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ꕥ 40. Une victoire récompensée

____CHAPITRE 40____

-J'avais un seul objectif au début. Je l'ai accompli mais un deuxième s'est réalisé sans même que je m'en rende compte-

( NDA : Ce chapitre contient une scène à caractère sexuelle. Merci de respecter la limite d'âge. )

♫︎ : Arctic Monkeys|Do I Wanna Know ?
♫︎ : Two Feet|I Feel Like I'm Drowning

ꕥ___Jude___ꕥ

Le feu a été ouvert. Le diable est sorti de sa cage.
Ryle Carter a tiré en premier pour calmer le brouhaha qui se formait autour de ses hommes.
Rien de très grave. Seulement un corps est abattu au sol... Ce n'est pas grand chose de toute façon.

- Nous ne sommes pas des animaux ! Cessez vos bavardages !

Cole se lève du meuble à quatre pieds sous les exclamations de Ryle et glisse la mallette tout le long de la table afin de le montrer aux yeux de ce dernier.

- Qu'est ce que c'est ? Mon pognon.

- Mieux que ça. Ouvrez, vous serez servi.

Toujours aussi perplexe, le chef adverse baisse la tête vers la petite valise et la débloque quelques secondes plus tard afin de l'ouvrir sous les yeux de tout le monde autour de sa personne.

Sous ses paupières se trouve un compte à rebours se résumant exactement à 4 minutes et 32 secondes.

31...

30...

- C'est une bombe ?!

Il agit subitement et saisit son flingue pour le pointer vers Cole qui à la seconde même lève les bras innocemment.

- Si vous décidez de me donner vos territoires, rien de tout cela ne se passera Ryle. Mais si vous refusez, tous vos secrets seront divulgués dans chaque coin du monde. Vous ne le voudrez pas je suppose ?

- Tu crois que je suis qui moi ?! Bordel tu n'es qu'un enfoiré !

- Tic tac, tic tac, le temps s'écoule et ton réseau va faire faillite.

Il lâche ses bras et les range dans les poches de son jean. Cole est totalement serein face à un flingue braqué sur lui. Je voudrais avoir la même persévérance mais absolument pas la même mentalité. Je préfère crever.

- Territoire ou secret ? Choisis bien Estùpido. ( = Connard. ) Dit-il dans sa langue d'origine.

Le temps passe, Ryle ne parle plus. Sa langue a été arrachée et donnée comme offrande à ses ennemis. C'est l'une des premières fois où je peux le voir si faible en l'espace de si précieuses minutes. Cole quant à lui se tourne et commence à partir n'entendant plus rien de sa part. Il émet une bise volante en guise de satisfaction.

2 min 23 secondes.

- Qui t'a envoyé ici ? Comment as-tu su que je possédais ces territoires ?

- Mira tu culo, hijo de puta. No voy a dejar que la policía me atrape. ( = Regarde tes fesses fils de pute. Ce n'est pas moi qui va me faire prendre par la police. )

- Arrête de parler enfoiré ! Jonathan, arrange cette connerie. Il ne doit pas envoyer de message merde !

Jonathan...

Celui-ci qui nous a vu souffrir sur cette colline en Turquie. Celui qui a vu Jake perdre la vie à petite goutte mais qui a préféré écouter un patron en tort. Si quelqu'un ne veut pas nous aider il aura à faire à nous. Quel couillon. Bientôt c'est toi qui va mourir à petite goutte sans avoir le temps d'appeler une quelconque personne.

- Monsieur, c'est qu'il ne nous reste pas assez de temps...on pourra pas dérégler ce système...

Une balle se loge dans la mallette. Puis une seconde. Ryle tire dans celle-ci par peur de voir tous ses secrets se dévoiler avec rapidité.

- Malesef oruspu çocuğu sen yaşamadan once öldün. ( = Malheureusement, fils de pute, tu es mort avant même d'avoir vécu. )

On tourne nos têtes à l'unisson vers l'interlocuteur.

- Ah...j'ai dit bien fait, il n'a pas la réelle mallette qui divulguera toutes les informations. Rétorque Jake embarrassé.

Et dans ce cas, je peux admettre que Jake a raison. La mallette qui se situe devant Ryle est un simple compteur. La vraie est juste à côté de nous et le message va se diffuser dans à peine 1 minute. J'ai presque de la peine en observant la tête de notre plus grand ennemi.

- Si vous me tuez, vous ne pourrez pas éteindre cette mallette. Laissez-moi partir et je vais le désactiver.

Cole sort une télécommande de sa poche et l'agite devant les yeux des mafieux autour de lui quand une voiture arrive juste à côté de sa corpulence, virage faite par la gauche, les roues du véhicule dégage du sable qui se transforme en fumée derrière le coffre.

- Merde ! Fais chier ! Fais vite ! Éteins ce compteur !

Et en instant tout défile sous nos yeux.

Cole prend la fuite après avoir appuyé sur la télécommande le sourire malicieux d'après la caméra. Le sourire que j'ai envie d'écrabouiller depuis que la vérité se trotte dans ma tête.

La télécommande n'est pas l'arrêt systématique du compteur. C'était un mensonge. C'est tout simplement le début de l'explosion. En effet, nos caméras intégrés situé dans cette salle exercent deux fonctionnalités.

1) Voir tous les mouvements des hommes et toutes les informations qu'on a raté.
2) Ils sont tout juste des bombes qui se déclenchent avec la télécommande que Cole possède depuis l'amorce de cet échange.

Je peux voir les yeux tétanisés de Ryle. Il agite la tête et cherche un échappatoire mais c'est beaucoup trop tard. Ses derniers mots sont les insultes qu'il hurle vers Cole avant de recevoir les murs et les débris autour de sa personne sur lui. Ils éclatent à l'unisson de mille et un morceaux, des petites mais également des énormes.

Pendant ce temps-là, le hacker de notre réseau diffuse toutes informations qu'on a pu récolter de ce dernier dans les quatre coins du monde. Ça nous servira pour plus tard. Aucune patrouille ne nous suivra car un danger pour le monde entier vient d'être éliminé. On leur a seulement facilité la tâche dans leur recherche.

En l'espace de 1 minute nous avons divulgué les conneries de Ryle. Nous avons tué Ryle Carter suspecté depuis des années dans le monde entier et enfin nous avons pu remporter les territoires de ce connard.

Ryle Carter est mort. Carter est enfin mort après de si longues années de recherches sans relâche, des moments difficiles et dangereux en tout genre mais qui a fait débuter des relations difficiles et solides.

- Ce n'est pas la mort la plus magnifique et la plus audacieuse mais maintenant que ce connard est mort, je me sens plus léger. Se dit Matthieu.

Je me tourne vers Jake, le regarde dans les yeux et le prend dans mes bras en sautillant.

Merde, Ryle est mort. Il a eu sa vengeance. Il a voulu marquer la fin de vie de Jake mais les rôles se sont subitement inversés.

- Jude...

Je le regarde dans les yeux, l'un puis l'autre. Ses cheveux tombent sur son front en sueur. Il a tant stressé pour une simple mission derrière un ordinateur ?

Là, maintenant, je veux tellement l'embrasser, l'embrasser pour fêter cette victoire glorieuse accompagnée de toute personne que j'aime. En particulier celui-ci.

Mais face à la réalité et au regard ténébreux de Jake, j'arrête de sourire et le lâche d'embarras.

- Désolée...c'est l'excitation... Murmurai-je.

- Maintenant que ce connard de Ryle est mort nous pouvons fêter ça. Samson ramène tout type de vin, ce soir c'est la fête ! S'exclame mon père.

Je souris face à sa réaction puis le vide et le silence s'installe dans ma tête.

Ryle était notre suspect numéro un depuis que j'ai pu intégrer ce réseau. Maintenant qu'il n'est plus là, c'est tellement plat et vide.

- Hé, on devrait fêter ça aussi ? T'en dit quoi Jude ? M'interpelle la voix apaisante de Jake.

Il pose ses doigts sur mon menton et le lève vers ses yeux. Je l'intrigue autant pour qu'il puisse me regarder de telle façon ? Ses paupières battent faiblement et il attend ma réponse. Sans celle-ci il ne me lâchera sûrement pas.

- Mmh, allons boire du ayran. Dis-je en me séparant de son emprise pour sortir de la salle.

J'ai vraiment envie de regoûter ce lait à base de yaourt turc. La dernière fois je n'avais pas eu l'opportunité d'en boire sans gêne. La complicité que j'avais avec Jake était tellement différente de maintenant.

- Du ayran ? C'est du lait ça Jude. Oh-...

Il s'arrête subitement en sortant du bureau et s'arrête presque au seuil de la porte comme s'il venait de comprendre ce que je voulais dire par là. Oui Jake je veux boire du lait à base de yaourt, quel est le problème dans ce que j'ai dit ?

- Boire du lait, avec du simit.

Je me retourne afin de lui faire face mais à l'instant où je cligne la paire de mes yeux, le mafieux me fait voltiger au ciel, me donnant plus l'accessibilité à mes pieds de toucher le sol. Je veux crever. Qu'est ce qu'il fiche ?

- JAKE ! Pose moi !

Ma tête et mes cheveux se trouvent brutalement à l'envers quand il décide de poser mon bassin sur son épaule large. Dites au revoir au brushing et venez accueillir les cheveux des poupées que j'ai massacré étant enfant.

- Le lait du chef ? C'est ce que tu voulais me dire ?

Hein ? Comment ça le lait du ch-...non.

- AHH ! JAKE NON ! PAS ÇA !

Il rit à cœur joie en me tapotant les fesses. Je sens mes joues rougir sans même avoir besoin d'un miroir. Ma robe a sûrement glissé de mon postérieur. Il peut réellement voir mon sous-vêtement s'il décide de lever les yeux.

Il n'est pas sérieux j'espère ? Bien-sûr que non il ne l'est pas. Quelques jours avant, il me détestait. Il ne va pas se taper la fille de son chef alors qu'il n'assume même pas avoir embrassé ses lèvres.

- Jake, je veux vraiment boire du lait turc ! Pas ça punaise !

- Du lait préparé par un turc ? C'est la même chose pas vrai Jude ?

Je lui frappe le dos avec mes poings mais arrête mes gestes quand il rentre dans les toilettes des hommes. Je vais briser l'une de mes règles pour lui. Je ne suis jamais rentré ici fais chier.

- Tu fête la victoire d'un mort comme ça toi ?

Il s'abaisse et pose mes pieds au sol. J'ai le temps de remettre mes cheveux en place qu'il emprisonne ma mâchoire entre sa main avant de venir y plaquer ses lèvres contre les miennes.

Je ne m'attendais pas à ça venant de sa part. C'est presque flippant de dire qu'on n'a pas tué un homme il y a quelques minutes.

Il glisse sa main derrière mon dos et la ramène derrière mon crâne pour donner plus de puissance dans notre baiser. Mes mains empoignent ses cheveux et je bouge mes lèvres contre sa bouche. La respiration qui passe à travers son nez s'écrase contre mon visage.

Ses lèvres ont pu retrouver les miennes, il les adore et j'adore les siennes.

Il ouvre les yeux vers les miens sachant qu'ils sont déjà ouverts. Puis m'embrasse langoureusement sans me laisser le temps de lui chuchoter quelques mots. Je me retrouve emporté avec lui dans une des trois cabines de ces toilettes. Il déclenche le verrou et pose ses mains sur mes oreilles afin d'incliner correctement ma tête vers la sienne.

Ses lèvres sont une fois de plus parfumée à la cerise. Je n'aurai jamais pensé dire ça un jour mais je veux la marque de son baume à lèvres. Il sent divinement bon.

Il s'arrête, laisse à nous deux le temps de respirer calmement sous le silence peignant.

- As-tu trouvé une vérité aggravante sur Cole Jude ?

Je voudrais lui dire oui, que j'en sais même beaucoup trop mais à la place je secoue la tête. Je ne veux pas gâcher ce moment. Pas maintenant alors qu'il me regarde tellement différemment que d'habitude. Mes mensonges sont efficaces. Il me croit. Il me croit qu'il me sourit.

- Laisse-moi encore un petit peu de temps Jake.

Il hocha la tête, captivé par mes cheveux qu'il coince derrière mes oreilles.

- Je te laisserai du temps meleğim. Le temps qu'il faut pour que tu ne gardes pas en conscience cette mort. Car je ne veux pas que tu me traites de meurtrier, je veux que tu me dises que c'est ce qu'il fallait faire. Que je suis le gentil entre nous deux.

Jake n'a jamais été un meurtrier.
Dis comme ça c'est ambiguë. Je veux dire par là qu'il ne tue pas les victimes innocentes. Il réfléchit et braque son arme vers les vrais victimes, ce qui ont commis des délits, des erreurs et des crimes.

Il me pivote et me coince contre la porte de la cabine. A l'opposé de son corps, il place l'une de ses jambes entre les miennes.

J'avale ma salive, la tête collée contre la porte froide tandis qu'il scrute mon oreille attentivement.

- Qu'est ce que cela signifie Jude ? Ce tatouage.

- Une épée...avec des épines de rose autour...je lui ai donné un symbole. Celui de ma force et de ma détermination face au danger qui m'entourent encore aujourd'hui.

Un secret en moins. Allez Jude, si tu continues ainsi il pourra même connaître ta matière favorite à l'école.

Il souffle un simple d'accord, pousse mes cheveux à côté et pose sa bouche sur mon cou, ses mains baladeuses se croisent autour de ma taille. Merde que j'aime ça. Dos à lui, je ne vois pas spécialement son visage mais je sais qu'il ne prête pas attention à mon cou mais à autre chose.

La victoire de ce réseau ne l'importe pas en ce moment. Maintenant c'est moi qu'il veut. Du moins une partie de moi.

Sa main glisse lentement vers mon ventre et celui-ci se contracte face à son touché. Puis il descend encore et encore afin de remonter le tissu de ma robe jusqu'à mon ventre.

- Jake...

- Jude, dis moi si tu aimes mes doigts en toi ou simplement tes jouets inutiles à longueur de journée. M'interroge sa voix à présent rauque.

Il passe sa main à travers ma culotte déjà trempée par tous ces agissements et ces phrases typiques d'un film X.

- Jake. Répété-je.

Ma poitrine se soulève et ma tête tombe sur son épaule derrière moi quand je sens son doigt entrer délicatement en moi. Trop délicatement pour me procurer plus de plaisir pour chaque seconde qu'on passe ensemble en ce moment.

Son autre main enveloppe mon ventre dans le but de me maintenir en place. Quand j'incline ma tête vers la sienne, il capture ma bouche dans un long baiser. Je voudrais que ce plaisir dure des heures entières, qu'il ne s'arrête jamais car je n'aurai jamais la chance de revivre ce moment.

Cependant quand son doigt en rencontre un autre et que ces deux-là font des allers-retours, je gémis contre la bouche de l'homme derrière mon corps. Celui qui me donne l'accessibilité de ressentir cette sensation.

- Oui...comme ça...

Il accélère ses mouvements et m'embrasse encore pour étouffer mes soupirs de plus en plus profonds et bruyants.

Et quand je repense au fait que l'homme derrière moi est non seulement celui que j'aime et celui qui me fait tant d'effet, je prononce son prénom dans un râle de plaisir. Son doigt qui titille le point le plus sensible de ma féminité m'offre un plaisir douloureux et désirable.

- Merde, répète-le.

- Jake...

Ses doigts sont une bénédiction face à mon corps qui réagit tellement autrement que d'habitude. Aucun vibro n'avait pu me faire ça même celui que Jake m'avait offert. 

Quand je décide de me remémorer l'image de l'homme derrière mon dos, il rentre un troisième doigt sans me prévenir, sous mes gémissements multipliés.

- Jake, continue...plus vite. Parviens-je à dire.

Je ne veux guère qu'il s'arrête, s'il continue ce qu'il me fait depuis plus de cinq minutes, ça sera la toute première fois que je jouirai aussi rapidement et je pourrais l'inscrire dans le guinness record d'Amérique (Je blague bien évidemment, qui voudrez savoir ce genre de chose ?)

- Tu me donnes des ordres Jude ? Me chuchota-t-il.

Je suis persuadé au fond qu'il joue avec moi, qu'il cherche l'aiguille dans la botte de foin afin de me rendre encore plus faible. Mais je ne suis pas comme ça. Je ne veux pas voir son sourire satisfait, je veux juste lui montrer ce qu'il provoque en moi quand il est à côté de moi ou quand il me parle seulement à moi, qu'il me surnomme par ses surnoms bidons ou tout droit sorti d'un philosophe des Lumières.

- S'il te plaît Jake...je vais jouir...

Quand tout à coup la porte des toilettes s'ouvre laissant sans doute entrer quelqu'un.

Jake pose sa main sur ma bouche et s'assoit rapidement sur les toilettes, n'oubliant pas de me prendre sur ses cuisses au passage, certainement si cet homme est ici pour le ménage son regard ne se posera pas sur les chaussures d'une femme mais les gigantesques de Jake.

Je renverse ma tête sur lui sentant ses doigts parcourir mon entrée comme s'il cherchait à me rendre faible devant des individus bourré de baise. J'halète contre sa bouche. Pourtant quand ses doigts touchent cette zone, mon corps s'engloutit dans le plaisir inouïe. Je gémis silencieusement contre ses doigts accompagnés de ses quelques bagues fétiches, les yeux dirigés vers le ciel.

Je repense à l'homme, je repense au fait que Jake me touche, titille mon entré sans effort, qu'il me fait gémir pitoyablement au simple contact de ses doigts en moi. Mon intimité se contracte brutalement et me voilà trempée sur lui. Sans effort particulier de sa part.

Je viens de jouir sur Jake... je viens de le faire.

- Ça va à côté ? Tout se passe bien ? Demande l'inconnu en remettant sa braguette dû au son que la fermeture émet.

- Problème de mec. Souffle Jake derrière moi.

L'homme se rince les mains et comprend où il veut en venir. Nous nous retrouvons seuls quand j'entends la porte des toilettes se fermer. Jake retire ses deux mains lorsque la porte claque, l'une recouverte de rouge à lèvres et l'autre de ce qu'il a pu procurer en moi.

- C-Ce n'était pas du jeu... Dis-je tout bas.

Il referme mes jambes et me tourne vers lui. Je vois enfin son visage depuis qu'il a débuté notre moment à deux. Du rouge à lèvres. La prochaine fois je devrais prendre du waterproof ?

- Ce n'est pas moi qui t'a supplié de continuer pourtant. Rétorque-t-il.

Il m'embrasse rapidement et saisit un mouchoir pour s'essuyer la main.

- Mais certes t'entendre gémir mon prénom était une belle symphonie. Je dormirai paisiblement, sur mes deux oreilles.

Je lui frappe le torse gêné par sa phrase. Il tourne son regard vers mes yeux et m'observe trop longtemps. Son léger sourire arrête notre contact à s'envoyer des piques en plein iris.

- Tu veux que je te dise quelque chose Jude. Quelque chose qui pourrait te surprendre.

- Dis moi, je suis déjà prête. Ajoutai-je sûre de mon coup.

Il approche ses lèvres de ma tête et me siffle doucement à l'oreille. Ce simple geste engage mes désirs à se renouveler à nouveau. Merde que je suis fragile quand il est là. Quel est son pouvoir ? Sort-il tout droit d'Harry Potter ?

- Je n'ai doigté personne aussi divinement bien depuis mon entrée dans ce réseau et tu es la première qui m'a fait cet effet Jude. La fille de mon patron l'a fait.

Je fronce les sourcils et tente de le comprendre. Donc je suis celle qui a pris du plaisir. Et ce plaisir inouïe l'a rappelé à l'ordre et lui a dit que c'était divinement bien ?

- Merde Jude, tes soupirs silencieux me font bander et toujours maintenant.

Je m'apprête à baisser la tête vers son pantalon mais ce dernier plaque ses lèvres sur ma bouche me laissant dans le suspense, la surprise et l'étonnement.

J'ai fait bander Jake ? Celui qui me détestait durant ce voyage et qui était censé l'être encore maintenant ? Je lui procure une sensation de plaisir ?  Merde Jake me rend tellement faible.

-À suivre-

Je crois que je n'ai pas mon mot à dire 🤸
« Le lait du chef »

3354 mots

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