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Chapitre 31 : D'autres putes à fouetter...

Chapitre 31 *___* ( le titre me fait marrer xD )

Trailer façon série à l'eau de rose : " Monsieur Park restera-t-il un connard fini jusqu'au bout ou tombera-t-il enfin sous le charme de notre très innocente héroïne à fleur de peau ? Découvrez le dans quelques instants dans la suite enflammée de " Mon connard est un patron !"

Musique de série qui vous tape sur les nerfs :

P.s : Ce programme vous ai présenté par la connasse de Hajar qui tire littérairement sur tout ce qui bouge. Pénis soient ses victimes... !

Bref j'arrête de faire ma conne xD

Voilà la suite des événements, vos commentaires m'éclatent comme pas possible je ris comme une dingue sous les regards, je l'avoue bien, légèrement affolés de mes parents.

Ahlalal.. Qu'est-ce qu'il faut pas faire pour le bien de la fangirlisation sldfhnmslfsdlmkf

JE VOUS AIME <3 !

Bonne lecture *___* !

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Je tentai de ne pas trop sauter  sur des conclusions alarmantes.

Il était fort probable que mon patron n'ait eu à  appeler Irène que pour, dans un cadre strictement professionnel bien sûr, parler affaires de sous-vêtements. Mais quelque chose me disait, d'après l'expérience fructueuse de notre première rencontre, que ces derniers ne seront sans doute pas de la partie.

Je me fis violence pour ne pas débouler dans la pièce comme une furie  à qui on aurait annoncée que Zeus était en fait hermaphrodite. (D'accord...) 

Je revins sur mes pas en balançant rageusement les canettes de bières dans une poubelle en imaginant dans celle-ci leurs têtes ensanglantés.

Jin me vit faire avec un œil concerné.

Je lui lançai un regard de pitbull enragé. Ce qui l'incita à ne pas venir me réconforter.

Je le regrettai aussitôt.

Je n'aurais pas dit  non à des bras chaleureux à ce moment là...

Mr Park me contacta dans l'après-midi pour me prévenir que nous avions un Important Gala de charité auquel nous devions assister le soir même.

Il m'envoya par message l'adresse du Coex Mall. 

Je l'attendais avec la patience d'un tyrannosaure affamé devant l'enceinte en tapant rageusement du pied sur un mur. Je me tins celui-ci en sautillant sur une jambe comme une pauvre conne sous le regard atterré des passants. Sincèrement, j'y étais à présent bien trop habituée pour réellement m'en soucier.

«  OUI JE SAIS ! JE SUIS BONNE POUR L'ASILE ! Grognai-je très respectueusement à un jeune lycéen qui passait par là. »

Je le menaçai du poing, et Il accéléra l'allure en me regardant comme si j'avais pointé sur lui une AK-47.

Je ne voyais pas pourquoi.

Mr Park fit son entrée dans une décapotable rouge et en sortit en posant sur son nez des lunettes de soleil qui faisait sans doute 10 fois le Smic du pays. (Sexy Back- Justin Timberlake)

Il me tendit son bras.

Je le refusai.

Il haussa un sourcil.

Je l'ignorai en le devançant vers l'entrée avec un balancement de cheveux façon salope de Gangnam. 

Il rit sous cape.

«  Pas par là, madame Park. »

Je fusillai du regard son sourire suffisant.

Il balança à un voiturier ses clés de voitures avant de me prendre, malgré moi, par la main pour me mener vers le parking du centre commercial. De là, nous empruntâmes un ascenseur qui était à l'abri des regards curieux.  L'intérieur y était somptueux tandis que de la musique classique emplissait l'air. Cela aurait été fort agréable si je n'avais été quelque peu bouleversée par l'atmosphère pesante qui régnait entre nous.

Je lui donnai l'impérieux traitement du silence mais il ne semblait pas réellement s'en soucier, laissant implacablement sa main dans la mienne.

Il entrelaça nos doigts, presque de force.

Un courant électrique courut douloureusement le long de ma peau come une chèvre prête à gambader librement dans la forêt du désir. (Monsieur Seguin xD)

Les portes s'ouvrirent sur un étage dont très peu de personnes foulaient le sol.  Je compris très vite que ce niveau était spécialement destinée au VVIP vu la manière dont le personnel s'empressait de nous saluer en signe de respect avec des sourires, certes aussi faux que la santé mentale de mon patron mais tout autant trompeurs.

Nous pénétrâmes dans un très grand magasin où on salua Mr Park avec des gloussements appréciateurs, ce qui me fit intérieurement rager. Il demanda à ce qu'on s'occupe de moi et on m'apporta une douzaine de robes avant de gentiment me pousser dans une cabine d'essayage alors que '' mon mari '' attendait sur un canapé en se tournant élégamment  les pouces.

Triste parodie d'une  des scènes comédie-romantique des dramas qu'on faisait passer sur SBS...  Vous voyez un peu le tableau ?

Lorsque le riche bad boy commençait petit à petit à tomber, sans s'en rendre compte bien entendu sinon ça ne serait pas drôle, amoureux de la fille et qu'il lui achetait des vêtements à tout bout de champ.

Sauf que contrairement à ces amateurs là, moi j'avais un psychopathe pour mari et (SURPRISE !) je commençais petit à petit à sentir que je n'étais pas moi-même saine d'esprit.

A chaque fois que je ressortais de la cabine d'essayage avec sur moi l'une des robes qu'on m'avait présentée, il secouait de la tête d'un regard impassible en lorgnant avec un désintérêt royal ses ongles manucurés.

Au bout d'un moment, il se tint la tête en arborant un visage ennuyé.

J'apparus  avec cette fois-ci un produit italien qui cintrait voluptueusement bien ma taille.

Il se redressa avec une expression toute nouvelle et je pouvais jurer voir passer sur ses yeux une lueur appréciatrice qui trahissait ouvertement son approbation.

«  Sarang, souffla-t-il avec un sourire sincère aux lèvres qui me fit fondre le cœur, je crois franchement que tu devrais penser à faire une petite chirurgie esthétique. »

Je lui balançai une de  mes chaussures d'escarpin qu'il évita avec justesse en éclatant d'un rire cristallin. Au bout de quelques secondes, je cédai et l'accompagnai dans son effusion  contagieuse.

Il reprit tout à coup un air sérieux en m'attirant dans la cabine d'essayage dont il ferma effroyablement la porte.

Je voulus protester mais il posa un doigt  autoritaire sur mes lèvres avant de me retourner vers le miroir, m'intimant silencieusement l'ordre de me contempler.

«  Si ça ne tenait qu'à moi, susurra-t-il tout contre mon oreille, je te ferais parader à mes côtés toute nue...

Il déposa un baiser exaltant sur mon cou.

« ...pour que tout le monde puisse jalousement admirer ton irrésistible beauté. »

Sur ce, il s'écarta de moi en sortant avant de lancer un :

«  Je l'aime bien sur toi, finalement. »

Moi aussi...

Moi aussi je t'aime bien sur moi !

Projecteurs dansant au ciel, ces mêmes connards de journalistes dont je reconnaissais à force quelques visages, un long tapis rouge pour nous accueillir. J'avais beaucoup plus l'impression  d'être dans des oscars que dans un gala de charité. D'ailleurs ils n'avaient visiblement pas lésiné sur les dépenses. S'ils avaient utilisé, ne serait-ce qu'un quart de cette somme d'argent déboursée, ils auraient probablement lourdement contribué à l'éradication de la famine dans le monde.

Mais bon cela n'intéressait visiblement pas grand monde alors qu'on défilait dans des robes de luxes et dans des costards hors prix. Je toussai intérieurement de gène devant ma raison qui me regardait sévèrement en fronçant de sourcils en remarquant que je ne sortais pas vraiment du lot, moi non plus.  D'ailleurs, on nous examinait de toute part que cela soit par respect, sympathie ou par jalousie et hargne.

Nous franchîmes le seuil d'une énorme salle de bal dont le lustre me rappelait très vaguement l'épisode de l'Eglise et du flingue Skyzophrène de Suga.

Mr Park Jin young faisait murmurer sournoisement des rumeurs sur son passage  mais son air sûr et indifférent nous révélait qu'il s'en fichait fortement. Il accéda à l'estrade d'un pas résolu, afficha un sourire pragmatique sur ses lèvres et se posta devant le micro pour discourir sur ses très sincères intentions concernant la situation de ces pauvres orphelins en Malaisie.

Je savais, vu les avantages exclusifs de mon métier de secrétaire, que c'était aussi là-bas, comme par hasard, qu'il désirait s'incérer économiquement parlant.

Tous les moyens étaient bons, n'est-ce pas Mr Park ?

Park Junior se leva discrètement de table faisant mine de prendre un appel alors que je pouvais voir que son regard était tourné vers une Irène qui depuis l'autre bout de la salle lui jetait des œillades salaces. Au bout de quelques minutes, elle rejoint à son tour la porte par laquelle Jimin s'était faufilé.

Je la rattrapai par les cheveux, la fit tomber comme une larve sur le sol et lui assénai des coups violents sur son visage ensanglanté alors qu'elle implorait ma merci.

Non.

Ca ce n'était simplement que l'un de ces nombreux fantasmes qui peuplaient mon esprit de psychopathe refoulée.

Je sentis des yeux sur moi.

J'embrassai le reste de la salle du regard.

Par le crâne déraciné de mes ancêtres les mongols !

Comme si je n'avais pas été assez importunée comme ça...

Kim Nam Joon, en chair et en os, envoyé par ma pote ou devrais-je plutôt dire ma pute de toujours : le destin, était là.

Sauf que moi, J'avais d'autres putes à fouetter en ce moment...

Avec l'image d'une Irène allongée sur un lit d'hôpital tanguant désespérément entre la vie et la mort, je me précipitai vers elle mais le destin n'était pas tout à fait d'accord avec moi.

Il m'apparut fatalement sous la forme d'un bras. Plus précisément celui d'un homme. Et par homme, je voulais dire, un connard de première. Et par connard de première, qui mieux que Mr Kim, pourrait triomphalement s'approprier le titre ?

Pendant que je réfléchissais sur la possibilité que Mr Park Jimin puisse sans doute lui voler la vedette en matière de connerie humaine, NamJoon m'attira vers lui d'une poigne aussi solide que le fer de l'Ulfberht nordique. (Oui j'adore les vikings et alors... C'est une épée en passant, une vraie de chez vraie cette fois-ci xD )

«  Tu sais Sarang, tu as le don de t'attirer tous les plus gros connard de la terre...

-    Sans blagues, lui sifflai-je.

-    ...Mais Mr Park est sans aucun doute le pire ! »

Il partit d'un rire diabolique que j'entendis encore raisonner dans les couloirs du bâtiment alors que j'étais à la recherche de l'irréfutable preuve de la tromperie de Mr Park.

Une deuxième personne me retint par la main.

Jungkook.

Il me serra dans ses bras :

«  Non, Sarang, n'y va pas.. »

Je me dégageai de lui et me figeai devant ce que je vis.

Irène avait les bras autour du cou de Mr Park et le poussait lubriquement vers un ascenseur sans doute pour aller dans une des chambres des étages supérieurs.

Ignorant un Kookie qui criait mon nom, je courrai vers la sortie, les larmes aux yeux.

J'y retrouvai un Jung Hoseok qui fumait tranquillement une cigarette le regard perdu au loin, nonchalamment adossé contre un mur.

«  Une cigarette ? me proposa-t-il en remarquant ma présence.

-    Vous ne voulez pas plutôt partir d'ici ? rétorquai-je.

-    Vous n'auriez pas pu mieux tomber, dit-il en écrasant son mégot. »

Il s'approcha de moi, essuya d'un pouce réconfortant les larmes qui inondaient mes joues avant de m'inviter à m'asseoir à l'arrière de sa moto.

Je reposai ma tête sur le dos de Hoseok en laissant mes sanglots librement se perdre dans l'air froid de Séoul.

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Fin du chapitre 31.

Je meurs...T__T

J'arrive même pas à comprendre ce que j'écris mais vous inquiétez pas xD je cesserai au bout d'un moment d'être aussi sadique avec nous ( au bout d'un moment... Certainement...)

Sinon vous allez encore vouloir me tuer mais au fait :') je ne pourrais publier la suite que jeudi soir...

Vous vous rappelez du prof dont je vous ai parlé ? Et bien j'ai un exposé à faire pour lui jeudi matin justement et j'ai encore rien foutu ( PENIS SOIT JIMIN ET SARANG POUR CA XD )So je vais m'y mettre demain pour pouvoir le présenter Jeudi matin afin d'écrire l'après midi même et poster le soir le chapitre 32 *_*

Sinon vous en pensez quoi ? un peu frustrant certes xD mais je crois potentiellement intéressant quand même xD

Éternellement vôtre,

Votre dévergondée de Hajar plus sadique que son ombre *__*

P.S : vous allez toujours bien n'est-ce pas <3 ?

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