Chapitre 51.
Lorsque j'arrive, Eléonor m'attend déjà je ne vois qu'elle. Elle est sublime. Elle saute dans mes bras, je la soulève en la serrant contre moi. Elle a attaché ses cheveux bruns en chignon flou, elle a mis du mascara ce qui agrandis ses yeux bleus magnifiques.
- Tu as mis une jupe ? Je lui demande étonné.
- Euh, oui, t'aime pas ? C'est à Cléa, elle m'a dit que je devais faire des efforts pour te plaire, mais si t'aime pas je saute tout de suite dans mes vieux jeans. Se justifie-t-elle mal à l'aise. Je souris.
- Non, j'aime beaucoup justement !
Elle a mis une paire de collant noir et ses converses grises, un peu trop usées. La jupe est en coton moulante, forme crayon, elle porte une chemise en jean par-dessus et un perfecto noir. Elle est vraiment belle, sexy. Pas vraiment femme, mais féminine ce qui change.
- On voit trop mes grosses jambes, je me changerais chez toi. Je l'avais dit à Cléa que s'était une mauvaise idée !
- Hors de question, tes jambes sont juste sublimes. Aller viens.
Je mets mon sac sur son épaule et place mon autre bras autours des siennes. Elle a aussi un sac de sport avec elle quelle prend à la main.
On rentre chez moi, je balance mes affaires dans un coin dans l'entrée. Puis on rentre dans le séjour.
- Fais comme chez toi bébé.
- Hum hum.
- Tu as faim ? Soif ? J'ouvres le frigo et me sert un jus de raisin.
- Non. Je bois mon verre d'une traite.
- Viens par là.
J'attrape son poignet et me colle à elle pour l'embrasser. Je la soulève et l'assoit sur le plan de travail en me plaçant entre ses jambes.
- Tu m'as manquée Elé.
- Toi aussi bibou.
Elle passe ses mains dans ma nuque, et dans mes cheveux, j'aime tellement quand elle fait ça.
On est interrompu par quelqu'un qui tambourine à la porte.
- Qui c'est me demande elle ?
- Je sais pas, on s'en fou.
- Adelphe Louis Jean Morilliac ! Si tu n'ouvres pas tout de suite on a la clé !
Hurle une voix d'homme derrière la porte. Je descends Eléonor du plan de travail.
- C'est mon père, qu'est ce qu'il fou là...
Je suis contrarié, ça ne présage rien de bon, surtout quand il énonce tous mes prénoms. Qu'est-ce que j'ai fait ? Je vais ouvrir. Il n'est pas seul, ma mère est avec lui.
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