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Chapitre 24🖌

Nouvelle tournure

(Alphonse)


  - C'était très cruel et peu malin, M. Alfonso, me dit le mec aux cheveux rouges.

  Il était assis devant moi, les jambes croisées, en train de boire une tasse de thé froid.

  Je venais de me réveiller, il y a à peine quelques minutes. J'avais mal au coeur , à la tête...en fait, dans mon corps en général. Au début, j'avais pas compris la raison de cette douleur. C'était comme si on m'avait frappé à répétition et qu'on m'avait fait charcuté par un scientifique fou en même temps. J'avais l'impression qu'on m'avait vidé de mon sang.

  Puis je me suis rappellé ce que j'avais vécu et où j'étais. Quand j'ai voulu me venger des deux gars gothiques, que j'ai balancé leur chat et que j'ai nargué le faucheur de Wish. J'avais aussitôt regretté.

  Pourtant, de ce que j'avais subi, il restait que cette douleur et un peu de sang sur ma langue .Le mec m'avait donc donné de l'eau avant de me dire ça.

  - Je sais pas de quoi t-v...vous parlez.

  Je me rends compte que j'allais le tutoyer mais que je ne sais pour quelle raison ma langue en a décidée autrement.

  Le mec pose sa tasse sur la table avant de me fixer du regard. Soulé, je décide de le soutenir avant de me rendre compte...

  ...qu'il avait exactement le même regard que son reuf.

  Je l'ai déjà pensé plusieurs fois, mais ils avaient ce genre de regards qu'on oublie jamais. Celui qui donnait l'impression qu'il sait tout de vous. Que ce soit vos qualités ou vos défauts. Vos peurs et vos envies. Vos joies et vos tristesses.

  Peut-être même qu'il est devenu...

  MOI...?

  À cette pensée, j'arrête tout de suite de le regarder et baisse les yeux.

  Comment ça se fait que quand au moins l'un de ces deux mecs te regarde droit dans les yeux tu les détournes comme une tapette? T'es un bonhomme ou non?!

  - Alphonse Alfonso, il m'appelle, ce n'est pas la peine de mentir, je suis déjà au courant de la situation.

  Je me tourne vers lui avec une grimace soulée.

  - Ouais, c'est bon!

  - Pourquoi avez-vous fait cela? il me demande.

  Mes sourcils se froncent.

  - Écoutez, Monsieur, il m'avait énervé, lui aussi. Sa manière de parler, son Cosplay éclaté au sol.

  Qu'il réponde pas à me provocations...

  - Son chien qui m'a frappée.

  Le fait que tout le monde le protège sans raisons.

  - Et surtout... QU'ILS M'ENPÊCHENT DE ME BARRER, J'EN AI MARRE DE CET ENDROIT ET DES GENS QUI SONT ICI!!

  J'avais crié cette dernière phrase avec rage, en me levant sans m'en rendre compte. J'halète suite à ça en regardant le Lord, ( c'est comme ça que je vais l'appeler, ça lui va bien). Il n'avait pas réagit, il restait assis en tenant sa tasse dans les airs en me fixant droit dans les yeux. Je détourne le regard et m'rassois sagement, comme un gamin.

  - "Chien"...? Tu parles de Nuggets? il me demande.

  - Nuggets? Pourquoi vous me parlez de bouffe?

  Le Lord penche légèrement la tête sur le côté avant de poser la tasse et de joindre ses doigts sur ses genoux.

  - Nuggets est le..."coéquipier " de 13 Douleurs, si je puis dire. C'est le copropriétaire de cet appartement.

  Je le regarde sans comprendre. Il soupire. Il lève les mains, les colle l'une à l'autre avant de les écarter. Une lumière rouge sort de ses paumes alors qu'une silhouette, grandissant de plus en plus, apparait entre elles. Je la reconnais peu à peu.

   C'était celle du mec que j'avais menacé et qui avait faillit me tuer. Ce lui que j'ai appellé le ''MonstreéclatéausolquimecasselespiedsplusquelefaucheurdeWish".

  - C'est...Lui? je demande.

  - Oui, affirme le Lord.

  - Bah, je parle bien de lui, je lui signale.

    Il souffle de nouveau avant de lever la tête vers moi avec un air calme. Il me regard droit dans les yeux, se redresse,  et me fait signifier d'un coup de tête de le suivre. J'ai donc obéis, je me rends compte  qu'il se dirigeait vers l'entrée. Il lève l'avant-bras, matérialise une clé rouge dans les airs avant de la glisser dans la serrure et de la tourner à l'intérieur. La porte s'ouvre à mon grand étonnement.  Je le fixe avec un regard complètement surpris avant de lui demander:

    - Vous me laissez partir...?

  Il hoche la tête avant de me fixer de son regard bizarre.

  - Pourquoi...? Je croyais que vous vouliez que je reste.

  Il reste muré dans le silence un moment avant de me dire, sûr de lui:

  - Je sais que vous allez revenir.

  Je plisse les yeux, mal à l'aise avant de faire un petit ricanement et de dire
En fuyant:

  - Vous avez pas intérêt à me suivre.

  »»————-o————-««

  Les sourcils froncés, je sort de l'immeuble qui a été ma prison et mon hôpital pendant quelques jours. Je lève la tête, la main droite au dessus des yeux pour éviter que la lumière du soleil m'aveugle et regarde le ciel. Au vu de la couleur orange du ciel, il doit être dix neuf heure.

  J'avance dans le quartier que j'aurais jamais cru voir un jour, vu que je bouge pas de ma zone de base.

  Je marche dans les rues, les mains dans les poches, la capuche sur la tête avec une envie exagérée de fumer. Après avoir marché tout droit, au pif, je finis par reconnaître le faux restaurant japonais tenu par la vieille espagnol.

  Satisfait, je ricane, tape deux fois sur la vitrine pour vérifier que c'était pas un rêve.

  - Eh bien, gamin, ça fait trois-quatre jours que t'as disparu!

  Je me tourne vers la patronne du restaurant, assis sur sa vielle chaise, une bière (🍺) à la main.

  - Je  me suis embrouillé avec des mecs balèses  et du coup, j'ai dû me cacher.

    Elle rigole et me frappe le dos violemment, ce qui me coupe le souffle pendant quelques instants.

  - Allez! J'espère que tu les as défoncé! En tout cas, bon courage à toi et tes p'tits potes !

  En me frottant le dos, je lance un vague "Ouais, c'est ça'' et m'éloigne avec un air blasé. Je marche encore quelques mètres tourne à  gauche et souris encore une fois de satisfaction. Devant moi se trouve un grand hangar abandonné.

  L'endroit que je cherchais.

  Je m'avance, sans laisser le temps à mes pieds de traîner dans le sable. Arrivé en face, je me baisse, glisse mes doigt sous la porte et la soulève.

  Eh beh...Elle est plus lourde que dans mes souvenirs.

  Je la referme, rentre à l'intérieur et cherche l'interrupteur dans l'obscurité jusqu'à qu'une lame m'arrête en se plaquant contre ma gorge et qu'une voix me dit avec ton moqueur:

  - Yooo, chef! Ça fait grave longtemps qu'on s'est pas  vu! On a finit par croire que tu était mort!

   Pour toute réponse, je lui lance un regard énervé accompagné d'un juron vulgaire et lui crie:

  - Matthieu! Enlève cette saleté de couteau.

  Il ricane, s'execute et s'éloigne. Je soupire, et lève la tête en entendant:

  - Re, chef!

  Cette phrase de bienvenue a été prononcée par tout les membres. Matthieu, un gars  de seize ans qui s'est échappé d'un centre de détention pour mineur. Scar un mec de mon âge qui suit les traces de son père, qui n'est autre qu'un dealer. Anonymous, un cagoulé âgé de dix neuf- qui est d'ailleurs le plus âgé de nous, qui a purgé sa peine, pour cause de vol à l'étalage . Et enfin Taylor, le plus jeune d'entre nous, qui a fuit pour ne pas hériter de l'entreprise de ses parents. À bien y voir, on est une troupe plus que bizarre...

  - Et du coup, t'étais où? me demande Mathieu.

  - Bouffe tes ch'veux, et laisse-moi, toi.

  - Eh! C'est méchant, tu sais très bien que je peux pas avoir de cheveeeeux... il gémis.

  Je ricane encore et leur dis:

  - Pour tout vous dire, je me suis fait kidnappé par des gars, qui dise qu'il vienne d'animés et tout...

  - Me fait pas rire, lance Anonymous, toi comme nous savons que c'est des fake-news!

  - Ouais, mais en attendant, j'ai qu'une envie c'est de les défoncer.

  - Ah oui! Une baston, ça faisait longtemps! dit Taylor.

  - Te réjouis pas trop vite, l'arrête Scar, faut qu'on voit si les M.D.Rs n'ont pas donné de nouvelles.

  Ah oui...C'est vrai, j'ai complètement oublié nos missions de passe-partouts...




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