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VI. Sixième Noël.

VI. Sixième Noël

- Qu'est-ce que tu fais?

Manon s'empourpre d'une jolie teinte rosée. Cette gamine est extraordinaire.

- Rien, me répond-elle timidement.

- Dans ce cas, je peux rester te regarder?

Avant que je rentre dans la pièce, elle effectuait un enchaînement de danse classique majestueux. Elle n'aime pas qu'on le lui dise, mais elle est une enfant très jolie. Ses pommettes hautes lui confèrent une élégance indéniable. Ses cils fournis et foncés contrastent avec ses yeux clairs et sa chevelure vénitienne. Quand je l'ai connu elle n'avait que trois ans, ne parlait presque pas et depuis j'ai du mal à la voir grandir. Peut-être parce qu'elle incarne toujours cette douceur enfantine. Petite elle avait un regard profondément triste mais la profondeur de cette lueur s'est atténuée pour ne plus laisser apparaître qu'une étincelle. 

- Je ne suis pas vraiment au point. Ce n'est pas une bonne idée.

Je lève les yeux au ciel. Les filles de cette famille sont exaspérantes, un brin de confiance en elles ne leur ferai aucun mal.

- Dis-moi, tu ne ferais pas parente avec Eléonor par hasard?

Ses lèvres s'étirent dans un sourire sincère.

- Justement, j'aimerai que ce soit parfait. Tu crois qu'elle aimera?

Manon est une enfant très mature. Nous pourrions penser que les choses seraient rendues plus facile, mais ce n'est pas le cas, son éducation est beaucoup plus complexe qu'avec les autres enfants. Inconsciemment elle demande beaucoup d'énergie. Mais j'ai toujours pris un grand plaisir à lui apporter mon aide de la plus juste des façons afin qu'elle trouve son équilibre. Eléonor est son mentor, sa force et son exemple. De ce fait, elle place la barre très haut pour qu'Elé soit fière d'elle. Vraiment très haut, beaucoup trop haut. Jamais Elé ne sera déçue par cette enfant, quoi qu'elle fasse, quoi qu'elle entreprenne.

Sans rien dire, je me place derrière le piano. Nous avons récemment aménagé un espace afin de pouvoir jouer, chanter et danser ensemble. La pièce était destinée à accueillir un bébé mais le projet n'aboutira malheureusement pas. Non sans un pincement au cœur nous avons décidé de mettre à profit ses mètres carrés inutiles. Mes doigts courent sur les touches blanches puis sur les noirs.

- J'en suis persuadé. Mais je ne peux pas en être certain si tu ne me montres pas.

Elle sourit et j'entame le morceau qu'elle écoutait sur un poste avant que j'arrive. Cela fait quelques semaines qu'elle répète une partie du ballet du Lac des cygnes. Lorsqu'elle est à l'école, je m'entraîne moi aussi, loin d'être un grand virtuose, je voulais pouvoir lui faire plaisir en jouant, aussi bien que ce soit possible, le morceau écrit par le fameux Tchaïkovski.

Lorsqu'elle comprend que je maitrise son sourire s'élargi. Je n'y connais rien en danse classique mais il faut être aveugle pour ne pas voir qu'elle a du talent. Comme Elé cette gamine sait endurer la souffrance et persévère. Obnubilé j'arrête de pianoter. C'est un spectacle saisissant. Elle est tellement dans son élément qu'elle enchaine les pas sans se rendre compte que je ne joue plus, car la musique est en elle, elle la vie. Essoufflée elle s'arrête, je la regarde émerveillé.

- Alors? Dis-moi maintenant? Tu crois que je suis prête pour l'audition? Et tu penses qu'Elé aimera ?

- Demande lui.

Mon regard se porte sur l'entrebâillement de le porte où se trouve Elé depuis le quasi début des pas de Manon. Manon semble gênée mais Eléonor s'approche d'elle, des étoiles pleins les yeux. Elle se baisse un peu mais serre la petite dans ses bras et lui murmure des choses qui font rayonner l'enfant de bonheur. Il n'y a aucun doute, ma femme sait y faire avec les gosses. Je trouve ça cruel que nous puissions pas en avoir, chaque jour de ma vie, mais j'accepte.

Elle aussi, plus difficilement, puisqu'elle se sent responsable et fautive. Moi, je l'aime, alors je m'en fous. Généralement nous n'en parlons pas, c'est un tabou, mais lors de dispute ce problème ressurgi en arrière-plan. Comme un mal être impossible à éradiquer. À chaque fois, impuissante, Eléonor fond en larme. Je la rassure, elle me rassure puis la dispute s'arrête et tout va mieux jusqu'à la prochaine. Ces disputes sont rares mais elles nous font du bien, elles permettent de crever l'abcès, de nous rapprocher.

Elé demande à l'enfant de se changer pour passer le réveillon chez Martine et Pierre. Lorsque la petite quitte la pièce Elé s'avance vers moi, j'accompagne ses pas de la célèbre musique de Star Wars, The impérial march.

Elle éclate de rire. Je me dis que c'est pour ça que je vis, pour ça que je me lève tous les jours, pour ça que j'affronte l'horreur et l'inhumanité de notre monde. Pour elle. Pour la rendre heureuse.

Elle dépose un baisé rapide sur mes lèvres puis m'empêche de continuer à faire le con avec mon piano.

- J'ai fait ma liste au père-Noël ! déclare-t-elle de façon solennelle.

- Ce n'est plus de ton âge vielle peau.

Évidemment elle sait que je la taquine et ses yeux sont rieurs. J'écarte un peu le grand tabouret sur lequel je suis assis et guide Elé par les hanches pour qu'elle prenne place entre mes jambes.

- Justement! J'aimerai une potion magique pour que cette bande de sales gosses arrête immédiatement de grandir. Et nous de vieillir, par la même occasion.

- Arrête de lire Peter-Pan ma belle, je n'ai pas envie de te rendre visite à l'asile.

Elle me tire la langue. Même si la conversation semble être dérisoire, elle ne l'ai pas vraiment.

- Tu as vraiment envie de renoncer à ça?

- Oui, ils vont trop vite pour moi. Beaucoup trop vite. Ça ne me plait pas, j'aimerai qu'ils restent comme ils sont, là maintenant, pour toujours.

- Tu oublis l'essentiel mon amour.

Elle me sourit.

- Et bien, rappelle-le moi, me répond-elle espiègle.

- Tu oublis tout ce que ça apporte de les voir grandir, évoluer, progresser. Tu te sens capable de renoncer à rencontrer la copine de Tom? De ne pas voir Lucas conduire ta voiture? De ne pas savoir si la voie qu'Alice a choisi est la bonne? Si Zélie gagnera son concours de dessin au collège? De connaître les résultats de l'audition de Manon dans quelques jours? Ou encore d'aider Arthur à apprendre à lire? Les regarder se construire, subir des échecs et les voir se relever malgré tout je pense que c'est ça l'essentiel. La vie n'est pas figée. Elle évolue, tu évolues, et eux aussi. On grandi. Pour moi, c'est la chose la plus extraordinaire dans la vie, c'est la vie tout simplement.

J'ai mis peut-être un peu trop de passion dans mon discours car Eléonor me regarde avec des yeux de cochon d'Inde.

- Je t'ai déjà dit que je t'aimais? demande-t-elle.

- Pas à ma connaissance non, répondis-je ironiquement.

- Alors dans ce cas, j'ai un secret à te révéler.

Elle s'assoit sur la banc, près de moi. Sa main écarte doucement les cheveux devant mon oreille et elle approche sa bouche de celle-ci.

- Je t'aime mais ne le répète à personne, s'amuse-t-elle.

Sa bonne humeur est contagieuse. Le bonheur on décide d'y avoir le droit et nous avons choisi de le vivre.

- Désolé mais une information d'une telle importance doit être reléguée au plus vite. C'est mon travail de journaliste après tout.

Je me relève du banc et passe la tête dans l'entrebâillement de la porte.

- Hey les gars! Bonne nouvelle ! Eléonor m'aime ! Crié-je pour que tout le monde m'entend dans la maison.

- On le savais déjà ! me rembarrent-ils.

Je ne me sens pas ridicule, j'aime cette ambiance chez nous, insouciante.

- Tu es prête?

- Pas tout à fait, non. Il faut que je t'offre mon cadeau.

- Il est où? dis-je alerte comme un gamin.

Elle me regarde malicieuse et je crains le pire. Quand Elé décide de jouer elle n'y va pas de main morte.

- Sur moi, répond t-elle avec une espièglerie intéressante.

- Sur toi? Vraiment?

Je me mord la lèvre en imaginant ce que ça peut être.

- Je t'ai déjà dit de ne plus faire ça, t'es beaucoup trop craquant, râle-t-elle.

- Oups.

Elle se relève est j'attrape ses hanches pour la plaquer contre moi. Ses cheveux sont plus courts qu'avant ce qui lui va à ravir.

- Il est où mon cadeau?

Un de ses baisers rapide atterri sur ma bouche avant de reculer d'un pas. Elle écarte les bras m'invitant à fouiller par moi-même.

- Cherche, dit-elle un sourire stupéfiant sur le visage.

Je prends mon temps en touchant son corps. Si elle veut jouer à ça, moi aussi.

- Tu veux un indice? Parce que tu es vraiment trop lent, me susurre-t-elle.

- Ça ira.

Je passe mes mains sous son chemisier et je comprends rapidement qu'elle forme prendra mon cadeau.

- Je crois que je l'ai trouvé. Mais ce n'est pas juste de m'offrir ça alors que tu sais très bien que je vais devoir attendre avant de pouvoir en jouir pleinement. Tu m'offrirais une voiture télécommandée sans les piles ça serait la même chose.

Mes mains parcourent la fine dentelle de son bustier. Je visualise très bien le moment où son chemiser volera. Je serais subjugué mais ne me retiendrais pas longtemps.

- Je voulais te laisser du temps pour que tu saches vraiment ce que tu veux en faire.

- Pas besoin d'y réfléchir.

Je la soulève et elle émet un cri de surprise. Je referme le clappé du piano et la dépose dessus pour lui offrir un baiser des plus enflammés. Je sens sa respiration accélérer. Puis j'arrête alors qu'elle ne demande que de pouvoir continuer.

- Je vois que je ne suis plus le seul à attendre maintenant.

Je souris satisfait et attrape sa main afin de la guider hors de cette pièce et rejoindre notre famille. Je crois que c'est un exploit, tout le monde est prêt et à l'heure. Je ne sais pas pourquoi ils se sont tous préparés chez nous. Une sorte de tradition, du moins un truc qui va devenir une tradition.

Noël et les cadeaux n'ont pas d'importances, ce qui compte réellement c'est que nous soyons tous réunis. Marguerite a enfilé sa robe "du dimanche" de vielle mamie, les motifs sont dégueulasses mais ça lui va beaucoup mieux qu'à moi. Je souris en me souvenant de la soirée déguisée que Cléa et Damien ont organisé. J'avais enfilé une de ses robes et j'avais vraiment l'air d'un con. Une photo a immortalisé mon ridicule et elle trône sur le mur du salon au côté d'un pêle-mêle de centaines d'autres clichés.

Diminuée, c'est Lucas qui, cette fois, lui donne le bras afin de l'aider à se déplacer. Lucas travaille dans un restaurant et s'y plait. Alice a décidé d'étudier à l'université. C'est là-bas que ma vie a changé. Je suis convaincu que d'une manière ou d'une autre Elé et moi étions destinés à nous retrouver sur le même chemin. J'espère qu'Alice trouvera l'amour, mais pas tout de suite. Elle est trop jeune, merde!

D'ailleurs Patrick partage mon avis. Il a raté quelques années de la vie de ses enfants mais il se rattrape chaque jour. Je peux affirmer qu'il est redevenu un bon père. Damien le sera lui aussi, Cléa va bientôt exploser. Je les envie un peu mais je suis content pour eux. Eléonor exige de pouvoir garder le futur bébé quelques heures, de temps en temps, alors qu'elle ne sait même pas s'il sera chiant ou sage.

Nous prenons place dans la voiture. Arthur s'assoit sur le siège arrière avec Zélie et Manon, il s'amuse a essayé de lire les panneaux et Zélie le reprend pour l'aider. Puisqu'ils ne font pas attention à nous je décide d'aborder un sujet assez tendu avec Eléonor au volant.

- Mon père a appelé ce matin, tu dormais.

- Qu'est-ce qu'il voulait?

- Comme à chaque fois. Que je me pointe dans leurs repas de famille à la con. Bien sûr, il n'a invité que moi.

- Même mariés, je fais trop tâche dans le paysage, rigole-t-elle.

- Ça me fait pas rire bébé. Je le méprise et il n'arrange rien en faisant ça. Il me dit qu'il veut que les choses changent et l'instant d'après il me rappel à quel point c'est un connard.

Sa main libre attrape la mienne posée sur ma cuisse, elle l'apporte à ses lèvres et l'embrasse.

- Je n'aime pas sa façon de t atteindre. Même maintenant, il arrive encore à te faire mal. J'aimerai tellement que tu arrêtes d'espérer qu'il change comme ta mère.

- Tu as raison. Mais c'est plus facile à dire qu'à faire.

- Je sais. Tu n'as pas besoin de lui.

- Exactement, ma famille c'est toi.

Un sourire vient s'afficher sur ses lèvres et je la trouve resplendissante. Encore plus que ma mère qui partage sa vie avec un homme. Légèrement plus jeune qu'elle mais elle est assez dynamique pour que la différence d'âge ne se remarque pas. Surtout qu'il a parfois du mal à la suivre. C'est assez étrange, cette situation pour moi, je suis content pour elle mais je reste méfiant et cet homme reste un étranger. C'est dans le restaurant qu'elle a ouvert que Lucas travaille. Son affaire fonctionne parfaitement et je suis très heureux pour elle et son épanouissement personnel.

Nous avons perdu pas mal de temps à décider de qui prendrait quelle voiture et qui monterait avec qui alors finalement, nous sommes à la bourre. Ce n'est pas comme si ça me dérangeait, Elé à horreur de ça. Dans mon cas, disons que c'est de la faute du temps, il court beaucoup plus vite que moi et je me laisse toujours rattraper. Alors ça ne change pas grand-chose à ma vie.

Le repas se passe dans une ambiance du tonnerre. Alice et Lucas sont devenus de vrais boutentrains et leur humour peut tout de suite poser les bases d'une bonne ambiance. Ajoutez à ça de la musique, de l'amour et la soirée ne peut être que bonne.

Manon, Tom et moi dansons comme trois débiles heureux, enfin si on peut appeler ça de la danse. Elé débarque sur la piste mais m'entraîne loin de tout. Son téléphone à la main elle referme la porte de la réserve silencieuse. Je comprends rapidement que quelqu'un l'appel est que c'est important.

- Allo?

- C'est bon tu es avec Adelphe, tu as mis le hautparleur?

- Bah ouais je suis là! Présent !

- Qu'est-ce qu'il se passe Cléa? Est-ce que tu vas bien?

Je lis sur le visage d'Elé une certaine inquiétude.

- Disons que je voulais t'annoncer la nouvelle de vive voix.

Lorsqu'elle comprend son visage s'illumine.

- Ne me dis pas que...

- Chut, laisse-moi parler. Je voulais simplement savoir si tu aurais envie d'être la marraine de Marie? Parce qu'elle est dans mes bras et je penses qu'elle est aussi pressée que moi de connaître ta réponse.

Ce n'est plus un sourire qui s'affiche sur le visage d'Elé c'est carrément le grand canyon et je me demande si sa mâchoire ne va pas se décrocher. Ses yeux s'embuent.

- Est-ce que je peux venir tout de suite lui donner ma réponse?

- Sincèrement je me serais demandé si tu n'étais pas malade si tu n'avais pas eu envie de venir immédiatement. Magnez-vous tous les deux.

- Est-ce que ça va? Tout c'est bien passé?

- Ouais, mais c'était carrément dégueulasse alors si on peut éviter de revenir la dessus ...

Cette fois ce n'est pas la voix de Cléa mais celle de Damien et j'explose de rire. Elé et Cléa échangent quelques banalités concernant le poids du bébé, sa taille et sur l'accouchement. Il est convenu qu'on les rejoigne tout de suite à la maternité. Les heures de visites sont terminées mais ils ne connaissent pas la détermination d'Elé. Si elle veut rentrer elle le fera.

Une heure plus tard, nous nous retrouverons dans une chambre d'hôpital surchauffée. Cléa a vraiment une sale gueule et je dirais que celle de Damien est pire, mais ils respirent le bonheur et la joie. C'est avec beaucoup d'émotion que Cléa présente sa fille à Eléonor. Ce moment est particulier car elles sont plus que des amies. Elles sont sœurs de galère et j'imagine que c'est aussi fort que les liens du sang.  Cléa n'a même pas de mal à se séparer de la microscopique petite fille pour le placer dans les bras de ma femme.

Moi, c'est hors de question que je la touche. Je veux bien la regarder mais pas de trop près non plus. Je ne sais pas, c'est vraiment étrange, si petit, si fragile. C'est bien la première fois que je vois un bébé aussi jeune.

Quand j'y réfléchi c'est même un peu crade. Je suis sûr qu'ils n'ont pas encore pu laver le bébé et quand je me dis qu'il y a quelques heures il était recouvert de liquide amniotique, de plasma, de sang et plein d'autres trucs appartenant au corps de Cléa je trouve que c'est un peu écœurant.

N'empêche que lorsque ses petites mains bougent, je trouve ça fascinant. J'observe Damien, j'aimerai savoir ce que je ressentirai à sa place et puis j'abandonne l'idée. Mon regard se porte sur Elé, elle doit sûrement se dire la même chose que moi, mais je vois qu'elle se réjouie sincèrement pour nos amis.

Nous ne restons pas longtemps, pour laisser de l'intimité aux jeunes parents et parce qu'ils ont besoin de repos. Je trouve ça touchant que Cléa ait appelé Elé en premier, avant sa mère, le lien qui les unis est tellement fort que j'ai du mal à le comprendre parfois.

À notre retour tout le monde se presse pour admiré les quelques clichés de l'enfant pris rapidement. Elé livre les détails que certains veulent connaitre. Tout le monde s'émerveille devant les photos. Je garde mon avis pour moi, mais je ne trouve pas ce bébé mignon. Je le trouve même plutôt laid. Il est rouge, joufflu, plein de plis et de bourrelets. Mais bon chacun ses goûts. N'empêche que ce soir, la plus belle merveille qui m'est été donné de voir, c'est ma femme. Lorsque je croise son regard et la fixe je ne vois dans des yeux que des braises. Des braises de désir et d'amour.

Autant dire que j'ai vraiment hâte de rentrer chez nous, de retrouver notre chambre et notre vrai lit.

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Mes chers lecteurs,

Tout d'abord, encore et toujours, je vous remercie infiniment ! Mon amour pour elle à atteint plus de 2millions de vues ! Est-ce que vous vous rendez compte que c'est extraordinaire et que c'est grâce à vous ?? Alors un grand, grand merci!

Je tenais aussi à vous dire que si c'était à refaire j'améliorai pas mal de trucs, à commencer par l'orthographe. Un jour je reprendrai l'histoire pour la rendre meilleure et pour vous offrir ce que vous méritez vraiment! En tout cas merci d'avoir lue cette histoire! De l'avoir aimé et commenté car chacun de vos avis m'a été précieux (même si je n'arrive pas à tous vous répondre, je vous assure que vos commentaires sont d'une grande aide!)

Je voulais aussi vous dire que je ne publierai pas le prochain chapitre de si tôt...

Pas d'inquiétude! J'ai des idées plein la tête! Mais je veux que le chapitre soit parfait et vous faire vraiment plaisir!

Alors peut être qu'il me faudra un mois pour l'écrire et qu'il est possible qu'il ne soit pas publié avant l'année prochaine ;) ah ah (oui oui, on dois vous faire cette blague lourdingue chaque années, mais c'est la joie qui vous parle ...)

En tout cas, si mon humour assez merdique vous manque un peu, vous pouvez toujours vous rabattre sur mon autre histoire, je poste un chapitre minimum toute les semaines ;) !

Bref, au plaisir et à très vite !

Ps: MERCI, MERCI, MERCI!

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