Chào các bạn! Vì nhiều lý do từ nay Truyen2U chính thức đổi tên là Truyen247.Pro. Mong các bạn tiếp tục ủng hộ truy cập tên miền mới này nhé! Mãi yêu... ♥

Kidnappée ?? ('⊙ω⊙')

Qu'est-ce qui m'est arrivée ? J'ai l'impression d'avoir été écrasée par un chariot. C'est comme si je revenais de loin. J'ai la sensation d'être portée par quelqu'un... D'ailleurs il me semble entendre des voix.

Pourquoi est-ce à moi de la porter ?...

Suis-je entrain de perdre la tête ? Je tente bien d'ouvrir mes yeux mais on dirait que mes paupières pèsent une tonne. J'y parviens au bout de plusieurs essais. Je ne distingue rien à part qu'il fait sombre... Enfin non. En relevant la tête, je peux appercevoir des faisceaux de lumière orange. On dirait que quelqu'un devant éclaire les lieux à l'aide d'une lampe à huile.

Ensuite je fais le tour des lieux du regard et comprends que nous avançons dans un long tunnel qui semble ne pas avoir de fin. La lampe est la seule source de lumière. Je constate aussi qu'effectivement quelqu'un me porte sur son épaule tel un sac de patates. Cette odeur... On dirait du poisson pourri. Elle est si forte que je sens ma conscience s'évanouir. Qu'est-ce qui a bien pu se passer ?

Je sombre dans l'inconscient, incapable de distinguer le réel de l'imaginaire. Des images me reviennent mais tout est encore confus. Mes camarades, mes co-équipiers, Que sont-ils devenus ? Allez, concentre-toi ! Toutes les réponses sont en moi... Ah voilà ! Ça me revient.

Nous étions enfin arrivés au village où devait se passer notre mission. Il nous avait fallu trois jours de marche en plus du transport en bateau. Dès notre arrivée, nous avons compris que quelque chose clochait. Non seulement l'état des lieux laissait à penser qu'ils avaient été ravagés, mais en plus il n'y avait pas âme qui vivait dans le village. Nous l'avons parcouru de long en large sans succès. Nous avons finalement décidé de chercher hors du village. Byakuya, grâce à son Byakugan,  fut celui qui trouva leur cachette. Les villageois s'étaient réfugiés dans une grotte. Il avait fallu du temps pour leur faire comprendre que nous venions à leur aide.

Lorsqu'ils se sentirent plus confiants, ils nous expliquèrent qu'un groupe de mécréants s'était emparé de la mine d'or. Les villageois avaient bien tenté de résister mais face à des gens entraînés au combat, ils n'avaient eu aucune chance. Beaucoup d'entre eux y avaient laissé la vie. Pour éviter d'essuyer plus de perte, ils se réfugièrent dans cette grotte pas très loin de leur village. Au fond, ils espéraient que quelqu'un vienne à leur secours. Suite à ces brèves explications, notre sensei en avait déduit qu'il fallait faire quelque chose. Nous avons pris le temps de concocter un plan sans faille avant de se jeter dans la gueule du loup.

Le jour J arriva. Avant cela, nous avions espionné les alentours du village et de la mine. Nous passâmes à l'attaque de façon furtive. Nous nous étions débarrassés de certains de leur membres qui gardaient l'entrée et étions prêts à entrer dans la mine. Seulement au moment même où nous avons franchis cette ouverture, nous sommes tombés nez-à-nez avec des ninjas. Leurs bandeaux indiquaient qu'ils venaient de Kiri. Pas étonnant vue que c'est leur pays. Ils étaient au nombre de trois à ce moment là.

Ils s'étaient occupés du problème et avaient fait prisonier le chef des bandits. Ils allaient le ramener à leur Mizukagé et nous étions prêts à les laisser partir. Il ne restait plus qu'à convaincre les villageois de revenir chez eux puis d'arranger le problème de gestion de la mine. Notre sensei leur en parla mais ces gros nigauds, super imbus de leur personne, nous ordonnèrent de quitter les lieux. Ils me répugnaient, en plus de sentir le poisson pourri. Nous avions refusés et étions prêts à nous battre s'il le fallait. Mais aussi à faire des concessions pour ne pas créer plus de problèmes. Déjà que les relations entre nos deux villages sont tendues...

Attendez une minute ! Le poisson pourri ? Comme ceux qui m'emmènent Dieu seul sait où ? Non, c'est impossible... Quoi que pas totalement. Mais alors pourquoi ? Le reste de mes souvenirs est flou et j'ai mal à la tête. Il va falloir que je fasse une pause avant de faire une nouvelle tentative pour me rappeler de ce qui nous est arrivé.

J'ai vraiment un mauvais, très mauvais pressentiment. Je rouvre les yeux, mes paupières toujours aussi lourdes, pour découvrir une salle sombre, très peu éclairée. Il y'a autour de moi les trois ninjas de Kiri. Je ne distingue pas bien leur visage mais les armes qu'ils possèdent sont impressionnantes même dans le noir. Il y'a aussi cette aura mauvaise qui fait trembler mes tripes. On dirait qu'un énorme serpent nous observe, tapis dans le noir. Je suis solidement attachée à une chaise. Jusqu'à présent je n'ai pu saisir que des bribes de conversation. Pourquoi m'avoir emmenée ici ?

- Enfin tu te réveilles ! s'exclame l'homme poisson à ma droite.

Je dis homme poisson mais je devrais plutôt dire homme requin. Ils ont tous des dents pointus et acérés comme ceux de ces monstres aquatiques. Celui qui s'adresse à moi est grand et mince.

- Tu te demande sûrement pourquoi nous t'avons amenée ici, je me trompe ? demande-t-il après quelques secondes de silence. Pauvre petite chose.

J'aimerais bien leur montrer ma façon de voir les choses en leur enfilant des coups dans la mâchoire mais je peux pas. J'ai l'impression qu'on m'a empoisonnée car mes muscles ne m'obéissent plus.

- Tu ne peux pas parler ? il laisse s'écouler du temps avant de poursuivre : J'y suis peut-être aller un peu fort. Mais c'est de ta faute aussi, à balancer des boules de feu à tout va !

- Ça suffit Kushimaru ! l'interrompit un de ses congénères.

Il porte une énorme épée dans son dos. Il ressemble plus que les autres à un requin celui-là. Alors comme ça on se serait battu ? Ça explique pourquoi j'ai mal partout ainsi que mon chakra en quantité insuffisante pour utiliser mon sharingan. Soudain, La porte derrière eux s'ouvre, laissant passer un homme recouvert d'une combinaison blanche et d'un masque qui lui cache le visage.

- Ça va commencer. Nous ferions mieux de nous en aller. déclare l'homme requin face à moi.

- T'es sur, Kisamé ? On devrait rester juste au cas où ça dégénère, suggère la seule femme du groupe.

L'homme requin dénommé Kisamé se gratte l'arrière du crâne avant de poser un regard blafard sur moi. Plus une moue dédaigneuse et vous obtenez le parfait mépris.

- Ce n'est qu'un petit insecte. Pas de quoi s'inquiéter. Kushimaru, tu restes la surveiller. Tes techniques d'immobilisation s'avèreront plus utiles. lance-t-il en tournant les talons.

Un petit insecte ? C'est bien beau de dire ça alors que vous êtes trois contre moi toute seule.

- Kisamé Hoshigaki, tu es l'être le plus vile que je connaisse, affirme la femme.

Mon cerveau tilt sur un mot ; Ou plutôt un nom.

- "Hoshigaki"... murmurai-je. Seiji... Pourquoi... tentai-je.

- C'est elle qui vient de parler ? sursaute le maigrichon. Tu n'es pas complètement inconsciente alors ?!

Tout à coup, une douleur vive se déclenche au niveau de mes tempes. C'est horrible, comme si des aiguilles me transperçaient la tête. Je gigote dans tous les sens pour essayer de me soulager. Des souvenirs horribles remontent en surface. Ça fait mal... Il y'avait tout ce sang... Et Seiji... Byakuya Puis Mikya sensei... Pourquoi ? Une larme vient un long sillon sur mon visage.

- Dépêchez-vous de faire votre boulot ! Ordonne Kisamé au type en combinaison. Le reste on s'en charge.

J'aperçois ce type s'approcher de moi, Un plateau plein d'instruments en main. De ce dernier, il saisit une énorme pince en métal. Que compte-t-il faire avec ça ?

- Restez calme. Ça va faire un peu mal au début puis vous n'allez plus rien ressentir, me prévient-il.

Quoi ?

Il approche dangereusement cette pince de mon... Oeil ?! Il compte vraiment faire ce que je crois qu'il veut faire ?

M'arracher l'oeil ?

Je gigote encore plus pour l'en empêcher. Les liens qui me clouent à la chaise m'empêchent vraiment de m'en fuir. On dirait qu'un sort les lie. En attendant, La pince se rapproche dangereusement. Soudain, je sens comme un feu puissant jaillir derrière mes pupilles. Presqu'au même instant, une flamme noire s'échappe de mon oeil et embrase cet homme. Il est alors projeté au sol, hurlant et jurant par tous les noms. Les flammes ne cessent de le consumer. Les autres mettent quelques instant à réagir. Deux d'entre eux utilisent des techniques suiton pour les éteindre. L'autre, Kisamé, se rapproche et les arrête.

- C'est inutile, dit-il. Ces flammes ne s'éteindront pas comme ça. Seul celui qui les a lancé peut les arrêter.

- Qu'est-ce que c'est ? interrogea la femme.

- C'est l'amaterasu, La lumière céleste, souffla-t-il presque admiratif.

- Comment ? Il faut posséder le mangyékô pour utiliser l'amaterasu. Aucun Uchiwa ne les a.

C'est impossible ! Mon sharingan n'a pas dépassé les trois tomoe, je le sais. Je ne possède pas le mangyeko, c'est impossible. Ce sont des yeux légendaires. Personne ne les possède, c'est une utopie. Et quand je dis personne, c'est Personne... Enfin à ma connaissance. Mais quand et comment l'aurais-je activé ?

*********

Oui, je sais. C'est horrible de s'arrêter en si bon chemin. Mais je vous laisse souffler et réfléchir à la suite.

Et euh... Je risque de ne plus publier d'ici deux semaines, pendant un mois. Je vais me rendre dans un village assez reculé et je doute qu'il y'ait du réseau là-bas.

Bon, voilà. J'espère que ce chapitre vous a plu. À bientôt.

*Note de l'auteur (2022/11/13) : après avoir relu ce chapitre, je me demande comment un ninja de Kiri peut être au courant de l'existence de cette technique... Pourtant on le sait, même les Uchiwa l'ont classé comme une légende. Je me demande si je dois modifier ça.

Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro