Un an.... à Dieu
Aujourd'hui, cette journée je ne veux pas la vivre, je suis en boule dans mon lit et les larmes de mon chagrin mouillent mon oreiller.
Un an déjà que Monsieur mon Maître est décédé, un an sans lui je me sens perdue, je ne veux pas sortir mais je dois aller travailler, ChevalierTech me prend trop d'énergie.
Je n'ai qu'une réunion à 13 heures, elle est très importante car grâce à elle je vais pouvoir reprendre ma liberté.
Mon Maître avait pensé me faire un joli cadeau en m'offrant sa société mais je n'ai pas son ambition c'est pour cela que j'ai convoqué ce conseil d'administration.
Anne m'attend devant le bâtiment.
"Tu es sur de vouloir me confier l'entreprise ?"
"Oui Anne, tu sauras gérer ChevalierTech, j'ai confiance en toi et je serai toujours présente, je te laisse le côté opérationnelle de l'entreprise."
16 heures, j'ouvre la porte de mon appartement, je prends mon sac à dos, descend les escaliers ouvre la porte du T1 et embrasse Lya et Maiko.
*****
Souvenirs
Notre premier anniversaire avec mon Maître, c'est celui de notre rencontre.
Un an, un an que je vis cette relation folle avec lui, entre nos soirée coquine, le travail pour la société ChevalierTech et mes études à Polytech, je n'ai rien vu passer.
Un coursier est passé déposer une enveloppe et une rose rouge de la part de mon Maître. Un mot simple comme à son habitude.
"13 heures le Bourget, secteur privé, prend juste ton passport"
Je passe les formalités sans encombre et une hôtesse viens me chercher pour m'amèner vers le jet privé de ChevalierTech.
Je prends place à bord, l'hôtesse est à mes soins pour un vol d'environ deux heures pour Glasgow en Ecosse, arriver sur place l'hôtesse m'invite à prendre un hélicoptère pour encore une petite heure de vol, l'appareil me dépose devant un immense château qui a l'air abandonné.
Mais je sais que je ne dois pas me fier aux apparences, je me dirige vers L'imposant édifice, sur la gauche de la porte se trouve un lecteur d'emprinte, je pose ma main et la grande porte s'ouvre sur une magnifique cour intérieure.
Je rentre à l'intérieur, le hall est magnifique, tout l'endroit est moderne et chic comme la ferme, sur la table qui est au milieu de la pièce il y a une enveloppe devant un magnifique bouquet de fleurs.
"Ma chère Lucy, monte à l'étage, va dans la chambre au fond du couloir, râfraichir toi, change toi avec les habits déposer sur le lit.
Tu redescendseras à 21 heures précises.
Ton Maître."
Je me rends à l'étage, je trouve la chambre, pousse la porte et découvre une magnifique pièce, la décoration est sombre et moderne, j'adore l'endroit. Sur le lit je vois une magnifique robe de soirée très élégante et raffinée, il y a aussi un harnais de couleur bleu, je suis ravie.
Comme j'ai plusieurs heures à attendre je profite pour me reposer et faire un petit somme, l'alarme de mon portable me reveil à 20 heures, je me lève, enlève mes habits pour aller à la salle de bain me faire une beauté, il y a tout mes produits de soins.
J'allume l'eau de la douche après quelques secondes elle est à bonne température, je me glisse sous l'eau, cette douce chaleur me fait beaucoup de bien, je finis de me rincer, prend un linge que je mets autour de la taille et retourne dans la chambre pour me préparer.
À 21 heures je descends le grand escalier, sur le sol est disposé un chemin de pétales de roses rouges qui m'indique le chemin à suivre.
Je prends le grand corridor sur la gauche, j'ouvre la grande porte qui donne sur une salle de banquet, Monsieur mon Maître est là au centre de la pièce. Je cours vers lui, m'arrête juste devant, baisse la tête.
Je sens sa main venir sur ma joue.
"Bonsoir ma belle, pour cette soirée tu n'as pas besoin de te tenir comme une soumise."
"Bien Maître, pardon monsieur."
Il me prend la main et me conduit à notre table, il m'installe à ma place et viens à côté de moi, l'endroit ce remplie de couples et de groupes de personnes que j'ai côtoyée tout au long de nos soirée au manoir.
Le repas ce déroule dans une ambiance feutrée, la musique du quatuor nous accompagne tout le long du service, je suis heureuse de revoir Lya et les autres musiciennes, à notre table ce trouve aussi Maiko.
Nous échangeons sur les plaisirs des cordes, des choix de maître ou de soumi, la discussion est très interessantes, les minutes ce transforme en heures et le repas est déjà fini.
Pour le reste de la soirée tout le monde ce déplace dans les sous-sols du château, quand nous arrivons vers les escaliers mon Maître me prend par le bras et me dit qu'on va remonter en chambre.
Je reste surprise mais sans poser de question nous retournons dans notre chambre, je ressens que mon Maître est fatigué, je le soutien et remontons à l'étage.
"Ma Lucy, je ne veux pas t'alarmer mais j'ai vue mon médecin, il me conseille de prendre du repos.
Je sens que c'est plus grave et je vais faire une série de tests ces prochains jours, je voulais que c'est fête soit belle pour toi, mais je suis vraiment très fatigué."
Je me décompose, je me mets à ces genoux, il passe sa main dans mes cheveux et nous restons comme ça un moment, je regarde le plafond et il me vient une idée.
"Maître, puis-je aller chercher Maiko pour vous présenter un spectacle juste pour vous."
Il me sourit, mon cœur ce rechauffe, il me fait me lève.
"Oui, va chercher Maiko et Lya aussi."
Je me relève et me dépêche d'aller les cherchées, je croise Lya qui se promène dans les corridors et lui demande de me suivre, elle le fait volontiers, nous descendons au sous-sol, je vois Maiko qui attaches une jeune femme.
"Maiko, je besoin de toi pour mon Maître, prend tes cordes et suit nous."
Personne n'ose dire quoique ce soit car ici tout le monde respect mon Maître qui à créer tout cela.
Nous remontons les étages, courons dans le corridor comme des gamines, devant la porte nous nous calmons, je frappe et on rentre.
Je retire ma robe et mes sous-vêtements pour me retrouvée juste avec le harnais, Maiko et Lya fond la même chose que moi.
"Maître, je vous souhaite un agréable moment de me voir faire attachée par Maiko et Lya."
"Lucy, Maiko va attacher Lya, je te veux au prés de moi et déshabille moi."
Maiko exerce son art sur Lya qui n'a jamais pratiqué le Shibari, mais dans ces mains expertes elle ne mets pas longtemps à prendre du plaisir, nous voyons la cyprine qui coule par petite goutte sur le sol.
Mon Maître ne reste pas indifférent, sa verge durci, je pose mes doigts dessus, fait glisser la peau du phallus pour libérer le gland et commence des mouvements de va-et-vient.
Plus je le sens raidir plus j'accélère le rythme, il pose sa main sur la mienne pour me faire arrêter, il me chuchote à l'oreille de me tourner et de venir sur lui en montrant bien ma chatte à Maiko.
Je me positionne sur mon Maître, me laisse glisser sur lui, ma chatte mouillée le reçois comme une offrande au plaisir.
Lya est dans un moment d'extase solitaire car de sa main de libre elle se mastube suspendue dans les cordes de Maiko, dans son monde de plaisir elle ne remarque rien de ce qu'il ce passe autour d'elle.
Maiko viens se mettre à genoux devant le fauteuil, elle penche sa tête vers la verge de mon Maître, sa langue parcours la grande veine et viens finir son parcours sur mon clitoris.
Entre mon Maître qui me prend profondément et la langue de Maiko qui joue avec mon clitoris, j'obtiens rapidement une première jouissance, mon Maître continue jusqu'à l'orgasme, je sens son liquide chaud ce répondre en moi et la langue avide de jus sur mon sexe qui me boit littéralement.
Maiko ce retire et vas détacher Lya qui ne sais plus où elle est tellement son orgasme fut puissant, je me retire de mon Maître et l'aide à aller ce coucher.
Je me couche contre mon Maître après avoir enlevé mon harnais, Lya viens contre moi et me prend dans ces bras, Maiko nous laisse et je m'endors comme ça.
Nous sommes restés toutes le weekend ensemble, mon Maître a beaucoup aimé nos moment intime et ce partager avec Lya et Maiko, le lundi nous prenons l'hélicoptère qui nous ramène à Glasgow.
Je rentre sur un vol de ligne avec Maiko et Lya car mon Maître doit faire un voyage aux USA.
Ce weekend fut le premier de nombreux autres durant tout ce temps partagé avec mon Maître.
Le weekend deviennent des semaines, des mois, des années et aujourd'hui sous cette pluie, je lui dis à Dieu mon Maître.
Fin.
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