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Chapitre 13

Astres n'était pas simplement inconscient, il se trouvant dans un espace totalement noir, et tentait d'en sortir, d'appeler à l'aide. Il n'entendait rien du monde extérieur malheureusement, le jeune androgyne savait juste qu'il était dans de beaux draps. Il n'aurait pas su dire ou il se trouvait à cet instant. Car l'endroit lui était totalement inconnu, à lui, mais aussi aux reste du monde vivant.
Tout à coup, une sorte de bulle se forma autour de lui, l'enveloppant dans une douce et chaude lumière argentée.
Un être tout de noir fait, les yeux rouge perçant se trouvait devant lui. Ils faisaient à peu près la même taille. La créature s'inclina vers lui, laissant l'hybride reculer par peur, qu'allait lui faire cet inconnu ? " Bonjour maître Astres. J'attendais avec patience votre retour parmi nous. l'inquiétude s'est emparé de vos parents à l'annonce de votre perte soudaine de mémoire. " Le plus jeune sembla encore plus apeuré qu'avant, n'osant bouger autrement que par de léger tremblements. La crainte se saisissant peu à peu de son corps. Allait il mourir ici et maintenant ? " Q-qui... Qui êtes vous ? " Fut la seule chose qu'il parvint à prononcer. La créature se redressa, un air surpris dans ses deux yeux rouge sang, puis un soupire las se fit entendre " Je vois, vous ne vous souvenez pas de qui vous êtes monsieur. C'est encore à moi de tout faire... Quelle bande d'incapable. "
Le décor changea rapidement, ils étaient maintenant dans l'espace de chaos ou il avait rencontré son petit ami, son visage lui revint soudain en mémoire. " Ciel... " " Monsieur Ciel est donc déjà venu vous voir, je vais vous aider à vous souvenir de qui vous êtes vraiment monsieur. C'est très important pour que la suite des événements se passe sans encombre pour tout les camps." La main posé sur sa poitrine, sentait son organe vital battre à tout rompre s'en était presque douloureux tellement les battement étaient rapide et puissant. Les pulsations le torturaient presque.
Il tentait de respirait doucement, alors que ses souvenirs revenaient petit à petit à sa mémoire. A commencer par son véritable père. Pourquoi il arrivait à rentrer dans le domaine du chaos sans problème, les moments qu'il avait passé avec Ciel.
Cette partie le fit sourire. Oui, il le connaissait depuis beaucoup plus longtemps qu'il ne le pensait. Le jeune homme se souvenait de la douceur de ses étreintes, la chaleur de sa peau, la douceur de ses lèvres. La joie qu'il avait en entendant son rire. Mais, surtout cet éclat, l'amour. Les yeux de Ciel, ce qui lui tant manqué depuis des années, cela paraissait une éternité qu'il ne les avait regardé ainsi.
Le jeune homme se souvenait de leur rencontre, de cette bel soirée à la bibliothèque, ou son bel amant lui avait demandé de l'aide pour trouver un livre dans cette immensité de pages couverte d'encre sèche. Le lendemain, il l'avait vue tuer quelques hommes qui étaient venu le draguer de façon très lourde sur le moment. Le sourire qu'il avait arborait avait fait bondir son cœur dans sa poitrine.
Voir ce bel inconnu le défendre, voir ses vêtements couvert de sang mouler ses muscles dans sa chemises auparavant immaculée de blanc lui faisait perdre la tête. Et son expression, ah dieu cette expression qui l'avait fait fondre en un regard. Et malgré tout le sang sur lui, Ciel lui avait souris, demandant s'il n'avait rien, avant de le raccompagné chez lui, s'assurant que personne n'allait le suivre ou tenter quoi que ce soit envers sa personne.
Et de fil en aiguilles ils avaient fait connaissance, se rapprochant petit à petit, faisant évoluer leurs relations, pour finalement devenir un couple.
Ce jour la, Ciel l'avait invité à aller voir un feux d'artifice sur le lac. le plus vieux avait volé une barque, les emmenant dans un coin peu fréquenté, mais peu accessible, sous un saule pleureur, admirant les explosions qui coloraient le paysage étoilé.
Ciel lui prit la main, souriant " ça te plaît ? " " Oui merci ! " Son bras passa délicatement sur ses hanches, le rapprochant. Il avait posé ses lèvres avec beaucoup de douceur sur son front. " Tu sais, ça fait un moment que ça me perturbe, tu me perturbe. Et j'ai enfin compris pourquoi je n'arrivais plus à me passer de toi, de ton doux visage, de tes rires, de tes sourires, même juste de ta présence. je t'aime Astres " il l'avait regardé droit dans les yeux " Tu veux bien sortir avec moi ? " Il avait été si rouge à ce moment. N'osant répondre dans un premier temps, une teinte pourpre s'emparant de ses joues crème. " J-je... Oui, bien sur que je... que je veux sortir avec toi " Sans en attendre, plus, Ciel avait posé une main sur sa joue, l'embrassant avec énormément de tendresse par la suite, ses lèvres, douce et chaude étaient scellées avec les siennes dans une rencontre des plus agréable. Le baiser n'était pas du tout intrusif, à tout moment il avait la possibilité de stoppé le contact. Et c'est ce qui avait achevé sa raison fuyante.
Astres avait toujours eu besoin d'un soutien mental, d'un pilier sur lequel se reposer, et l'homme aux cheveux de feu avait été parfait dans ce rôle. Lui apportant toujours son aide et ses conseils, peu importe ses décisions, Ciel restait toujours derrière lui, veillant à son bien être. L'androgyne aimait tant se blottir contre lui.
Tout les moments de joie de sa vie lui revenaient en mémoire, mais il n'y avait pas que du bonheur...
Astres revoyait aussi les pires moment de sa vie, tout ces soirs ou il avait prit cette lame, faisant couler le sang sur ses bras de porcelaine. De ces soirées ou ice bout de métal avait été sa meilleure amie, tranchant avec précision sa chair, laissant des perles écarlates couler le long de ses bras pour venir tâcher le lavabo, le sang se mêlant peu à peu à l'eau. Ciel le retrouvait pleurant dans un coin entouré de marres rouge lui appartenant, son sang ne faisait qu'un tour avant qu'il ne se précipite pour venir le prendre dans ses bras, pour le réconforter. Mais, Astres adorait sentir le froid de la lame contre ses bras, appréciait la douce torture qu'il s'infligeait chaque jours de sa misérable existence. Le jeune homme aimait voir le sang couler paresseusement sur sa peau, la tâchant. C'était tout simplement grisant comme sensation. Les flammes qu'il avait posé sur son corps, espérant ressentir de la douleur. Sentir les flammes mordre sa chair et la marquer, marquer son désespoir sur sa peau.
Toutes ces fois ou il avait été prit pour cible, subissant les pires souffrances existante.
Les coup puissant donné par les fouets, lacèrent la peau pâle de son dos. Marquant sa chair à vie, mais aussi des cris de douleur s'échappant de ses lèvres, ces cris appelant tous à l'aide en vain.
Il se souvenait de ces fois, toutes ces fois ou il fut battu à mort. Les coups de pieds dans le ventre, dans ses côtes... Tout ça dans le seul, et unique but d'attirer son paternelle dans ce monde.
Les martinets, lacérant sa chair de toutes parts, claquant sur son dos avec force. Coup de poings classique bien entendu, provoquant bleu et hématomes. Des d'épées, ou poignards et autres objets tranchant, taillant des marques différentes le long de sa peau, parfois des signes, d'autres fois des noms.
Mais, il y avait aussi ses marques, ces marques la ou personnes n'avait pensée à chercher. Ces soirs, ou ces hommes le tenaient, alors que les larmes coulaient sur ses joues, ils lui ouvraient la peau, écartaient les muscles alors qu'il hurlait, criait sa douleur pendant qu'ils gravaient ses os de leurs noms, de leurs pêchés.
De ce jour ou son bourreau le plus sadique était entré avec une tige en fer fumante, la marque d'un scorpion en son bout, le jeune homme avait beau avoir hurlé, s'être débattu de toutes ses forces, ça n'avait pas suffit... L'homme l'avait brûlé au fer rouge, à la jonction entre son coup et son épaule, se rapprochant tout de même plus de sa gorge, pour plus de visibilité sur la marque prouvant son appartenance.
Oui, ce mince et frêle corps avait énormément subit, peut être même trop comparé à son âge, le temps laisse malheureusement beaucoup de cicatrices.
Astres avait aussi en mémoire le sourire de ses bourreaux, de la joie qu'ils ressentaient à l'entendre crier de douleur, à voir sa chair tomber en lambeau entre leurs mains experte dans cette art. Les rires qu'il entendait à mi chemin entre la conscience et l'inconscience.
Mais ce qui l'avait le plus traumatisé, c'était le souvenir de ces hommes, de leurs mains qui passaient sur son corps. Le plus jeune avait encore les stigmates de cette époque ou il avait été touché par ses ravisseurs. De leurs voix le hantant jours et nuits, durant sa captivité. De cette cellule sombre, avec un seul lit de paille, pour seul vêtement un vieux t-shirt déchiré. La peur mordant sa chair tout comme le froid passant par les barreaux de sa cage.
De ces fois ou de l'aphrodisiaque placé dans sa nourriture, lui faisant perdre la tête en pleine nuit pendant que des hommes le regardaient se tordre sur lui même, se touchant rien qu'à la vue de ses joues rougit...
Mais aussi de la douleur, à chaque fois qu'un de ces hommes le pénétrait de force, griffant les parties accessible de sa chair. Parfois, ils étaient à plusieurs pour le prendre en même temps dans ses parties intimes. Son anneau de chair détruit par ces monstres.
Des séances ou ils l'humiliaient devant tout leurs congénères, lui faisant porter une laisse avec des oreilles de chiens et une queue dans son arrière train. Le déshabillaient sans mal alors qu'il hurlait, les larmes aux yeux et se débattant, priant pour qu'on le sorte de la, que quelqu'un lui vienne en aide. Même les importantes doses d'aphrodisiaque ne suffisaient pas toujours à le soumettre à leurs désirs pervers. Astres se souvenait de toutes ces fois ou il pleurait, les suppliants de ne pas le faire, de lui laisser au moins ça, lui laisser sa virginité.
Il ne pouvait exister pire torture sur terre, enfermé dans une cage tel un animal, observé tout le jours entre les barreaux de cette prison. Les mots tournaient dans sa tête encore et encore, le suivant même dans ses pires cauchemars, ils arrivaient à le rendre insomniaque juste avec des mots, mais les actes avaient beaucoup participé à sa peur...
Astres se souvenait de tout maintenant, mais aussi de son père, de son vrai père. Du chaos oui, son paternelle est le mal incarné. Il avait tant prit soin de lui, le dorlotant comme le plus précieux des joyaux. Toujours à le surprotéger, en raison de sa constitution, de sa santé fragile, de son physique, atypique.
Le meilleur de tout les père pour un jeune homme dans sa situation. Nikolai était vraiment le père parfait à ses yeux d'enfant, autrefois innocent Nikolai était si gentil avec lui. L'entité lui laissait beaucoup de liberté. Astres pouvait sortir sans demander quoi que ce soit, et dés son plu jeune âge. Sa liberté, dans le domaine chaotique n'avait jamais été restreinte, il pouvait faire ce qu'il voulait, ça ne causerait de tord à personne ici.
Sa mère aussi lui revenait en mémoire. Elle s'appelait Claire, et représentait l'inverse de son géniteur. Claire était l'ordre en personne, une jeune femme douce et agréable. Claire Elle lui passait tout ses caprices, et adorait le coiffer dés qu'elle en avait l'occasion. Passant avec énormément de bienveillance ses doigts fin dans ses doux cheveux séraphin, les caressant alors qu'elle leur donnait forme.
Tout n'avait pourtant pas été entièrement noir ou blanc, Astres avait eu plus de malheur que de bonheur en somme, mais la joie qui restait encrée dans son esprit valait bien son lot de souffrance pour tout une vie.
Son âge aussi avait été modifié par son passage dans le monde d'Evergardeen. Dans son monde d'origine il avait normalement deux siècles, à quelques broutilles près. Mais paraissait en avoir tout juste seize.
" C-c'est ma mémoire... " Le plus jeune se recula de la masse sombre, ses instincts reprenant le dessus sur sa raison, comme tout lui était revenu, il se souvenait aussi de sa peur que lui inspirait le reste du monde. Sa peur était revenu, il avait vraiment besoin de Ciel, ici et maintenant. La forme noir soupira, ses yeux disparaissant pour réapparaître ensuite " je vais vous laisser monsieur. Monseigneur Ciel vous attend dans l'autre monde. Votre père était très inquiet pour vous. Allez le voir si vous en avez le temps "
Il n'eut pas de réponse de la part de l'androgyne aux cheveux d'argent, et disparu après un rapide salut formelle, le laissant à ses pensées et ses questions.
Astres tentait de reprendre contenance, un miroir apparaissant devant lui. Le jeune homme voyait son visage toujours aussi pâle, sa main droite remontant pour venir toucher sa joue, puis les mèches cachant son œil. Il la releva doucement, remontant sa paupière pour retrouver une pupille toujours aussi noir, toujours habité. Et le jeune homme sourit en voyant ça. Il avait sa petite particularité, comme autre fois. " Tu ne m'avais jamais quitté au final. " il rit un peu " Je n'ai plus besoin de le cacher, ça n'aurait pas de sens "
Astres regarda une dernière fois son environnement, un sourire en coin collé au visage. Cet espace était très vaste, mais si futile. Mon éphémère dans une galaxie d'autres univers. " On devrait bien s'amuser là haut. " Puis tout disparu, il s'est retrouvé dans le monde matériel à nouveau, ouvrant doucement les yeux en entendant quelqu'un l'appeler. C'était d'abord très flou, sa vision pas encore adapté à toute cette lumière. Puis tout est allé mieux.

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