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❁🂱 37. Méchant démasqué.

____CHAPITRE 37____

-N'ignore pas ton instinct. Tu n'es pas parano. Ton corps peut sentir les mauvaises vibrations. Si un pressentiment au fond de toi te dit que quelque chose ne va pas, qu'il s'agisse d'une personne ou d'une situation : crois cette sensation - Anonyme-

❁___Adriana___❁

18 janvier - 21h23
BARCELONE - ESPAGNE - BOÎTE DE NUIT.

La musique pulse dans mes oreilles alors que je pousse la porte de la boîte de nuit avec Ava à mes côtés. Les enceintes vibrent sous mes pieds, et les néons me tapent directement en pleine face. Ava a insisté pour que je l'accompagne dans cet endroit, ce que j'ai accepté à une seule condition : aucune de nous deux ne doit boire d'alcool ce soir, ce qui n'est véritablement pas une mince affaire étant donné son addiction au whisky écossais. 

Je me sens différente ce soir. Peut-être que c'est dû aux talons qu'Aaron m'a offerts en France ? Certaines n'arrivent pas à marcher avec, mais moi j'adore l'effet que ça me donne. J'ai l'air plus entreprenante, plus féminine.

Ava me tire sur la piste de danse. Je me laisse faire et écoute les paroles des musiques qui défilent dans mes oreilles. Je ne fais pas particulièrement attention mais quand les paroles de la chanson "Criminal" de Britney Spears apparaissent, j'arrête de danser.

But mama I'm in love with a criminal,
Mais maman, je suis amoureuse d'un criminel,

And this type of love isn't rational, it's physical,
Et ce type d'amour n'est pas rationnel, c'est physique,

Mama please don't cry, I will be alright,
Maman, s'il te plaît, ne pleure pas, tout ira bien,

All reason aside I just can't deny, I love the guy.
Toutes raisons mises à part, je ne peux pas le nier, j'aime ce gars.

Je ne peux pas passer une soirée sans qu'une allusion à Aaron glisse dans mes oreilles. C'est comme s'il avait créé un pacte pour que chacune de mes pensées divaguent sur lui et sur son corps béni.

Mais c'est quand je lève les yeux que tout bascule vraiment.

Les mêmes yeux qu'il y a des mois, le même regard, la même coupe et surtout le même sourire.

Vichaï Wongchaï alias mon ex alias l'homme le plus toxique et infidèle de cette terre.

Mon corps se fige instantanément. Ses yeux me scrutent. De loin, j'aperçois l'emprise qu'il a sur moi. Mon cœur s'emballe, les battements de mon cœur augmentent.

Ava... ? Il faut qu'on dégage d'ici.

Il faut vite que je la retrouve avant qu'il ne vienne causer la guerre dans mon esprit.

Je tourne le corps mais c'est trop tard. Il s'approche, d'un pas sûr et certain. Son sourire se tord. Je veux m'éloigner, je devrais m'éloigner, mais mes jambes restent ancrées au sol. Je ne peux ni bouger, ni m'enfuir, il y a beaucoup trop de monde autour de moi et presque personne ne pourra m'entendre. Et sans surprise, il m'interpelle.

Adriana, trésor.

Encore cette même voix anglaise qu'il tente de maîtriser depuis des années. Même sa voix emplit mon espace personnel et ravive des souvenirs que j'aurai préféré ne jamais rencontrer.

J'ai toujours eu des sentiments pour toi. J'ai oublié les moments où je te voyais avec d'autres filles sous prétexte qu'elles travaillaient avec toi. J'ai rogné les moments où tu me demandais de ne pas m'approcher des garçons alors que tu agissais de la même manière de ton côté. Je t'ai laissé avoir un tel contrôle sur moi que mon corps semblait t'appartenir. Mais en réalité, je n'étais qu'une poupée prise au piège dans une relation toxique. C'est ce que j'aurais dit si j'avais le courage de l'anéantir sous mes mots.

On peut parler deux minutes. Ça ne sera pas très long.

Je serre les dents. Lui esquisse un sourire, les coins de ses lèvres se courbent légèrement. Mon estomac se noue. Je ne peux plus le supporter.

Laisse-moi tranquille. Je n'ai pas envie de te parler Vichaï. C'est du passé.

Adriana... tu m'as toujours manqué. Toi et moi, on avait quelque chose de spécial. Ce que tu penses être du passé n'est jamais vraiment fini.

Les souvenirs défilent sous mes yeux. Il se penche en avant. Je veux lui hurler de foutre le camp et pourtant, je ne fais rien, je reste figé comme des centaines de fois dans le passé. J'ai toujours pensé qu'il m'aimait et pourtant c'était un amour toxique, il me manipulait comme il manipulait mes sentiments sincères...

Je n'ai pas le temps d'ouvrir les yeux après un clignement qu'une voix que je connais parmi mille apparaît. À quelques pas de moi, son regard sombre me fixe.

Qui sait ce que tu pourras faire en deux minutes. La notion du temps ne t'a jamais questionné, enfoiré ?

Vichaï se fige. Au départ, je ne comprends pas pourquoi mais quand je baisse le regard des yeux d'Aaron, je vois l'arme coincée contre le ventre de mon ex.

Aaron ne dit plus rien. Sa mâchoire est serrée si bien que ses traits durcissent. Sa silhouette est tellement imposante à côté du corps de Vichaï.

Qui es-tu connard ? Son nouveau plan cul ?

Si tu parles une seule autre fois, mon plan sera d'enfoncer mon flingue dans ton cul. Mais comme j'ai dit, ça ne reste qu'un plan.

Vichaï s'éloigne de moi et se tourne vers Aaron. Un bon vingt centimètres les séparent. Et pourtant entre la musique, les lumières, je ne vois que l'arme entre leurs deux corps.

Tu ferais mieux de ficher le camp. Maintenant, dit-il en appuyant le flingue contre son ventre.

Vichaï serre la mâchoire et resserre les poings. Aaron n'annonce plus rien, son simple regard suffit à lui faire comprendre la dangerosité qu'il détient.

Mon ex me dévisage. Il lance un sourire narquois et décide de s'éloigner, doucement, si doucement que moi-même je veux balancer mon poing dans son visage.

On se reverra Adriana, ajoute-t-il avant qu'Aaron ne lui frappe l'arrière du crâne.

Un léger sourire apparaît sur mon visage. Je lève les yeux vers mon mari par contrat. Il est debout près de moi et marche vers mon corps. Malgré l'arme dans sa main, je me sens en sécurité en sa présence. C'est presque malsain ?

Il range son arme derrière son dos puis pose sa main sur ma joue, si délicatement, que je me tortille presque dessus.

Nous avons passé de tellement bons moments. J'ai retrouvé le sourire à ses côtés, j'ai ri à ses côtés et j'ai vu à quel point il pouvait être protecteur sans être toxique dans les moments où j'avais besoin de lui.

Je pince mes lèvres et lui prends le bras, l'emmenant plus loin, dans un endroit isolé. Seule la musique glisse dans mes tympans.

T'as pas conscience de ce que tu viens de faire Aaron !

Il le fallait. Je n'ai pas peur de ce connard.

Dans l'un des couloirs de ce bâtiment, je le pousse, dos contre mur. Son corps rebondit faiblement et il se laisse faire en gloussant.

Vichaï ne m'allait rien faire. Il l'aurait fait, j'aurai crié. Et puis qu'est ce que tu fiches ici au juste ?

Je voulais te voir.

À ces mots, son regard se fait plus perçant. Nous nous regardons sans nous quitter des yeux. Mes joues s'enflamment. Heureusement que sous cette faible lumière, il ne peut pas distinguer grand-chose.

Tu voulais me voir ? On s'est vu il y a quelques heures.

On ne s'est pas vu, on s'est embrassés, puis on a couché ensemble. C'est deux choses distinctes. Ensuite, je suis venue t'offrir des fleurs et...

Je lui donne une frappe à l'épaule. Il sourit et sans que je dise autre chose, il me ramène contre lui après avoir enroulé son bras autour de ma taille.

T'es gênée ?

Gênée de quoi ? Pff, raconte pas des conneries.

Sortez-moi de cette situation, je vous en supplie...

Je ne sais pas, tes pommettes sont rouges. Ça a un lien avec ce que je viens de dire ?

D'un geste de la main, il fait pivoter mon corps et c'est moi qui prend sa place contre le mur. Sa main prend l'une de mes mèches de cheveux et la replace en arrière. En dernier temps, comme si tout cela ne suffisait pas, il se penche en avant.

Qu'une seule nuit et pourtant j'en ai encore envie. Est-ce absurde d'entendre ça ?

Des frissons traversent mon corps. Je me mords la lèvre au contact de son souffle près de mon visage.

Ce n'était qu'une nuit, pas une de plus. Maintenant dis-moi ce que tu dois me dire.

Il semble déçu. Mais ses lèvres viennent tout de même embrasser la commissure de mes lèvres.

Je retourne chez moi, à Los Angeles. Même si je ne le veux pas, je dois y aller, on a besoin de moi pour les derniers préparatifs.

On va se revoir dans moins d'une semaine et pourtant, je veux qu'il soit près de moi pour les derniers jours qu'ils nous restent. Après ça, nos chemins, à Aaron et moi vont nous séparer...

Aaron n'a rien d'un mafieux ordinaire, surtout lorsqu'il s'agit de moi. Là où d'autres m'auraient simplement ignorée, Aaron s'est montré prêt à franchir des règles, tout cela pour moi. Depuis le début de notre rencontre, il a fait des choses que je n'aurais jamais imaginées venant d'un homme de son milieu sombre.

Au fil du temps, il s'est montré attachant, n'a pas hésité à intervenir quand j'étais au plus bas et dans une situation délicate. Je pensais que sa protection était de trop durant la première partie de notre mission mais j'ai trouvé que cette protection nous a plus rapproché qu'autre chose...

Il me protège, non pas par devoir, mais par choix. Il a fait le choix de m'aider à payer mes dettes et à prendre soin de moi. Et même si nous ne sommes pas en mission, il le fait toujours.

Fais attention à toi. Si Vichaï réapparaît, je m'occupe de son cas.

Aaron m'a aussi prouvé que j'avais de la valeur à ses yeux. Il me protège de ses ennemis et assure ma sécurité même si d'après lui, nos mondes sont différents.

Le stylo et la feuille sont différents, le couteau et la planche à découper aussi. Mais ils se regroupent pour former une alliance qui les fortifie ensemble et qui leur donne une possibilité d'accomplir leur devoir.

Nous sommes différents Aaron et moi et pourtant nous nous sommes rapprochés comme deux aimants cherchant le but de leur vie.

Aaron ?

Prêt à partir, Aaron se retourne pour m'adresser un dernier regard. Sans réfléchir, je réduis l'espace entre nous. Mes mains se posent sur sa mâchoire avec douceur avant de capturer ses lèvres dans un baiser, un baiser empli de tout ce que je n'ai pas su lui dire, rempli d'espoir...

Aaron, je tiens à toi. Tellement que tenir à toi devrait être interdit après les avertissements que tu m'as donnés.

Ses mains chaudes glissent le long de mon dos avant de m'attirer avec une force presque possessive.

Nous rompons enfin notre étreinte, le souffle court. Il me fixe avec un sourire tendre.

N'oublie jamais, Adriana. Même si je suis loin, à des milliers de kilomètres, tu es dans chacune de mes pensées. Chaque minute de ma vie, je la consacre à toi.

Il s'incline vers moi et m'embrasse une dernière fois, ses lèvres pressent les miennes, doucement presque désespérément. Puis il s'éloigne en me jetant un dernier regard par-dessus son épaule.

Il sourit, mais moi, je sens mon cœur se serrer. Je pleure intérieurement car un pressentiment rôde en tête.

Et ce pressentiment n'annonce rien de bon...

***

20 janvier - 17h10
BARCELONE - ESPAGNE - SUPERMARCHÉ.

Deux jours. Deux jours que je m'occupe de la maison, que je surveille mon petit frère, que mes parents me parlent mais mon esprit reste ailleurs, sur le fait que bientôt, la soirée va débuter et qu'après tout sera terminé.

J'ai eu des moments de réflexion que je n'ai jamais eu depuis le début de notre relation avec Aaron. Du genre toutes les choses qu'il a fait pour moi, avec moi, contre moi : Il m'a embrassé, il m'a protégé, il a pris une balle pour moi et j'ai compliqué les choses en avouant qu'il était important dans ma vie.

Je crois que son absence est plus dure que ce que je pensais. Je crois même que je ne pourrais pas vivre sans avoir à penser à lui.

Je crois même que depuis un certain moment, mes sentiments se développent à son égard et ça me fiche la trouille car je ne peux pas tomber amoureuse d'un homme dans un milieu aussi dangereux pour ma famille. Au tout départ ce n'était qu'une mission. Quand est-ce que tout a basculé... ?

En ce moment, je fais les courses dans un supermarché du coin. Tout type d'ingrédients passent entre mes mains : légumes, produits laitiers, snacks.

Merde.

Un sachet de nouilles instantanées tombe de mes mains et s'écrase par terre. Quand je m'abaisse une autre main, qui n'est pas la mienne, se pose dessus et nos doigts se frôlent. J'aurai voulu dire que c'est Aaron mais ce n'est pas le cas. Pourtant quand je vois le visage de l'homme qui m'a aidé, j'en reste tout autant surprise.

Leonardo ?

Adriana ? Enfin je veux dire mademoiselle Gonzalez...

Il me tend le sachet de nouilles mais je reste tétanisé. Que fait-il ici, en Espagne ?

Leo, on y va ? déclare une femme blonde qui arrive à ses côtés.

Il me semble l'avoir déjà vu quelque part. Blonde, grande, visage d'ange... Sayez, ça me revient, c'est la femme que j'ai rencontré à ce jour dans ce café, où j'ai malencontreusement égaré mon café.

Que le monde est petit...

C'est vous Ashley ? Vous et Leonardo vous vous connaissez ?

Ashley lève les yeux de mon panier et hoche la tête.

C'est mon petit ami. Hein Leo ?

Ouais...

Oh bordel, Leo j'ai tellement de choses à te raconter. Au sujet d'Aaron et de tout ce qu'il va avec. Ça fait un bien fou de te revoir et de même pour Ashley.

C'est après avoir déposé mes articles et payé que l'on sort du supermarché pour marcher dans la pénombre de la nuit. Je décide de parler d'où nous en sommes à Leo et à quel point la relation que j'ai avec Aaron a évolué du peu qu'il avait ou voir. Leonardo en est choqué presque aussi surpris qu'Ashley qui je pense ne comprends pas ce que je raconte.

Et vous, que faites-vous ici ? Pour décompresser, voyager Barcelone ? Si j'avais su, je vous aurais déjà fait visiter la ville.

À vrai dire, nous sommes là pour quelque chose de précis.

Je lève un sourcil. Je resserre le sac dans ma main.

Pour Robin.

— Robin ? Que y'a-t-il avec Robin ?

Robin nous a envoyé un message inconnu qui nous demandait de...

Je secoue la tête en murmurant non. Mes pieds reculent, je tape la poitrine d'Ashley, je me retourne aussi vite que possible.

Je me suis fait pistonner... Ils sont dans le coup aussi et je ne m'en suis même pas aperçu...

Je suis désolé Adriana. Si je ne te ramène pas, c'est moi qui passera sous ses mains et je refuse de mourir.

La voix masculine devient un lointain souvenir quand un tissu vient se plaquer sur mon visage. Mon sac de courses chute au sol, quelques-uns des articles tombent, explosent tandis que moi, je tente de me débattre de cette main qui recouvre un tissu mouillé.

Leonardo... Arrête...

S'ils me ramènent à Robin, je peux faire mes prières car non seulement Aaron n'est pas ici mais personne ne saura où je suis, ni même moi...

Quand je commence à sombrer, alors que mes mains agrippent les manches de la veste de Leonardo, une silhouette se place devant moi. La silhouette masculine me détaille. Son visage est caché par le lampadaire derrière lui mais je distingue tout de même une cicatrice au niveau de sa pommette.

Faites attention la prochaine fois. Que dis-je, y'aura t-il une prochaine fois ?

C'est Robin... Et Robin est ici pour me tuer.

C'est la fin...

***

🂱___Aaron___🂱

20 janvier - 21h50

LOS ANGELES - ÉTATS-UNIS - RÉSEAU DES BLACK IRON.

La sonnerie de mon téléphone retentit. Je décroche en voyant le prénom de mon ami inscrit dessus.

Les résultats du test ADN du sang sur le couteau sont sortis Aaron...

Putain, dis-moi tout.

Un moment de silence plus tard, il avoue avec une voix atone :

L'ADN correspond parfaitement au tien. Le sang de l'enfoiré qui a fui Paris est le même que le tien.

C'est impossible... Ça ne peut pas être à moi...

Aaron, si le couteau ne t'appartient pas. À qui est-ce le sang trouvé dessus ?

Une intuition me dit de foncer directement à Barcelone, de prendre le premier avion pour retrouver Adriana. Elle est en danger. Je le sens, je le ressens.

Je fais le lien : couteau, sang. Mais quoi d'autre ? Qui peut bien vouloir me faire du mal en utilisant ma faiblesse ?

Robin...

« Peut-être qu'il te connaît, Aaron. Peut-être qu'il essaye de m'éliminer pour t'atteindre. N'y a-t-il pas quelqu'un dans ton entourage, quelqu'un qui pourrait vouloir te détruire ? »

J'avais répondu non, mais ma réponse devait être oui. Car oui, il y a quelqu'un qui me poursuit en cachette depuis des années pour me retrouver.

« J'ai découvert le cadavre d'un oiseau devant ma fenêtre. Mais je me dis peut-être que c'est un hasard et qu'un chat l'a déposé là. »

Ce n'est pas un hasard, c'est Robin qui l'a déposé ici...

« Et à part un homme louche qui reluquait Ava et moi quand nous buvions un café en ville, je ne vois pas d'autre événement dérangeant. Pour plus de précision, il avait une cicatrice sur la pommette, peut-être que vous le connaissez ? »

Oui je le connais. Bien sûr que je le connais. Je connais cette cicatrice à la pommette car c'est moi qui l'ai causé étant enfant.

Robin... Robin est mon frère depuis le début... Et il utilise ma faiblesse pour m'avoir...

J'entends Jake s'exclamer au bout du fil mais je n'y prête pas attention. Je coupe l'appel et appelle Adriana. Ça sonne, ça sonne mais personne ne décroche. Personne.

MERDE !

Je dois prévenir tout le monde avant qu'il arrive quelque chose de terrible à Adriana. Si Robin me veut, qu'il s'en prenne à quelqu'un de sa taille.

Mais ça Ji-Han, tu ne l'as jamais appris. Nos parents étaient toujours là pour t'épauler et t'aider à me battre jusqu'au sang.

-À suivre-

TADAMMM Après une trentaine de chapitres nous connaissons l'identité de Robin. Vous l'aviez deviné ? 🫣🤭

3100 mots

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