Chapitre 64.
- Est ce que tu m'aime ?
- Oui.
- Est ce que je t'attire ?
- Oui
Alors détends toi ma bibouche.
Je me place derrière elle et embrasse sa nuque.
- Dis-moi ce que tu ressens, guides moi. Fais-moi confiances.
Elle s'est retournée pour me regarder. J'enlèves tous mes vêtements et mon caleçon. J'ai l'impression qu'elle a peur.
- N'ai pas peur bébé, on ne va pas faire l'amour, pas ce soir. Tu peux enlever tes sous-vêtements ? Si tu en as pas envie tu ne le fais pas.
- Fais le.
- D'accord.
J'embrasse son épaule et dégrafe son soutient gorge. Il glisse le long de ses bras, puis je fais glisser sa petite culotte le long de ses jambes. Délicatement. Elle est nue devant moi, tellement belle. Elle me sourit timidement.
- Viens.
Je prends sa main et l'emmène sous la douche. L'eau coule sur nos corps.
- Je suis à toi. Je vais fermer les yeux pour que ce soit plus simple pour toi. Touches moi, fais ce que tu veux, avec tes mains, ta bouches. Apprends à écouter tes désirs. Détends toi. N'est pas peur. Explores mon corps.
- Je ne sais pas comment faire.
- Laisses toi aller, laisses ton instinct et ton imagination dicter tes actes. N'est pas de honte, à me toucher, et à prendre du plaisir à le faire.
- Je vais essayer.
Je la regarde et lui sourit.
- Non tu vas y arriver. Puis je fermes les yeux pour quelle fasse ce que je lui ai demandé.
Je sens que ma requête la trouble, elle touche mon visage tellement timidement, puis ses mains se baladent sur le haut de mon torse, s'attardant sur mes cicatrises. Enfin je sens son corps se rapprocher un peu plus, ses bras m'enveloppent. Elle est tellement douce, hésitante et délicate, comme si elle avait peur de me faire mal. Elle me serres contre elle, enfuit son visage dans mon cou. Je sens ses cheveux mouillés sur mon épaule, ses seins sur mon torse. Elle embrasse ma nuque tout en caressant mes fesses.
Des minuscules gémissements sortent de ma bouche, mon rythme cardiaque s'accélère. J'ai envie qu'elle me touche encore, et qu'elle n'arrêtes jamais. Elle pivote légèrement, de façon à ce que nos corps fassent un angle droit. Elle place une mains dans le creux de mes reins et l'autre sur mon ventre. Sa tête repose doucement sur mon épaule, je sens son regard sur moi. Elle joue avec son doigt en le faisant passer dans les petits poils sous mon nombril. Elle s'approche de mon sexe, mais quelque chose la retient. La timidité ? Sûrement. Elle place sa main dans la mienne et brise le silence. Il y a quelques chose de nouveau dans sa voix, quelque chose d'hyper sexy.
- Guides moi.
Sa main est toute petite dans la mienne et je la guide sur mon sexe, plus que tendus, elle me fait un effet de fou, je serres sa mains pour qu'elle me serre. Je l'aide à me caresser, d'abord doucement, puis plus vite et plus serrée. Puis je lâche sa mains pour qu'elle le fasse seule. Elle y arrive parfaitement bien. Je la maintiens contre moi d'un bras. J'ouvres les yeux, ça la déstabilise, elle rougit et arrête ses mouvements malheureusement pour moi.
- T'es beau. Dit elle en me regardant amoureusement.
Je pose ma mains sur son front comme pour prendre sa température. Je fais semblant d'être étonnée.
- T'es malade ?
Elle rigole et m'embrasse.
- Je t'aime.
Je me peux pas m'empêcher de sourire quand elle me dit ça. Cette fois c'est moi qui l'embrasse. Puis je prends du gel douche.
- Tu veux que je te laves ? Elle fronce les sourcils.
- Me demandes pas si je veux, fais le. Si je veux que tu arrêtes je te le dirais, mais ne me demandes pas l'autorisation à chaque fois que tu as envie de faire quelque chose. J'embrasse sa nuque.
- Retournes toi.
Je change la direction du pommeau pour que l'eau ne touche plus trop son corps. Je mets du savon dans mes mains et le fait mousser en frottant doucement son dos. Je m'attarde sur ses fesses, parce que son cul est juste parfait pour mes mains. Pas trop ferme. Juste ce qu'il faut. Je la retourne, son regard est juste torride. Elle ne le fait pas exprès, c'est sa timidité qui la rend torride. Je savonne ses épaules, puis ses bras, puis ses hanches, puis son ventre, puis ses seins. J'ai jamais touché des seins aussi beau. Je m'accroupis pour savonner ses jambes, je commence par ses mollets et remonte sur ses cuisses, ses jambes sont fines. Elle est pleine de mousse et je la place sous le jet d'eau pour que la substance disparaisse.
Je suis toujours accroupi, une fois que la mousse a disparu, j'embrasse sous son nombril et je descends jusqu'à son sexe. Pour la première fois de ma vie j'ai envie de lécher une fille, rien que pour son plaisir à elle, lui faire découvrir des choses qu'elle ne connait pas, ma langue atteint son clitoris. Tout son corps sursaute et un « oh » sort de sa bouche. Je lève les yeux pour voir sa réaction. Son visage est affolé, torturé, troublé peut être même terrorisé. Mais elle ne me dis pas d'arrêter alors je continus. Ses fesses se collent sur l'une des parois. Je caresses les lèvres de son sexe avec mes doigts sans y rentrer et ma langue continue de jouer sur elle.
J'ai tellement envie de la faire jouir comme ça. Je doutes d'y arriver. Elle a emmêlé ses doigts dans mes cheveux, plus son désir monte, plus elle me les tire. Plus elle les tire, plus j'ai envie que de lui faire plaisir. Tant pis si elle me les arraches et que je me retrouve chauve du moment qu'un orgasme naisse en elle. Des petits gémissements sortent de sa bouche, elle essaie de les retenir, elle est tellement mignonne. Son corps se tend et ses jambes fléchissent et se mettent à trembler.
- Oh... Oh.. Adelphe...
C'est un murmure à peine audible. Je me relève et la serres contre moi pour ne pas quelle tombe. Je suis plutôt fière de moi, elle reprend ses esprits et fini par me regarder.
- Qu'est ce que s'était ? Demande t elle bouleversée.
- Un orgasme.
Je lui sourit. C'est tellement différent de la voir comme ça, pour une fois elle ne maitrise rien.
- Oh.
- Comment était ton première orgasme ?
Elle rougit, mais semble chercher quelque chose à répondre.
- Puissant... et bon à la fois. Etranges.
- Ça ta plu ?
- Oui. Adelphe fais pas ça...
- Faire quoi ?
- Mordre ta lèvre avant de sourire, c'est trop... trop sexy.
- Quoi ça ? Je me mord la lèvre. Je le fais pas exprès bébé.
Elle rigole, puis redeviens sérieuse.
- Est ce que je peux faire la même chose pour toi ?
- Tu été bien partie avec ta main tout à l'heure.
- A mon tour de te laver.
Je rêves où son regard est plein de malice ? Elle commence par me laver les cheveux, puis le dos et les fesses, mais elle reste derrière moi pour me laver le torse et le ventre sans que je puisse me retourner pour lui faire face. Elle reprend mon sexe dans sa main, délicatement. Que ce soit elle qui me fasse ça, sous cette douche, après l'avoir vue nue, l'avoir caressée et l'avoir faite jouir. Je ne tarde pas à éclater à mon tour tellement ça m'excite. Ça me soulage un peu, je penses que j'aurais dû finir par me branler tout seul en plein milieu de la nuit sinon. Qu'est-ce que c'est BON putain. Je me retourne pour la voir. Je vois dans ses yeux qu'elle est un peu perdue, qu'elle doute de sa « prestation ». Elle a besoin d'être rassurée alors je l'embrasse, parce que les actes valent mieux que de long discours.
- Tu es exquise. Elle sourit.
- Tu as dit ça des frittes tout à l'heure. Je rigole.
- Tu vaux au minimum un billard de cornets de frittes.
Elle rigole avec moi.
- Je vais te laver les cheveux, ensuite on sortira avant qu'il n'y ai plus d'eau chaude.
- D'accord.
Elle maitrise mieux le lavage de cheveux que moi, au final elle a eu plein de savon dans les yeux et j'ai nouer sa chevelure. On sort de la douche et je l'enveloppe dans une grande serviette, mais elle grelotte. Il faisait meilleur dans la douche. Je lui met une autre serviette dans les cheveux, puis je m'enroule à mon tour ensuite je la serre contre moi pour la réchauffer. Puis elle sort chercher son sac et le ramènes dans la salle de bain. En sortant son haut de pyjama elle le fait tomber sur le sol mouillé.
- Merde.
- C'est rien, dors toute nue.
- T'es pas un peu fou dans ta tête.
Je lèves les yeux au ciel.
- Bon d'accord, je vais te chercher un t shirt.
Je soupire et sa la fait rire. Je reviens et lui tend le vêtement.
- Merci bibou. Elle l'enfile ainsi qu'une petite culotte.
- Si tu veux j'ai aussi, trois ou quatre jogging et six ou sept sweats. Dis je de façon de façon sarcastique.
- Ça iras, pour cette nuit, je préfères rester ça. Je la regarde étonnée. Sauf si ça te pose une problème. Bon d'accord, je mets un pantalon.
- Houla non, fait pas ça malheureuse.
Elle rigole. J'enfile un caleçon. Puis je l'aide à se sécher les cheveux et à les démêler. Elle baille.
- Fatiguée ?
- Oui, pas toi ?
- Si. Aller viens, on va dormir dans un vrai lit.
- Dis que le miens c'est un faux.
- Disons que dans le tiens, mes pieds dépasse et que tu m'écrases. Elle rigole.
- C'est toi qui m'écrabouille oui !
On s'allonge et elle se blottit contre moi. Même si elle a toute la place pour s'allonger.
- Bonne nuit bibou.
- Dors bien bibouche.
Elle s'endort. Pas moi, pas tout de suite. Je cherches un moyen de tenir ma promesse, j'ai toujours envie de tuer son père. Plus jamais il ne lui ferras de mal. Je ne veux plus qu'elle ai peur de lui. Je tardes à m'endormir, j'aime aussi la regardée. Comment vais je réussir à la protéger?
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J'espère que le chapitre vous auras plu! En tout cas je vous remercie ! 15000 vues et 1000 votes c'est un truc de fou merci :)
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