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Virginité


Anne m'a demandé de lui laisser du temps pour réfléchir à son avenir, elle aimerait voyager à  travers le monde, découvrir des nouveaux lieux et des nouvelles expériences donc en cette fin d'année elle a quitté l'appartement.

Je me retrouve de nouveau seule, Anne était mon deuxième repaire dans la vie folles que je vis entre le travail et le Manoir, ce soir je repense à tout ce que j'ai donné à mon Maître. 

                  *****
              Souvenirs

C'est la rentrée.

J'ai une peur bleue, la seule chose qui me rassure c'est de savoir que je vais retrouver Ambre, car ces derniers mois ont été intenses, j'ai besoin de retrouver des marques et de la stabilité.

Après ma dernière séance, mon Maître m'a laissé rentrer chez mes parents, je me demande si je dois continuer, je suis dans le doute, mais si j'arrête, je risque de tout perdre.

Toutes ces idées me font augmenter mon anxiété, je suis perdue, mon téléphone me sort de ma torpeur, je vois que c'est un message de mon Maître.

*Bonjour, Lucy, je sais que tu es dans le doute, je sais que je ne suis pas assez présent pour toi, c'est pour cela que tu vas suivre mes consignes quotidiennes, je vais poser un cadre pour te rassurer.*

À la lecture du message je me sens mieux.

*Tu vas t'habiller avec la robe en jean's, sans sous-vêtements bien sûr.*

J'ouvre mon dressing et je prends la robe, c'est une tenue très simple avec les boutons sur le devant mais les pans ce croises donc personne ne peut deviner que je suis nue dessous, je souris bêtement, cela me fait du bien.

Il y a la foule devant les différentes entrée, je coure derrière Ambre, je l'attrape par le bras et la retourne face à moi.

"Mon dieu, que fais-tu ici ma puce?"

"Ta da.... surprise j'ai une bourse pour Polytech et je t'ai rien dit pour te faire la surprise."

"Ho mon dieu c'est trop génial, moi qui étais pas bien de te laisser dans le Sud, mais tu habites où ?"

"On ce voit à midi et on en parle, d'accord."

"Oui ma puce d'ailleurs il faut que je me dépêche, ici c'est tellement grand."

À midi j'ai retrouvé Ambre, on a bien discuté, on peut pas ce voir ce soir car elle a des cours très tard.

La journée fut longue, je rentre chez moi, je suis les consignes, je me déshabille dans l'entrée, je range mes affaires et je vais me doucher.

Mon téléphone clignote, j'ai reçu un message de mon Maître, il me donne des consignes pour les soirées.

Je dois faire mes devoirs de soumise, il y a des positions à faire sans bouger, du sport et des soins du corps, je dois aussi travailler mes cours.

La semaine passe très vite, avec Ambre on prend Nos marques et c'est le début d'une routine qui me rassure.

Mon Maître prends des nouvelles matin et soir, il m'a autorisé à sortir avec Ambre les vendredis, mais les samedis et dimanches je dois être à sa disposition, ce me convient pour mon confort.

Cela fait deux mois que la routine est installée, hier soir j'ai reçu un message de mon Maître.

"Lucy, soit prête à 9 heures, nous allons passer ce weekend tout les deux à la campagne prendre juste ta trousse de toilette."

À 9 heures précises une limousine s'arrête devant l'immeuble, la portière s'ouvre et je vois enfin mon Maître, je suis heureuse.

Monsieur, mon Maître me fait la bise, il me compliment, j'ai suivi ces ordres.

Je porte une jupe en laine au grosses mailles qui m'arrive à mi-cuisse, des bottes à lacets, un top en crochet et une petite veste, j'ai les cheveux tressés en queue de cheval.

Nous quittons le centre de Paris pour aller vers son siège sociale qui est un très grand immeuble dans le centre des affaires.

La limousine nous laisse dans le parking, nous prenons l'ascenseur jusqu'au toit, il y a un hélicoptère qui nous attend.

On quitte Paris par les aires, après deux petites heures de vol nous arrivons dans le centre de la France.

L'appareil les dépose devant une vieille ferme qui tombe en ruines, il y a juste un chemin en terre pour venir ici.

Devant l'entrée mon Maître s'arrête.

"Nous allons passer ces deux jours juste nous deux, tu seras complètement dévouée à mes envies, tu te comportera comme une bonne soumise."

"Oui Maître."

"Quel est le mot d'urgence?"

"Rouge, Maître."

"Bien, tu rentres et tu te déshabille."

"Oui Maître."

Il ouvre une lourde porte qu'il bloque sur les côtés, il y a une deuxième en verre qui s'ouvre à son passage, je le suit à l'intérieur.

La ferme est juste incroyable, c'est vrais l'extérieur ne paye pas de mine mais l'intérieur, c'est juste du luxe, de la modernité, un havre de paix.

Je me déshabille, je plie mes affaires et mon Maître me fait la visite, il me montre toutes les pièces, il me confirme qu'on sera seul, jusqu'à demain en fin de journée quand l'hélicoptère viendra nous rechercher.

Mon Maître me demande de venir au milieu du salon, il me fait faire les différentes positions d'une soumise, il me corriges quand je fais faux avec une cravache.

Il voit très bien qu'il y a des positions que je maîtrise mais que je fais exprès faut pour recevoir des coups de cravache.

"Une bonne soumise dois être capable d'arriver à retenir la jouissance, je vais t'entraîner."

Juste à ces mots, je sens la chaleur envahir mon sexe, les coups de cravache mon chauffer, c'est vrai que j'ai envie de plaisir.

Il passe derrière moi, il me prend une main et m'attache à une corde qu'il lances au-dessus d'une poutre, il m'attache mon deuxième poignet, je suis à sa merci, je frissonne.

Il prend la cravache, il la fait passer sur mes seins, mes tétons réagissent tout de suite, ils pointent d'incolent désir.

Il caresse mon corps offert à ses fantasmes, il pose un baiser sur mon cou, il vient jusqu'à ma nuque, il me suce un lobe de mon oreille.

D'une main ferme il me masses un sein, il me pinces le téton je râle de plaisir.

Il glisse sa deuxième main entre mes jambes, il me fait les écarter, il pose ses doigts sur mes grandes lèvres, je mouille de plaisir.

"Humm tu as envie de moi?"

"Oui Maître."

Il pousse deux doigts dans ma fente, il fait des va-et-vient, je respire toujours plus vite, je sens arrivé la jouissance, il s'arrête.

Il me fait lécher ces doigts et il recommence, une fois, deux fois, trois fois.

Le plaisir est toujours plus forts à chaque frustration, l'envie de jouir est toujours plus rapide et intense.

"Bien, c'est tout pour ce matin."

Il me détaches, mes jambes me portent plus, il me prend dans ces bras et me dépose sur le canapé.

Mon Maître va à la cuisine, il revient avec un verre d'eau, il me fait tout boire, ensuite il retourne derrière les fourneaux et il nous prépares à manger.

Après le repas, nous restons deux heures tranquille dans le salon, il m'explique ces désirs et ces envies et il veut savoir ce que je suis capable d'endurer.

Il me prend part la taille et nous allons vers des poutres qui sont posées en forme de x, il m'attache de nouveau.

Il recommence comme ce matin, mais le rythme est plus rapide, il alterne ces doigts dans ma chatte et les coups de cravache.

La torture est douce amère, j'ai de plus en plus de mal à me retenir, je ressens la jouissance arrivée mais il arrêt tout et sans un mot il me détache.

Je reste frustrée comme jamais je ne l'ai été, j'ai tellement envie de lui, il me fait prendre la position humble pour une partie de la fin de journée.

Je vois le soleil de coucher à l'horizon, je suis dos à la cuisine, mais les odeurs du souper me donne faim.

" Tu peux venir à table."

Je me lève avec peine, je viens vers lui la tête baissée, il me prend la main et la pose sur son pantalon.

"Je veux que tu me fasse bander."

Je lui déboutonne sa chemise, je la fais tomber sur le sol, ensuite je lui retire son pantalon.

Je me mets à genoux, je lui lèche les couilles, je pose mes mains sur sa tige, je fais glisser la peau pour libérer le gland.

Il commence à grossir, je le prends dans ma bouche, je le leche, je passe ma langue sur le gland et je finis par le prendre en entier dans ma bouche jusqu'àu fond.

J'ai de la peine à respirer, les larmes me coulent sur les joues, je le pompe avec tellement d'envie, il n'arrête.

"Maître, je vous ai déçu ?"

"Non."

Il me fait me relever, il me prend contre lui, je sens son membre dur contre ma peau, il m'essuies mes larmes.

Il prend mes bras qu'il fait passer autour de son cou, il me souleves, je sens ses mains ferme sur mes fesses.

Je mets ma tête dans son cou, il me positionne sur sa tige tendue, il me laisse glisser, son phallus me pénétre en douceur.

Je sens qu'il déchire ma virginité, la douce chaleur de son membre me prend, il rentre au fond de moi, les mouvements m'emportent dans la jouissance, cette jouissance si souvent refusée aujourd'hui.

"Jouir ma douce"

Je me laisse emporter dans un orgasme, je crie son nom, je me colle à lui, il jouir à son tour, la chaleur de son liquide me remplit, je reste dans ces bras sans bouger.

Il me porte jusqu'à la chambre, on se couche sur le lit et on reste là sans bouger.

"Merci pour ce magnifique cadeau."

Je lui chuchote à l'oreille

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