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II - Deuxième Noël

Deuxième Noël

Je n'arrive pas à comprendre pourquoi je ne vois pas une seconde de mon existence passer. J'aimerais que tout n'aille pas si vite, j'aimerais prendre mon temps et mettre parfois ma vie sur pause pour profiter de l'instant. Mais paradoxalement, j'aime avancer, j'aime voir ma vie se construire, brique par brique. J'aime cette idée que chaque jours je construis les fondations de ma futur existence, et je ne peux que me satisfaire d'être accompagné par Eléonor. Mon amour pour elle tient le coup, nous n'avons pas de date particulière comme tout les autres couples mais demain ce sera le second Noël que je passerais en sa compagnie. Les choses évoluent, nous évoluons ensemble bien que nous restons les mêmes.

Quelques détails rendent nos vies plus agréables. Nous avons installé un matelas plus grand dans la chambre d'Elé par exemple, dans la mesure du possible. Évidemment ce n'est pas un format king size, puisque nous n'avons pu rentrer qu'un matelas de 140 sur 190 cm et non pas un lit car la structure était impossible à faire rentrer dans ce cagibi. Pourtant c'est un peu mieux qu'avant.

Mais d'autres choses changent et nous nous rendons compte qu'après coup de la chance que nous avions. Ma mère ne vit plus chez Eléonor, elle a trouvé un appartement. Elle prend soins de nous rendre visite plus que régulièrement mais c'est différent. Le soir même si elle reste manger avec nous, ensuite elle repart chez elle. Son départ a été précipité il y a quelques mois de ça, je soupçonnes que quelque chose c'est mal passé ici , mais je suis dans l'incapacité de dire de quoi il s'agit, elle ne souhaite pas en parler.

Tom a quitté le nid lui aussi, depuis septembre. Ça bouleverse énormément Eléonor, les épreuves qu'ils ont traversées ensemble les rendent inséparables. Le fait qu'il se soit engagé chez les Compagnons du Devoir après avoir obtenu son brevet des collèges, la rend très fière mais aussi très triste. La séparation, même si elle a été préparée, rend Elé vulnérable depuis quelque temps. Elle prend de ses nouvelles et souvent il change de lieu, de villes ou même de région pour se former au métier de menuisier ébéniste lors de son tour de France. Lui aussi commence à créer les fondations de sa propre vie, je n'avais pas sa maturité à son âge, mais lui, je sais qu'il a les moyens de réussir. Quand il lui a annoncé qu'il ne pouvait pas rentrer pour Noël, j'ai bien cru qu'elle allait pleurer et s effondrer mais elle n'a rien laissé transparaître dans sa voix, au téléphone, toujours pour essayer de le protéger, comme elle le fait avec chacun de nous. Pour Tom, la séparation aussi a été difficile, il ne voulait pas vraiment quitter sa famille et avait l'impression de les abandonner. Toutefois Patrick a su trouver les mots et jouer son rôle de père pour l'encourager et le rassurer.

Et puis il y a Arthur, Arthur qui grandit et Manon, Manon qui est rentrée à l'école... La maîtresse se plaint qu'elle ne parle pas, qu'elle ne s'habitue pas à l'environnement et qu'elle n'est pas très sociable mais elle remarque ses prouesses pour une enfant de son âge. Elle la soupçonne d'être surdoué et la voit différemment des autres enfants, pas moi, et je ne veux pas qu'ils la traumatisent en lui faisant passer une multitude de test à la con.

Lorsqu'elle rentre à la maison, le soir, Manon s'empresse de me rejoindre. Ou quand je rentre plus tard c'est moi qui la rejoint car nous avons établi notre petit rituel quotidien. Avec le temps, je me suis vraiment énormément attaché à cet enfant. Elle ne parle que rarement à son père, et de moins en moins à Elé. Mais avec moi, c'est un vrai moulin à parole, seulement quand nous sommes que tous les deux, les autres ont compris son fonctionnement et personne ne lui en veut d'être comme ça. Tous les jours, nous lisons le journal, car les histoires de princesse ne l'intéressent pas. Et chaque jour, elle rebondi sur l'actualité, lorsqu'elle ne comprend pas de quoi ou de qui je parle, le lui explique. Je lui montre où se trouvent les pays sur une carte, lui explique un peu leurs l'histoires et lui montre des photos. C'est une gamine incroyable et j'oublie presque tous les jours qu'elle n'a que 5ans ...

- Attrape, c'est toi qui conduis !

Je lance mes clés à ma cher petite amie en lui souriant. Elle me les re-balance en plein visage.

- Continus à te foutre de moi, tu vas voir ce qu'il va t arriver, me menace t-elle.

J'éclate de rire et nous prenons place sur les sièges de la voiture. Elle devait passer son permis de conduire il y a une semaine, elle a fait d'énorme progrès et je suis certain qu'elle l'aurait obtenu s'il n'y avait pas eu une grève des examinateurs. Depuis, elle est révoltée et moi je ne peux que m'amuser de la situation. Il y a un an elle ne tenait pas du tout le même discours que maintenant, elle a pris confiance en elle et préfère conduire que de se faire conduire. Elle trouve ça plus rassurant d'être derrière le volant.

- Allé, arrêtes de bouder et embrasses moi, sinon je ne démarre pas. Tu l'auras ton permis... un jour...

Ses yeux m'envoient des éclairs mais les miens sont tellement rieurs qu'elle ne peut pas s'empêcher de sourire à son tour avant de m'embrasser.

Nous arrivons au centre commercial, la veille de Noël, un 24 décembre, je vous assure que c'est une très très mauvaise idée... Mais ni elle, ni moi, n'avons eu le temps pour les emplettes... Notre troisième année de licence nous prend énormément de temps et Elé a, en plus, décidé de se trouver un vrai job, pour participer et ne pas vivre à mes crochets. Quelle belle connerie elle n'a pas fait là! Ça m'énerve, je voudrais qu'elle consacre son temps qu'à moi vue que j'ai suffisamment d'argent pour nous faire vivre pas mal d'années comme des pachas mais elle s'obstine. À vrai dire, son père, même s'il est six pieds sous terre et que ni elle, ni moi le regrettons, lui a laissé des dettes en bel enculé qu'il était. Elle s'est mise dans la tête qu'elle devait régler cette histoire seule et que ce n'était pas à moi de le faire. Ce connard continue de lui pourrir la vie d'outre-tombe et chaque jour je le déteste d'avantage.

Une fois garé, nous commençons à écumer les boutiques, c'est horrible! Je tiens seulement en me répétant "ce n'est pas pour toi, c'est pour eux" et en me promettant "l'année prochaine je m'y prendrais à l'avance".

Finalement nous sommes assez efficace et nous décidons de braver le froid pour marcher dans les rues piétonnes de Lille. Les décorations de Noël, la Grande Roue sur la Grande Place, le marché de Noël place Rihour ou encore le manège pour enfant place de l'opéra ont été installés et je sais qu'Eléonor ne s'en lasse pas, alors nous décidons de nous y promener après avoir rangé nos achats dans le coffre. Moi, j'ai trop faim, je m'arrête à un stand pour acheter une crêpe à la cassonade et Elé opte pour une gaufre chocolat-chantilly, nous mangeons en marchant car nous avons décidé de rejoindre un café un peu plus tardivement histoire de se réchauffer autour d'un chocolat chaud.

Nous discutons de tout et de rien. Mais un sujet reviens constamment dans la conversation. Elle sait que je lu prépare une surprise, je ne peux rien lui cacher, mais je refuse de lui vendre la mèche alors elle use de multiples stratagèmes pour me faire parler. Je la démasque à chaque fois! J'aime toujours autant sa compagnie, peut être encore plus maintenant, j'ai l'impression que plus le temps passe et moins je pourrais me passer d'elle. J'apprends encore des choses sur elle, et elle en apprends encore sur moi, elle m'a même avoué craquer pour mes défauts. J'aime bien quand elle me le dit alors je lui pose la question, même si je connais la réponse.

- Dis moi ce qu'il te plait chez moi.

- Adelphe, tu le sais, je te l'ai déjà dit!

Je la regarde avec mon sourire charmeur.

- Je sais, mais je m'en souviens plus.

Elle me tire la langue, mais se rapproche de moi, elle agrippe mon bras de son bras gauche et tiens la gaufre pas encore entamée de la main droite.

- J'aime bien quand tu râles tout seul. Quand tu mets tes lunettes, je te trouve "mucho caliente".

Elle rigole en disant ça sachant pertinemment que ça ne veut pas dire grand-chose et je l'accompagne. J'ai des lunettes pour reposer mes yeux lorsque je lis ou que je regarde trop longtemps un écran. Elle me trouve sexy avec, ça m'a toujours fait rire qu'elle trouve cet accessoire attirant.

- Et sinon, rien d'autre?

- Si! J'aime bien quand tu fais genre "je fou rien parce moi je suis un homme, un vrai, pas besoin de faire la vaisselle", parce que sinon je dois repasser derrière toi. Dit-elle en rigolant.

- C'est pas ma faute si t'es maniaque!

Je surjoue le reproche, car je sais très bien que c'est faux et je réponds par pure mauvaise foi.

- Bibou, quand tu fais la vaisselle à la fin, je ne sais pas comment tu réussis ce tour de magie, mais l'éponge n'est même pas mouillée ! Répond t-elle hilare.

- Le talent bébé, le talent !

Avec mes faux airs de mec narcissique, elle est prise d'un violent fou rire. Alors j'en rajoute.

- Je t'apprendrais un jour ! Ou non, mieux, je te signerais un autographe!

Mais d'un coup elle ne rigole plus. C'est tellement soudain que je me demande ce qu'il se passe. J'ai dit quelque chose de mal?

- Hey! Adelphe! Ça fait un bail !

Et merde... Je soupire... Putain je comprends mieux pourquoi j'ai l'impression qu'Elé vient de voir un fantôme. Chloé, dans toute sa splendeur, prenant bien soins d'ignorer Eléonor qui essaie de s'échapper de mon emprise mais je sers mon bras contre moi pour bloquer le sien. Hors de question qu'elle s'éloigne à cause de Chloé. C'est arrivé une fois, et je refuse que ça arrive une seconde fois. Trop de douleur... Autant pour elle que pour moi.

- Ouais.

Je ne l'ai jamais revue depuis que je l'ai claqué dehors l'année dernière et ça ne m'enchante pas de la revoir. Sa mini-jupe lorsque le baromètre annonce zéro ne me fait plus aucun effet, ses airs de salope également. De plus, je passais un bon moment avec Elé, déjà que c'est compliqué de me retrouver seul avec elle alors si en plus on croise des parasites en plein milieu de la rue ça risque de m'énerver ... Je lui réponds par pure politesse mais ne tiens pas à lui faire la conversation.

- Qu'est ce que tu deviens, alors ?

Elle me demande ça, alors que ça me paraît être évidement. En plus elle ignore Elé et ça a le don de m'agacer.

- Je suis passé en troisième année.

Je n'ajoute rien d'autre, le stricte nécessaire, sans voir son visage je ressent le malaise d'Eléonor, mais je la serre de plus en plus fort pour qu'elle remarque bien que je refuse qu'elle me fuit.

- À ce que je vois, tu es toujours avec cette fille, comment elle s'appel déjà?

Son ton est condescendant et j'ai envie de la frapper. Eléonor lui répond, je crois qu'elle la supporte encore moins que moi. Elle nous rejette trop de mauvais souvenir dans la face.

- Je m'appelle Eléonor, et oui nous sommes toujours ensemble. Et ça risque de durer un moment alors je te conseil de passer ton chemin.

Je me souviens d'un soir, ou elle m'a demandé de l'accompagner quelque part et où elle a fini par tabasser une fille. Là, maintenant, elle a le même visage que ce soir-là dans la voiture, juste avant de lui foutre sur la gueule, prête à défendre son territoire. Ça me plait. Pourtant Chloé n'a pas l'air de voir la menace qui s'imprègne sur les traits d'Elé et ça m'inquiète quand elle décide de rétorquer quelque chose à mon intention.

- À ce que je vois tu l'as dépucelé. Félicitation ! Mais j'aurais cru que tu la jetterai après.

Je ne laisse pas Elé répondre, sinon elle va la frapper devant tout le monde  dans moins de deux secondes.

- Alors déjà tu te mêles de ce qui te regarde. Ensuite, contrairement à toi, Eléonor, c'est pas le genre de salope qu'on jette après utilisation. Enfin, j'aimerai que tu reprennes ton chemin, car j'en ai rien à foutre de savoir ce que t'ai devenu et je n'ai aucune envie de te parler.

J'ai gardé un ton très calme, mais très froid, assez pour qu'elle ne trouve rien à redire et qu'elle reprenne sa route visiblement vexée. Tant mieux.

- Est ce que tu peux lâcher mon bras maintenant, s'il te plait?

Je regarde Elé et comprends que c'est important que je le fasse.

- J'ai un dernier truc à faire. Enchérit- elle.

La lueur dans ses yeux me fais peur. Je n'ai pas le temps de réagir qu'elle hèle déjà Chloé en s'avançant vers elle.

Chloé se retourne, tout sourire.

- Tiens, espèce de pute, t'as oublié un truc la dernière fois.

Eléonor accompagne ses paroles par un geste qui me donne envie d'exploser de rire et je me mords la lèvre pour éviter de sourire comme un con. Elle vient d'étaler la chantilly de sa gaufre sur le visage de cette catin, et j'avoue que c'était une bonne idée de sa part. La boucle est bouclée. Chloé me regarde outrée, incapable de riposter.

- Et tu dis rien toi?! M'hurle t elle.

J'ai conscience que nous sommes devenu un spectacle dans les rues piétonnes mais je m'en contre fou. Maintenant elles sont quittes. Une peur panique s'empare souvent d'Eléonor quand elle s'imagine que je pourrais la quitter. Quand je lui explique qu'il n'y aucune raison et qu'il n'y a quelle qui compte à mes yeux, qu'il n'y a quelle que je désire, elle me rétorque immédiatement que la première salope venue pourrait facilement avoir raison de moi et que Chloé en est la preuve vivante.

- Non, t'as ce que tu mérites.

Humiliée et le regard plein de rage elle tourne les talons et s'éclipse. Eléonor revient vers moi. Je suis heureux qu'elle se venge de cette fille, j'avais mes tords dans l'histoire mais Chloé l'a cherché elle aussi.

- Pas mal, bien joué bébé.

- Ouais, sauf que maintenant j'ai plus de gaufre. Elle va me faire chier jusqu'au bout cette pute.

Elle grogne, visiblement énervée par notre rencontre. Je vais essayer de la calmer. Je l'entraîne dans une ruelle adjacente pour être à l'abris des regards et l'emprisonne contre un mur. Je m'empresse de l'embrasser passionnément, elle se détend un peu.

- Je suis fière de toi mon amour. Tu n'imagines pas à quel point ça me fait plaisir que tu lui tienne tête et que tu restes avec moi.

Visiblement, elle est toujours énervée.

- Je déteste cette fille. Elle reflète tout ce que je ne serais jamais et qui te plait.

Ses yeux sont triste et en colère.

- T'es belle quand t'es jalouse.

Je veux que la lueur de ses yeux disparaissent pour revenir à ceux radieux qui me regardent avec amour.

- Essayes même pas de m'acheter avec des compliments.

Je souris, je vais y arriver. Je prends ses mains dans les miennes et ma bouche rejoint de nouveau la sienne, avec plus d'ardeur et plus de passion. Putain merde, ça m'excite.

- J'aime tellement quand tu fais ta sauvage prête à défendre ce qui t appartiens. Finis je par lâché essoufflé.

Elle sourit, enfin! Je l'embrasse de nouveau.

- T'as gagné, je ne suis plus énervée maintenant. J'ai juste envie de toi...

- On rentre ?

Je lui demande avec un sourire entendu, et elle acquiesce. Putain, on a encore deux heures devant nous avant que quiconque ne rentre à la maison. Je vais lui montrer qui est le véritable Père-Noël...

Lorsque Cléa frappe à la porte, je suis en train un déposer des chapelets de baisers sur le ventre d'Eléonor, épuisée par notre torride fin d'après-midi. Elle grogne, frustrée d'apprendre que notre moment d'intimité profonde vient de prendre fin. C'est à la hâte qu'elle se rhabille, je resterais bien allongé mais je sais que Cléa apporte ma surprise, j'ai terriblement envie de voir la tête d'Elé quand elle la découvrira et je suis prêt avant elle. J'ouvre à Cléa, accompagnée de Damien, quand je croise son regard, je suis certain que tout s'est passé comme prévu. Elé, se tient derrière moi, les joues encore rosies par l'effort, je suis fière que ce soit moi qui lui fait cet effet-là.

- Hey ! Bien ou bien ? s'esclaffe Cléa, tentant de faire de l'humour.

- Bah bien. Et toi ?

- Super !

Cléa danse d'un pieds à l'autre, le sourire jusqu'aux oreilles restant plantée sur le palier. Elé les regarde comme s'ils étaient tarés, leur comportement est plus étrange que d'habitude. Jamais ils ne frappent et ils ne demandent jamais la permission d'entrer d'ailleurs alors que là, ils semblent l'attendre.

- Sérieusement Cléa, ça fait 18 ans, voire plus, que tu squattes cette baraque, t'attends quand même pas que je te dises : Bienvenue vous pouvez entrer, avec une voix de bimbo. Si ?

Damien éclate de rire, et rentre en prenant soin d'enlever ses chaussures, Cléa le suit. Lorsqu'Elé à le dos tourné elle brandis son pouce en l'air dans ma direction pour me faire comprendre que tout est ok.

- Damien, une partie avant que les mioches rentrent ?

Il accepte et pendant cinq bonnes minutes nous faisons comme à notre habitude. Lorsqu'Elé revient de la cuisine pour déposer quatre verres et une bouteille d'Orangina, une nouvelle personne frappe à la porte.

- Ah, ils font chier avec leurs calendriers. On en a déjà trois, râle t elle, en se dirigeant vers l'entrée.

Je sais de quoi il s'agit, je souris et l'accompagne le plus discrètement possible. Un énorme cri de joie crève mes tympans quand elle découvre Tom, sur le paillasson, la valise à la main. Elle lui saute dans les bras, elle saute littéralement, car une poussée de croissance l'a rendu aussi grand que moi, peut-être même plus.

Son regard croise le miens, et je suis convaincu que la seul chose qui peut me rendre heureux sur cette terre ce n'est ni l'argent, ni le travail, ni quoique ce soit d'autre, c'est elle. Tout simplement, son sourire me réchauffe le cœur et ses yeux pétillants me donnent envie de me perdre en elle.

- Tu savais ?

Aucune trace de reproche dans sa voix, juste de l'amour et de la joie.

- Surprise.

J'hausse les épaules mais ne peut m'empêcher de sourire. Elle quitte les bras de son cousin pour rejoindre les miens et m'adresser un baiser plein d'amour et de reconnaissance. Cette année, je ne pouvais pas mieux trouver comme cadeau de Noël.

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Mes chers lecteurs, voici le second Chapitre Bonus en espérant qu'il vous plaira un peu plus qu'à moi... Je ne suis ni satisfaite, ni fière du résultat, mais je ne sais pas vraiment pourquoi. Alors si vous ressentez le problème et trouvez d'où il vient dites le moi!

Ce chapitre est assez long pour compenser le fait que je ne publie plus aussi régulièrement, pour plusieurs raisons.

La première, et je penses que beaucoup d'entre vous sont dans le même cas que moi, ma vie universitaire reprend et j'ai énormément de travail. Ma tête est un peu ailleurs le temps de reprendre une vie normale.

La deuxième, et je penses que ça intéressera certains d'entre vous, j'écris une toute autre histoire, qui me prend du temps. Je suis assez focalisée sur cette histoire alors j'en oublie d'avoir de l'inspiration pour continuer celle ci...

C'est donc pour cela que l'aventure des chapitres bonus s'achèvera plus vite que prévue. J'en suis vraiment désolée. Je sais que pour certaines ils sont importants, mais une part de moi à achevée l'histoire lors de l'épilogue et la qualité des  chapitres bonus n'est pas comme je l'espérais. Ne m'en voulais pas à mort, je vais quand même en écrire deux ou trois autres ( je tiens vraiment à écrire du point de vue d'Elé ;) ). Toutefois c est de mon devoir de vous prévenir et de vous expliquer les motivations qui m'encouragent sur cette voie.

L'idée de publier l'histoire que j'écris actuellement trotte dans ma tête, je ne sais pas encore si je vais sauter le pas mais si je le fais, je vous tiendrais au courant sur cette histoire ;). Surtout n'hésitez pas à me dire ce que vous en pensez

Espérant que le chapitre vous aura plus malgré tout et que tout ce passe bien pour vous !

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