chapitre V
Pourvu qu'elles rentrent vite de ce foutu toure du monde.
Car cette année.. Je la sens pas du tout.
Et comme on dit le temps passe vite quand on s'amuse.. Bon je sais que je vais pas m'amuser au lycée.. non là je vais me la jouer la femme invisible !
Mais je vais plutôt m'investir dans un travail plus intéressant... J'imagine déjà tout les petits gadgets utiles a ajouté a ma belle armure.
Mon probleme est comment la faire bouger. Peut- être que je devrais abandonner l'idée de connecter mon cerveau, et plutôt télécommander l'armure depuis chez moi.
Pendant que j'étais dans les nuages, ma tante décide d'interompre mes belles pensées.
" Nous allons prendre l'avion se soir pour plus de prudence. Nos valises et les affaires d'Amélia sont dans le coffre de ma voiture. Donc elle rentrera avec vous. Et demain elle ira au lycée comme prévu. "
" J'ai l'impression d'être une plante verte que vous laissez a des voisin "
" Mais non ne dit pas ça chez nous c'est comme un troisième chez toi ! "
Dis Tante laure essayant de me mettre à l'aise.
"Ca fait quatre ans que je n'ai plus de chez moi "
Je sais que ce que je viens de dire a dû blessé tante Rose.. mais je n'y pouvais rien !
Les mots sont sont sorti touts seuls, tout comme les larmes qui viennent de couler sur mes joues..
Je ne pouvais pas rester ici. Je me suis excusé et sorti avant que mes larmes ne coulent davantage.
Je m'assis sur l'un des bancs qui se trouvaient dans la rue.
Derrière moi des bruits de pas.. Des chaussures à talons.
Avec le temps j'ai appris a savoir à qui appartenait ce bruit, mais je n'osait pas me retourner..
" Ca fait trois ans..."
Je me retourne. elle était la les mains croisés, elle viens s'assoir a côté de moi.
" De quoi tu parle..? "
" Tu as perdu ton père en deuxième collège.. Et là tu es seulement en deuxième lycée. Ça peut parraitre comme quatre ans, mais on est seulement en octobre. Il reste encore deux mois avant que ta troisième année ne finisse et que la quatrième commence "
" Trois ans que quoi.. ? "
" Que tu crois que tu n'a plus de chez toi.. "
Ces mots m'ont touché en plein coeur.
"Mais c'est vrai je n'est plus de ..."
Elle m'interompu
" Tu a la maison de tes parents... chez moi... chez mes parents, euh ... tes grand parents... Je veux dire que, ou que tu ailles, il y aura toujours une maison pour t'accueillir.. Car tu a un grande famille. Une chance que beaucoup d'autres n'ont pas. "
Elle trouve toujours les mots qu'il faut..
Elle reprends.
" Et c'est toi qui n'a pas voulu venir avec nous ! Dieu sais la raison ! Entre nous je crois que c'est un amour que tu ne veux pas laisse derrière toi ! De peur qu'une autre te le prennes ! "
Et on en partis dans un fou rire.. Genre on ne pouvais pas l'arrêter !
" Bien sur que non ! "
Après être retourné au café, on a tous discuter et un peu rie.
Sauf le garçon, nommé kylianne, qui est resté, tout le long de la soirée.
En rentrant, on a accompagné tante Rose et Lana à l'aéroport. Et on est rentrés chez eux.
Leur maison est immense ! Et magnifique !
La façade est tellement blanche !
Dès qu'on entre,on pénètre dans une petit salle toute en marbre, avec une vieille chaise au coin, un beau tapis noir et à gauche une grande armoire en bois noir.
" Cette armoire serre a ranger les chaussures. Il reste deux étage en bas mets y tes chaussure ! "
Dit tati Laure avec un grand sourire.
Oncle David et kylian rentrent par la deuxième porte, tandis que tati Laure m'aide a tout ranger.
Mes chaussures n'ont même pas réussi a remplir un étage.
J'enfile mes pantoufles en forme de bottine toutes chaudes en laine rouge avec des flocon en blanc que j'adore.
Je rentre dans la deuxième pièce qui menait au reste de la maison.
Le sol est entièrement en parquet. Les murs sont en blanc cassé. Et plus loin des escalier en marbre avec un rempe dorée.
A peine rentrés, une jeune fille vêtue de noir et blanc avec un gros chignon bien serré, viens prend ma veste et celle de tati Laure.
Tandit qu'une autre vient prendre mes valises.
Au moment ou elle allait saisir mon sac à dos, je l'en empêche.
" Laisse, elle va ranger tes affaires dans ta chambre ! "
" Ok.. Mais je garde mon sac ! Je veux le ranger seule.. "
" Comme tu veux ! "
Dit-elle en se dirigent vers une autre salle.
" Tu viens ? On vas boir un verre de thé avant de dormir ! j'aurai aime boire un verre de vin mais tu na pas l'age "
ok
Je crois bien que je n'ai pas le choix ! Je m'avance avec elle jusqu'à un salon sublimement bien rangé.
Deux minutes après nous être installés dans les sublime fauteuil en cuire blanc, une dame est venue nous servir du thé.
" Quand tu étais petite tu venait souvent ici avec ta mère. Vous étiez inséparables, je comprend qu'elle te manque, et que ni moi ni rose ne pouvons la remplacer... Mais sâche que nous serions toujours là pour toi !"
Et la voilà repartie dans son délire de psychologie !
Bon j'aime bien tati Laure.. Mais quand elle joue les psychologues ! Ça devient chiant !
" Et comprend que ta tante ne t'a pas abandonnée ni laissée.. "
" Je sais, c'est moi qui voulais rester. "
" Et je me demande pourquoi ! "
" Chacun ses raisons.. "
On a parlé toute la nuit, mais on a dû aller chacune dans sa chambre, car il se fesait tard.
En parlent de chambre..
La mienne est très.. comment dire.. féminine.
Du rose presque partout !
Les couvretures du lit sont assorties au rideau. Des motifs fleurits rose dans un fond blanc. Les mur sont aussi en blanc avec des fleurs rose.
Le lit est trés grand. La chambre est spacieuse.. Elle a un grand balcon qui donne vers la piscine, et juste derrière un peu plus loin une forêt plutôt dence..
Je sortit pour mieux voir. Je me tourne à gauche et j'appersois à ma grande surprise ma maison !
La maison où j'ai grandie ! Où je vivait avant la mort de mon père.. je souhaite tellement y retourner mais je ne peux pas.
En me tournant à ma droite, j'apperçois un autre balcon.
La distance entre celui-là et le mien et vraiment petite !
Soudain la porte de l'autre balcon s'ouvre et Kylianne sort.
Il était torse nu, une chaise à la main. Il l'installa et s'assit et regarda le ciel sans brancher.
Il n'as toujours pas remarqué ma présence.
Cela dura un bref instant mais quand nos regards se sont croisés, j'ai eu l'impression que mon sang n'a fait qu'un tour.. Il avait enfin remarqué que j'étais la.
" Tu fou quoi ici ? "
" Ma chambre est juste là. "
" Et tu fous quoi avec se sac sur la dos. Tu compte fuguer ? "
Je viens seulement de remarquer que je porte toujours le sac ou y avait mes trucs personnels.. Comme mon matériel de travail.
" Euh non. "
" Si tu veux fuguer, fais le, je serai débarrassé de toi. "
Ses parole n'avaient rien de blessant. Mais au fond j'ai compris que je m'entendait pas bien avec lui, je preferait rentrer.
Mais au moment ou j'allait partir, il me pris par mon poignet.
Il me colla à lui. Son bras droit entoura mes hanches, et sa main gauche sur ma nuque, m'obligeant à le regarder droit dans les yeux.
Il étais très proche.
Trop proche.
La seule chose qu'était entre nous étais la barrière qui séparait nos deux balcons.
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