Le Manoir
Présent
Cela fait six mois que mon Maître est décédé, je décide d'aller au manoir j'ai besoin de sentir mon corps vibrer, j'ai donné rendez à Maiko.
Je rejoins l'hôtel en fin de journée, je parque ma voiture devant l'entrée, je prends juste mon sac et monte les marches, je confie les clés au voiturier.
Cela fait presque une année une je ne suis pas revenue ici, les personnels est au petit soin pour moi.
Le réceptionniste m'envoie directement un jeune chasseur pour me conduire à ma suite, nous montons le grand escalier, je vibre au souvenirs de ce lieu.
Je pose mon sac sur le lit, j'en sort un harnais blanc, je vais à la salle de bain pour prendre une douche, mais avant j'appelle la récéption pour demander une personne pour me faire des soins du corps.
Je suis sous l'eau chaude quand on frappe à la porte, j'attrape un peignoir et viens ouvrir, c'est une charmante jeune femme qui est là.
Je lis sur son badge son prénom, Plume quel drôle de prénom.
J'invite Plume à rentrer avec son lit de massage, je l'observe et je constate qu'elle ne portes que sa blouse et ces sandalettes.
Plume prépare la table, je lui indique les soins que je veux.
Je retire mon peignoir que je laisse glisser au sol, elle me fait allongée sur la table.
Plume commence par l'épilation, d'abord sous les bras, en suite le maillot, le lui indique que je veux une totale.
Elle travaille avec des bandes de cire, elle me demande si c'est pas trop douloureux, je crois qu'elle ne connais pas les caves de cet hôtel, sinon elle ne poserait pas la question.
Plume fait un très bon travail au point que je somnole, elle me ramène au moment présent quand elle me demande de plié les jambes pour faire la zone autour de mon sexe.
Je sens ces doigts qui effleure mes lèvres qui commence à grossires sous l'effet du désir.
Quand elle a fini, elle me demande de me mettre à quatre pattes pour faire entre les fesses et autour de l'anus.
De sentir ces doigts sur moi, je ne peux retenir un râle de plaisir, la cyprine coule entre mes lèvres.
Plume retire son gant, elle glisse sa main sur mon sexe, elle essuie le liquide qu'elle porte à sa bouche.
Je la regarde faire, quand elle voit que la suite du regard ces joues s'empourprent d'un délicat rose.
Je m'associe et lui prend la main pour lui lécher les doigts, elle n'ose rien dire, elle se laisse faire, je plonge sa main sur ma chatte, elle laisse rentrer deux doigts, je lui fais faire des légés va-et-vient, je râle de plaisir.
Je m'allonge de nouveau, Plume continue ces doux mouvement, le plaisir m'envahit, je râle jusqu'à la jouissance.
Je me calme, je suis détendue et elle peut finir son travail en me massant avec une douce crème à l'abricot.
Je me relève pour lui demander de m'aider à mettre mon harnais, Plume ajuste les lanières avec dextérité, quand elle a fini et tout ranger ces affaires, je m'approche d'elle pour l'embrasser sur la bouche.
Plume ne recule pas au contraire elle se colle à moi pour un baiser langoureux et nos langues jouent au chat et à la souris.
Je m'éclate pour respirer et la remercier, elle rougit de plus belle et elle quitte la pièce.
Je reste dans ma chambre un moment avant de descendre pour le souper, je prends une fine cape de mousseline blanc transparent.
Je me présente dans la grande salle à manger et à ma surprise, tous les maîtres et leurs soumis m'attendent.
Les tables sont rassemblées pour former un grand U, ils y a les toutes personnes que j'ai côtoyé ici depuis mes débuts, je suis très émue par cette situation.
Maiko s'approche de moi, elle me prend la main, elle me guide au centre de la pièce, elle m'embrasse tendrement.
"Mesdames, messieurs, maîtresse, maîtres, soumises et soumis, nous sommes ici ce soir pour honorer la mémoire d'un grand maître, qui sans lui ce lieu n'aurais jamais existé, prenons un moment pour sa mémoire."
Quand Maiko a fini de parler, toutes les personnes présentes viennent me dire un mot, cette famille me touche au plus profond de mon cœur et je ne peux pas retenir de pleurer, c'est la première fois qu'il m'arrive de pleurer en public.
Maiko toujours avenante avec moi, elle me prends par le bras, elle me guide vers la place d'honneur u centre de la tablée.
Nous passons une agréable soirée, pendant le repas il y a plusieurs démonstration de bondage, de soumission, des nouveaux jouets mis à disposition par le manoir.
Après le repas, une musique de fond est mise, plusieurs couples de forment pour danser, un moment de parenthèse sans maître ni soumi.
Vers minuit Maiko me prend par la main, elle me reconduit au centre de la salle, une corde avec un anneau est suspendu à la poutre principale.
J'en lève ma fine cap de mousseline, Maiko me fait m'assoir, elle commence le jeu des cordes et en quelques mouvements je me retrouve attachée.
J'ai une jambe pliée contre ma fesse, la deuxième légèrement tendue, un bras attaché le long de la jambe et le deuxième est fixée derrière ma tête avec la main qui tient ma nuque.
Je ne sens en sécurité dans ce jeu de cordes, Maiko passe la corde à plusieurs endroits sur le côté avant de trier dessus et de me retrouver à un mètre et demi du sol.
Elle me fait tourner doucement, je la vois prendre une bougie, elle revient au dessus de moi, elle fait couler la cire sur mon corps.
Des gouttes chaudes tombent sur ma hanche, sur mes fesses, sur les jambes, je suis emportée dans un tourbillon de plaisir.
La cyprine coule entre mes lèvres, un fin filament s'étire vers le sol, Maiko arrête de me faire tourner, elle dépose de la cire sur mon ventre, elle descend vers mes lèvres gonflées de plaisir.
Elle passe ses doigts sur mon sexe, elle me caresse doucement, elle rentre un doigt, puis un deuxième, elle fait des va-et-vient.
La chaleur envahie mon ventre, je frissonne de plaisir, elle accélère le rythme en suivant ma respiration, je me laisse emporter dans un orgasme.
Je sais pas combien de temps je suis restée suspendue, je ne sais pas combien de fois j'ai jouit, j'ai perdu la notion du temps et de l'espace, j'avais besoin de lâcher prise.
Je me reveil dans mon lit, je ne sais pas comment et qui m'y a déposé mais cela à était fait dans le respect.
J'entends la douce voix de Plume dans le corridor, je me lève et l'appel, elle me regarde, elle vient vers moi.
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