Chapitre-5
Lundi 15 décembre
Londres
22h30
« ça vas te donne pas en publique on en parlera à la maison... » dit-il doucement.
« j'ai appelais un ami pour qu'il nous emmène à notre appartement » souri Mathilde pour détendre l'atmosphère.
« ok »
ellipse jusqu'à devant chez nous.
Le voyage à juste était épuisant, et sen faire de commentaire de se putain d'appartement à trois étage avec se putain d'ascenseur en panne dans se putain cartier de riche avec des putain de Porche, Ferrarie et encore plein d'autre voiture qui valent toute la peau du derche.
« tu viens ou tu compte rester devant la porte encore longtemps » me demande Cameron me sortent de mes pensées.
« oui je vais rentré laisse moi juste le temps de réaliser où je suis. » grognais-je avant de me faire pousser par quelqu'un « HEY ! Vous pourriez faire attention ou au moins vous excusez ! » criais-je au blondinet qui ma poussé.
« désolée » cria-t-il en descendent les escaliers à toute vitesse.
« bon tu viens avant de te faire piétiner par d'autre crétin comme lui » rigole Cameron.
« oui » soupirais-je.
Une foie dans l'appartement je suis juste épaté par la modernité du séjour comprennent salon, salle à manger et cuisine.
« s'est juste immense » m'exclamais-je.
« et ouais » dit mon frère entrent dans la pièce « viens je vais te montrais ta chambre »
« ok » dis-je en le suivent.
On entre dans un grand couloir comprennent cinq porte, Julien entre dans la première porte à droite et allume la lumière la chambre et dans les teintes grises et prunes s'est... Woaw juste sa.
« alors sa te plais ? »
« oui » ma voix vient de sonner comme un cris de gamine qui a eu une surprise.
« bien je te laisse t'installer et après si tu veux il y aura des sandwichs au salon » me sourit-il en sortant de ma chambre.
Je prend bien soins de plier mes habits et de mettre mes robes et vestes sur cintre puis je les range dans ma penderie. Ensuite je vais me chercher un sandwich puis me pose devant la télé.
Une foie finie je me lève et regarde l'heure 23H.
« à demain je vais au lit » dis-je au autre.
Je vais dans ma chambre, j'éteins mon téléphone avant d'aller me coucher.
*il entre, me pousse au sol, ses yeux bleu me regarde, il leurs parlent, lui demande l'argent « je vous ais prévenu que si vous ne me rembourseriez les 15.000$ il y aurait des morts ! » son arme, mes parents, je cris « NAN » il tire et *
« NAN !! ET MERDE ! Bordel ! » commençais-je à pleurer.
Encore et encore se foutu coche-mare... je mets un t-shirt pour ne pas me trimbalais en sous-vêtements, je coince mon arme dans ma culotte avant de sortir doucement de ma chambre pour allais dehors, je marche sur la pointe des pieds ouvre la porte qui donne au escalier, et m'assoie contre un murs. Des bruies de pas retentissant et une lumière éclaire l'endroit ou je suis. Genre je suis une grosse paumer qui à des cernes est le mascara qui coule mais genre tout va bien. Deux jeunes à peine plus vieux que moi parlent en montent les marches. Je renifle comme une grosse k-sos :') ils lèvent leurs têtes et me sourient tout les deux.
« hey you're new in this apartment? » dit le métis, un Anglais évidemment suis-je con !
« hum... heu... je... je suis fran... française. » bégayais-je.
« ho d'accord tu parle anglais ? » dit le blond, mais s'est pas celui qui ma pousser !*en anglais évidemment mais je vais l'écrire en Français *
« oui, bien sur pourquoi j'habiterais ici ou sinon ! S'est toi le mec qui ma pousser tout à l'heure ? » dis-je en anglais évidement.
« heu ouais... désolée » bégaya-t-il.
« à s'est elle donc tu faisais que nous parlez ! » le métis me regarde de bat en haut et s'arrête au niveau de mon arme « elle est pas mal mais pas à fréquenter » dit-il comme si j'étais pas devant eux.
« heu les gens je suis devant vous au cas ou vous serriez aveugle » grognais-je.
« oui je sais » réplique le métis.
« sa te dit de prendre un verre ? » dit le blond.
« Niall qu'est ce que je viens de te dire ! » grogna le métis.
« heu bas s'est que... » je regarde l'heure minuit et demie « il est tard »
« genre il n'est que 23h45 et s'est tard pour toi sa ? » rit le métis « et surtout pour le genre de fille que tu es »
« mais ! Il n'est pas 22h45 !! » me défendais-je.
« si mais tu n'as sûrement pas réglé ton téléphone à heure anglaise mais française » ria le blondinet.
« ah ... bon bah je vais m'habillais et j'arrive » leur dis-je en me retournent et le métis m'attrape le bras.
« tu peux laisser ton arme chez toi on ne tue pas les personnes comme nous. » me souri-t-il.
« ok... »
Merde il ma grillai, sa phrase trotte dans ma tête « on ne tue pas les personnes comme nous » que veut-il dire pare « comme nous » peut être qu'ils font partie d'un gang comme moi ?
Non mets je rêve on ai sûrement ennemis !
Si je récapitule le mec qui à tuer mes parents plus Lottie et son frère font aussi partie d'un grand gang de Londres.
Le blondinet Niall je crois me donne un de s'est mal de crane avec son putain d'accent irlandais sa me fais penser au mec de y a dix foutu anniversaire.
Bref, j'enfile un mini short est un pull avec des smileys dessus et je met des chaussures à talons, je garde mon arme sur moi on sait jamais et rejoint eu merde comment ils s'appellent les gens ?
Quand je sort de l'appartement le blondinet donc Niall je crois et appuyait contre le murs et me regarde comme s'il avait vue un fantôme.
« tu es magnifique » me dit-il en rougissent « à et au faite tu t'appelle comment ? »
« merci, moi c'est Cassis. » lui répondis-je avec un sourir.
« moi s'est Niall » me souri-t-il « tu viens ? J'habite juste en haut. »
« okey »
je le suis, on discute jusqu'à chez lui.
« tu es vraiment français ? » me demande Niall.
« oui pourquoi sa t'étonne ? »
« non c'est juste que à la fac des rumeurs tourne. » me dit-il.
« et qu'est ce que sa a à voir avec les français ?!»
« ho rien de très importent... »
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Alors vous pensez qu'ils sont amis ou ennemis ?
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