Chapitre-4
Lundi 15 décembre
France
19h
Je ne réponds pas à sa question et il se contente de prendre me main pour me réconforter, et je la serre de toute mes forces.
Je n'ai jamais pris l'avion en même temps je n'ai jamais vraiment eu à le prendre donc sa m'arrangeait.
« ne t'inquiète pas ça va bien se passer » me réconforte t-il.
« oui, je l'espère » soupirais-je.
On se mit à parlé de tout et de rien, j'ai appris qu'il étais née le 2 août 1996 donc qu'il avait 18 ans. Je ne le savais pas mais bon. Il m'a dit ses goûts musicaux et on n'en a pas beaucoup en commun mais s'est pas très important. C'est un garçon assez sympathique en faite je ne n'aurais pas pensé qu'il était si gentille je l'imaginais avec un caractère plus... hum « trou du cul » on vas dire.
« tu veux faire quoi ? » me demande-t-il.
« je ne sais pas, et toi qu'est ce que tu veux faire » lui retournais-je la question.
« hum je sais pas, dormir ? » rigole-t-il.
« bonne idée. » dis-je en m'étendent sur le siège assez confortable « quel heure est-il s'il te plaît »
« 21h15, plus que une heure d'avion » me répond-t-il.
« déjà ! »
« ouais, bon bonne sieste. »
Je pris mes écouteurs et les branches à mon téléphone et écoute quelque morceaux de musique. Et je tombe endormi quelque minute après.
*un homme entre et me pousse au sol, ses yeux bleu me regarde, son rire horrible rire pour ses phrases ironique pourave, son arme, mes parents, il tire et dit :
Bonne anniversaire Cassis ! Cassis !*
« Cassis, réveil toi ! »
« Quoi ! » criais-je et me réveil en sursaut.
« Cassis, ça va ? » Me demande mon frère.
« mais... pa... papa et mam... maman... où sont-ils » sanglotais-je « Putain ! » pleurais-je.
« Shh se n'était qu'un cauchemar » chuchote-t-il.
« mais ils étaient là ! Je l'ai aient vus ! » pleurais-je encore plus qu'avant.
« arrête de pleurais et viens ici. » me dit-il et ouvre ses bras pour que je puise mi réfugier.
« sa me reviens tout le temps » pleurais-je sur son épaule.
« je sais, je sais. » me dit-il en me frottant le dos pour me réconforter « s'est fini, tu plus rien à craindre »
« s'est ma faute »
« mais non se n'est pas ta faute » me réconforte t-il « et en plus tu n'avais que sept ans »
« même j'aurais du les vengés ! »
« non, alors là non tu ne connais même pas se mec ... »
« non mais ses yeux couleur bleu, sa peau blanche comme un cachette d'aspirine et son fichu accent Irlandais ou je ne sais quoi, tout ces détails m'enteront à jamais »
« il est sûrement mort... ou pas... mais il doit aussi avoir des enfants, pense à se que sa leurs feraient de perdre leurs parents comme nous les avons perdu. Ils sont sûrement plus grand mais bon. » essaye-t-il de me changeai les idées.
« ouais mais si un jour je le retrouve, il me le payera ! » grognais-je en séchant mes larmes.
« bref, tout vas bien on est presque arriver à Londres » me dit-il avant de retourner à coté de Mathilde.
Bon j'ai refais se putain de coche-mare à la con qui me hante depuis bientôt dix année exténuante. Je me suis jurais que si je retrouverais se mec qui ma retiré mes parents je le tuerais sans pitié tout comme il la fais pour moi. Une hautesse de l'air vient vers moi avant de s'apprêter à parler :
« bonsoir Mademoiselle, je vous prierez de bien vouloir vous attachez, l'avions vas pas tardé à atterrir, merci » elle se retourne et part.
Je m'exécute et peu de temps après Cameron que je n'avais pas vue depuis une heure vient s'asseoir et attache sa ceinture.
« bien dormi ? » me demande-t-il.
« ouais normale quoi, et toi tu étais où ? »
« allais pisser pourquoi ? »
« non comme sa » dis-je puis pouffais-je de rire comme une idiote jusqu'à se qu'une forte secousse fasse bougeait l'avions et je me crispe.
« ne t'inquiète pas on vient juste d'atterrir » rit-il à son tour.
« ah, ah, très drôle ! » dis-je ironiquement « bouffon vas ! » rajoutais-je au passage.
L'avions s'arrête puis on se détache et on sort de l'appareil.
« bon comment s'étaie ton premier vole en avions sœurette ! » me demande Julien.
« normale... »
« allons récupéré nos bagages » souri Mathilde en se dirigeant vers le tapis transportant les valises des passagers.
L'endroit était grand même très grand, j'ai l'impression que mon frère cherche quelqu'un...
« Julien ? » dit un petite voie derrière moi.
Une voie d'ailleurs... assez... familière et stridente. Julien se tourne vers cette fille qui est derrière moi en se moment, il la regarde et me regarde.
« me dit pas que cette put* est derrière moi !?» dis-je à mon frère s'en me retournée, ou sinon je vais faire un meurtre « alors ? »
« hum, se n'est pas se que tu croie nous sommes juste amie, ne t'inquiète pas... » dit-il ayant peur de ma réaction.
« elle t'a trompé, trahi, menti, essayé de te tué et toi tu lui a dit que tu venais ici et putain de merde ! C'est TON ENNEMI ! » articulais-je espèrent qu'elle parte de elle même sens que j'ai besoin de dire à cette petite peste de... merde je ne sais même plus comment elle s'appelle.
« écoute Lottie a changé, elle n'est plus comme avent je te le jure plus depuis que son frère est... » je lui coupe la parole.
« quoi il est mort ?! T'en mieux un con de moins s'est toujours bien ! » grognais-je.
« mon frère n'est pas mort juste célèbre » réplique-t-elle.
« ta gueule toi je t'ai pas cossé ! » lui dis-je en me retournant et la fusillant des yeux « et célèbre ou pas ton frère est stupide » riais-je.
« ou s'est chaud ici » dis Cameron en portent sa valise et la mienne « ravie de te revoir hum... Lucie ? S'est sa ? » dit-il ironiquement.
« Lottie , mon nom est Lottie merde ! » grogne-t-elle.
« ha ! ta meilleure amie est venu te dire bienvenus à Londres » pouffa Mathilde manquant de s'étouffer.
« bon j'ai compris, ciao Julien ! » dit la petite peste blonde avent de se retournait.
« bon débarra! » dis-je et Mathilde rit « putain qu'est se qu'elle foutait là elle ! Ta complètement dérapé, tu veux qu'elle te tue ou sa se passe comment ! » criais-je sur mon frère.
« ça vas te donne pas en publique on en parlera à la maison... » dit-il doucement.
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Voilà le chapitre :3
Vous pensez quoi de la relation Cameron/Cassis ? ❤️
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