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Chapitre XLIV : De retour

Je vois Alexis, sous sa forme de loup, étonné. Je suis sûre de savoir quelle tête il aurait sous sa forme humaine, tant je le connais bien.

Je me relève et remet mon épée dans son fourreau après avoir brièvement essuyé la lame légèrement tachée de sang.
L'expression qu'a Fabrizia mériterait d'être prise en photo et de la vendre à prix d'or ! Elle a une telle expression de haine et d'incompréhension mêlées que j'aurais beaucoup donné pour pouvoir avoir un appareil photo dans les mains juste là, maintenant.
-Comment est-ce possible ? Il n'a pas pu te rendre la mémoire juste là alors que s'est-il passé ?
Je souris.
-C'est une longue histoire...Qui dure depuis plus d'un mois. Qui dure depuis trop longtemps. Je vais y mettre fin !
Je dégaine mon épée avec un geste théâtral. Fabrizia tremble, elle a peur. Je vois Anna, derrière elle, serrer la jupe de sa mère entre ses petites mains. Elle n'a pas l'air d'avoir trop peur, contrairement à sa mère et Jeffrey, qui recule d'un pas. Bien que l'argent ne tue pas les loups-garous, à moins de toucher violemment un organe vital qu'ils mettraient trop de temps à régénérer, il les effrayait quand même car cela faisait mal, bien plus que d'ordinaire, et cette douleur perdurait encore plus vu que la plaie mettait plus de temps à guérir complètement.
-Recule, Amaryllis...me dit Jeffrey, tremblant comme une feuille sous le vent d'un ouragan naissant. N'approche pas ! Nous pouvons te battre !
-C'est toi qui m'a entraînée ! Tu sais donc mieux que personne de quoi je suis capable ! dis-je, le ton et le regard durs. Votre atout se retourne contre vous bien malgré vous.

Yegram se dresse alors devant Fabrizia, qui paraît soudainement ridiculement petite devant lui.
-Maintenant que tu as perdu ton moyen de pression sur nous, tu es faite ! Comme un rat, une ratte plus qu'une louve...
Les Primus entourent alors les trois membres des Minuit. S'ensuit alors une confrontation et une course poursuite entre les Primus et les trois membres des Minuit, que je ne suis pas totalement. Je retourne me pencher vers Alexis. Il se régénère peu à peu. Je l'aide à se relever. Il me fait comprendre qu'il veut qu'on aille dans sa chambre, celle qui lui est réversée quand il dort chez ses grands-parents. Il prend alors sa forme de loup bipède, pour ne pas altéter sa rapidité de guérison mais pour ne pas trop m'entraver dans mes mouvements. Il me suit en clopinant et en s'appuyant tour à tour sur sa patte et sur mon épaule. Debout sur ses pattes arrières, ou son unique patte en l'occurence, il est très grand, sous sa forme bipède, encore plus que sous sa forme humaine avec laquelle il me dépasse déjà d'une bonne vingtaine de centimètres.

Une fois les interminables et pénibles escaliers montés et dans la chambre, fermée à clé à la demande d'Alexis, je vais m'asseoir près de lui.
Malgré la douleur à sa jambe, il reprend sa forme humaine pour pouvoir converser normalement avec moi.
Avec la bande de tissu que je trouve dans la salle de bain, je lui fais un bandage serré.
-Je suis tellement désolée...J'ai fait ça pour ne pas éveiller les soupçons de Fabrizia. Tu as mal à cause de moi, pardon...
-Mais c'est aussi grâce à toi que je n'ai plus mal ! me sourit tendrement mon petit ami.
-Dis donc, tu n'aurais pas un peu moins de poils sur tes jambes qu'avant ?
-Arrête d'observer aussi attentivement les gens...dis-je en riant.
-Il n'y a que toi que j'observe avec autant d'attention et d'intérêt, amour...dis-je en m'asseyant sur le lit, à côté de mon petit ami retrouvé.
Il me sourit.
-Ça ne fait rien si j'ai un peu mal physiquement. Tant que je t'ai retrouvée entière, cela me convient !

Il se jette alors sur moi pour m'embrasser avec fougue. Cela fait plus d'un mois qu'il retient ses pulsions sauvages et désireuses, il est normal qu'elles finissent par ressortir un jour. Surtout avec moi aussi proche de lui...Il mordille mon cou, me marquant légèrement de la pointe de ses crocs pointus. Ses yeux jaunes brillants me fascinent...Il me regarde alors dans les miens et ne demande avec une humilité et une tristesse affligeantes de sincérité :
-Pourquoi m'as-tu menti pendant tout ce temps ?
Je baisse légèrement les yeux avant de les remonter. On ne dit pas quelque chose de sincère les yeux baissés. Ça donne une impression de fausse authenticité désagréable.
-Je ne t'ai jamais menti. Jamais. Dans aucune de mes paroles, j'ai explicitement dit que je t'avais oublié ou que je ne t'aimais pas, ou plus. J'ai toujours trouvé, ou du moins essayé de trouver, des phrases à double sens ou pouvant être mal interprétées, mais jamais je ne t'ai menti.
Alexis se plonge alors un long moment de silence. Il réfléchit. Il doit être en train de repasser toutes ces scènes dans sa tête. Puis il sourit doucement et me chatouille les côtes.
-Mais qu'est-ce que j'ai fait ? je dis en riant.
-Tu dis vrai, espèce de petite humaine ! rit-il en m'agressant de ses chatouilles affectueuses.
Puis avec un sourire bien plus tendre, il me dit :
-Ça n'a pas dû être facile de trouver de telles phrases sur le coup, non ?
-En effet...avouais-je en me remettant de ses chatouilles qu'il avait arrêtées. Mais je ne te raconte pas, pas encore, tout ce que j'au appris des Minuit lors de mon séjour là-bas !

-C'était ton but premier, n'est-ce pas ? me demande Alexis. C'est ce qui t'a poussée à nous, pas tromper mais, troubler pour entrer en toute quiétude chez eux ?
-Oui. Commence par tromper tes alliés si tu veux mieux tromper tes ennemis. J'ai juste tiré profit de la situation qu'ils m'offraient, sur un plateau, non pas d'argent, mais carrément de platine. C'était bien trop beau. Et puis, tu n'aurais pas si bien joué ta phase de déprime si tu avais été au courant, et ç'aurait mis la puce à l'oreille à Jeffrey, qui m'observait quasiment partout et en permanance...
-Tu mets en doute mes qualités d'acteur ? se révolte mon tendre, en riant avec un air de défi.
-Non, celles de bon acteur, nuance ! lui dis-je en accentuant mon ton sur l'adjectif de ma phrase avec un petit sourire en coin.

Puis soudain, il prononce la première question à laquelle je m'attendais à entendre depuis quelques minutes :
-Dis-moi...Quand exactement as-tu retrouvé la mémoire ?
Je souris un peu tristement. Je mets mes mains autour de son cou, pour lui montrer l'attachement que j'ai pour lui, un attachement et une affection que personne ne saurait imiter et que rien ne pourrait remplacer. Je lui dis avec un ton plutôt mystérieux :
-Tu as toutes les cartes entre tes mains pour répondre tout seul à cette question...

Il se mue alors dans un silence de réflexion. Il me regarde dans les yeux de ses iris jaunes flamboyantes de vie et me demande d'un souffle de voix :
-Serait-il possible que...Tu l'aies quand même retrouvée après ma morsure mais pas immédiatement ? Après que je me sois lâchement enfui en courant...
Je souris, de tous mes crocs si j'en avais.
-Non, dis-je simplement.
-Alors...Quand ?
-Tu ne t'es pas, justement, demandé pourquoi ça n'a pas marché ? Quand tu m'as si violemment marquée ?
Je le titille, je le nargue un peu. Il m'a mordue fort à ce moment-là. Non pas que je n'aie pas apprécié, loin de là, mais il y a été avec la force de l'espoir de me voir retrouver la mémoire et avec un peu de fougue quant au fait que je suis sienne, comme il est mien.
Sauf que je ne le mords pas, moi. Enfin, si, parfois, mais pour rire. Je n'ai pas de crocs et mes canines ne sont ni assez aiguisées ni assez longues pour percer sa peau...Et il ne me troue pas la peau comme dans un morceau de fromage à chaque fois qu'il me marque, n'exagérons pas non plus !
-Si, me dit-il. J'ai été détruit une seconde fois quand je me suis dit que je n'avais pas pu te sauver...Alors, que s'est-il passé ? Explique-moi. J'ai peur de connaître la vérité mais je veux savoir.
Je le regarde avec un air triste avant de lui dire :
-Je n'ai jamais perdu la mémoire...J'ai toujours eu pleinement conscience de ma réalité. Et surtout de mon amour pour toi...

Les yeux d'Alexis s'écarquillent légèrenent de surprise mais il sourit.
-À vrai dire, depuis presque le début de la semaine, je m'en doutais...Mais je n'ai jamais osé l'envisager sérieusement. Je me disais que tu...Que tu m'aimais trop pour me faire souffrir...À ce point...
Un regard peiné me vient au visage et je fais un gros câlin à mon loup à moi.
-Je suis tellement désolée, Alexis...Je suis tellement désolée. Je t'aime tellement, mais je n'ai aucune excuse, mais je ne peux que m'excuser auprès de toi. C'est toi qui as le plus souffert dans cette histoire...
Il me regarde avec une expression lucide dans les yeux.
-Mais toi aussi, n'est-ce pas ?
-Quoi donc ?
-Tu as souffert aussi...Me voir dans cet état, ne pas pouvoir faire grand-chose pour me soutenir ou me consoler...Ça a dû être des visions terribles pour toi aussi, n'est-ce pas ?
-Oui...Tu sais, James est même venu me voir pour me parler et me dire tant bien que mal que tu allais mal, malgré ma soi-disante perte de mémoire.
-Il est gentil, dit Alexis avec un sourire.
-Malgré tout, je n'ai pas tenu jusqu'à la fin...
-Oui, j'ai été tellement surpris et heureux que tu me donnes rendez-vous ! Même pour cinq minutes !
-Tant mieux, lui sourais-je avec affection.
Il me tire alors à lui. Je me retrouve assise sur ses genoux et du coup, légèrement plus haute que lui. Je lui embrasse une fois le front.
-En parlant de James...Il n'a jamais été méchant. C'est juste qu'avant, tu l'avais dans le colimateur parce que tu le considérais comme un de ces garçons parfaits, énervant et cliché.
-Oui, mais il est toujours aussi énervant pour ça ! me dit Alexis de tous ses crocs, apparents sous sa forme semi-lupine actuelle.
-Mais il est devenu plus banal, vu que tu sais ce qu'il est maintenant ! souriais-je avec un sourire de fourbe.
-En effet, me confirme mon cher petit ami.

Il me fixe de ses yeux restés jaunes depuis des minutes entières.
-Comment se fait-il que tu n'aies pas perdu la mémoire comme Gary ?
-Et bien...commençais-je. D'après ce que j'ai compris, des Minuit et de vous, c'est qu'il fallait de par le sang ou de par la salive avoir les anticorps des Primus, spécifiques, pour pouvoir contrer les effets du...Produit utilisé par les Minuit.
-Exact, confirme Alexis. C'est en tout cas ce que Xavier a trouvé.
-D'après ce que j'au entendu chez les scientifiques des Minuit, il faudrait régulièrement renouveler ces anticorps car, s'ils sont dans une personne qui n'est pas de la famille Primus, ils disparaissent au bout de deux semaines, éliminés par le corps. Tu connais bien le marquage non ?
-Mais...proteste vivement Alexis. Je ne t'avais pas marquée depuis plus d'un mois...
-Disons que...Je ne te l'ai pas vraiment ni montré ni dit...
-De quoi ?
-Tu m'as marquée peu de temps avant que ça arrive. Je n'ai pas vraiment fait attention mais en me voyant dans le miroir le matin, j'ai vu des toutes petites cicatrices. En me levant, j'ai cru que je faisais de l'anémie parce que j'ai eu de légers vertiges mais en fait, ça devait être la première fois que j'ai senti l'assimilation de tes anticorps...
Alexis reste quelques secondes bouche bée.
-Mais c'est incroyable !
-De ce que j'ai entendu, les Minuit attendaient justement que tu ne m'aies pas marquée depuis un moment, mais ils n'ont pas assez bien surveillé les cours...
-Je vois, sourit Alexis avec un air diabolique. J'avais quand même envoyé Gary à ma place en cours. Et de loin, on est vraiment quasiment pareils. C'est peut-être pour ça qu'ils se sont dit que ça n'était pas dangereux que tu ailles seule aux toilettes.
-Sûrement, dis-je.
-Est-ce de là que...Que te viens cette capacité à cicatriser plus vite ? On aurait quasiment dit des caractéristiques de lycanthrope...
Je hausse les épaules.
-Probablement, ça je ne sais pas. Mais j'ai aussi remarqué que je guérissais un peu plus vite.
Alexis s'approche soudainement alors de mon cou avec envie.
-Compte sur moi pour te marquer plus souvent...
Je ris. Il continue alors avec un ton peiné :
-Et le sang ?
Je le regarde avec interrogation.
-Le sang de la lettre...
-Ça ! ris-je nerveusement en frottant mes cheveux. Je n'ai pas eu mal, ne te fais pas souci. Ils m'ont fait une petite prise de sang et ils ont écrit avec un pinceau dur. C'était pour te faire peur et te déstabiliser, a dit Fabrizia.
-Elle a bien réussi son coup, en tout cas...
Puis il me regarde, avec un sourire jusqu'aux oreilles.
-Mais moins que toi !
-C'est gentil ! dis-je en faisant claquer un bisou sonore sur sa joue.

Alexis a ensuite un sourire triste quand il me demande :
-Je comprends bien ce qui t'a poussée à agir ainsi, l'occasion en or, sur un plateau non pas en argent mais en platine...C'est vrai que personne parmi nous aurait pu obtenir une telle opportunité. Mais pourquoi avoir pris tant de risques, juste pour cela ?
Il me serre dans ses bras fort, enfouissant son visage dans mon cou, respirant mon odeur sur ma peau. Je sens son souffle chaud et mes petits poils se dresser à ce contact.
-S'ils t'avaient percée à jour avant ? Que te serait-il arrivé ? Et si...S'il y avait eu le moindre problème, s'il t'était arrivé la moindre broutille, la moindre petite chose...Que se serait-il passé ? Et si tu n'étais plus de ce monde...
Il relève des yeux humides vers moi.
-Que serais-je devenu sans toi ?
Je mets mes deux mains sur les joues de mon cher et tendre tout en lui disant avec un sourire que je veux rassurant :
-Mais ce n'est pas le cas. Je suis là, bien vivante et en pleine possession de mes moyens !
-Oui...C'est ce qui est génial, me dit Alexis avec un sourire attendri. Mais je ne peux pas me sortir ces idées affreuses de l'esprit...S'il t'était arrivé malheur, je ne sais pas ce que j'aurais fait, ni comment j'aurais survécu...
-Mais je suis là, avec toi, en chair et en os !
-Oui...C'est ce qui est bien...
-Dis...
-Oui ?
Je déglutis avec appréhension.
-Tu m'en veux ?
-De ?
-Tu sais très bien...Tout ça. De m'être éloignée, de t'avoir induit en erreur plus ou moins volontairement...Tout ça...
-Non. Je ne t'en veux pas. Comment pourrais-je ? Tu es tout, pour moi, bien plus que ma moitié. Jamais je ne pourrais t'en vouloir.

Alexis relève subitement ses yeux vers moi, emplis d'un désir soudain et d'une ardeur contenue depuis des lustres. Il me fait basculer sur les draps sans me faire de mal avant de mettre ses mains des deux côtés de ma tête.
-Tu ne sais pas à quel point ça a été dur de retenir mes pulsions et mes ardeurs pour toi depuis plus d'un mois...
-Je peux imaginer ce que ça fait, vu que j'ai vécu la même chose, le narguais-je avec un petit sourire en coin.
Il se penche alors vers moi et parcourt de sa main mon cou et ma gorge, puis mes clavicules qu'il effleure à peine.
-Mais tu n'es pas une louve-garou emplie de pulsions sauvages...
Il m'embrasse avec fougue. Je suis contente. Heureuse. Euphorique de retrouver mon petit ami. Quand nos lèvres se séparent enfin, je le retiens par le cou avec mes deux bras croisés derrière sa nuque et lui dit avec un sourire toujours grandissant :
-Mais par contre, je suis une humaine emplie de pulsions, de désir et d'amour, pour un petit loup en particulier !
-Ton petit loup...me sourit-il. Je suis ton loup rien qu'à toi !
Je souris tendrement, heureuse, sans piper mot, avant de sentir à nouveau les lèvres d'Alexis sur les miennes, désireuses et dévorantes comme si elles voulaient avaler, faire disparaître les miennes...Je pose ma main alors sur le torse de mon amour ce qui lui fait faire un petit tremblement involontaire. Malgré la faiblesse d'intensité, je l'ai bien senti...
Je décide de jouer à ma sadique en utilisant, pour la première fois depuis bien longtemps, ses points sensibles de loup...

Je passe ma main doucement sous son pull. Je le sens alors se tendre puis quand je passe ma main sur son ventre, chaud, doux et lisse.
-Amaryllis ! souffle-t-il, comme une plainte mais seulement pour la forme, sans vraiment vouloir que je cesse mon geste.
Je caresse alors son ventre avec douceur et lenteur, pour qu'il puisse bien sentir mon contact et qu'il sente bien son désir monter.

Soudain, d'un geste imprévisible, il relâche tous ses muscles et s'étale sur moi, me faisant expirer d'un coup tout l'air présent dans mes poumons.
-Alexis ! ma plaignis-je, aussi pour la forme.
Il me sourit et articule avec lenteur :
-C'est ta punition ! De vouloir jouer avec mes points lupins érogènes !
-De vouloir te faire plaisir, c'est différent, lui sourais-je avec amour.
-Oui, ce n'est pas faux...murmure-t-il.

Alexis se met alors sur le dos, me libérant de son poids. Il prend ensuite ma main et la remets de lui-même sous son haut, sur son ventre sensible. Il met ses mains de façon à imiter un loup et me dit, comme une invitation, avec un sourire narquois mais très désireux à la fois :
-Continue, je t'en prie...

******
Tout est bien qui finit bien !
Vous pouvez vous amuser à vérifier vous-mêmes dans les chapitres précédents, Amaryllis n'a effectivement jamais menti explicitement, tout s'est joué sur l'interprétation que vous en avez faite. J'ai dû faire très attention à mes mots et peser chaque milligramme de ces derniers avant de publier les chapitres, qui sont d'ailleurs dans ceux dont je suis le plus fière vu que j'y ai vraiment réfléchi. Même les chapitres du point de vue d'Amaryllis, avec ses pensées, elle ne ment pas. Vous avez juste interprété en vous disant qu'elle n'avait plus de mémoire. Et oui, je suis sadique ! 😈🙃
Merci d'avoir lu et j'espère que vous avez aimé !

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