Mission 4 : Aveux autour de pâtisseries
Jean-Jacques pétrissait la pâte depuis déjà dix minutes, tout en grommelant des injures à l'encontre du système et de son rival. Il lâcha la chouquette préfabriquée et sortit, d'un pas énervé, le framboisier, déjà prêt, de son réfrigérateur (il ignorait depuis quand il avait un), et y plaça la chantilly.
Il le rangea à nouveau et finit de fourrer les gâteaux de crème tout en soufflant d'une rage contenue.
« Je sens une certaine fureur chez l'hôte, pourquoi est-ce que cet hôte se sent tellement énervé ?, demanda le système de manière honnête.
- Je suis dépité de devoir cuisiner pour l'homme que je ne supporte pas de voir ! Pourquoi moi d'ailleurs ? N'est-il pas avec sa merveilleuse TP ?, gémit Rousseau.
- Ne vous en faites pas hôte, l'homme Voltaire est encore célibataire à ce jour, affirma Google Home.
- Ah ? Et alors ? Ce n'est qu'une question de temps, répondit JJ en haussant des épaules.
- L'hôte fait vraiment preuve d'une obstination sans failles ».
Jean-Jacques ne répondit pas à cette pique lancée par le système, se contentant de l'ignorer tout bonnement. Il préféra se concentrer sur la fabrication de la pâtisserie.
Plusieurs minutes après, les deux desserts étaient prêts. Curieux de savoir quel goût cela avait, JJ piqua une chouquette et mordit dedans. Une myriade de saveurs entre crème, pâte et sucre notamment, explosa dans sa bouche, le laissant savourer le gâteau plus longtemps qu'il ne le pensait. Il regretta que ceux-ci soient laissés à cet avocat de malheur. S'il avait su plus tôt quel goût ces petites boules de crème avaient, il en aurait conçu bien plus. Cependant, il chassa ce regret et se concentra sur le problème, se demandant comment il donnerait les pâtisseries à Voltaire sans paraître repentant.
« L'hôte devrait se changer, ceci est un conseil de ce système, fit remarquer sagement celui-ci.
- Je m'habille comme je le souhaite, s'insurgea l'écrivain.
- Comme vous voulez hôte ».
Le bruit de la sonnette retentit dans l'appartement, coupant court aux élucubrations de Rousseau. Il paniqua, ne sachant s'il devait ouvrir ou se changer avant. Il opta pour la deuxième solution. Il se réfugia dans sa chambre et s'habilla à la vitesse de l'éclair (à l'avocat lol). Il se figea en voyant les porte-jarretelles autour de ses jambes. Il se ressaisit et enfila la première chemise qui lui passa sous la main, termina de s'habiller et se précipita à toute allure vers la porte d'entrée.
Il regarda dans la lunette avant de se crisper, voyant le visage d'un certain avocat bien connu se refléter à l'intérieur, une pochette sous la main et semblant marmonner quelque chose.
« Hum Hôte... Vous... Vous avez oublié-, tenta de faire remarquer le système.
- Oh ! Il suffit ! Je n'ai pas besoin qu'on m'embête encore plus !! Tais-toi donc un peu !! »
- Mais hôte... Comme vous voulez... », marmonna Google Homme.
Jean-Jacques hésita mais il ne souhaitait pas ouvrir la porte sinon cela signifierait qu'il devrait le laisser rentrer, ce qu'il ne voulait pas. Il entrouvrit la porte avant de seulement passer sa tête et de demander l'air de rien :
« What's going on ? »
Voltaire haussa un sourcil face à la nonchalance de l'individu et son mauvais accent. Il répliqua dans un parfait anglais :
« I'm bringing you some documents for the business, you forgot it.
- Pfff, vante-toi donc, souffla JJ.
- C'est toi qui as commencé, je te rappelle, insista Volt, d'ailleurs, tu laisses souvent tes hôtes sur le palier de ta porte ?
- Seulement s'ils s'appellent Voltaire », expliqua Rousseau.
L'avocat leva les yeux au ciel.
« Bon, me laisses-tu entrer ? », interrogea-t-il.
Jean-Jacques pensa aux pâtisseries, ce qui lui fit penser que ce serait un excellent moyen de les lui donner et de récupérer les points.
Il s'effaça et ouvrit la porte, laissant l'autre homme entrer dans la pièce.
Voltaire se retourna vers lui, sembla vouloir dire quelque chose mais s'arrêta, son regard étonné avant de rougir légèrement et de détourner la tête sous les yeux confus de Rousseau.
Il se racla la gorge avant de lâcher, le bout des oreilles rouge :
« Sympa la chemise de nuit... »
Quelques secondes s'écoulèrent avant qu'un déclic n'ait lieu dans le cerveau de Jean-Jacques.
« Ce que j'essayais de vous dire, hôte, c'est que vous avez oublié de vêtir un bas... Ne vous en faites pas, ce système a allongé la chemise pour qu'elle aille jusqu'à vos genoux et- », débuta le système avant de se faire couper par un Jean-Jacques rouge comme une écrevisse et s'étant précipité à toute allure dans la chambre.
Il claqua la porte et se laissa glisser contre elle.
Pourquoi avait-il l'impression que tous les malheurs du monde s'acharnaient contre lui ?
Il cala sa tête entre ses bras, se recroquevillant et souhaitant juste s'enterrer dans un trou de souris tellement la honte l'étouffait.
« Hôte, ne vous en faites pas, ce système a-.
- Tais-toi », murmura l'écrivain avant de se replonger dans un mutisme complet.
Un silence s'écoula ainsi pendant quelques minutes sans qu'aucun bruit ne vienne le perturber. Toutefois, au bout d'un moment, un coup retentit contre la porte de la chambre. Rousseau ne dit mot, ignorant tout.
Il pouvait bien pleuvoir des éléphants, il s'en moquait !! La honte ne le dérangeait pas, mais devant lui, devant cet homme... cela le rendait... cela le... Pourquoi n'arrivait-il pas à mettre des mots sur ce qu'il ressentait ?
Jean-Jacques se décala pour se blottir dans un coin du mur, derrière la porte, espérant que le monde entier oublie son existence.
« Jean-Jacques ? », interrogea une voix douce connue derrière cette même porte.
Le nommé ne bougea d'un pouce, ne semblant même plus respirer.
La porte s'ouvrit lentement, dans un léger grincement, laissant transparaître la silhouette de l'avocat. Il tourna la tête, cherchant la personne du regard avant de la trouver, fermant la porte à moitié derrière lui et se dirigea vers lui avant de s'asseoir juste à côté.
Il resta silencieux également, laissant une atmosphère légèrement pesante entre eux. Il prit finalement la parole le premier :
« Hum, Jean-Jacques, si tu t'inquiètes de ce qui se passe, ne t'en fais pas, je ne dirai rien et je ne juge pas les autres même avec des penchants plutôt... étranges, mais ce n'est pas grave, je comprends. Moi-même, j'aime manger des avocats et pourtant, j'en suis allergique. Je suis également très cynique sur tout, je... ne fais pas forcément attention à ce que je dis et si je vais blesser la personne d'en face. J'ai déjà blessé TP à plusieurs reprises...
- Ça n'a rien à voir avec toi..., marmonna l'écrivain sans pour autant relever la tête.
- Oui, enfin, balbutia Voltaire, je suis quand même responsable. Je suis venu à l'improviste, j'aurais au moins dû t'avertir et... »
Sa phrase resta en suspens avant qu'il ne reprenne la parole.
« Je... J'ai trouvé les pâtisseries sur la table et... je n'ai pas pu y résister..., confessa-t-il, les oreilles rouges d'embarras, et les chouquettes sont réellement excellentes. Tu... ne m'en voudras pas de t'en avoir mangé une dizaine ? Et-
- Tu en as mangé la moitié à toi tout seul ???, s'exclama Rousseau en relevant son visage, ses yeux écarquillés et n'y croyant pas ses oreilles.
- Hum, fit-il en se raclant la gorge, mon principal défaut autre que d'être cynique est celui de la gourmandise en ce qui concerne les pâtisseries. Es-tu heureux de le savoir ?? Je pensais que tu étais déjà au courant.
- Non, je ne passe pas ma vie à t'observer, grommela JJ.
- Tu m'as déjà observé ? », s'enquit un Voltaire curieux.
Jean-Jacques se crispa et garda le silence.
« Oublie, ce n'est pas important. Cela dit, je ne pensais pas que tu aimais les chouquettes alors que tu préfères les mille-feuilles, lâcha l'avocat.
- Ah ??? Comment sais-tu que je préfère les mille-feuilles ?? », s'étonna l'écrivain.
Ce fut au tour de Voltaire de garder le silence dorénavant.
« Peut-on changer de sujet ?, marmonna subitement l'avocat, en tout cas, je ferai comme si je n'avais rien vu.
- Vraiment ?
- Bon, si tu veux tout savoir, j'ai déjà eu le même genre d'altercations avec Denis, avoua-t-il.
- Denis ?, demanda JJ.
- Denis Diderot, tu le connais ?
- C'était... mon meilleur ami, lâcha Rousseau avec amertume.
- Oh... Je l'ignorai, déclara sincèrement l'autre homme.
- C'est normal... Je lui ai dit des choses... qui ne sont pas réparables maintenant...
- Le regrettes-tu ?
- Depuis quand es-tu mon confident ?, s'enquit Jean-Jacques avec ironie.
- Écoute Jean-Jacques, si tu veux que les autres t'écoutent et t'aident, il faut y mettre un peu du tien, souffla Voltaire, sinon tu vas te retrouver tout seul. Je fais moi-même des efforts pour toi, pour t'écouter.
- Rien ne t'oblige à rester ici, tu peux partir quand tu veux, cracha l'écrivain, de toute façon, un être comme moi ne mérite que la solitude absolue ».
Volt fronça les sourcils, poussa un soupir et se leva, quittant la pièce et laissant l'autre seul.
« Voilà, c'est toujours comme ça, je me retrouve toujours seul, je suis solitaire de toute manière... » pensa JJ.
Des larmes commencèrent à couler sur son visage, laissant de longues traînées. Il remit sa tête dans ses bras et sanglota silencieusement.
Des pas se rapprochèrent de lui et le bruit d'une assiette posée devant lui se fit entendre. Jean-Jacques se figea, ne souhaitant pas montrer son visage larmoyant à la personne devant lui. Cependant, il n'eut pas le temps car il fut soulevé dans les airs, une surprise totale affichée sur sa face, ne s'attendant visiblement pas à cette tournure des événements.
« Mais, mais, mais », bégayait le pauvre JJ, complètement perdu.
Il fut déposé sur le canapé, une couverture enroulée autour de lui et une assiette reposée à nouveau devant lui, sur la table basse de la salle à manger. Jean-Jacques cligna des yeux, déboussolé devant cette situation incongrue.
Que venait-il de se passer ? Telle était la question qui tournait en rond dans la tête de Rousseau.
L'instant d'après, il fut ramené dans les bras de quelqu'un, son dos touchant le torse de la personne, un parfum enivrant de fleur d'oranger parvenant jusqu'à ses narines.
« + 40 points de satisfaction du personnage Voltaire, + 60 points d'affinité avec le personnage Voltaire. Félicitations utilisateur, votre affinité avec Voltaire a dépassé la barre normale en seulement quelques minutes », félicita le système de sa voix nasillarde.
Rousseau en resta bouche bée.
« Hein ? Quoi ?, balbutia-t-il.
- Maintenant, tu vas arrêter de te lamenter sur ton sort, Jean-Jacques. Tu vas te calmer d'abord. Arrête de croire que personne ne veut de toi, c'est faux », affirma l'avocat.
Jean-Jacques était tendu au début, pourtant le parfum et une pâtisserie enfournée dans sa bouche le détendirent au fur et à mesure.
« Attendez, depuis quand je me languis dans les bras de ce fruit de malheur ?? », se demanda l'écrivain.
« Depuis que l'hôte a décidé d'affronter ses propres sentiments », répondit le système.
« Comment ??? Je n'ai jamais décidé de cela ! » s'écria intérieurement JJ.
« Hôte, avouez-le, vous avez le béguin pour cet homme depuis votre adolescence, mais vous n'avez jamais voulu le lui avouer. Au contraire, vous vous êtes enferré dans votre négativité et votre opiniâtreté, vous persuadant que vous ne méritiez rien et avez commencé à perdre confiance en vous, vous dénigrant de plus en plus. Voilà ce qui s'est passé, hôte » annonça le système d'un ton neutre.
Rousseau en resta comme deux ronds de flans. Ce système le connaissait mieux que lui-même, ayant pointé du doigt ses défauts et ses doutes et les énonçant comme s'ils étaient de très vieux amis.
« Ce système a esquissé un portrait psychologique de vous en se basant sur votre comportement et vos souvenirs, car ce système s'est permis de fouiller dans votre mémoire afin de vous aider au maximum dans votre quête », avoua-t-il.
« QUOI ????, cria JJ au fond de lui, Comment peux-tu faire ça ?? C'est privé !! »
« Ce système n'aurait jamais pu aider l'utilisateur si celui-ci n'avait pas regardé vos souvenirs. Toutefois, ce système gardera cela privé et n'avouera rien. Cela fait partie de notre contrat de confidentialité, ne vous en faites pas », expliqua celui-ci.
« MAIS », protesta l'esprit de l'écrivain.
« Sur ce, hôte, concentrez-vous sur le temps présent et les sentiments que vous nourrissez à l'égard de cet homme. Reprenez-vous et lancez-vous. Ce sont les seules suggestions de ce système », conseilla celui-ci.
Rousseau allait se remettre à contester lorsque deux bras chauds et forts s'enroulèrent autour de lui pour le tirer dans une étreinte, le rapprochant encore plus qu'il ne l'était de l'autre homme.
« Je te parle depuis tout à l'heure et tu sembles m'ignorer. Parlerais-tu à quelqu'un d'autre ? », murmura Voltaire dans un souffle à l'oreille de Jean-Jacques.
Celui-ci prit une teinte des plus rouges, de la même couleur qu'une tomate bien mûre.
Pouvait-il aimer Voltaire ?? C'était impossible !!
« C'est impossible !! Lâche-moi et retourne auprès de ta petite amie !! », s'emporta un Rousseau complètement hors de lui.
Il se débattit et tenta de s'extirper de la poigne de ce maudit avocat mais celui-ci resserra encore plus sa prise.
L'apparence de Jean-Jacques était assez pathétique à ce moment-là, les yeux rouges et larmoyants, l'apparence négligée et les cheveux hirsutes.
« Hôte, calmez-vous, on dirait que vous essayez de séduire votre amant », se moqua gentiment le système.
JJ sentit la moutarde lui monter au nez, ne supportant pas les taquineries mesquines du système.
« Jean-Jacques, écoute-moi un peu, ordonna Volt, je ne sors pas avec TP !!! »
Cette phrase eut pour effet de le calmer, se retournant vers l'autre, un regard empli de confusion.
« Écoute, souffla Voltaire, je ne considère TP que comme ma meilleure amie. De plus, elle est déjà en couple avec quelqu'un d'autre, un certain Tony Vivaldi. Je n'ai aucun sentiment envers elle, tu peux me croire, je suis sincère ».
L'écrivain tourna sa tête vers la table basse et porta son regard vide vers l'assiette de pâtisseries, un silence s'installa à nouveau entre eux, lourd et rempli d'attente.
« Alors, pourquoi es-tu comme ça ?, chuchota JJ.
- Parce que... parce que tu me fais pitié et-, commença à expliquer l'avocat.
- Je n'ai pas besoin de ta pitié !!, renchérit l'écrivain en recommençant à se débattre.
- Non, mais, écoute-moi deux secondes avant de recommencer ton numéro !!! », s'exclama Volt.
« L'utilisateur est un vrai clown 🤡 », insista Google Homme.
Jean-Jacques ne fit aucun commentaire mais sa mine se renfrogna à sa blague.
« Ce n'est pas mon but d'être condescendant, continuait Voltaire, j'aimerais simplement que tu arrêtes ce genre de comportement avec tout le monde.
- Je ne peux pas me changer, je suis tel que je suis et-, lâcha Rousseau.
- Jean-Jacques, tu es comme ça parce que tu le veux ou parce que tu as arrêté de croire en certaines choses ?, interrogea sincèrement l'avocat.
- Je... Je..., avoua JJ avant de laisser sa phrase en suspens.
- J'ai lu ton livre, tu sais ?, reprit Volt.
- Que ? QUEWA ???, sursauta Jean-Jacques à l'aveu de l'autre homme.
- Oui. Ton livre Les Confessions. J'ignore si tout est vrai mais... j'ai appris des choses intéressantes sur toi..., lâcha Voltaire tout en jetant un coup d'œil rapide à ses jambes (précisons au lecteur qu'il porte toujours les porte-jarretelles) avant de rediriger son regard vers sa tête, et hum, j'espérais que tu serais aussi honnête envers moi que dans ton livre.
- Je ... »
Jean-Jacques ignorait quoi répondre à ce que venait de lui dire l'avocat.
Comment pouvait-il avoir lu son livre ??? Il pensait qu'il se moquerait de lui, qu'il lui ferait remarquer ses drôles de goûts, mais bien au contraire, il ne semblait ni le juger, ni s'énerver contre lui. Et franchement, Rousseau aurait préféré que cet homme s'insurge contre ses passe-temps douteux afin qu'il puisse lui répliquer. Seulement, dorénavant, il ne savait absolument pas comment réagir. Se sentir honoré ? Dégoûté ? Heureux ? Plusieurs sentiments et émotions se mélangeaient en lui, le bouleversant complètement et le laissant à nu devant l'autre.
« Hôte, arrêtez d'être stupide. Vous êtes amoureux », affirma le système d'une voix dépitée.
L'écrivain sentit son cerveau surchauffer à cause du surplus de révélations et d'informations, cela eut pour effet de le faire s'évanouir complètement, telle une diva, dans les bras de l'autre sous la surprise générale du système et de Voltaire.
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Hey, coucou ! Oui, désolée si le chapitre finit abruptement mais je ne savais pas comment l'arrêter XD.
J'espère que cela ne va pas trop vite mais en fait, comme je reprends les personnages avec les caractères provenant du livre de Tuyau, bah je détaille pas vraiment, donc je vous conseille d'aller lire ses deux livres principaux dans l'ordre : "Harem Reverse Game" et "Mon Meilleur Ennemi" qui sont des pépites XD.
J'ai aussi la nécessité de faire avancer très rapidement cette histoire car elle a un lien important avec RAS ("Réincarnation d'une auteur schizophrène"), donc j'ai besoin que le récit soit au même niveau que RAS quand elles seront liées XD.
Ceci dit, j'espère que les interactions vous auront plu ^^. J'ai peut-être eu tendance à accélérer le comportement de Volt envers JJ, mais je suis partie du principe qu'il était déjà amoureux de lui donc bon, il profite de la situation XD.
Que pensez-vous de JJ ? Perso, on devrait lui botter les fesses, il est dans le déni tel un Soliès XD. Et que pensez-vous du système ? L'aimez-vous bien ? :D J'essaye de le rendre un peu sympathique XD.
Sur ce, à bientôt UwU.
FF
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