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Chapitre 74

Je me réveilles dans une chambre d'hôpital, entouré d'Eléonor et de deux policiers. Ils l'interrogent. Elle me voit ouvrir les yeux.

- Adelphe, est ce que ça va ? Elle se penche sur moi pour me caresser doucement le visage avec tendresse.

- Je suis dans le coton... Mais ça va, et toi ?

- Non, tu m'as fait peur, vraiment.

- Comment va Alice ?

- Mieux, elle s'est calmé, tout le monde est là, on se relais avec ta mère, on a pas le droit d'être plus d'un visiteur dans la chambre. Dit elle en regardant méchamment les policiers pour leur faire comprendre qu'ils ne sont pas les bienvenus.

- Monsieur Morilliac, nous avons quelques questions à vous poser.

- C'est un peu confus dans ma tête mais allez y, je vais essayer d'y répondre.

- Bien, pouvez-vous nous dire ce qu'il s'est passé avant l'accident ?

- Alice et Zélie jouaient devant la maison pendant que nous débarrassions. J'ai entendu des cris, Eléonor a couru pour les rejoindre je l'ai suivi. Il y avait un homme dehors avec un couteau sous la gorge d'Alice. Je crois que c'était son père, j'en suis même certain. Eléonor a tenter de calmer la situation et de négocier. Il a lâché Alice pour prendre Eléonor en échange et puis je lui ai sauter dessus dans un moment d'inattention de sa part. On s'est battu, il m'a enfoncé son couteau dans le ventre, ensuite c'est allé très vite, on s'est retrouvé de l'autre côté de la rue, et une voiture la fauché pendant la bagarre, ensuite vous êtes arrivé. Il est mort ?

- Oui.

Je fais mine d'être choqué mais, même si c'est mal, dans le fond je m'en réjouit.

- C'est la même version que tous les autres. On va vous laisser, c'était un accident. Concluent l'un d'eux. Les policiers repartent.

- Elé, viens.

Elle grimpe dans le lit et se blottit contre moi.

- Merci.

- Pour ?

- Il ne pourras plus m'atteindre grâce à toi. Je sais que c'est mal, mais je n'arrives pas à être triste. Je suis heureuse qu'il soit mort, il nous ferras plus jamais de mal. Me dit-elle soulagée.

- La voiture m'a bien aidé.

- Je t'aime Adelphe, j'ai cru que c'étais toi qui avais été percuté, et j'ai eu tellement peur que tu ne te réveille plus jamais.

Ses larmes coulent sur son visage en se remémorant l'instant.

- C'est pas le cas, je suis là. Tu te débarrasseras pas aussi facilement de moi bébé.

Elle sourit. Je m'endors à cause des médicaments et j'entends une de ses remarques sur le fait qu'on va bientôt devoir prendre un abonnement dans cet hôpital, mais sa voix est lointaine.

Je suis sorti rapidement de cet endroit de malheur. Cette semaine Eléonor a eu un rendez-vous avec le psychiatre de son oncle, il est prêt à rentrer à la maison. Je dois rester allonger quelques jours. J'aime me faire servir, je suis presque un héros dans cette famille. Eléonor est au petit soins. Venant d'elle ce n'est pas étonnant, elle s'occupe toujours de tout le monde. Ma mère l'ai aussi et c'est un peu plus étonnant. Je ne peux plus dormir dans le petit lit d'Eléonor, nous dormons dans la même chambre mais nous avons installé un matelas gonflable. J'attends qu'elle s'endorme puis je quitte son lit et m'endors à mon tour.

- Allo ?

- Adelphe, c'est Max. Tu es là demain ?

- Euh, non je ne pourrais pas ce week-end mais je vais venir voir le match.

- Qu'est ce que tu as, t'es blessé ?

- Ouais, mais ça va vite guérir, j'ai juste pas le droit de faire de sport pendant deux semaines.

- On sort après le match, rue Solferino, ça te dit ?

- Je viens surement au match avec ma copine.

- Elle peut venir aussi.

- Ouais, on verras.

- Bon salut mec.

- A plus.

Je descends et trouves Eléonor dans la salle à manger, nous sommes vendredi et elle travaille sur les cours pour la fac, ces derniers temps on a tous les deux pris un peu de retard. Elle est de plus en plus belle.

- Salut belle gosse.

Elle lève le regard vers moi et sourit, elle sourit de plus en plus.

- Salut beau gosse.

Je m'assois à côté d'elle.

- T'es debout depuis longtemps ? Elle rigole.

- Euh, oui je dirais 6heures et demi...

- Waw ! qu'elle grasse mat' ! Ironisais je.

- Tu as bien dormis, tu as encore mal ?

- Ça va, sa tire un peu mais ça va.

- L'infirmière a appelé, elle vient vers 13heures finalement.

- Elle est où ma mère ?

- Partie faire les courses. Tu sais ce qu'elle a prévue ? Mon oncle rentre demain ...

- Ah ouais je n'avais pas pensé à ça. Je sais pas on lui demandera.

- C'est parce qu'on a pas assez de lit, sinon ça me ne déranges pas qu'elle reste, elle fait tout, ménage, bouffe, course. Dit elle en rigolant.

- Ça te soulage pas vrai ?

- Franchement ouais, mais j'ai l'impression de profité d'elle.

- C'est elle qui le demandes, tu ne l'exploites pas. Elle hausse les épaules.

- J'sais pas trop, elle refuse de prendre ma carte pour faire les courses.

- Bébé on vit pratiquement ici, c'est normal qu'on participe.

- C'est un peu trop. Je soupires.

- C'est pas assez. Elle pose le crayon qu'elle tenait dans la main.

- Si ! Regardes un peu. Il y a quatre mois, s'était un vrai chantier ma vie. J'avais pas les moyens d'acheter du lait, je jongler entre la vie quotidienne, le rôle de papa et de maman pour les enfants, la fac, le boulot, les tâches ménagères, un père démoniaque. Et puis t'es arrivé et tout a changé.

- C'est une mauvaise chose ?

Elle semble y réfléchir.

- Oui et non.

- Pourquoi oui ?

- Parce que je n'aime pas profiter de la situation comme ça... c'est pas si simple normalement la vie.

- Maintenant ça l'ai.

- Mais pourquoi ça,devrait être comme ça, je n'ai pas le droit de profiter de votre argent et de la gentillesse de ta mère. Je suis seulement ta petite amie, rien de plus.

- Epouses moi alors.

Elle me regarde, et essaie de comprendre ce que je dis. Mais je sais pas ce qu'il m'a pris de dire une chose pareil, ma spontanéité me perdra.

- Ça, c'est pas une bonne idée.

Dit elle en ne me prenant pas vraiment au sérieux, ouf, j'ai faillis me mettre dans la merde là. Quoi que, en quoi ça serait la merde ? Bon changes de sujet vite!

- Tu veux venir avec moi demain ? Mon équipe joue et ensuite ils ont prévus de sortir.

- De sortir ?

- Ouais. Rue Solfé.

- J'y suis jamais allée, je suis plutôt casino clandestin. Dit elle en rigolant. Mais pourquoi pas, si ça peut te faire plaisir.

- Cool !

- Arf, merde ! Ta mère ne seras sûrement plus là, je vais pas laisser les enfants tout seuls.

- Il y aura ton oncle.

- Je ne sais pas si je peux lui faire confiance.

- Et bien ma mère ne sera pas contre rester une nuit de plus, on ira dormir chez moi et comme ça elle prendra ta chambre.

- Quel sens de l'organisation. Elle m'embrasse rapidement.

- Viens te recoucher avec moi.

- Il est 11heures c'est plus l'heure de dormir.

- Qui te dis que tu vas dormir.

Je lui sourit avec un regard coquin. Elle rit nerveusement.

- Je vais perdre le contrôle de mon corps ?

- Possible. Dis je en riant à mon tour.

Je me lève et prend sa main pour qu'elle me suive. On n'a toujours pas fait l'amour elle et moi, mais on a appris à découvrir des choses nouvelles sur nos corps. Cette fille m'excite tellement sans que je n'ai forcément besoin de la pénétrer. Elle me dit ce qu'elle aime et ce qu'elle aime moins, mais il n'y a pas grand-chose qu'elle n'aime pas. Quand je la touche elle réagit tellement bien. J'ai l'impression de la rendre folle de moi.

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Mes chers lecteurs ! Merci encore et encore! Je tenais à vous informer de mon départ en vacances, je ne sais pas si j'aurais de la wifi. Je vais pré-enregistrer en brouillon quelques chapitres que je posterais tout les 2 ou 3 jours grâce à la 3G, alors je tenez à vous demander de m'excuser pour ce ralentissement dans la publication.
N'hésitez pas à me faire part de vos avis ! Je vous embrasse très fort :)

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