Je dois choisir.

"Pourquoi Maître ?"

Je deviens folle, quel choix faire, être libre et oublié mon passer de soumise, j'aime trop cela mais les maîtres que je connais ne vous remplaceront jamais, je ne serai plus une soumise heureuse sans vous, je veux vivre, je prends mon téléphone et appel le numéro.

Je me présente et on me donne des consignes, quelqu'un viendra demain pour régler les détails, je décide de sortir faire des courses, je marche dans les rues et me retrouve devant l'entrée de la Sorbonne sans l'avoir voulut.

Je souris, je m'approche d'un endroit tranquille, je fais glisser ma robe sur le côté, je prends du gel dans la main, la passe entre mes fesses, je me dilat l'anus, je prends le plug du premier soir, je le pousse, il rentres facilement, je réajust ma robe et je part en direction de la Seine.

*********
Souvenirs

Le plug est agréable, je peux suivre mon Maître sans problème et ma démarche est naturel.

On s'éloignent de la Sorbonne, on va en direction de La Sainte Chapelle, on continue vers la brasserie Les Deux Palais, mon Maître me fait rentrer et il m'installe sur la banquette au fond de la pièce, le plug ce cale bien au fond de moi et je laisse échapper un râle de plaisir.

"Lucy, tu sais que je ne veux pas t'entendre soupirer de plaisir, tu vas avoir une punition."

"Ici Maître."

Je le lui répond surprise.

"Oui, ici, jeune insolente."

Je retiens mon souffle,que va-t-il me faire.

"Ouvre complètement ta robe."

Cet ordre, je peux pas,pas ici, mais sa voix, c'est un ordre, je pose mes mains sur le tissu, bouton après bouton je l'ouvre, je tremble mais je le fais en gardant la tête baissée.

"C'est bien ma soumise."

Je suis fière de moi, mon Maître est satisfait, je garde la tête baissée, je vois le serveur qui vient nous apporter la carte, mon Maître commande pour nous deux.

"Maintenant Lucy écarts les jambes pour que le serveur puisse bien tout voir."

"Oui Maître."

J'ouvre les jambes, je frissonne, je mouille, les pents de ma robe sont retenus que par mes seins dressés et mes tétons tout dur, mes lèvres sont gonflées de désirs, mon clitoris point entre mes petites lèvres, je suis tellement excitée que je pourrais jouir tout de suite.

Mon Maître ce léve et il vient à côté de moi, il pose sa main sur ma cuisse, il remonte vers mon sexe, il écarte les grandes lèvres, il glisse un doigt entre les petites, il se dirige vers le clitoris qu'il masses doucement, je me pinces les lèvres pour ne pas respirer trop fort tellement c'est bon, il arrêt et retourne à sa place.

"Tu apprends vite Lucy, c'est très bien."

Le serveur reviens avec notre commande, il rougit en me voyant, mon Maître apprécie la situation, je mouille encore plus, on mange tranquillement, on échange sur ces désirs, mes attentes et à la fin du repas il m'ordonne de fermer ma robe sauf les trois boutons du haut et du bas, au temps dire qu'il y a juste deux boutons fermer à la taille, je me lève et suit mon Maître.

La nuit est tombée, je frissonne, mon Maître s'arrête et me couvre de sa veste, je le remercie en baissant la tête, il me prend la main et me fait monter dans une limousine qui attend devant le restaurant.

On quitte le centre de Paris, on roule une petite heure et on arrive devant un château.

"Nous sommes dans un lieu de liberté, les personnes présentes ici sont toutes soit des maîtres, soit des soumis, tu comprends Lucy?"

"Oui Maître."

Je regarde la demeure et je me demande de que mon Maître va faire de moi, je lui est dit que je ne voulais pas d'autres hommes que lui mais que des femmes peuvent me toucher, il m'a rassuré en acceptant mes conditions, je suis sa soumise et pas à d'autres, on sort de la voiture.

"Lucy retire ta robe."

"Oui Maître."

Je redonne sa veste à mon Maître, je défaite les dernières boutons et retire ma robe,l'air est frais, je tremble, je donne mon vêtement à mon Maître qui la plie avec soin et la pose dans la voiture.

"Bien Lucy, nous sommes attendues, rentrons."

"Oui Maître."

Je le suit, on monte les escaliers,la porte s'ouvre et la chaleur du lieu me réchauffe, on rentre à l'intérieur et je vois des femmes et des hommes habillés comme mon Maître et il y a aussi des personnes nues homme et femme.

"Lucy attend"

Je m'arrête à cet ordre, mon Maître viens derrière moi, il pose un collier autour de mon cou, je sens le métal froid, je frissonne, je lui appartient.

"Maintenant toutes les personnes ici savent que tu es une soumise, personne ne te touchera sans mon accord."

"Merci Maître."

On traverse le hall, on se dirige vers une grande salle, il y a des gens qui danse, qui discutent, il y a des hommes attachés qui sont debout d'autres comme des animaux à quatre pattes, mon Maître m'exhibe comme un trophée, à l'intérieur de moi je jubile de joie, les maîtres sont jaloux du mien et les soumis aussi, je sais que ma jeunesse les intrigues, ma beauté juvénile les perturbent.

J'aime le sexe depuis longtemps, j'ai commencée jeune à me masturber, à 14 ans j'ai pris un god dans la chambre de mes parents et je me suis faite jouir seule dans ma chambre, j'ai toujours aimé me faire baisée, mais là la jouissance d'être au centre des attentions c'est tellement bon.

Mon Maître ma promis de m'éduquer dans le plaisir de la douleur, je n'ai jamais vraiment vécu cela, mes partenaires de jeux étaient très calme et une fois leurs plaisir prie, je restais sur ma faim, mais ici je sais que ça va changer.

"Lucy"

"Oui Maître."

"Tu es prête ?"

"Oui Maître."

"Je ne veux pas t'entendre un seul son de ta bouche, sauf si tu veux que j'arrête, c'est bien compris ?"

"Oui Maître."

On avait traversé le château et on était dans une cave, dans la pièce il y a plusieurs croix en bois, des sangles et des chaînes qui pendent du plafond, des armoires remplie de cravache et autres jouets comme des plugs de différentes tailles, des boules de geisha et chose étrange il y a un cheval d'arçon.

Mon Maître viens derrière moi, il pose une main sur mon sein, il le masse, il pinces mon téton, je reste silencieuse, il pose une pince sur ce dernier et il fait la même chose sur l'autre, c'est tellement bon, je sens la mouille couler de mon sexe, il prend une cravache, il la passe sur mes épaules, il glisse sur mes tétons qu'il frappe, mes tétons son durent, je commence à gémir.

Mon Maître me libère les tétons des pinces et continue de les frapper avec la cravache, ils sont très sensibles, je suis en train de perdre la notion du temps et des coups de cravache, il me regarde droit dans les yeux.

"Penche toi sur le cheval d'arçon."

"Oui Maître."

Je lui répond machinalement, il m'attache les poignets de chaque côté, il descend la cravache depuis le sommet de mon dos jusqu'au chevilles qu'il les attaches aussi, mes fesses et mon sexe lui sont offerts.

Il me masse les fesses et sans prévenir un coup de cravache viens me piquer les fesses puis deux et il continue, massage cravache et un si de suite, je sens mes fesses chauffer, des larmes coulent sur mes joues mais je ne dit rien, Monsieur mon Maître doit être fière de moi, dix puis vingt coups par fesses, c'est tellement bon.

Mon Maître arrête, il pose la cravache à côté de mon visage, il bouge le plug qui est toujours dans mon petit trou, je l'entends ouvrir son pantalon, le goût de son sexe dans ma bouche me revient en tête, il pose ses mains sur mes hanches et me fait reculer.

Je sens son gland sur le bord de ma chatte, il pousse doucement, il est bien large mais j'ai tellement mouillé qu'il rentre d'un coup, sentir son membre en moi avec le plug à côté, je ne vais pas réussir à ne pas gémir, il de penche à mon oreille et me dit silence.

Il me pilonne avec une telle force que tout mon corps tremble, j'ai une première jouissance que j'arrive à ne rien dire, il continue encore plus fort, je me pinces les lèvres lorsque j'ai mon orgasme en même temps que lui, son sperme chaud coule au fond de moi et je perds connaissance.