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Chapitre 34 : Ma secrétaire est une connasse.

Chapitre 34 *___* ( JE SUIS ÉMUE )

Bonjouuur mes amouurs :D <3 ! Vous portez-vous bien *__* ?

Oui oui comme vous avez pu le deviner à partir du titre :3 , ce chapitre est quelque peu spécial *__*

Vous saurez bien assez tôt pourquoi x)

Sinoon et bien je suis juste trop ravie de pouvoir écrire, être lue et faire votre connaissance aussi <3 Je n'ai pas hâte de terminer la fanfic mais ce qui est bien c'est que j'aurais encore plus de temps pour vous lire *__* et je prendrai quelques temps ( 2 semaines max) pour me ressourcer et revenir avec une autre fanfic et j'espère sincèrement qu'elle vous plaira autant <3 Je publierais  entre temps des Os sympathiques avec quelques petits lemons juteux par ci par là :3 <3

Je sais que je le dis souvent mais JE VOUS AIME <3 !

2300 mots encore une fois <3 ( me suis marrée  à les écrire xD )

Vous avez vu la nouvelle version  dance practice de Hero- Monsta X *___*  ? ( une tuerie *__* )

Bonne lecture <3 *__*


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Le visage d'une infirmière au décolleté plongeant se profila devant moi. Faute de pouvoir m'exciter, cela m'agaça beaucoup plus que nécessaire.

« Monsieur, s'il vous plait, est-ce que vous pouvez arrêter de faire ça ici ? Vous faites peur aux enfants... »

Je la regardai avec des yeux hagards et réalisai non sans avec un amusement morbide que j'étais en train de jouer avec un couteau suisse en fixant avidement les mioches qui s'amusaient dans l'espace jeux de l'hôpital.

Je ne savais même plus comment j'avais fait pour atterrir ici.

Entre mes innocentes pensées impliquant tronçonneuse et hache de guerre à l'égard de J-hope et mon envie folle d'aller dans la chambre de Sarang pour la prendre dans mes bras, j'avais erré comme un vieux pervers sénile à qui on aurait cruellement confisqué sa poupée gonflable, sans but apparent.

Je me revoyais me jeter sur Hoseok, le rouer de coups comme un cinglé avant d'être interrompu par Taehyung me poussant sans ménagement vers l'ambulance qui avait emmené Sarang aux urgences.

Pendant tout le long, les larmes n'avaient cessé d'inonder mes yeux tout comme cette première éjaculation pré pubère qui se déversait perfidement sur votre caleçon à l'âge où on devrait encore jouer avec des figurines de Superman.

Depuis quelques jours, j'avais élu domicile dans la chambre de ma secrétaire déclarée alors en convalescence.

Après avoir menacé le directeur de l'hôpital de mille tourments à lui et à toute sa famille en débarquant dans son bureau somptueusement enduit du sang de Sarang, ce dernier quémanda la présence immédiate de tout le département chirurgie dans le bloc où l'on opéra ma femme.

Du haut de la salle d'observation, j'avais assisté à la scène avec un regard que je savais aussi impartial qu'une lame au-dessous de leur gorge, leur donnant ainsi l'impression de tous les tenir en otage.

Loin de moi l'idée de vouloir leur mettre la pression bien sûr, je voulais seulement leur faire comprendre que si jamais Sarang venait à quitter ce monde, ils pouvaient alors s'attendre à eux-aussi finir à la morgue.

Mais comme sujet d'autopsie.

Je pénétrai dans la chambre VIP de ma connasse de secrétaire en soupirant, sentant une pression désagréable enfler dans ma poitrine. De la lumière s'introduisait avec peine à travers les volets baissés faisant baigner la chambre dans une ambiance chaleureusement tamisée. Je m'assis sur un tabouret et me rapprochai du corps de Sarang qui était sereinement allongée sur le lit.

Je lui caressai nonchalamment le bras et fus légèrement surpris de constater l'hérissement impromptu de ses poils sous le contact de mes doigts.

La petite coquine...

Même en étant à moitié dans le coma, elle ne pouvait s'empêcher de penser à des choses que je qualifierais, entre nous, de pas très pieuses. Ce qui, étrangement, n'épargnait pas non plus ma testostérone en feu.

Ne vous inquiétez pas, je ne fais pas du tout dans la nécrophilie mais il y avait quelque chose chez elle qui me rendait fou... J'avais tant de fois essayé de le refouler en étant le plus gros connard de tous les temps avec elle, mais rien n'y faisait.

Je ne pouvais m'empêcher de me dresser tel le colosse de Rhodes à chaque fois que j'étais en sa présence.

Pourquoi croyiez-vous donc que j'étais un adepte des pantalons serrés ?

Peut-être était-ce ses yeux provocateurs qui invitaient à la débauche, ou encore ses lèvres pulpeuses que j'avais eu depuis la première fois envie de dévorer sans vergogne, ou encore son corps de sirène brésilienne qui me donnait envie de pactiser avec le diable pour ne serait-ce qu'un instant avoir la possibilité de le caresser ?

Voilà que je commençais à faire de la poésie maintenant... J'étais foutu.

Non, Je ne voulais pas le réaliser encore.

Mon regard se porta sur le visage de Sarang qui brillait faiblement sous l'éclairage de la pièce. Je levai le bras dans sa direction mais le laissai faiblement retomber à mi-chemin.

Elle lui ressemblait tellement, à ma mère.

Innocente et fragile. (WAHAHAHAHAHAHA)

Attendez une minute...

Serais-je par le biais de Sarang en train de ressentir des émotions originellement incestueuses envers ma défunte mère ?

J'avais de sérieux problèmes post-traumatiques à régler, on dirait.

Je secouai la tête pour chasser les élucubrations œdipiennes qui tourmentaient mon esprit corrompu lorsque je fus interrompu par la venue d'une aide-soignante qui pénétra dans la chambre en hésitant légèrement au pied de la porte.

Je lui jetai un regard qui aurait fait secouer d'obéissance la queue de Cerbère en personne.

Cela n'avait pas du l'aider, je présume. Chose qui à mon grand étonnement m'incita à essayer de lui sourire chaleureusement.

Elle en sembla effrayée.

Je ne voyais pas pourquoi on avait si peur de moi.

Mais alors là, vraiment pas.

Elle se rapprocha de nous en bredouillant un « bonjour, monsieur » ponctué d'une petite révérence maladroite.

En ajustant une seringue antibiotique, elle trembla quelque peu sous mes yeux inquisiteurs.

Elle rata deux fois la veine de ma secrétaire.

« Faites attention, grondai-je. »

Elle fondit en larmes et partit en courant.

Je clignai des yeux, interdit. D'accord.

Jin foula le seuil de la pièce au moment même où l'infirmière le quittait. Il la regarda partir en riant sous cape et je fis un geste de la main pour l'inciter au silence mais il ne sembla pas s'en soucier.

« Toujours aussi délicat, mon Jiminie, déclara-t-il en m'ébouriffant les cheveux. »

Je lui lançai le regard qui tue. Cependant cela le fit rire beaucoup plus qu'autre chose, ce qui me mit en rogne.

« Tu sais très bien que quand tu me regardes comme ça, mon chéri. Ça me donne beaucoup plus envie de te violer qu'autre chose. »

Sur ce, il poursuivit la tâche de cette incompétente d'infirmière à qui j'avais essayé de me montrer gentil pour une fois avant de s'asseoir à mes côtés. S'ensuivit ensuite un long silence pesant dans lequel je me demandais sincèrement si la vie avait lieu d'être...

De toute manière personne ne s'en sortira jamais vivant, alors... Pourquoi ?

Oui, Sarang m'avait rendu fou, philosophe des dimanches quand je n'étais pas trop occupé à jouer au connard fini.

Mais qu'est-ce que la connerie au final ?

Non, ça n'allait plus.

« Tu l'aimes n'est-ce pas ? me demanda mon ami d'enfance qui à cet instant précis aurait dû se contenter de respecter la fonction suceuse de sa bouche au lieu de vainement la gâter de la parole.

-Qui donc ? Rétorquai-je en faisant, comme à l'accoutumée, mon salop de première.

- Ma bite.

- Ah...

-Jimin...

- Jin ?

- Non rien.

- Cause toujours...

- En fait... »

Nous fûmes interrompus par un Jungkook dont les yeux étaient aussi rouges que les joues teintées d'une nonne à qui on aurait fait des choses pas très catholiques, un matin sacré de messe sous le regard bienveillant de Saint-Satan.

Je me levai pour le prendre dans mes bras et il fondit en larmes alors que je luttai moi-même pour ne pas participer à ses sanglots.

Le téléphone de Jin sonna et il prétexta une urgence au travail avant de quitter la pièce. Je me demandai brièvement de quel travail il parlait précisément car étant donné son précieux don dans le maniement de la langue, je commençais peu à peu à me perdre dans ses nombreuses capacités multifonctionnelles.

Je m'écartai quelque peu de Kookie en contemplant sa petite bouille de bébé. Les mots eurent du mal à sortir de ma bouche :

« Je suis désolé d'avoir douté de toi... »

Il cessa instantanément de pleurer et me lança un regard lourd de sens. Celui qui m'avait poussé à tomber sous son charme lors de notre première rencontre, lorsqu'entre deux photoshoots, nous l'avions fait derrière le plateau avec ma main ingénieusement plaquée sur sa bouche pour éviter que l'on nous entende.

Ce petit avait des gémissements à faire orgasmer Lilith en personne du haut de son harem démoniaque.

Il posa une main autoritaire sur ma nuque et je le laissai faire.

Ses lèvres s'écrasèrent contre les miennes que j'entrouvris instinctivement. Nos langues valsèrent sauvagement tandis que nos membres se frottaient douloureusement à travers le tissu de nos jeans. Une vague d'émotions contradictoires se déferla dans ma tête alors qu'il commençait à introduire une main baladeuse sous mon boxer. Je haletai contre son cou alors qu'il s'appliquait à me faire jouir.

Poussée par un plaisir ardent, nous progressâmes l'un plongé dans la bouche de l'autre, vers un des fauteuils en cuir qui trônait dans un coin de la pièce.

J'aimais le cuir.

C'était facile à nettoyer en cas de giclement accidentel.

Je le fis asseoir et m'agenouillai entre ses jambes écartées. Je ne savais pas pourquoi mais, cette fois-ci, je voulais lui faire plaisir.

Je passai un doigt fripon sur son entre-jambe, ce qui le fit geindre de plaisir. Cela eut raison de ce qui me restait encore de retenue.

Après avoir donné un coup de langue salace sur le bout dressé de son instrument, je le pris entre mes lèvres et commençai des va et vient pressants. Il se mordait la lèvre inférieure, les mains fermement accrochées au bras du meuble, comme s'il allait défaillir à tout moment.

Des grognements familiers vinrent perforer l'intimité de notre bulle.

Nous tournâmes des yeux voilés par le désir vers une Sarang qui s'extirpait enfin des troubles profonds de l'inconscience.

« Oh, de grâce, implora-t-elle d'une petite voix rauque, ne vous interrompez pas pour moi... »

Nous nous précipitâmes vers elle aussi rapidement que le permettait la situation. Jungkook dû s'y prendre à deux fois. Il sautilla en essayant de remettre son pantalon à la volée.

Je fis le premier à arriver au chevet de ma connasse de secrétaire. J'en fus réjoui comme l'un de ces enfants qui s'amusait à sonner à la porte des maisons avant de courir comme un débile mentale pour ne pas se faire attraper.

« Sarang, chuchotai-je en lui caressant les cheveux.

- J'ai peur de demander ce que je fais ici, dit-elle en regardant autour d'elle. »

Elle essaya de se redresser mais se ravisai à rester allongée après avoir grimacé de douleurs en constatant son état.

« Oui, Sarang, fit Jungkook en prenant place de l'autre côté du lit, tu t'es faite tirer dessus... »

J'admirerais toujours le tact évident de mon compagnon.

« Pour le bien de la mission, dit-elle en souriant faiblement. »

Cela me fit intérieurement rire. Je ne savais pas pourquoi. (XD)

Sans un mot, nous nous allongeâmes à ses côtés, chacun sur une de ses épaule en faisant en sorte de ne pas toucher sa blessure.

Je jetai un œil à Jungkook qui me répondit d'un regard qui, entre hommes, voulait dire beaucoup.

Je fis non de la tête l'air de dire : « Kookie, je sais que c'est tentant mais non, elle n'est pas encore assez rétablie pour une séance de baise Hardcore avec nous... »

Il fit la moue.

Quelques instants plus tard, Jin revint de sa mystérieuse escapade pour nous retrouver en train de somnoler comme des petits koalas shootés à la feuille de Coca.

Il me demanda d'aller lui chercher du café. Ce que je fis sans trop me poser de questions.

J'aurais du le faire. J'aurais dû me poser ces putains de questions.

Je retrouvai Taehyung à la réception. Il sortit son badge de policier en adressant son sourire le plus charmeur aux infirmières de garde qui gloussaient comme si toute l'équipe de l'émission « Gag concert » s'était présentée à elles ce jour-là.

« Je viens interroger une victime que vous avez internée il y a quelques jours après qu'elle se soit prise une balle au ventre. Ahlala, si je n'avais pas été là, elle aurait rejoint notre seigneur, la pauvre petite. Si vous voulez, on peut en discuter autour d'une tasse de café. Moi c'est Taehyung mes jolies, mais vous pouvez m'appeler T.... AIE AIE AIE ! »

Je le tirai par l'oreille en marmonnant un : « Si tu étais intervenu plutôt, Sarang serait maintenant saine et sauve  ! »

Il se plaignit quelque peu, m'insulta par la même occasion. Mais je n'en avais que faire. Voir Sarang dans cet état me mettait hors de moi. Et non, je ne voulais toujours pas comprendre pourquoi.

En ouvrant la porte coulissante de la chambre de ma femme, je me figeai dans l'opération en entendant prononcer mon nom. Je reconnus la voix de Jin :

« Je ne l'ai pas encore dit à Jimin.. Mais je voulais te prévenir que...s'il te plait ne me tue pas..Mais les pilules que je t'ai donnée n'étaient pas des pilules contraceptives... »

Il marqua une pause.

Le monde entier marqua une pause.

Mon cœur, lui, s'arrêta carrément de battre.

« Sarang, poursuivit-il avec une voix grave, à l'aide des autres docteurs, sans en parler à Jimin, je t'ai fait faire juste après l'opération une échographie pour en être sûr. Et...Et maintenant, je le suis. »

Je ne savais que croire. 

Ma première pensée fut pour ces traitres de docteurs que j'allais empaler un par un pour avoir perfidement magouillé derrière mon dos.

Ma deuxième fut pour ce connard de Jin : Qui avait-t-il encore sucé cette fois-ci pour obtenir son diplôme de Gynécologue ?

Au bout de ma troisième réflexion, je commençai à perdre pied.

« Sarang, tu es enceinte. »

Dans ce silence d'outre-tombe, ne s'entendaient que les battements déchaînés de mon cœur qui voulait vainement sortir de ma poitrine comme l'un de ses détenus désabusés qui avaient désespérément tenté de s'évader de l'île du diable.

« Q.. Quand, demanda Sarang presque imperceptiblement, quand est-ce que je pourrai avorter ? »

Mais elle était folle ou quoi !

Je déboulai dans la chambre en faisant, fidele à moi-même, majestueusement balancer à travers la pièce le café que j'avais promis à Jin.

« Si tu avortes, je te le ferai payer. »

Sarang semblait surprise de ma déclaration.

Et à vrai dire, moi aussi.

« Et le contrat ? fit-elle doucement en levant vers moi des yeux larmoyants.

- Le contrat ? »

Je respirai un bon coup :

"Vous pouvez me poursuivre en justice si ça vous chante, Madame Park. Mais je ne reviendrai aucunement sur ma décision."

On me regarda avec des yeux ronds.

"Je résilie notre putain de contrat ! "

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Fin du chapitre 34.

JIMIN MARIE JOSEPH ! *___*

Ce chapitre nous révèle beaucoup mais alors là beaucoup de choses sur Jimin :O et ce n'est vraiment pas pour me déplaire :3 Le voir comme ça me sljflsjkfsldkfnsldmfsd

Qu'est-ce que vous pensez des nouveaux sentiments de Jimin ? il est tout mignon quand il hésite comme ça xD mais boon on dirait qu'il est sur la bonne voie là *__*

Le prochain chapitre est le dernier, j'y reprendrai sans doute le point de vue de notre Sarang parce qu'elle m'a trop manquée cette connasse T___T

J'essaierai de faire en sorte qu'il soit long et intéressant en espérant que vous allez aimer <3

Je veux pas que ça soit la fin mais j'ai aussi tellement hâte de commencer à vous dire et de commencer une autre <3

Voilà :'( <3 Je vous aime ( et oui encore une fois <3 )

Éternellement vôtre,

votre dévergondée de Hajar qui a les larmes aux yeux T__T


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