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Chapitre 97.

C'est plutôt fun, vraiment fun en fait. On a l'air de deux tarés, mais moi ça m'amuse énormément. La bonne humeur flotte dans la pièce. J'en oublie ces dernières semaines et les événements de la veille.

Après être sorti du bain, Eléonor m'a suivi s'enroulant dans une serviette tout comme moi, sauf que j'ai eu la délicatesse de positionner le tissus de façon à ce qu'elle puisse tout de même profiter de la vue de mon torse nu, je sais qu'elle aime ça, malheureusement elle n'a pas eu cette présence d'esprit. J'étais carrément déçu qu'elle couvre son corps, jusqu'à ce que lorsque nous avons bricolé et déménagé la table basse du salon pour la positionner contre la baignoire dans la salle de bain, sa serviette se dénoue me laissant ainsi profiter pleinement de sa nudité. À mon grand désarroi ça n'a pas duré très longtemps, après un " pas mal!" lancé à son intention en la scrutant vicieusement, elle s'est rapidement retournée, me laissant admirer son jolie petit cul puis a ramassé sa serviette pour s'enrouler de nouveau. Je n'ai pas vraiment compris pourquoi d'ailleurs, puisqu'un peu plus tôt elle s'était littéralement déshabillée sous mes yeux, sans gêne, pour me sauter dessus. Enfin non, elle ne m'a pas sauté dessus, j'ai juste fantasmé qu'elle le fasse, elle m'a simplement rejoint dans un bain.

Son idée n'est vraiment pas pratique, la position me plait, même si elle n'est pas des plus confortable, elle a le mérite de me permettre d'avoir les jambes emmêlées aux siennes et puisque nous tenons nos assiettes en suspension les bras tendus, je peux apercevoir ses tétons sortir de l'eau.

- Ah ! Il y a un morceau de poulet qui m'attaque. Cri t elle, quand elle voit un petit bout de viande flotter vers elle.

- Attends princesse, je vais te sauver. Dis-je d'un ton théâtrale.

Je pose mon assiette sur la table basse puis j'essaie d'attraper cette micro portion de nourriture, en vain. Eléonor explose rire. Ça l'amuse tellement que son assiette tremble et elle décide elle aussi de la poser avant qu'elle ne se renverse totalement dans l'eau maintenant souillée par ce débris.

- Putain, le fils de pute. Je vais vous sauver princesse, il ne vous fera pas de mal.

Je l'attrape enfin et le brandis fièrement. Je me relève subitement en criant comme un dératé, ayant l'intention de faire une danse de la joie, oui une danse de la joie à poil, mais je glisse et tombe maladroitement dans le fond de la baignoire entrainant, au passage, Eléonor dans ma chute. Je sors la tête de l'eau et un fou rire nous prends. Un vrai fou rire. Je ne me souvenais plus avoir autant rit. Des larmes sortent de mes yeux, en tombant Elé s'est retrouvée sur moi et mes bras l'ont instantanément enlacée, je ne la lâche plus, totalement incapable de faire autre chose que rire.

- T'es mon héros ! Dit elle hilare.

Ce qu'elle ne sait pas c'est que c'est elle l'héroïne de ma vie.

L'eau se fait maintenant froide et nous décidons tout de même à sortir du bain, après une douche rapide afin de rincer nos corps. Et puis malheureusement elle se rhabille. Pff je déteste le mec qui a inventé les vêtements de femme. Ou plutôt mes vêtements car mis à part son jeans, tout ce qu'elle porte m'appartient, elle n'a pas d'habits de rechanges et il était naturel que je lui prête un caleçon propre, ainsi qu'un t shirt. Le tout est bien trop grand pour elle, mais je trouve ça excitant...

- Oh, j'ai oublié de te dire. Ta mère a appelé, tu ne répondais pas sur ton portable et elle voulait avoir de nos nouvelles.

- Est-ce que tout vas bien chez toi ?

- Oui, elle voulait savoir si je rentrais ce soir, je lui ai dit que tu la rappellerais quand tu serais de nouveau chez toi. Me dit elle une fois sortie de la salle de bain et le bordel que nous avons créé débarrassé.

- Tu restes ce soir ?

- Euh, je n'ai pas trop envie d'être confrontée à tout le monde, mais si tu veux que je partes il n'y...

Je pose un doigt sur ses lèvres, me rapprochant un peu plus d elle. Même si entre nous les choses semblent s améliorer une épée de damoclès reste suspendu au dessus de nos tête, elle comme moi gardons à l'esprit l'éventualité du chamboulement possible dans nos vis avec l'arrivée probable d'un bébé.

- Chut, j'aurais dû dire. Tu restes ce soir. Point. Pas de discussion. Je veux te garder rien que pour moi, et puis comme tu dis je ne penses pas que ce soit une bonne idée d'affronter tout le monde maintenant. Nos familles comprendraient qu'il y a un léger problème.

- Léger ?

- Bah, s'il existe il ne doit même pas encore faire 1milimétre, alors en poids, ça ne doit pas être très lourd. Dis-je en riant.

Je ne veux pas gâcher ce moment de détente avec elle et préfère prendre cette éventualité le cœur léger, j'aurais toute la semaine pour penser sérieusement au sujet.

- Toi t'es lourd. Dit-elle pour me taquiner.

- Ah oui, tu te rebelles ?

- Oui.

Je la soulève et la plaque sur l'un des canapés pour la chatouiller. On a l'air de deux enfants insouciants. Elle se débat.

- C'est bon, c'est bon, t'as gagné, t'es pas lourd. Je rigole.

- Bien, maintenant ajoute. « Maître tu sens l'abricot et t'es le plus beau ».

- Quoi ? Mais ça va pas dans ta tête!

Je recommence les guilis.

- C'est bon ! Je vais le dire ! Hurle t'elle.

Elle le fait hilare mais s'échappe de mon emprise.

- Hey ! Reviens ici.

- Attrapes moi.

Elle me tire la langue de l'autre bout de l'appartement.

- Non, non, je suis certain que c'est un piège !

- Peut-être que je vais t'attacher et te faire des trucs. Dit-elle, malicieuse.

Elle me fait rire. Avec ses faux airs de coquine.

- Ok ! J'arrive tout de suite. Elle rit.

Je l'attrape, elle pose ses mains sur mes épaules et moi j'en lave sa taille et elle m'embrasse. Puis je dépose mes lèvres dans son cou pour la mordiller un peu.

- Adelphe ! L'heure est grave. Dit elle en souriant, la mine éclatante et les joues rosies.

- Ah bon ?

J'ai toujours ce sourire idiot sur le visage. J'aime tellement jouer avec elle.

- Oui, je ne sais pas si c'est le fait d'avoir pris un bain ensemble, ou parce que tu sent l'abricot, mais j'ai envie de toi.

Dit-elle sans détour et mon sourire s'étire encore plus.

- Ça tombe bien moi aussi.

- T'as envie de toi ? Dit elle en feignant le dégout.

- Tu sais que j'ai un moyen pour que t'arrêtes de dire des conneries...

- J'aimerais bien voir ça tiens !

- Défi relevé.

Je l'embrasse ardemment. Je touche les parties les plus réceptives de son corps. D'abord ses hanches, les plaquants furieusement contre moi, puis je passe mes mains sous son t shirt effleurant sa peau pour écraser mes mains contre sa taille et la serrer plus fort, les remontant ensuite sur ses seins la repoussant vivement contre le mur du couloir. Toujours en l'embrassant avec fougue, je passe mes mains dans son dos, me rapprochant plus d'elle pour qu'elle sente l'érection qu'elle me procure, elle frissonne et halète. Je stop tout ce que j'ai commencé à entreprendre la laissant pantelante. Quelque part je suis fière de moi, fière de l'effet que j'arrive à avoir sur elle, fière de la déstabilisée comme elle l'ai à cet instant.

- Alors, tu as quelque chose de débile à ajouter ? Dis-je assez dangereusement.

- Euh... Là tout de suite ? Non. Dit-elle d'une voix tremblante et désorientée, le regard rempli de désir.

- Très bien.

J'enroule ses jambes autours de ma taille, elle s'agrippe à mon cou et je l'entraine avec moi dans la chambre.

Nos corps se rejoignent, j'aime la pénétrer. C'est à la fois doux, tendre ainsi que brut et charnel. C'est moins brutal, plus voluptueux et vaporeux que la première fois. Je profite de chaque seconde. Mes mains n'en auront jamais assez de la toucher. Ma bouche n'en aura jamais assez de l'embrasser. Mes sens n'en auront jamais assez d'être en elle. Mes yeux n'en auront jamais assez de la regarder. C'est toujours aussi déroutant de posséder son corps. Tellement différent et exquis. Des petits bruits sortent de sa bouche, elle est si réceptives à mes mouvements et à mes caresses, que ça en est impressionnant. Bien que tout ça soit nouveau pour elle, elle n'hésite pas à me faire confiance, à agir et abandonner son corps. Elle n'est pas passive et ça me rend fou. Ils n'y a aucun doute sur le fait que je ne pourrais plus me passer de ce genre de contact physique. J'ai irrésistiblement besoin d'elle.

Elle me murmure un « je t'aime », presque inaudible se perdant dans mon coup. Venant d'une autre fille, ça m'aurait bloqué, j'aurais tout arrêté, j'aurais trouvé ces mots trop intimes dans un tel moment. Mais venant d'elle ça me booste, ça me fait un bien fou et je suis proche de l'extase. Je vais lui faire l'amour jusqu'au bout de la nuit et lui donner autant de plaisir que je n'en ai jamais eu. Je vais lui montrer à quel point je l'aime jusqu'à se que son corps s'épuise. Enfin peut être pas, parce que mon excitation est poussé à son paroxysme. Sentir Elé vibrer et jouir férocement sous moi me permet de lâcher prise et je jouis à mon tour. Cette fois nous avons pensé à nous protéger.

J'ai le sentiment que lorsque nous sommes ensemble tout vas bien. Tout vas mieux.

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Mes chers lecteurs, je suis vraiment désolée pour l'attente ! J'espère que ce chapitre vous plaira, c'est le calme après la tempête et leur amour en ressort un peu plus fort.

En tout cas je tenais à vous remercier, pour vos commentaires, vos lectures et vos abonnements! La fin de l'histoire est proche... Je voulais aussi vous informer que j'ai un petit bug qui m'empêche de répondre à vos messages privées, mais n'hésitez pas à m'en envoyer des que ça s arrange j'y répondrais :)

Je vais essayé de mettre moins de temps à publier le prochain chapitre ! Promis et encore merci pour tout!!!❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️❤️

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