temps, il décrocha ensuite.
-Albert: « allo?»
-Mycroft: « bonjour M, je vous dérange?»
-Albert: « non. J'imagine que ce doit être important»
-Mycroft: « en effet. Puis-je vous voir maintenant»
-Albert: « entendu. Je vous attend»
...plus tart...
L'homme de maison attendait la personne, assis sur le canapé du salon, quand on sonna. Il se leva et alla ouvrir. Les deux hommes se saluèrent respectueusement puis ils s'installèrent au canapé pour discuter affaire.
-Albert: alors? que me vaut la visite du chef des renseignement? Sa doit être important pour que vous veniez en personne
-Mycroft: en effet M, j'aurais besoin de vos service
Il commença à lui expliquer la situation, quand la femme de maison arriva, les rejoingnant et saluant.
-Albert(l'embrassant) tu ne dort pas?
-Layna: non. J'ai mal au ventre
-Albert(touchant le ventre) bah alors, faut laisser maman dormir
-Layna(rigolant) chérie. on ne peux pas encore sentir le bébé
Le client regarder le couple, qui revenu au fait.
-Albert: dites. est ce vraiment important?
-Mycroft: oh oui. Croyez moi M, ce document dérober dépasse de loin tout ce que vous pouvez imaginez
-Layna: un document?
L'homme au cheveux violet sorta tout d'un coup une photo de son sac. Ils y découvrirent une belle et élégante jeune femme aux cheveux jaune.
-Mycroft: voici la personne qui a volé le document: iréne adler, américaine, habitante du new jerser. Une ancienne danseuse étoile qui use de ses charmes pour arriver à ses fins. Elle aurait séduit de nombreux hommes à ce qu'on raconte.
-Albert: .... en gros
-Mycroft: oui. je vous demande de rapporter ce document et de tuer iréne
-Albert: entendu! Le MI6 s'en charge!
-Layna: .....le document dérober, c'est ce que je pense
-Mycroft: oui
-Layna: chérie. laisse moi m'en charger
-Albert: quoi?
-layna: je doit le faire!
Sa femme était déterminer. mais il réponda négativement.
-Alber: désoler...je ne peux pas. Tu est enceinte
-Mycroft: il a raison. je me suis adresser à ton mari, pas a toi
-Layna: mais.....
-Mycroft: moriarty. Je compte sur vous.
-Albert: oui. monsieur holmes!!!
Il raccompagna son client puis revena avec sa femme.
-Albert: ...ce document
-Layna: désoler chérie. là, je ne peux vraiment rien dit. c'est trop personnel et confidentiel pour mycroft
-Albert (réfléchissant)....donc, si cette iréne me dit ce que c'est, comme cela, par hazard, ce sera bon
-Layna: qu'est ce que tu manigance toi
-Albert: moi? rien
....maintenant....
*Manoir moriarty*
Le maitre de maison avec réunit toutes sa famille et complice, au salon, pour leur faire part de la quête qui lui avait était soumise. Tous se dévisager, sans rien dire. C'est finalement william qui prit la parole.
-William: ce document. il est important pas vraie?
-Albert: oui. c'est ce que je pense
-Patterson: layna. le document c'est
-Layna: oui
-Patterson: désoler....c'est de ma faute....je
-Layna: mais non, on ne pouvais pas prévoir. ce n'est pas de ta faute,ok
-William: oh. vous connaissez le contenu
-Albert: j'y croit pas. même zach le sais
-Layna: disons, que, vaux mieux pas savoir si on veux pas tomber de haut. Mais pour quelqu'un voulant refaire ce pays, c'est un bon moyen de faire pression
-Patterson: lay!
-Layna: quoi? De toute façon le MI6 est dessus alors
-Patterson: même! pense à mycroft!
-Layna: oui, désoler....
-Patterson: ....non. c'est moi. excuse moi
-William: .....qui est ce qui là?
-Louis: alors
-William: oui. Sa a piquer ma curiosité
-Layna: attend will. Ce document, ne l'utilise pas pour notre plan. enfin, pas maintenant. Et ne le lit surtout pas
-Albert: toi, tu veux aider tracher. enfin mycroft?
-Layna: oui
-William: entendu. alors, qui là?
-Albert: une certaine femme
Il leur montra la photo qu'il avait garder.
-Albert: elle s'appelle
-Lya: oh! iréne adler! Regarde maman, c'est iréne adler. La chance!!! Papa, comment t'a eu sa photo?
-Layna: tu la connais ma puce?
-Lya: oui. c'était une prima donna. Mais elle aurait arrêtait
-William: donc c'est une danseuse. merci lya, je sait ou chercher
-Albert: tu veux bien m'aider?
-William: bien sûr grand frére. tout est parti de toi. Et puis, on est frére, donc c'est normal
-Albert: merci beaucoup. Louis je compte sur toi aussi
-Louis: bien sûr, grand frére
-William: dit zach
-Patterson: oui
-William: tu pourrait me donner des infos sur elle. assez rapidement
-Patterson: entendu
-Albert: merci
-Patterson: de quoi? On est de la même famille. Bon moi je vais y allez. Je vous ramène tout cela ce soir
-William(surpris) ce soir?
-Patterson: hé hé, je suis un pro du renseignement. Allez à ce soir
...plus tart...
Le soir même, il était revenu rendre tout ce qu'il avait prit d'intéressant sur la femme en question. Le génie lisa tout les dossiers, avant de le féliciter.
-Louis: tu as trouver quelque chose d'intéressant?
-William: oui, je pense que je sait comment faire. Elle habite ou?
-Patterson: pas loin d'ici. prés de baker-street
-William: je vois
-Albert: tu veux allez lui rendre une visite?
-William: non. c'est trop tart. et sa risque d'être compliquer
-Louis: pourquoi?
-William: je pense, non, je suis presque sur, que cette Irène va se rendre chez quelqu'un
-Layna: elle va aller chez sherly. sherly habite là bas
-William: oui. c'est sur et certain
-Albert: sérieusement
-Louis: mais pourquoi?
-Layna: parce que c'est le moyen le plus sur pour elle de ne pas avoir le gouvernement à ses trousses
-William: avec sherlock holmes, le célèbre détective, avec elle, ils ne viendront pas c'est sur. et c'est ce qu'elle va rechercher
-Louis: dans ce cas, c'est ce sherlock qui aura le document, pas nous
-Layna: non. Je ne connait pas cette femme, mais si elle sait le contenu, alors elle sait ce qu'il provoquera. Et je ne pense pas qu'elle impliquera une autre personne
-Albert: ce document est si capitale à ce point là
-Layna: tu ne peux même pas imaginer
-William: intéressant. Sa me donne encore plus envie de savoir
.... 3 jours plus tart...
*hotel*
Ils étaient tous dans leur chambre qu'ils avaient louer. William avait raison: adler était bien allez chez le détective, après que celui-ci est brûler sa maison.
-Albert: on fait quoi maintenant? Tu compte faire comment pour récupérer le document
-Layna: j'ai une solution: tu a qu'a organiser un bal
-Albert: un bal?
-Layna: oui, tu sait, tout les ans à lieu le bal déguiser
-Albert: ce n'est pas le comte diluc qui doit le faire?
-Layna: d'après ce que j'ai entendu, il aurait annuler et serait parti rejoindre sa famille pour un enterrement
-Albert: ...un bal alors?
-William: c'est une bonne idée. On sera sur qu'elle viendra
....2 jours plus tart...
*Manoir moriarty*
C'était le grand jour. Ils allaient enfin savoir si leur invitation aller porter ses fruits. Albert, apprêter, descenda en bas, dans une tenue très élégante, sous le regard de sa famille, de moran et de fred. Lya alla dans les bras de son père.
-Lya: tu est beaux papa
-Albert: merci madame
Il lui fit tout un tas de petit bisous qui la fit rigoler avant d'allez voir sa femme avec elle, au salon, qui semblait tirer la tête.
-Albert: quoi?
-Layna: rien
-Albert: si il y a quelque chose
-layna: non rien
-Albert: ne mens pas. je sait que t'a quelque chose
-Layna: non j'ai rien
-Albert: je ne partirais pas tant que tu m'aura pas dit
-Layna: mais t'est lourd à la fin, puisque je te dit que j'ai rien. va à ton bal là
-Albert: sa y est. j'ai comprit. Je croyait que tu était d'accord, c'est toi même qui l'a proposer
-Layna: oui c'est bon je sais, sa va
-Albert: oh non...
-William(arrivant) grand frére?
Le reste de la famille arriva.
-William: sa ne va pas?
-Albert: elle fait une crise de jalousie
-Layna: n'importe quoi! Va donc à ton bal!
L'homme posa sa fille par terre pour prendre sa femme dans ses bras.
-Albert: tu sait que je t'aime. Je t'aime. Les autres ne m'intéresse pas
Il termina sa phrase en l'embrassant, avant de partir à la porte. Layna fut choquer. Elle rougissa.
-Layna: non, je ne suis pas
-Albert(ouvrant la porte)je t'aime, à tout à l'heure
Il referma la porte derrière lui.
-Layna: jalouse. Absolument pas. je le suis, absolument pas. pas du tout ...
Elle dépérisa petit à petit, jusqu'à pleurer, les genoux par terre.
-William: allez, layna, sa va allez
-Layna: je ne peux pas. c'est au dessus de mes forces. Je peux pas imaginer qu'il va danser avec quelqu'un d'autre que moi
-William: c'est pour récupérer le document
-Layna: oui je sait sa merci
-Moran: dit. tu n'en fait pas un peux trop là
-layna: toi, occupe toi de tes affaires et essaye de tenir tes femmes pendant 10 ans après on en reparlera!
-moran (pensant) atch, elle n'y va pas de main morte(reprenant ses esprits) et puis, ce n'est pas comme si il allait coucher avec quelqu'un. tranquillise toi
-Layna: oh non!!!
La mère pleura deux fois plus. Les regard se braquèrent sur lui.
-moran: quoi?
A ce moment là. la petite, qui s'avança vers lui, le frappa.
-Moran: aille!!! Sa fait mal en plus
-Lya: t'est trop nul!Hmpf!
Elle retourna vers ses tontons.
-William(prenant sa nièce a bras) elle a raison moran. tu a était nul
-Moran: comment? Même toi tu t'y met
....plus tart....
*Salle des fêtes*
Albert, masqué, comme tout les invités, était entrain de discuter avec tout le monde. Tout les filles c'était ruer sur lui, sans savoir que c'était lui. Elles étaient sous le charme de leur prétendant. A ce moment là, l'homme, qui les avait accueillit, leur demanda du silence et leur attention, avant de leur présenter les règles. Il allait jouer à un jeux, le jeux du prince du crime, ce qui fit doucement rire L'homme marié.
-Organisateur: bien,sur ce, commençons
-Dame noble: on doit tout faire pour démasquer le criminel
-Albert: oui, cela va de soie
-???: tss, me faite pas rire. comment peux t'on jouer a un jeux ou la personne est l'idole du bas peuple
-Homme noble: oui, je vous fait pas dire
-???: ce type, ''le prince du crime'' tu le monde le respect par ce qui en ont peur. mais qui dit qu'il existe déjà
-Homme noble: oui, vous n'avez pas faux
-Albert: cette homme existe
-???: comment?
-Albert: ses meurtres en sont la preuve. qui d'autre aurait pu tuer les nobles sinon. C'est pour cela que le peuple le respect. parce qu'il rend la justice
-???: insinuez- vous que ces gens mériter de mourir?
-Albert: non, bien sûr que non. tout comme vous, noble, je suis outrée. Je dit juste que, lui au moins, il essaye de changer ce pays en se débarrassant de personne méchante
-???(pensant) c'est qui ce type. il ne me plait pas. Il ne sait pas que c'est moi qui est le rôle du prince du crime. J'ai trouver ma première victime: ce sera toi
Le jeux commença. Tous dansèrent. Albert exécuta une valse, avec sa partenaire, qui avait prit les devant et inviter. Tous tournoyait, pensant plus a rien, quand la musique s'arrêta.
-Dame noble(voyant son cavalier qui regarder ailleurs) quelque chose ne va pas monsieur mo heu hm
-Albert: non. tout va bien
-Organisateur(tapant dans ses mains) votre attention s'il vous plait. le prince du crime à commit son premier méfait
Tous plongèrent dans la stupeur, faussement.
-Organisateur: la victime c'est fait arroser de vin. veuillez donc regarder vos vêtements
Tous se mit à la tache, ne trouvant rien sur eux.
-Albert: puis-je vous demandez de bien vouloir regarder mon dos
Il se retourna.
-Dame noble(voyant une tache) oh non
-Albert(enlevant son masque) je me suis fait avoir. je m'appel albert james moriaty
Les dames crièrent malheur, n'y croyant pas.
-???(pensant) alors c'était un comte. qui aurait pu le croire. dommage pour toi
La victime s'avança jusqu'à l'organisateur. Il lui présenta une bague.
-Albert: tenez, ma bague de mariage. sa suffira?
-Organisateur: oh monsieur moriarty, c'est plus que suffisant. Vous étés sur?
-Albert: oui
Il posa la bague sur le plateaux qui lui avait était présenter avant de partir en haut, sous les applaudissement. L'un des hommes nobles, voyant monter son confrère, s'arrosa lui aussi, de vin, avant d'enlever son masque.
-???: excuser moi. je me suis fait tuer aussi
-???(pensant) quoi? Je me souvient pas de....enfin bref, pas grave
L'autre personne tuer parvena aussi devant l'organisateur.
-???: je m'appel revenich albrecht de bohème. tenez
Il donna une montre et rejoingna albert en haut. Les deux hommes buvaient un coup, adosser a la renbarde, regardant le jeux reprendre. L'un deux se toucha le visage, laissant apparaître quelque chose.
-Albert: je vois. vous étiez donc doublement déguisée: iréne adler
-Iréne: vous auriez pu m'obliger à me confiner à baker street, mais ce n'est pas le cas. vous êtes donc ouvert aux négociation. Vous m'avez même offert un cadre propice à l'anonymat, c'est ce qui m'a convaincu de venir
-Albert: très bon choix
-Iréne: je suppose que vous êtes envoyer par le gouvernement
-Albert: exacte, on m'a chargé de cette affaire. Considérer mes paroles comme celles de l'état. pour commencer: Avez vous l'intention de rentre le document dérobé au palais?
-Iréne: bien sûr. Mais à certaine condition. tout d'abord, que ma sécurité soit garantie. Ensuite, que je ne soit pas poursuivie pour vol. si vous acceptez, je restituerai le document sur le champs
Les deux main sur la rembarde, iréne regarda son seul espoir, comme pour dire ''alors?''. Albert, lui, tourna son verre.
-Albert: la réponse du gouvernement est: non (buvant un coup) la négociation n'a même jamais était envisager, on m'a ordonner de récupérer le document et de vous tuée
La femme le regardait, incrédule, ne comprenant pas.
-Iréne: alors pourquoi m'avoir inviter ici?
-Albert: je travaille certes pour le gouvernement qui m'a charger de l'affaire, mais je suis venu à titre personnel, autant pour moi que pour ma famille, surtout ma fille, qui vous admire. elle m'en voudra fortement si je vous tuez
Elle était toujours incrédule.
-Albert: j'ai trouver cela étrange que la personne dérobant le document ne demande rien. pas de revendication, de déclaration, mais pourquoi? C'est simple: parce que le document la dépasse totalement, et qu'elle cherche un moyen sur de le rendre ( voyant le regarde de son interlocutrice détourner le regard) cependant, comme vous ne pouvez prouvez votre ignorance du document, vous n'obtiendrez ni protection, ni absence de poursuites pour vol.
-Iréne: alors vous êtes venu briser mes espoirs de survie hein?
-Albert: non, pas du tout(voyant son interlocutrice surprise) je suis ici car je veux vous sauver
-Iréne: me sauver?
-Albert: toutefois. cela dépendra entièrement (se resservant un verre) d'a quel point ce document peut ébranler le pays
-Irére: attendez, si je vous le dit, vous serez dans la même situation que moi. Sans oublier votre famille
-Albert: peu importe. Veuillez me révéler le contenu top secret sur le champ
-Iréne: ...je vous prévient, vous risquez de regrettez
Elle routa vers son sauveur et lui révéla tout. Albert réagissa. Adler, elle, attendait une réponse, mais tout ce qu'elle entenda, ce fut les cris de rire de la part de l'homme, qui ne se privé pas, au contraire.
-Albert: ce n'est pas un scandale pour la reine mais pour l'empire britannique tout entier! Je comprend pourquoi ma femme ne voulait pas qu'on le sachent
-Iréne: pouvez vous vraiment me sauver?
-Albert: bien sûr! Je vais même vous faire une démonstration de mes capacités
Les deux regardèrent alors en bas.
-Albert: vous voyez cet homme là, au masque blanc: il s'agit du baron ronald rollinson, le prince du crime du jeux de ce soir
-Iréne: comment le savez vous?
-Albert: c'est moi qui est tout organiser. Mais cela peu importe. Il gère des opéras dans le monde entier, mais on dit qu'il est d'un caractère égoïste et cruel: il y a 5 ans, il a incendier un de ses opéras pour toucher de l'argent, tuant beaucoup de personnes
-Iréne: oui, je m'en rappelle, des amies faisaient parties des victimes. Mais comment vous savez cela
-Albert: ma femme est médecin. Mais ce n'est pas le moment (regardant sa montre a gousset)regardez plutôt, c'est l'heure, profitez de la vue
-Organisateur: votre attention!!! le prince du crime à était découvert! Il s'agissait: du baron ronald rollinson!
Tous applaudirent.
-Organisateur: le criminel mort, londre retrouve la paix! Vous remportez la partie!
Tous regarder l'heureux élu, stupéfait de n'avoir rien remarquer, quand il virent qu'il n'était pas bien du tout. En faite, il n'était pas bien depuis 10m. Iréne regarder la scène, sans trop comprendre. Ce n'est que lorsque elle le vit un genoux à terre, puis s'effondrer, qu'elle compris, abasourdie. Tous crièrent de peur, essayant d'aider leur ami.
-Albert(de dos à la rembarde) alors? Qu'avait vous pensez de la pièce de théâtre? Le baron a jouer son rôle a la perfection, vous ne trouvez pas? Comme les autres
-Iréne: alors c'est vous qui, alors vous êtes
-Albert: oui, je suis bien celui que vous pensez. celui qui aide le peuple à la révolte: james moriarty, le prince du crime
-Iréne: j'en était sur
-Albert: regarder. L'un d'eux est mort, mais ils ne pensent qu'a s'amuser. Ils ne s'intéressent qu'a leur petite personne. Tuer un noble ou deux ne changera rien, l'aristocratie est un concept, une qualité auquel les gens sont juger (reposant son verre) il est impossible de renverse ce concept sans plan (se retournant)(regardant la femme) vos objectifs sont semblables au miens, Mais moi, mon but, le vraie: c'est de changer se pays de fond en comble, remplacer cette société par une autre, plus libre et équitable baser sur le mérite. Quand à ma façon d'opérer (repensant à la fois ou il a tuer sa famille et bruler sa maison) vous vous en douter, il s'agit du crime. Tout comme vous pour le vol et s'extorsion
-Iréne(pensant) changer le monde....avec des meurtres....peux être qu'il y arrivera....qu'il arrivera a rendre ce monde juste
-Albert: mais trêve de bavardage. Dans 5h, à la nuit, je vous attendrez à l'églisse de hoxtor sur la route de new north road(s'avançant jusqu'à elle)Votre temps et choix ne sont pas illimité. J'espère que je me suis fait comprendre, iréne adler
...plus tart...
*Manoir moriarty*
L'homme de la maison rentra. Tous l'accueillir, sauf layna. Albert raconta tout ce qui c'était passer, félicitant son frére william pour le coup de main et le faite qu'il l'avait laisser être le prince du crime. Il disa aussi que c'était en bonne voie, qu'elle allait venir au rendez-vous, c'était sur.
-William: temps mieux. je suis ravie que tout ce soit bien passer
-Albert: moi aussi. .... layna n'est pas là?
-William: c'est de sa qu'il faut qu'on parle grand frére...
-Lya: papa. tu devrait allez parler à maman. elle va pas bien depuis que tu est partie, elle pleure
-Albert: quoi? oh non, j'en était sur. Elle est ou?
-William: au salon
Il alla aussitôt la rejoindre, elle, qui pourtant, était calme à son arriver.
-Layna: alors? Sa c'est bien passer?
-Albert: oui. iréne c'est montrer plutôt compréhensible
-Layna: alors elle t'a dit
-Albert: oui. et je n'en revient pas que tu l'ai garder pour toi tout seul
-Layna: et alors?
-Albert: oh non, recommence pas stp. c'est pas bon pour le bébé, hein
Son mari lui caressa sa joue, puis l'embrassa. La femme se disa qu'elle avait était, peux être, un peux trop loin, mais quelque chose la persuada du contraire, et lui fit enlever brutalement la main de son homme sur elle.
-Albert: quoi? Qu'est qu'il y a encore?
-Layna: bah en tout cas t'a pas perdue de temps à ce que je vois, hein?
-Albert: bon sang, chérie, il ne sait rien passer. on a juste discuter
-Layna: il ne c'est..rien passer? Tu en est sur?
-Albert: oui. tu croyait quoi?
-Layna: alors elle est ou ton alliance!? hein!? Elle est ou!?
-Albert: quoi?(regardant sa main)(voyant sa femme se lever) non mais attend, mais chérie
Il la suiva. Elle était trés remontait. Ils arrivérent jusqu'à leur famille, qui les virent débarquer. Albert retena layna, qui était en larmes.
-Albert: calme toi, ce n'est pas ce que tu croit
-Layna: alors elle est ou!Hein!? Elle est ou!? Dit moi!?
-Lya: papa, qu'est ce qu'elle à maman?
-Albert: rien ma puce, c'est juste un mal entendu
-Layna: un, mal, entendu?Non ma puce
-William: qu'est ce qui ce passe?
-Layna: il ce passe que ton stupide frére à enlever sa bague de mariage et est allez fricotter avec des femmes(commençant a pleurer) Parce que il ne m'aime pas
-Tous: hein?
Albert regarder sa femme, qui pleurait, avant de doucement sourire et rigoler.
-Layna(pleurant) vous voyez. il sait la vérité et il n'ose même pas le dire
-Albert: non. je rigole car s'a m'a rappeler à l'ordre en me remontrant comment t'est, enceinte (allant vers elle)(sortant sa bague de sa poche)(la remettant au doigt)(prenant sa femme dans ses bras) j'ai donner une fausse bague qui ressemblait à ma bague de mariage. J'allait la remettre en arrivant, mais je suis allez te voir, car tu n'était pas là. et tu m'a agresser
-Layna: .....
-Albert: vérifie si tu veux, c'est la vraie bague
-Layna(le serrant fort) je suis désoler!!!
-Albert: sérieusement. comment tu a put un seul instant croire que je t'aime plus (relevant son menton) hé. on ce connait depuis 12 ans. on est mariés. on à deux enfant et une famille
Tous furent soulager, en voyant le couple s'embrasser, que la crise soit passer.
-layna: en même temps, moran est con aussi, de m'avoir dit cela
-Moran: bah voyons. parce que sa va être de ma faute maintenant
-Albert: qu'est ce qu'il a dit?
-Lya: il à dit que t'aller cou quoi? À oui, coucher avec toutes les filles. je l'ai taper fort fort
-Moran: mais j'ai jamais dit, non, tu a mal
-Albert: moran
-Moran(prenant peur) je rigolais. c'était que des suppositions pour l'aider à arrêter de déprimer après ton dépard. je ne penser pas qu'elle le prendrait au pied de la lettre
-Albert(soufflant) sa se voit que tu ne connait pas les femmes enceinte toi. Quand une femme l'est, les hormones travaillent et elle sont fragiles, se brusquant pour un rien, s'énervant, pleurant pour rien. un tas de chose auquel il faut faire attention, autant pour elles que pour le bébé
-Moran: bah dit donc, tu en sait des choses
-Albert: j'ai une femme et une fille je te rappel. enfin, bientôt deux
-Layna: qui te dit que c'est une fille?
-Albert (touchant le ventre) je le sens (enlevant sa main) bon, je sait que t'avait promit de plus faire de caprice, mais pour cette fois, tu peux. Alors dit moi: tu veux que je face quelque chose pour toi? demande moi toutes tes envies, ce que tu veux
-Layna: ....tu est sur?
-Albert: ou là, sa veux dire
-Layna: fraise au chocolat blanc avec chantilly et boule de glace vanille avec fondant au chocolat au lait caramel beurre saler
-Albert: sérieusement?. tu sait qu'a cette période là, c'est difficile de trouver desf raises
-Layna: m'en fiche. c'est toi qui a dit que je pouvait tout te demander
-Albert: oui, c'est vraie mais, bon ok je vais voir ce que je peux faire
-Layna(l'embrassant)merci!!!
-Albert: william, louis, vous voulez venir?
-Lya: papa?
-Albert(allant partir avec ses frères) oui ma puce?
-Lya: sa veux dire quoi''coucher avec les filles?'' comme moran à dit
Un moment de géne arriva.
-Albert: heu hm, hé bien(commençant à rigoler)(une main sur son frond) bon sang, je ne sait même pas quoi dire
-William: tu veux que j'essaye?
-Lya: papa?
-Albert: hmm, disons que, c'est quand
-Layna: fait gaffe à ce que tu dit!
-Albert: tu me fait marrer toi. va s'y, explique lui
-Layna: non, non non. c'est à toi qu'elle à demander, pas à moi
-Albert: alors, maligne
-Moran: en gros, c'est ce que je fait avec des femmes sans le problème ensuite
-Albert/ layna(en colère)(pensant) crétin!!!
-Lya (faisant sa bouche en forme de poisson) oh, Maman et papa font des choses ensembles alors(comprenant que maintenant) (changeant d'humeur)(pleurant) maman!!!moran à dit que vous vouliez pas de moi!!!
La mère tapa l'homme de main de son mari avant d'aller voir sa fille.
-Moran: aille heu! qu'est ce que j'ai encore fait?
-Layna: s'a t'apprendra à dire des conneries! bordel! (prenant sa fille à bras) mais non ma chérie. on t'aime très très très fort avec papa, plus que n'importe autre chose au monde. sinon ont ne t'aurait pas eut à 16 ans
-Albert: maman à raison, ne l'écoute pas, il dit des bêtises. Un enfant n'est pas un problème mais une joie
-Lya: ah bon?
-Albert: oui. mais moran ne peux pas le savoir vue qu'il n'a pas d'enfant à aimer et poupouner
-Lya: mais sa veux dire quoi alors?
-Albert: que simplement qu'avec maman on fait des trucs d'adultes c'est tout. et que tu est encore un peux petite pour savoir et comprendre
-Lya: oh. mais alors, il m'arrivera aussi pareil à moi? J'aurait des bébés aussi, dans mon ventre
-Layna: sa, sa sera à toi de voir quand t'aura un amoureux et quand tu sera grande. comme maman
-Lya: ou tata aussi
-Layna(pensant)(tête en colère) surement pas!
-Moran: ne te méprend pas, elle l'a surement fait
-Layna(pensant)(tête en colére) la ferme, je sais
-Albert(prenant sa fille a bras) de toute façon tu a bien le temps de penser à cela
-Lya: de toute façon j'ai déjà un copain moi
Le pére fut sous le choc de cette révélation.
-Lya: oups. c'était un secret
-Albert: qu'est ce que c'est que sa? je vais devoir vous surveiller madame moriarty
-Layna: c'est qu'un coup de cœur inoffensif de petit, comme tout le monde
-Albert: ah bon? Donc tu t'y connait?
-Layna: heu, non. T'est le seul garçon avec qui j'ai tout fait
-Lya (faisant le geste non du doigt) non papa. tu touche pas à mon amoureux. interdit
-Layna: maintenant que c'est régler, va donc a la boulangerie. J'ai pas oublier, croit pas. et on commence à avoir faim
son marie exquisa un sourire avant de partir.
....plus tart....
*églisse de hoxtor*
L'heure du rendez-vous était arriver. Ils allaient enfin être fixer sur iréne adler. Albert abandonna sa famille, qui l'attendait dans le tunnel souterrain, pour allez prendre place. Il attenda, attenda, lorsque son acolyte, déguiser en mamie, ramena iréne adler, ce qui le ravissa. Celle-ci, aprés avoir était quitter par la grand-mére, scruta partout, quand une voix l'interpella.
-Albert: bienvenue!!!iréne adler
Elle comprit qu'il était juste devant elle, derrière la barrière, qui laisser entrevoir sa main, ganter, qui était éclairer par la bougie.
-iréne: j'ai apporter le document. Mais avant de vous le donner, je voudrait étre vraiment sur que vous voulez vraiment changer ce monde
-Albert: Dois-je vous rappelez que nous avons le même but et tout ce que j'ai fait. Si jamais après tout ce que vous savez, vous estimez que je mens, vous serez libre de me dénoncer. Je m'engagerais personnellement à ne pas vous poursuivre.
-Iréne: non, pas la peine. je vous croit
-Albert(tendant sa main)alors remettez moi le document en signe d'allégeance
la femme, peux sereine, s'avança pour lui remettre l'enveloppe, lorsqu'elle fut interrompu par quelqu'un, qui l'empêcha de faire, en lui attrapant le poigner.
-Sherlock: pas encore. c'est trop tot
-Iréne: sherlock!
-Albert: vous étes vraiment venu, sherlock holmes
-Sherlock: on se rencontre enfin. prince du crime
-Iréne: que fait tu ici?
-Sherlock: hein? je suis là pour te protéger, c'est évident
-Iréne: pardon?
-Sherlock: et je suis pas seul
A ce moment là, un cailloux en main, Il le balança dehors, cassant une fenêtre. Un bruit de sifflet retentissa.
-Iréne: scotland yard!?
-Sherlock: tu est fait comme un rat, prince du crime
La fille commença a avoir peur, mais il lui disa de laisser régler cela.
-Albert: ...et alors quoi? C'est tout? Vous allez m'arrêter
-Sherlock: cela dépendra de vous
-Albert: je vous écoute?
-Sherlock: j'y est réfléchi avant de finir ici. Après avoir apprit le contenue, j'ai beaux avoir retourner le problème de fond en comble, j'ai vue qu'une issue: et c'est toi, prince du crime, toi seule peux protéger iréne. Si vous garantisser sa sécurité, je vous donne iréne et l'enveloppe
-Albert: oui, biensur. je lui est déjà dit que j'assurerais sa sécurité. mais(sortant une mini enveloppe de sa veste) plutôt que des paroles(donnant l'envellope) je vais vous prouvez que je dit vraie. Iréne adler, vous avez vu mon visage, non. alors écrivez mon nom. Quant à vous holmes, si quelque chose vous fait croire le contraire, venez me voir sur le champ. Vous voyez, moi aussi je décide de vous faire confiance
Le détective accepta. Iréne écriva le nom dans l'envellope qu'elle lui remis, sceller, aprés qu'il est donner le grand enveloppe.
-Sherlock: je l'ai!
-Albert: bien. maintenant repartez avec vos faux policier
-iréne: faux policiers?
-Sherlock: tss, j'en était sur. vous avez des espions dans la police
-Albert: bien, je vous laisse
....plus tart....
Aprés avoir fait ses adieux à son ami, iréne marcher le long du souterrain de l'église, avec albert et un homme, qui ce trouver étre la grand-mére auparavant. Ils routaient, non sans appréhension de la femme, qui se demander ou ils étaient, surprise de constater cette endroit ici. Ils arrirévent à un moment donner devant un groupe, qui étaient en face d'eux. Iréne, qui regardait son sauveur allez les voirs et discuter entre eux, en conclut qui était vraiment le prince du crime.
-Iréne (s'agenouillant)ma vie vous appartient. Faites s'en ce que vous voudrez
-William(allant la voir)(lui tendant sa main) allons, reléver vous, iréne (la relevant) en échange de votre allégeance, nous allons éxaucer votre souhait
-Layna:mais avant cela, vous allez devoir venir avec nous. Ne vous en faite pas, il ne vous ferra rien
....plus tart....
*Ministère de l'armée*
Tous attendait, dans la grande salle de réunion, que la personne arrive. Albert était ici sur une chaise. Cette personne arriva, surpris d'en un premier temps, par le télégramme, et déçut par la présence de la voleuse. Il voulait une explication. La négociation et le marchandage commença. Albert, prenant l'enveloppe a la main, débuta les hostilité, avec tout d'abord, les révélations du contenu de la lettre, qu'il évoqua sans main morte.
-Albert: vous comprenez maintenant. Si ce document est rendu publique, tout les pays seront en droit de déclarer la guerre à l'angleterre
-Mycroft: ... que voulez vous?
-Albert: je ne demande qu'une chose(mettant un doigt sur sa bouche)le silence
-Mycroft: sérieusement. Vous espérez étre en mesure de demander quoi que ce soit? Monsieur moriarty. Tout ne vous est pas permis parce que vous êtes le mari de lay
-layna(arrivant) alors c'est moi qui te le demande
-Mycroft: quoi?
-Layna: depuis toute petite, avec ma mère, on à œuvrer pour la justice et la paix. Et aujourd'huit, avec ma famille, on continue à défaire le systéme de classe sociale en montrant les crimes stupides des nobles
-Mycroft: ....alors c'est vous, le prince du crime. Oui, j'aurait du m'en douter quand zach m'a dit qu'il allait dans la police
Le reste de la famille arriva.
-William: oui c'est bien nous. nous, james moriarty
-Mycroft: j'en était sur.Seul une personne intelligente pouvait le faire. En l'occurence, votre frére.
-William: nous avons le même but que l'auteur: renverser la monarchie et donner le pouvoir au peuple. De ce faite, nous finiront comme lui. après c'être accorder, peuple et noble exécuteront le maux du probléme, c'est à dire, nous, moriarty
-Mycroft: ...vous semblez oubliez que dans cette histoire, des personnes en ressortiront vivante, toi lay, et tout ceux supposer morts. Tu les aide peux être, mais en temps que seul médecin valide d'angleterre, et maintenant que tu a quitter le MI6, tu est une citoyenne ordinaire qui n'a rien avoir la dedans. tu sera couverte d'une façon ou d'une autre par nous l'état ainsi que les autres. en revanche
-Layna: je sait. je l'ai accepter depuis longtemps
-Mycroft: alors pourquoi? Et puis. qu'est ce qui vous fait croire que je vais accepter et pas vous dénonçer?
-Layna: allons mycroft, on sait tout les deux que tu ne le ferra pas. Aprés tout...qui est ton chef?
-Mycroft: ... tss. vous avez de la chance d'avoir lay avec vous sinon. trés bien,entendu. je vais pas nier votre patriotisme. mais si j'estime que la situation vous échappe, je vous tuerez de mes propres mains
-Albert: entendu. Je savait que vous comprendrez. c'est pour cela que nous nous sommes révéler à vous
-Mycroft: entendu. L'état fait la promesse de ne pas interférer avec vous
-William(allant le voir avec l'enveloppe) encore une chose, monsieur holmes. Ce document. pourquoi le conserver ici si il est si précieux que cela
-Mycroft(prenant l'enveloppe) la reine pense que seul la courronne doit endosser la responsabilité. En outre. maximillien robespierre, ou plutôt,sherrinford holmes, est l'un de mes ancétres. C'est le crime et chatiment de notre famille. Biensur, sherlock ne le sait pas, comme énola. à fin qu'ils vivent librement
-Albert: alors c'est pour cela que
-Layna: oui. ma famille le savait. C'est pour cela qu'avec ma mère, on a put faire ce qu'on voulait pendant tout ce temps, sans avoir l'état sur le dos
-Albert: donc vous
-Mycroft(fermant les yeux)oui (les réouvrant) je ne suis pas conformément rattacher à l'état, mais à layna et au MI6. je suis comme un espion, comme zach
-Layna: ....alors vous n'avez vraiment rien vue?
-Mycroft: quoi?
-layna: tu peux me donner le document, je voudrait faire quelque chose
-Mycroft(lui donnant)quelque chose?
-Layna: oui sa
Elle le déchira sous ses yeux, et le jetta dans un petit feu qui était allumer. Tous la regardérent, choquer.
-Layna: ...(rigolant)alors vous n'avez rien vue. on savait que sa marcherait, mais toi, toi mycroft, je pensait au moins que t'aurait vue. T'aurait vue que ce document n'était rien d'autre... qu'un faux
-Mycroft: qu...quoi?
-Layna: le vraie document est, et à toujours était, dans mon bureaux, bien garder
-Mycroft: ....
-Layna: maintenant on est quitte. Je te libère. et (mettant un doigt sur sa bouche) le silence, tu te souvient. Tu vois. Je t'avait dit que je serait te demander en temps et en heure
Le grand frére du détective vit ses interlocuteurs partir avec iréne adler.
...plus tart...
*Manoir moriarty*
De retour chez eux, Ils se penchèrent aussitôt sur le cas de leur nouvelle recrue. Pour se faire, Albert demanda à fred d'aller chercher un corps ressemblant la femme à la morgue.
-Albert: Iréne adler. À compter de maintenant: vous étés morte. Vous travaillez au sein du MI6 avec moi, moran ici présent, et fred
-Moran: attend, sérieux?la fille ne va pas venir
-Albert: si. et c'est sans appel
-Layna: biensur. cela va sans dire que vous ne pouvez pas sortir, vous vous en douter. De ce faite, vous allez vivre ici, avec moi et ma famille
-Iréne: qu..quoi?
-Albert: ola, tu est bien sur?
-Layna: oui. Et sa ferra plaisir à lya
-Albert: je le sens pas. tu va pas faire de crise, hein?
-Layna: non. mais à force de me le dire sa va arriver
-Iréne: heu hm, monsieur albert m'a tout dit. Vraiment désoler si sa à causer un malentendu entre vous. je ne voulais pas
-Layna: non, c'est moi qui m'excuse. Voyez vous, je suis enceinte, et je ne contrôle pas mes sentiments dans ses cas là. je devient, disons, incontrôlable
-Iréne: oui je comprend
-Layna: alors? Vous acceptez?
-Iréne: oui
-Lya: super!!!
-Layna: ma fille vous admire et danse beaucoup. Elle est ''au britsh ballet dance'' vous connaissez?
-Iréne: oui,biensur. c'est la que j'ai fait mes débuts
-Lya: trop trop bien
-Iréne: à la réflexion, j'ai entendu qu'un bal en mer avait était donner. alors c'était toi?
-Lya: oui. et on à gagner. Dit, tu vient avec moi jouer dans ma chambre?
-Albert: attend ma puce, papa à un dernier détail à régler. votre nom. Je vous confère le méme nom que nous, james. le reste, à vous de choisir
Iréne repensa alors à tout ce qu'elle avait vécu, et à sa nouvelle vie, qui débuta maintenant. Elle sorta un couteaux de sa malette et coupa ses cheveux avec.
-Iréne: bond. je m'appelais james bond!
-Albert: entendu, bond. Vous pouvez disposez.
-Bond: encore une chose
-Layna: ....tu veux allez voir sherly, pas vraie?
-Bond: et aussi, pour mes vêtements?
-Layna: pour les habits, on ira faire du shopping, Mais pour l'autre, je craint que ce soit impossible. pour le moment
-Bond: pardon?
-Layna: à l'heure qu'il est, mycroft à du allez chez lui leur annoncer la nouvelle. tu comprend, tu ne doit pas te montrer maintenant
-Bond: oui je comprend. ....
-Layna: ma puce, tu montre la chambre à bond
-Lya: ok (tendant la main)tu vient?
La petite embarqua leur nouvelle résidente.
...plus tart...
Il faisait nuit. Le détective était dehors, à érrer, quand il tomba sur un homme vétu de noir avec un chapeaux, qui le bouscula.
-???: oups, désoler
-Sherlock: non, ce n'est rien
-???: je vous souhaite bonne nuit. Faites attention à vous jeune homme
Les deux hommes commencèrent à repartir chacun de leur cotés.
-???: good night, mister holmes!!! (tout bas) sherly
-Sherlock: hein? quoi?
...plus tart...
* baker street*
Il venait de rentrer. Tous l'acceuillirent, avec une mou triste. Même sa petite sœur, qui se jetta dans ses bras.
-Sherlock: quoi? Qu'est ce qui ce passe? Quelqu'un c'est fait tuer?
-John: sherlock...
-Miss hudson: sherlock!
-Sherlock: quoi?
-John: ne dit pas sa...
-Enola: grand frére. Tu sais, Tu n'aurait rien pu faire pour elle. Alors pleure. Sa fait du bien quand on perd un être chers
-Sherlock: éno....(lui caressant la tête) je vais bien. Je vous assure
Les autres n'étaient pas vraiment de cette avis.
-Sherlock: je vais dans ma chambre. Appelez moi quand le diner sera prét
-John: sher..
Son partenaire s'en alla, sans lui laisser le temps de finir sa phrase. Dans sa chambre, Bien seul, Il alla a son bureaux, pour prendre une photo.
« flash back quelque heures auparavant:
Son frére était venu les voirs, pour leur annonçer la mort d'iréne. Personne n'en revenait. Hudson et john était presque qu'entrain de pleurait, mais c'était retenu. Tous regardérent le détéctive, qui arborait un visage indéchiffrable, avant de se crisper, et de s'énerver. Il c'était emporter face à son frére, avant de monter en haut.
Fin flash back»
-Sherlock (repensant)«iréne est morte,sherly, nous avons trouver son corps» «il est fort probable que sa soit le prince du crime» «t'est content!» «tout cela c'est votre faute! Vous avez condanmer une simple citoyenne pour un bout de papier!» (reprenant ses esprits)(regardant la photo)(regardant l'homme) c'est vraie. iréne n'existe plus(brûlant la photo) plus jamais
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