Chaque coup laissait une cicatrice
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Sarah: Morte?
Moi: Ou.. Oui
Sarah: Ce n'est pas ta faute, comment tu pourrais savoir ?
Elle me dit de rester à la cuisine et qu'elle va revenir, ensuite Mohamed rentre, et me souffle à l'oreille de le suivre, j'ai même pas osé le regarder dans les yeux, peut être par ce que je me sentais trop coupable, et les pleures d'Amir me résonnait à l'oreille comme une fausse note de cloche qui fait archi mal aux timpans, mais moi c'était au cœur.
J'ai suivis Mohamed au sous-sol sans le savoir car deja je connaissais même pas la maison, il ferma rapidement la porte derrière lui, c'est à ce moment que l'information m'arrive au cerveau.
Je paniquait car j'avais une idée de ce qui m'attendait, Mohamed n'allait pas m'enfermer au sous-sol pour faire l'éventaire LOL.
Il se déplaçait machinalement et se metta un peu à distance tout en me fixant et ses yeux me transmettait déjà le déroulement des faits, ma conscience me disait de fuir cet animal.
j'ai lancé un regard vers la porte et j'ai couru la grater pour essayer d'ouvrir, je me disait tout le temps que c'est stupide ces genres d'action dans les films, alors que j'ai fait exactement pareil. mais c'était peine perdu elle était condamné , je l'entendit s'approcher de moi, je senti le danger dans son souffle, je me retourne apeuré pour le faire face, à ce moment je me sentais comme un animal pris au piège par un animal plus féroces, genre une biche piégée par un loup, c'était moi la biche évidemment.
il avait le démon dans les yeux ,les temporaux ressortis et la mâchoire crispée. Je m'adossa contre la porte, comme si je voulais m'y fondre.
J'ai voulu le supplier mais aucun son ne sorta, sauf mes larmes qui exprimaient ma peur et mon angoisse . Ma respiration devenait irrégulière, mon poul s'accélérera.
Lorsqu'il leva la main , je sentis un liquide froid me couru au dos,
J'avais peur!
Il me prend par le col et me claque , une fois, deux fois, trois fois, puis une quatrième, et ça ne s'arrêtait plus, je ne pouvais plus contrôlé mais criait que j'ai mal,déjà que j'avais le visage amoché.
Il me claqua jusqu'à ce que je saigne de la bouche et du nez, ma vision était brouillée. Mais je voyais le jet de sang qui sortait de ma bouche.
M'a pris avec les deux main et me frappait contre le mur avec une telle rage , les blessures que j'avais au dos qui ont été pensées me fessaient atrocement mal.
Quand il eut la flemme il me Jetta par terre, je cogna la tête contre quelques chose, je passa ma main et senti un truc quand j'essaie de soulever ce fut un barre de fer. Je relève la tête légèrement et le voit de dos entrain d'insérer la clef dans la serrure. Je rassemble toute la force qu'il me reste, pour me jeter sur lui avec le barre de fer lui tombe dans le dos tel un fouet, il hurla et se retourne,mais je lui servi un autre au visage.
Il tomba au sol, je me précipite dehors et sort en rampant, il y avait une petite porte entre ouverte où je voyais la lumière du jour. Je me dirige vers celle-ci et atterri exactement dans la cour. Je rampa toujours au sol quand je sens quelqu'un m'attrape par les cheveux.
Il me trainait sur et me conduit dans une chambre, il me Jetta sur le lit,s'assoit sur moi et essaie de m'étrangler.
Mohamed: Personne ne fait pleurer mes enfants!!!!
Je voyais plus rien, j'ai cru que c'était la fin. Durant les temps que j'ai passé avec lui, à plusieurs reprises j'ai cru que c'était la fin pour, j'ai cru allais fermer les yeux et ne plus les réouvrir, mais Dieu en a toujours décidé autrement.
À ce moment quelqu'un se battait avec lui pour qu'il me lache, il finit par le faire et Sarah se précipite vers moi, me demandait si je vais bien , mais je répondis pas, à regarder dans l'état dont je suis comment peut-on me demander si je vais bien??
Elle prit une toile et me fait pou bandage sur le front pour cesser le sang, Mohamed est sortie accompagné d'une personne je ne sais pas qui mais c'était la voix d'un homme.
Ensuite une équipe médicale se précipitait autour de moi comme lorsqu'on est bloque d'urgence.
Ayant perdu trop de sang je perdit connaissance...
{...}
Comment ai-je pu atterrir là? C'est la question que je me suis posée quand je me suis réveillée. Mon père pourrait me trouver en moins d'un jour pourquoi j'ai choisi de collaborer avec lui?
Jusqu'ici j'avais jamais connue une telle maltraitance, ce ne peut être un cauchemar, et je vais me réveiller bientôt... Mais non la réalité était belle et bien en face de moi je vivais un enfer , 3 jours déjà, 3 jours que je pouvais plus contrôler les gifles...
Je pleurais à chaudes larmes, et elles me brûlaient le visage, je criais pour que mon père m'entende et vient me chercher.
Je vis Sarah se précipiter dans la chambre et essaya de me calmer, mais je ne pouvais pas m'arrêter de pleurer, tout ce qu'elle fessait était vain.
Moi: METS MOI UN MIROIR EN FACE, JE VEUX ME VOIR.
Elle hésite, mais la façon dont j'insistais elle partie le chercher, elle revient avec ensuite et place devant moi. J'étais complètement défigurée, le visage enflé,un énorme pansement sur le front,les yeux Gonflés et lèvres fendues , je pouvais voir les marques de ses doigts. Je ne me reconnaissais pas, je hurlais et m'arracha les cheveux, je me débattais, et Sarah était dépassée par la situation, deux infirmières rentrèrent dans la chambre essaient mais n'y arrivaient pas, je piquais latéralement une crise. L'une d'elle m'administra une dose qui me fis fermer les paupières tout en pleurant en douce.
{...}
Je ne savais plus depuis combien de jours que j'étais dans cette chambre.
Une infirmière venait tout les jours me faire les soins et me donner à manger, comme si j'étais dans un vrai clinique.
j'étais toujours sou l'effet de la drogue, qu'on m'injecte pour éviter ma crise.
Mohamed il n'est venu qu'une seule fois, une fois que j'ai senti quelqu'un m'observer, je pouvais pas ouvrir les yeux, mais j'ai senti son parfum.
Moi: Pourquoi ?... pourquoi tu me fais ça??
C'est une question que je lui ai toujours posé dans ces moments là, dont je n'ai jamais eu la réponse.
Cela fessait 3 jours qu'on ne m'a rien injecté, donc j'ai commencé à reprendre les forces et me sentais un peu mieux.
Sarah était passée comme tout les jours pour voir comment j'allais.
Même si j'allais mieux je fessais semblant de ne pas pouvoir parler, je ne pouvais m'empêcher de la mépriser, quand je me fessais tabasser elle n'avait pas lever le petit doigt, donc maintenant pourquoi jouer à la maman?
L'infirmière passa par la suite et me conduit à la douche pour mon bain.
Moi: je veux voir mon corp... fais moi voir.
Elle m'aide à me placer devant un miroir, mon visage allait mieux, mes yeux n'étaient plus gonflés mais j'avais des gros bleues, et pleins de cicatrices dans le dos, pleins de bleus sur le corps, j'ai toujours eu la peau nette et voilà en laps de temps j'étais complètement tachée partout.
Infirmière: Ne vous inquiétez pas, le monsieur à prit contact avec un grand dermatologue Américain qui viendra spécialement en france pour vous, tout cela va disparaître.
Moi: Ils peuvent disparaître sur mon corp mais jamais dans ma mémoire.
Infirmière: Je suis navrée.
Elle m'aida à m'habiller et m'apporte à manger ensuite, comme tout les jours.
Ensuite je restais enfermé me morfondre sur mon sort, m'endors, me réveilles et se fit la routine. Et je n'allais pas mieux .
{...}
On s'agitait autour de moi, alors que tout ce qu'on me fessait ne me soulageais pas. J'avais mal, je tremblais, je citais le nom de ma mère, mon père, mes sœurs, de Paul. Je les voulais auprès de moi, je pleurais, on me donnait des médicaments que je voulais pas prendre craignant que se soit de la drogue, ils finissent par me faire avaler sans mon consentement.
Le docteur: lorsque sa température diminua, emmenez la prendre de l'air ça va lui faire du bien.
Je me suis calmée petit à petit et je fixais le plafond, il était là , j'ai senti son parfum, il me prit par la taille et me soulève du lit, j'aurais voulu me rebeller mais j'avais aucune force. Alors je me laissais faire.
Il m'emmena sur la terrasse, et Me fit m'assoir sur une longue chaise, le soleil me tapait à l'œil au début je pouvais pas ouvrir,ensuite je m'y suis habituée et j'ai ouvert les paupières timidement, la vue du jardin était belle et me plaisait, je me sentais blasée et fade face à toutes cette beauté naturelle.
Il se tenait debout auprès de moi comme s'il craignait que j'allais tombée.
Moi: Tu..as... tu as vu tout ce que tu peux faire pour tes enfants ? Imagine mon père me voit dans cet état ? Il t'aurait fais pire crois-moi.
Il m'a fallu beaucoup d'énergie pour parler, je le regardais pas , en fait depuis le jour qu'il m'a battu, ce n'était pas par peur mais par mépris.
Il ne me répondait pas et s'en va.
Quelques temps après il revient me chercher et me conduit dans la chambre.
Quand j'entendis quelqu'un entrer j'ai fermé les yeux craignant que se soit Sarah.
Mais non ce fut les enfants.
Je rouvris les yeux et les voient, ils avaient la mine triste et un peu hésitant.
Moi: Approchez...
Ils s'approchèrent lentement et Amir se cachait derrière sa sœur.
Samira: Tu es malade?
Moi: Ou.. Oui.
Samira: on étais chez Grand-mère c'est pourquoi on est pas venu te voir.
Amir : Papa nous a dit de ne pas t'approcher car tu es dangereuse.
Comment a t-il pu mettre une idée pareille dans la tête de ses enfants? C'est plutôt lui le dangereux qui ne devait pas les approcher.
Moi: D'après vous je suis dangereuse??
Ils secouent leurs têtes négativement, alors je souris.
Moi: Eh bien c'est déjà ça , on sera amis en cachette sans qu'il sache.
Je leur fis un clein d'œil et ça les a plus ils ont souris.
Samira : Mais plus jamais tu prends la place de maman.
Moi: Plus jamais, dis-Je en levant la main en signe de promesse . Vous allez me dire ce que je ne dois pas faire et moi aussi je vous dirai comme ça on serait amis pour la vie.
Eux:🙂🙂
Moi: D'accord ??
Samira: D'accord !!
Je regarda Amir avec insistance, il grommela un ok du bout des langues et j'en étais ravie.
Amir: Commrnt tu t'appelles?
Moi: Morgane
Samira: c'est jolie, tu es une princesse?
Moi: non
Samira: tu ressembles aux princesses de Disney
Moi: vous êtes déjà aller à Disneyland?
On a discuter un bon moment, commençons à développer des complicités. Parler avec eux m'as vraiment fait du bien.
Je vis Mohamed nous espionner dans l'encadrement de la porte et je fis comme si je l'ai pas vu.
Moi: vous faites quel classe?
Amir : Moi je suis en CP
Samira : et moi en CE
Moi: Ouahh mais c'est bien, moi j'ai pas été à l'école comme vous, on me fessait l'école à la maison.
Samira : Ahh oui?
Moi: oui
Ils sont restés avec moi, pendant plus qu'une heure de temps, ils me racontaient pleins de trucs. Au début Amir était timide mais il s'est relaxé ensuite. Lorsque Sarah est venu les chercher ils ne voulaient pas partir, alors Mohamed était obligé d'intervenir.
Mohamed: Qu'est-ce qui s'passe? Pourquoi vous voulez pas descendre ??
Samira : on veut rester avec Morgane
Mohamed: MAIS QU'EST-CE QUE J'AVAIS DIS?? VOUS N'DEVEZ PAS ÊTRE LÀ!!
Samira : Mais elle est gentille Papa.
Il a commencé à les crier dessus et les enfants étaient rebelles surtout Samira, par contre Amir ça se voyait c'est un garçonnet à papa, il voulait pas désobéir mais ça se voyait qu'il voulait rester. Alors j'y suis intervenue.
Moi: Samira.Amir , approchez(ils sont venus vers moi) je viens de vous dire que ce n'est pas bien de désobéir. Je voudrais pas que vous sortez non plus, mais puisque votre père le dit faites le. (Et je leur murmure à l'oreille) vous reviendrez demain.
Ils ont souris, et m'ont fait la bise ensuite ils sont sortis.
Sarah et Mohamed étaient choqués, ça se voit qu'ils utilisent la force avec eux. Ensuite ils sont sortie et je suis restée seule.
Point de vue Mohamed
Sarah: je paris que cette femme c'est une sorcière, tu as vue comment elle les a Calmé vite fait?
Moi: Humm
Sarah: Pourquoi l'avoir emmené ici Mohamed eihn? Tu n'as jamais rien fais pareil ici
Moi: Il faut qu'elle soit en sécurité, ce n'est pas une fille du bloc,que je prend par ce que son frère me doit de la thunes ou pour des conflits de tess, cette meuf elle s'appelle Morgane pas Myriam ou Bintou, c'est une babtou, en plus c'est une bourge de la haute classe, il faut que rien lui arrive.
Sarah: Et tu l'as tabassé comme ça là??
Moi: Fallait pas faire pleurer mes enfants ça non.
Sarah: Mais c'était pas sa faute deh.
J'ai pas répondu mais j'ai tracé dans le salon, azy tout ça commence à me zehef, dès que je la vois j'ai envie de la niquer, en vrai sa tête ressemble à un éponge de box que j'ai envie de me déchaîner dessus. Déjà son regard me vener, mais maintenant qu'elle me regarde plus, ça fou plus la rage. Mais elle est là au calme et joue à la meuf sereine.
Je me suis jeter sur le canapé et j'ai commencé à boire pour me détendre.
Et je regarda sa photo posé sur la petite table, je la pris et la regarde entrain de me sourire, elle me souriait tout le temps, dire que j'ai été un gros con, elle m'a donné deux gosses et moi je lui ai fais que de la misère. Voilà que maintenant je veux faire les choses bien, elle sera pas là pour voir.
Point de vue Morgane
Il rentra dans la chambre et tire les rideaux, ce qui fait que le reflet du soleil me tapait au visage, je pris l'oreiller et mis sur ma tête.
Mohamed: Vas-y, va prendre un bain, de là où j'suis tu m'pète le nez parce que tu pue.
J'ignore complètement sa remarque.
Moi: Et l'infirmière??
Il est sortie sans répondre à ma question, j'enleva l'oreiller et fait des efforts pour prendre ma douche. Ça fait des jours que je l'ai pas pris toute seule. Il y avait un placard dans la chambre où il y a quelques vêtements. Rien de féminin, que des énormes T-Shirts et short de sport.
J'opte pour un haut rouge et un jogging noir, histoire d'avoir un air moins sombre. Je me regarde dans le miroir et m'arrange les cheveux en un faux chignon en bas du crâne, il y avait quelques mèches rebelles, mais bon. En plus j'avais pas de chaussures, rien, depuis la soirée du Gala je sais pas ce qu'ils ont fait de mes escarpins.
J'avais quelques égratignures au visage, mais plus de pansement.
Je décida de sortir de la chambre, pour aller prendre de l'air et surtout voir les enfants.
Je descendis les escaliers qui n'étaient pas nombreux, à peu près 10 marches, c'était une maison typiquement américaine.
?:MORGAAANE!!
Je me retourne et c'était Samira qui était assise au salon, je lui fis signe de se taire en mettant l'index sur les lèvres. Elle souriait et guettait mes pas, je marchais sur la pointe des pieds, pour arriver à son niveau.
Moi: Bonjour
Elle me fait un câlin que je lui rendis, en même temps je vois Amir au coin qui nous regarde avec peine, je lui fais signe de venir, ce qu'il fait rapidement et on fessait un câlin à trois.
Mohamed: OHH VOUS FAITES QUOI??
On sursauta, mais on se sépara pas, il m'était de dos.
Amir: on fessait un câlin à 3, tu veux venir?? Il y aura de la place pour toi...
Au fond de moi j'espérais qu'il dit non, ce qu'il fis.
Mohamed: Non!.. j'ai... j'ai des choses à faire.
Il s'en va et les enfants et moi , nous nous asseyons sur le tapis pour discuter.
Amir me raconta son cauchemar, comme quoi un poisson géant lui a mordu, tandis que Amir elle a rêvé qu'une Bonne fée est venue habité chez elle et qu'elle ressemblait aussi à une princesse, et comme par magie je ressemble à cette fée-princesse.
Sarah: YOHAN!! KIM!! Mais c'est quoi ces enfants?? On dirait qu'on leur a jetté un sort, ils disparaissent tout le temps.
Les enfants se cachaient et me faisaient signe de ne pas parler mais on riait en douce, et Sarah elle s'énervait.
Sarah: SI JE VOUS RETROUVE JE VAS VOUS TAPER DANS VOS FESSES, VOUS ALLEZ VOIR QUE MOI JE VAIS PAS RIRE AVEC VOS LONGS CRÂNE COMME LES CHAUSSURES DE VOTRE PÈRE.
Mohamed: Ils ont quoi mes chaussures??
Sarah: EST-CE QUE JE TE PARLAIS TOI??
CE SONT TES MOMES JE VAIS LES TAPÉ CROIS MOI, ILS CROIENT QUE JE SUIS LEURS POTES ET VEULENT JOUER À CACHE-CACHE.
En quelques pas, elle nous a découvert, on étais tellement étonné, elle a commencé à taper avec un coussin. Même moi j'ai pris, les enfants ils étaient mort de rire.
Ensuite elle leur dit d'aller se laver les mains et qu'ils vont passer à table.
Samira:Papa Morgane peut manger avec nous??
Je fessais les grands yeux, après ce qui m'est arrivé la dernière fois, je voulais pas prendre de risque.
Moi: Non , je vais manger dans ma chambre.
Ils ne proteste pas, Je m'en alla dans la cuisine, pour que Sarah me sert.
En quelques pas Mohamed me marcha sur les talons,il m'attrapa par Le Bras pour que je lui fais fasse.
Je leva les yeux vers lui vu qu'il est plus grand. Je le défia, on est resté dans cette position, quelques secondes ensuite je dévia le regard, il devait se sentir vainqueur à ce moment.
Mohamed: Fais attention à tout tes gestes, car je vais pas jouer ni toi et sale gueule.
Moi: ok
Je commençais à peine à récupérer,j'allais pas lui faire la grande gueule à nouveau, ce n'était pas le moment.
Mohamed: Je vais me déplacer et vais pas rentrer, un seul faux pas et j'ai des hommes partout qui te mettront une balle dans l'crane.
Moi: Ensuite, mon père te mettrait deux dans tes couilles.
C'était plus fort que moi,je ne pouvais pas ne pas le mettre à sa place, à chaque instant je devais le rappeler qu'il risque sa peau en me gardant près de lui.
Il me donna un gifle magistral,qui me renversa carrément au sol.
Il allait continuer mais Sarah s'est intervenue.
Sarah: Non,Mohamed il y a les enfants pas loin.
Il s'en alla , et elle m'aide à me rincé la bouche qui saignait.
Sarah: Lui répond pas quand il te parle.
Moi: Dans ce cas qu'il me mette un scotch sur les lèvres et m'attache sur une chaise, c'est comme ça qu'on traite les kidnappés.
Elle me regarda avec peine et ne répondis pas.
Je monta dans ma chambre j'avais même plus envie de manger.
Mais rester enfermé était encore plus nulle.
Mais j'avais pas d'autres choix.
?: Salut
Il se tenait au pas de la porte et me souriait, et moi sans savoir pourquoi je souriais aussi, car j'ai senti sa présence comme une lumière en plein nuit.
Moi: Salut(sourire)
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