Chào các bạn! Vì nhiều lý do từ nay Truyen2U chính thức đổi tên là Truyen247.Pro. Mong các bạn tiếp tục ủng hộ truy cập tên miền mới này nhé! Mãi yêu... ♥

Chapitre 83.

- Adelphe ! Elles sont passées où tes chaussures ?

- Chloé ? Mais qu'est ce que tu fous ici !?

- Je suis venue rendre visite à mon pote.

- Un dimanche matin ? Dis je septique et étonné de la voir ici.

- Oui. Dit elle avec un sourire faussement ingénue.

- Bon bah viens, façon je commençais à me les geler. Un haussement d'épaule accompagne cette parole.

Je rentre sur le palier, et appel l'ascenseur, ma blessure me fait mal et je n'ai pas envie de faire plus d'effort. Eléonor n'est toujours pas revenu, à quoi bon attendre dans le froid, de toute façon je suis persuadé qu'elle ne reviendra pas. Chloé me suit. Je l'avais presque oubliée ! Depuis quand je ne l'ai pas vue ? Hum assez longtemps. Je rentre le premier dans l'habitacle confiné et exigu de la cage d'ascenseur.

- Hum toujours un aussi joli petit cul ! Dit elle en me mettant une main au fesse.

C'est très fin ça Chloé. Vraiment très fin.

- Ouais je sais, mais c'est parce que je m'entretiens. Dis je en lui faisant un clin d'œil.

Puis j'appuie sur le bouton de l'ascenseur et les portes se referment. J'observe Chloé. Ou plutôt j'admire. Putain ce qu'elle est bonne. Vulgaire mais bonne. Bah quoi ? Je reste un homme, je ne suis pas insensible aux charmes des jolies filles.

- Qu'est ce que tu regardes comme ça ? Me dit elle.

- Hum, toi et c'est plutôt plaisant.

J'ai enclenché mon sourire charmeur. Ça a toujours été comme ça avec elle. Un jeu. Un jeu de séduction.

- Dis le que tu as envie de me croquer. Dit elle avec un air très coquin.

- Je ne m'abaisserais pas à ça. Tu sais que je préfère l'action aux blablas.

Nous sommes arrivés sur mon pallier. Je rentre dans mon appartement, elle me précède, sans gêne, nous avons passés beaucoup de temps ici autrefois.

- Tu as faim ?

- Hum, oui, plutôt.

Ok ! Je ne lui demandais pas si elle avait faim de sexe, son esprit est vraiment tordu.

- Je te parlais de bouffe.

- Ah... Dit elle visiblement déçu. Bon bah, oui, va s'y prépares moi un chocolat liégeois.

- C'est quoi encore ce truc chelou ?

- Un chocolat chaud, et par-dessus tu mets de la chantilly, ce n'est pas compliqué.

Je sors les ingrédients du frigo et lui prépare ce chocolat.

- Alors comment tu vas depuis le temps ? Dis je pour meubler le silence.

- Je ne vais pas te le cacher, ça va, bien que je sois en manque de sexe. Me répond elle.

Chloé est très ouverte d'esprit, d'ailleurs ses cuisses sont encore plus ouverte que son esprit, si vous voyez ce que je veux dire.

- Tu n'as trouvé personne pour me remplacer ?

Je suis surpris, car des mecs qui cherchent à baiser des filles potables de temps à autres, sans prise de tête, ça court les rues.

- Non, pas vraiment, c'est pas si facile de trouver quelqu'un comme toi. D'ailleurs elle est où ta copine ?

Je soupire. Elé, pourquoi tu ne reviens pas ?

- Partie.

- Elle t'a quitté ?

- J'en sais rien, je penses que oui. J'hausse les épaules, résigné.

- C'est parfait ça !

- Parfait ? Tu te fous de moi j'espères. Dis je froidement.

- Non. Sérieusement, ça ne te ressemblais pas de sortir avec une fille comme ça. Elle n'était pas faite pour toi. Elle est tellement différente Je suis sûre que dans le fond tu le sais.

- Mouais. N'empêche que je suis bien avec elle.

- Parce nous n'étions pas bien ensemble ?

- Si, mais c'était différent.

- Allez, il faut que tu te l'avoue à toi même, je suis certaine qu'elle ne baise même pas !

- Ça ne te regarde pas ça. Dis je sèchement.

Qui elle est pour se permettre de me poser ce genre de question ? Si elle est venue pour ça, je ne vais pas tarder à la foutre dehors. Mon air renfrogné semble pourtant lui donner une réponse satisfaisante.

- J'ai donc raison ! Nous savons tous les deux que tu as de gros besoin niveau sexe.

- Ouais, peut-être. Mais ce n'est pas comme ça avec elle.

Je suis encore plus froid, plus sec. Pourquoi elle se permet de la juger et de juger le couple que nous formons Eléonor et moi ? Ou que nous formions ? Je sais pas si je dois parler de nous au passé ? Je mets de la chantilly dans son chocolat chaud et pose la bonbonne sur le plan de travail. Puis je sirote tranquillement le miens, vexé. Temps qu'elle ne se décidera pas à changer de sujet je ne dirais rien de plus à cette fille joliment superficielle et aguicheuse.

- Détends toi ce n'est pas méchant ce que je dis.

- Je ne suis pas vraiment d'humeur là.

Je lui envoie un regard noir. Elle prend la chantilly et m'en asperge les bras.

- Putain qu'est ce que tu fous !? Dis je exaspéré.

- Je m'amuse. Sourit elle.

- Ah ouais !? T'es complétement tarte !? On ne t'a jamais dit de pas jouer avec la nourriture ?

- Hum, non. Répond-elle de façon mesquine.

Elle me met de la chantilly sur le nez et à ma grande surprise elle approche sa bouche pour la lécher.

- Tu sais que je vais puer le lait tourné après ça, ça va s'imprégner dans les tissus. Je râle.

- Enlèves ton t-shirt dans ce cas. Dit elle avec ce même sourire coquin de tout à l'heure.

Elle est plutôt sexy.

- Non.

- Ok, je vais le faire moi-même.

Je lève les yeux au ciel, mais cette fille n'a peur de rien. Elle s'approche dangereusement de moi. Alors je la laisse me déshabiller. A quoi bon se battre ? Elle arrivera à ses fins quoique je fasses. Ce n'est pas n'importe qu'elle fille, c'est une véritable prédatrice. Et puis ce n'est pas comme si Eléonor été revenue.

- Je t'ai déjà dit que tu étais insupportable ?

- Ouais, et en général après ça tu m'attaches au lit pour me punir et je finis par crier ton prénom.

Je ne peux m'empêcher de sourire, elle dit vrai. C'était comme ça avant. Elle remarque ce léger sourire et je la laisse me verser de la chantilly sur le torse. Quelque part ça m'amuse. Ce n'est pas Eléonor qui ferrais ce genre de chose. Elle se penche et me lèche le torse. Franchement, j'avoue que ça ne me déplait pas.

Lorsque sa langue touche ma peau, je ressent une certaine excitation, depuis quand suis-je aussi frustré sexuellement ? Je la regarde me lécher comme une grosse chienne, (pardonnez-moi l'expression), ses yeux me crient : « Je suis la meilleures des salopes et tu vas aimer ça ». Je me concentre pour éviter de réfléchir, c'est plus simple que ce que je pensais.

Mais j'entends un bruit inhabituel. Je révèle la tête et quitte les yeux de putes de Chloé. Merde ! Je suis pris en flagrant délit ! En flagrant délit de quoi ? Laisser une fille me déshabiller, m'étaler de la chantilly sur le corps et me lécher le torse, c'est de la tromperie ?

A en croire l'expression qui s'affiche sur la tête d'Eléonor, j'imagine que pour elle, oui, ça l'ai. Putain mais j'ai vraiment atteint un très haut niveau de connerie moi aujourd'hui. Je la regarde, une seconde qui me parait être une heure, coupable, apeuré, sans dire un mot, essayant de déchiffrer son doux visage. OH putain le con ! Pourquoi arrête t elle de me regarder ? Non ! Il ne faut pas qu'elle parte.

- Elé ! Ce n''est pas ce que tu crois. Dis-je pour essayer de la retenir. Mais c'est trop tard. Elle s'enfuit.

Ouais, je sais, j'aurais pu dire autre chose et trouver mieux pour la garder près de moi. Mais il n'y a que ça qui m'ai venu sur le coup. Qu'est-ce que j'allais dire ? Je suis faible, je n'arrive pas à résister à la tentation. Alors ouais j'ai merdé, mais quelque part c'est un peu de sa faute aussi non ? C'est vrai quoi, si on couchait ensemble je serais peut-être moins frustré et j'aurais surement évité dignement les avances de Chloé. Ah et puis, merde, ce n'est pas ma faute à moi si Chloé est venue m'allumer.

************************************

Bon et bien, mes chers lecteurs, je penses que vous ne vous y attendiez pas... J'imagine que ce chapitre a dû vous surprendre et j'attends avec une certaine impatience les commentaires assassins, les cris, et les injures.

Ps: Merci de me rester encore fidèle à cette histoire après tout ce que je vous fait lire d'affreux :/!

Bạn đang đọc truyện trên: Truyen247.Pro