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Chapitre 3: Une porte parfumé

Quelques couloirs plus tard, le majordome et moi débouchâmes sur un vaste salon. Ce dernier était extrêmement spacieux et exposait la richesse de ses occupants.

Je dois bien avouer, qu'en rentrant dans la pièce je n'avais pu m'empêcher d'écarquiller les yeux face à tant de luxe, canapé, table basse et tapis semblait si cher que le simple fait de penser au prix me donnait des vertiges. À quelque mètre seulement, une porte à demi fermé laissé apercevoir une salle à manger constitué d'une longue table blanche, et de quelque tableau accroché au mur. Encore une salle luxueuse.

«-Assis-toi la, »me fît le majordome blond m'indiquant d'un geste un fauteuil blanc à l'air follement moelleux.

J'hochais la tête, avant de m'asseoir délicatement dessus posant une fesse à la fois de peur de le détruire avec mon arrière train de vache comme aimait le dire Alice, cette dernière aimait dire que j'avais les fesses d'un éléphant, tout ça parce qu'un jour alors qu'on allait manger chez sa grand-mère, j'avais oser m'asseoir sur une chaise et que cette traîtresse avait craquer, je mettais donc retrouver l'arrière train dans le vide les bras en l'air. Bien entendu, ma chère amie blonde n'a pas manquer cette occasion pour se foutre de ma poire (pêche dans la situation actuel) mais pour ma défense cette chaise en bois avait été rongé par les mites !

Étonnement, rien ne se passa lorsque je posais entièrement mon corps dans ce fauteuil qui pour votre gouverne était affreusement confortable comme je le pensais, j'hésitais même à m'avachir dedans tellement c'était bon, mais les règles de bonne manière m'en empêchait. Sans m'en rendre, j'avais instinctivement fermé les yeux face à tant de bien être, à la maison on a bien un fauteuil, mais ce dernier est beaucoup trop mou et clairement défoncé. Un mouvement sur ma gauche me fit rouvrir les yeux, le majordome blond me regardait d'un air curieux le sourire aux lèvres.

«-Quoi ?! M'exclamais-je légèrement gêné.

-Rien, répondit-il en me détaillant, c'est juste que tu es étranges, tu réagis comme-ci c'était la première fois que tu t'asseyait sur un fauteuil.

Je souris. Tandis qu'il s'asseyait pareillement.

-C'est juste que tant de bien-être doit coûter cher, je veux dire il est si confortable. Avec ce que je gagnais c'était tout juste si je pouvais payer le loyer de l'appartement, me confiais-je.

À mesure que je parlais je me rendis compte que je parlais de ma vie privée à un inconnu que je venais de rencontrer et dont je ne connaissais même pas le prénom. Je m'interrompis brusquement et tentait de changer de sujet.

-Excuse-moi, je dois sûrement t'empêcher de travailler avec toute mes histoires, je peux attendre Cassandre toute seule ça ne me dérange pas.

-Peut-être bien, mais je ne suis pas du genre à laisser une fille seul dans une maison dans laquelle elle c'est déjà perdu une fois, rétorqua-t-il souriant.

Je ne pus m'empêcher de sourire à mon tour, cet homme me met vraiment de bonne humeur. À peine quelques instants plus tard, des bruits de pas résonnèrent dans les couloirs jusqu'à ce que la jolie Japonaise débarque dans le salon, un tas de papier coloré dans les mains.

-Bon, Monsieur Alexander comme je le pensais ne voit aucun inconvénient à ce que tu...oh Cole tu es là ! S'exclama la japonaise, tout en fixant le blond d'un air surpris.

-Oui et je vais vous laissez, fît-il en se levant, à plus tard...

-Gabrielle ! Répondis-je à son interrogation muette.

-Eh bien à plus tard Gabrielle, dit-il d'une voix séduisante.

Il sourit, avant de tourner les talons et de quitter la pièce. Alors comme ça il s'appelait Cole...

-Bon, il faudrait que tu signes toute cette paperasse là, m'informa-t-elle en aplatissant sa pile de papier sur la table basse, tout en me tendant un stylo plume qui avait l'air de valoir plus cher que toute ma garde-robe réuni.

Je déglutis, en prenant le stylos, j'espère au moins que c'est bien payé...

Parcourant rapidement les closes du contrat, je signais ce que Cassandre appelait "paperasse", jusqu'à ce que mon regard étonné tombe en tournant une page sur une close de confidentialité. De tous ce que j'avais lu tout était clair, le salaire était entre nous, largement suffisant pour payer les soins de maman, de plus les conditions de travaille semblait parfaite, seulement cette close me tracassait.

-Qu'est-ce que c'est ? demandais-je en pointant les lettres écrit en gras.

-Oh, juste une close qui garantis que tu garderas le silence sur tout ce qu'il se passera ici.

-Et si je ne le fais pas demandais-je curieuse.

-Ils te feront disparaître, répondit la soubrette d'une voix sérieuse presque sévère.

J'écarquillais les yeux.

-Pardon !

-Mais non je plaisante, lâcha-t-elle hilare, des indemnités, c'est comme même les Lefèvre, c'est vrai qu'ils auraient les moyens de te faire disparaître, mais tout de même, si t'avais vu ta tête !» Continua-t-elle en rigolant.

Je fermais les yeux, Cassandre devrait revoir sa façon de faire des blagues, et le fait qu'ils aient les moyens nécessaires pour que je disparaisse ne me rassurais pas.

Une fois tout les papiers signer, Cassandre m'expliqua qu'elle me prendrait en essaie jusqu'à la fin de la semaine et que si tout se passait bien, je ferais officiellement partis des (je cite) "poupées" de la maison Lefèvre. Elle m'a par la suite donné un "uniforme" composé d'une robe noir vaporeuse avec un tablier blanc, comme elle, une fois celui-ci remis elle me laissa partir, me donnant rendez-vous pour le lendemain.

À ce moment là, je ne pensais pas que cette semaine allait être horrible.

«-Gabrielle ! Hurla Regina, l'une des soubrettes du domaine.

Surprise par l'intonation de sa voix, je laissais glisser un verre plein de mousse entre mes mains, ce dernier telle un lâche alla se briser parterre comme ses cinq autres semblables depuis cette semaine. Le bruis de verre brisée se répercuta dans tous le manoir telle les cloches de l'église un dimanche matin. Je fermais les yeux les lèvres pincé.

-Putain ! Lâchais-je en ramassant rapidement le verres brisées avant que quelqu'un arrives, mais trop tard le mal était fait, et une tornade blonde fît irruption dans la pièce ses yeux marron furieux me cherchant du regard dès qu'elle repéra ma tignasse noir que j'avais préalablement relever en chignon ce jour-la ce que je regrettais amèrement, elle fondit sur moi .

-Qu'est-ce que t'as encore fais  ?! S'exclama-t-elle en allant cherché un balai, je lui tirais la langue tandis qu'elle avait le dos tourner.

-Ça va faire le cinquième de cette semaine, mais qui est l'incompétente qui m'a foutu une empoté pareille ! Continua-t-elle en hurlant.

Je ne répondis étant habituer au critique de cette garce depuis une semaine, j'avais réussi à faire abstraction de ce qu'elle disait, en pensant au fait qu'une seul personne me retenait ici et c'était maman. Un claquement de porte nous prévint qu'une nouvelle personne venait d'entrer dans la pièce. Une Cassandre au joue empourpré et un Cole sur les talon pénétrèrent la pièce. Ce dernier ce précipita vers moi évaluant rapidement la situation, prenant au passage le balais que Regina tenait dans ses mains.

-L'incompétente est présente devant toi Regina est-ce que ça te pose un problème ? Répliqua Cassandre énervée.

-Eh bien ça ne m'étonne pas de toute manière tu as toujours eu un don pour trouver des gens louche.

Pendant que les deux soubrettes se disputaient, je me reconcentrais sur ma tâche histoire, de ne pas me blesser bêtement.

-Ça va ? Me demanda le majordome, tout en ramassant les morceaux de verre.

Je relevais la tête et rencontrais ses yeux bleu. Je souris.

-Bien sûr, à part que je commence à penser que Regina à peut-être raison, depuis que je suis ici j'enchaîne catastrophe sur catastrophe, rien que cette semaine j'ai faillis casser le lustre, briser un vase et de la vaisselle.»

Pour tout vous dire, le lendemain de mon entretien avec Cassandre, le médecin m'a contacter pour m'informer que la situation de maman avait empiré. Ils avaient apparemment remarqué qu'un caillot de sang c'était formé près d'un de ses poumons l'empêchant de respirer normalement. Je m'étais mise à paniquer sachant que ce travaille était la seul chance de maman d'avoir son traitement. La pression sur mes épaules m'avait plus ou moins fait faire n'importe quoi et au lieux de me jeter dehors proprement Cassandre avait eu l'air de comprendre ce que je vivais en même temps, cette dernière était plus ou moins au courant de ma situation.

Soudain, un tintement clair résonna dans la pièce, alors que Gérald le cuisinier entrait dans la pièce, ne s'occupant en aucun cas des chamailleries de Regina et la soubrette japonaise, il se dirigea vers le four dont il sortit un plat tout fumant d'une délicieuse odeur. Mon estomac, infâme démon, se permit le luxe de gargouiller. En l'entendant, Cole se mit à rire. Je le poussais avec mon épaule pour me venger. Me remettant debout je jetais les débris à la poubelle. En me retournant, je vis Gérald un plateau en argents remplis de mets délicieux, se diriger vers moi. Lorsqu'il arriva en face de moi, il me fourras le plateau dans les mains.

«-Apport'ça à m'sieur Alexis

J'ouvris les yeux étonné.

-Quoi ! Pourquoi moi/elle ! m'écriais-je en même temps que la soubrette blonde.

-C'est moi qui m'occupe de ça d'habitude et tu le sais Gérald reprit la blonde.

-Oui et bien maintenant ça à changer Gabrielle, deuxième étages, troisième portes à gauche m'indiqua-t-il en me poussant par derrière.

Intérieurement je remerciait Jéry qui m'avait sans aucun doute donné le plateau à fin de me laisser une seconde chance de faire mes preuves après ce début de semaine chaotique.

Je tournais la tête et aperçu une Cassandre morte de rire et un Cole...boudeur ?!

-Qu'est-ce qui te fais rire la japonaise !» S'écria Regina avant que la porte ne se ferme derrière moi m'empêchant de faire demi-tour.

«-OK, OK, deuxième étages puis à gauche, tu peux le faire Gabe, murmurais-je pour moi-même.

Je commençais à monter les escaliers marches par marches pour ne pas faire tomber le plateau. Depuis que ma période de test avait commencé, je pouvais être sur d'une chose, c'est que je n'avais jamais vu le visage de monsieur Alexis. "C'est étrange" vous allez me dire, et c'est vrai mais pas tant que ça, j'avais entendu dire Monsieur Lefèvre avait beaucoup de boulot, et bien que ma curiosité m'ai poussé à le chercher partout dans le manoir, je n'était pas tombé sur lui une seul fois. Et la je vous vois venir "tu connais internet ?" eh bien figuré vous que mon réseau internet bug. Mais après une semaine de curiosité inassouvi, j'allais enfin avoir l'occasion de voir son visage. Je crois même que c'est aussi pour cette raison que Gérald m'avait envoyé lui apporter son repas, car dans ma grande discrétion j'avais du lui parler de l'envie d'apercevoir son visage.

Arrivé devant la porte indiqué, je soupirais un bon coup. Des effluves de parfums plus au moins fort parvinrent jusqu'à mes narines. Cassandre m'avait informé que cet pièce servait de laboratoire pour la confection de nouveau parfum. Libérant une de mes mains je toquais à la porte. Aucune réponse ne me parvînt et comme pour appuyer ce silence pesant, l'horloge derrière moi sonna vingt-et-une heure.

Tendant une main vers la poignée, j'ouvris doucement la porte et me glissais dans la pièce.

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Pardon ! J'avais comme qui dirais...oublié...de poster le chapitre hier 😅 alors... Le voici aujourd'hui ! J'espère qu'il vous à plu au moins. À votre avis à quoi peut bien ressembler Alexis, le voyez-vous vieux ou jeune ?

À très vite.

Kaliko02

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