- CHAPITRE 9 -
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Les derniers jours de la semaine s'écoulèrent rapidement, au plus grand plaisir de Marinette qui n'attendait qu'une seule chose, cette fameuse sortie au cinéma...
On était à présent vendredi soir, et la brune fouillait dans son placard à la recherche de la tenue parfaite. Alya lui avait conseillé de mettre une jupe et une jolie petite veste avec des chaussures à talons. Elle lui avait même dis :
- « Le bruit provoqué par les talons en entrant en contact avec le sol stimule le cerveau des hommes ! »
Après que Marinette eut vérifié de la véracité de ses paroles, Alya rit de bon cœur et s'excusa en avançant qu'elle n'en savait absolument rien.
Marinette pouffa en se rappelant cette scène puis se remit sérieusement à fouiller dans son placard. Elle jetait les vêtements qui lui tombaient sous la main par dessus son épaule, mécontente.
Elle voulait avoir l'air mature, élégante, sûre d'elle, dans une tenue qui la mettrait en valeur pour sûr.
Mais décidément, rien ne convenait à la jeune styliste.
- « Marinette, tu n'es pas encore couchée ? » surgit une voix derrière elle
L'adolescente sursauta et se retourna vivement. Elle se radoucit quand elle vit Sabine Cheng passer la tête par la trappe de sa chambre.
- « Maman, tu m'as fait peur ! » pesta Marinette
- « Désolée de t'avoir surprise, mais tu devrais être couchée à cette heure-ci. »
Marinette lança un rapide coup d'œil à son réveil matin qui affichait à présent minuit et des poussières. Si tard, déjà ?
- « Et puis, c'est quoi tous ces vêtements par terre ? Quelque chose te tracasse ? »
- « Maman, je vais au cinéma demain soir avec Alya, Nino et Adrien, mais je ne sais pas quoi mettre. Enfin, tu sais quoi, pour tu sais qui... » ses joues prirent alors une légère teinte de rose
Un sourire illumina alors le visage de la chinoise.
- « Oh oui, je vois tout à fait ! On verra ça ensemble demain, si tu veux. En attendant, va te coucher tu as besoin d'être en pleine forme pour demain soir. »
Après s'être saluées chaleureusement et s'être souhaité la bonne nuit, Marinette s'enfonça sous sa couette où Tikki, jusque là cachée, la rejoignit. Elle se blottit contre la joue de l'eurasienne et cette dernière se mit à glousser joyeusement.
Une heure passa.
Puis deux.
Puis trois.
Il était presque trois heures du matin et Marinette n'avait toujours pas fermé l'œil. Son cœur était tout affolé à l'idée de voir Adrien en dehors du lycée, et son niveau d'excitation était tel qu'elle ne parvenait pas à trouver le sommeil. Puis, à cette folle euphorie se joignirent des pensées non désirables, bien plus réalistes et douloureuses : Ladybug, Chat noir, Papillon, akumas et responsabilités.
Son allégresse se transforma vite en morosité qui vint vite chambouler son sommeil encore plus qu'il ne l'était déjà. Elle avait beau se tourner et se retourner et de retourner encore et encore dans son lit, rien n'y faisait.
- « Y en a marre ! » s'écria-t-elle en se redressant brusquement, très agacée.
Elle avait grand besoin d'air frais.
Elle descendit en trombes de son lit en mezzanine et déclara, à l'attention de son kwami :
- « Tikki, transforme-moi ! »
Et Marinette troqua son pyjama avec le costume de Ladybug.
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Marinette s'était réfugiée sur une poutre métallique de la Tour Eiffel, assez haute pour que personne ne la voit - ne sait-on jamais -, mais assez basse pour qu'elle puisse observer tranquillement les toits parisiens.
En tant que Ladybug, elle était libre. Lorsqu'elle portait son costume rouge, il n'y avait plus de jeune fille maladroite qui voulait atteindre l'inatteignable, plus de Marinette, ni d'Adrien. Juste Ladybug. Ladybug, Chat Noir et Paris.
Penser à cela lui laissait toujours un goût amer dans la bouche. Avoir une double personnalité était un lourd fardeau qui comportait nombre de mensonges, contraintes et peines diverses et variées. C'était difficile pour elle de gérer ces deux faces d'elle-même en même temps. De plus, personne ne pouvait la consoler ou lui donner des conseils, car personne ne doit savoir qui est Ladybug. Et puis, personne ne comprendrait non plus, soit dit en passant.
La coccinelle soupira.
Soit.
Elle avait l'habitude maintenant. Cela faisait quatre ans qu'elle était devenue l'héroïne de Paris, ce n'était pas maintenant qu'il fallait se plaindre. Mais plus le temps passait, plus elle désirait redevenir une adolescente dite "normale", absorbée par ses loisirs et par les cours. L'envie de tout révéler à quelqu'un, peu importe la personne, lui brûlait les lèvres. Alya, Nino, sa maman, son papa, le concierge du lycée, la mamie de l'immeuble d'en face, le chien du voisin... N'importe qui mais quelqu'un !
Un nouveau soupir s'échappa d'entre ses lèvres, celui-ci étant plus long et plus soutenu.
- « Et bien, ça fait un gros nombre de soupirs, ma Lady ! » retentit une voix guillerette à ses côtés
La jeune fille n'avait même pas a tourner la tête pour savoir qui était en sa compagnie et il n'en faut pas plus à la brune pour qu'un sourire apparaisse sur ses lèvres.
- « Tu ne dors pas, Chaton ? »
- « Je dors seize heures par jour, tu ne crois pas que c'est assez suffisant comme ça ? » plaisanta le garçon en s'asseyant théâtralement aux côtés de Ladybug
Celle-ci rit de bon cœur, au plus grand plaisir de Chat Noir dont les lèvres s'étirèrent en un sourire amoureux à l'attention de sa Lady. Mais son sourire disparut aussitôt.
Tu as dis toi-même que tu allais arrêter de lui courir après, sombre crétin, se dit-il douloureusement.
Les derniers lambeaux de sentiments qu'il n'avait pas déchiré la semaine passée essayaient désespérément de se raccrocher ensemble, l'espoir les réunissant de nouveau.
Quel faible je fais... Incapable de me décider une bonne fois pour toute, continua-t-il en baissant la tête, ses cheveux blonds lumineux lui tombant sur le visage.
- « Chat ? » répéta Ladybug, inquiète, qui essayait apparemment d'appeler le héros depuis plusieurs secondes déjà
Chat se força à sourire, dissimulant ses sentiments de force. Quelle mascarade.
- « Je suis toute ouïe, ma Lady ! »
Tout en se radoucissant, la brune sourit tendrement puis tourna son regard vers Paris, illuminée par la Dame de Fer qui, visiblement, même à trois heures du matin, continuait de scintiller.
- « Je disais, c'est rare que l'on se retrouve comme ça, tous les deux. Sans akumas, sans Papillon ni journalistes. C'est juste nous. Toi et moi et personne d'autre. »
Le fait qu'elle lui donne de faux espoirs était bien la chose que Chat Noir détestait le plus chez sa partenaire.
Comment pouvait-il faire le deuil de ses sentiments si à chaque fois qu'ils se voyaient elle ranimait la flamme qui brûlait d'amour en lui pour elle ? Il était comme la flamme olympique : elle continuait de brûler jusqu'à la fin. Dieu que Ladybug mettait ses nerfs à rude épreuve !
Mais, au final, n'était-ce pas ce qui faisait tout son charme ?
Nom de Dieu, Adrien reprend-toi...
- « Oui... » répondit le jeune héros, ne sachant pas trop quoi lui répondre
Il fit durer un silence d'une minute qui lui parut tellement, tellement longue. Puis il reprit ne serait-ce qu'une sorte de conversation :
- « Qu'est-ce qui te chagrine autant pour que tu sortes aussi tôt le matin ? »
Ladybug, interloquée, se retourna vers Chat Noir qui avait laissé tombé le masque du partenaire enthousiaste et taquin.
Masque ? Était-ce un masque ou était-ce son vrai comportement, le vrai Chat Noir ? Peut être qu'il faisait semblant avec elle ? Tout comme Marinette était maladroite et Ladybug était sûre d'elle, peut être que Chat Noir n'agissait pas de la même manière tant que héros ? Peut être meme sinon la prenait pour une imbécile à faire ces blagues idiotes ?
La voilà en train de douter de lui... Il ne fallait pas qu'elle s'embobine toute seule avec des hypothèses non fondées. Et puis, pourquoi ça l'importunait, tout cela ? C'est pas comme si elle en avait quelque chose a faire de Chat Noir. Elle mit tout cela sur le compte de la fatigue, car il n'y avait qu'Adrien dans son cœur. Seulement Adrien. Adrien et personne d'autre. Oui. Adrien.
...
C'était plus facile de se l'imaginer que de le penser sincèrement.
- « Ladybug ? »
Pas de "ma Lady", pas de jeux de mots foireux ni de comportement de clown professionnel. Une voix neutre, prononçant son nom glacialement. Chat Noir était très sérieux, en ce moment même. Cela ne faisait aucun doute.
- « Je... Désolée. J'étais perdue dans mes pensées. »
La blond en costume noir l'invita à répondre à sa question d'un regard. Elle ne se fit pas prier.
- « En fait, ce n'est pas forcément que ça me chagrine, c'est juste que... ça me travaille. »
Elle ramena ses jambes vers sa poitrine qu'elle entoura de ses bras. Elle ne dit rien de plus, les mots voulaient franchir la barrière de ses lèvres mais elle les en empêchait. Elle avait causé déjà pas mal de soucis comme ça à son coéquipier la dernière fois avec Volpina, Marinette n'avait pas envie de trop se reposer sur lui. Et puis, elle n'aimait pas ce Chat Noir sérieux et silencieux. Elle préférait le matou vantard et charmeur qui l'accompagnait toujours. Il était plus rassurant, en quelques sortes. Elle ne voulait pas se confier à quelqu'un d'autre que lui.
- « Non... Rien. » se ravisa-t-elle finalement, feignant l'innocence
Le bruit abasourdissant des Miraculous des deux héros retentit, signe qu'il était temps pour eux de se séparer. Cinq minutes restantes.
Sans un mot, Ladybug se redressa la première avant de s'emparer de son yoyo qu'elle jeta au loin et accrocha quelque part. Une cheminée, peut être ? Il faisait trop noir pour qu'elle puisse voir ce qu'elle avait agrippé.
- « Ladybug ? » intervint le jeune homme avant que la coccinelle ne s'en aille
- « Oui ? »
- « Je suis désolé. »
Intriguée, la jeune fille écarquilla les yeux de surprise. Chat Noir ne la laissa poser aucune question qu'il continua sur sa lancée :
- « Désolée de t'avoir ennuyée, toutes ces années, à avoir essayé de capter ton attention. Je ne voulais pas être lourd. Je n'ai pas assez fait attention à toi, je n'ai pensé qu'à moi. Mais maintenant, je ne veux plus de ces sentiments. Ils sont trop douloureux. »
- « Q-Quoi...? Attends... »
- « Bonne nuit, Ladybug. J'espère que tu ne m'en voudras pas. »
L'adolescente tendit une main molle vers lui tandis qu'il sautait dans le vide puis s'éloignait a l'aide de son bâton rétractable.
Comment l'ambiance a-t-elle pu se dégrader aussi rapidement ? Il n'y a même pas cinq minutes, elle était encore en train de rire à la blague de Chat Noir. Et maintenant il lui annonce qu'il ne veut plus l'aimer ? Que c'est trop douloureux ? Qu'elle a été ennuyée par son comportement ?
Ladybug serra les dents et resserra ses poings sur le câble de son yoyo qu'elle tenait fermement entre ses mains. Elle se projeta à travers Paris rageusement.
Comment ça, ça l'avait ennuyée ?! A-t-il seulement conscience de ce qu'il venait de dire ? Comment pouvait-il dire ça, alors qu'il ne savait rien ? Non, il ne savait rien ! Rien du tout ! Il ne savait pas comment elle s'était sentie, après cet incident au sommet de la Tour Eiffel ! Il ne savait pas que la simple image de Chat Noir dans son esprit suffisait à l'apaiser ! Il ne savait pas ce qu'elle ressentait pour lui ! Non, rien de tout cela !
Ça valait bien le coup, tient, d'avoir songé à ce sale matou pendant des nuits et des nuits !
Désolé de t'avoir ennuyée, toutes ces années... Ne tire pas des conclusions tout seul, idiot !
Ladybug filait à une vitesse grandiose, rouge de colère. Mais derrière cette rancœur se cachait un autre sentiment qui, petit à petit, commençait à se faire comprendre par la jeune fille. Des larmes de faufilèrent au coin de ses yeux, brouillant sa vue. Elle loupa la cible suivante et s'écrasa sur le toit d'un immeuble. Elle fit une série de roulade sur le côté qui lui arrachèrent un petit cri et qui lui donna une douleur vive au niveau de son flanc droit. Elle s'assit alors convenablement, dans un état pitoyable. Le visage inondé de larmes et parsemé d'égratignures, le corps douloureux et tremblant. Ses mains la brûlaient.
C'est alors que la pluie se mit à tomber. La brune releva la tête, les yeux dénués de sens, le souffle coupé.
Elle sourit ironiquement en pensant à cette phrase que lui avait dite un jour sa mère.
« Comme la pluie peut se transformer en glace, l'amour peut se transformer en douleur. »
Alors elle rit bêtement. Elle rit bêtement en se disant qu'elle avait fini par tomber amoureuse de Chat Noir au bout de quatre ans, où elle n'avait fait que de repousser ses avances, et que ce dernier décidait de tout abandonner au même moment. Elle venait tout juste de réaliser la vraie forme de ses sentiments à son égard. Elle venait tout juste de se rendre compte que le bonheur qu'elle recherchait était juste là, à porté de main, mais qu'elle a laissé sa chance filer.
Mais il y avait toujours Adrien. Elle ne fera pas la même erreur avec lui. Elle fera tout pour le conquérir. Tout. Vraiment tout.
Mais comment aimer deux garçons en même temps ? Comment se concentrer sur l'un alors qu'il y a aussi l'autre ?
- « Chaton... Reviens... »
Mais elle le savait très bien : c'était déjà trop tard, Chat Noir avait fait son choix et il ne reviendrait pas sur sa décision.
La voilà en face à face avec la solitude.
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- « Je ressens une âme tourmentée... » murmura l'homme de sa voix grave
Ce dernier ouvrit les yeux lentement, observant le décor de l'autre côté de la grandiose baie vitrée dont la vue sur le monument symbolique de Paris était imprenable. L'homme se mît à sourire, puis il émit un rire glacial qui terrifia le petit être violet qui se tenait à ses côtés.
- « Nous touchons au but, Nooru. »
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AMIS DU MATIN, BON MATIN.
Waaah il est 4 heure du mat à l'heure ou je vous écrit... Le réveil va être dur demain TT^TT En parfait lien avec ce chapitre me direz-vous ! XD
Bon alors j'ai beaucoup à dire. (Oui je suis bavarde !!)
Déjà : J'en ai marre, j'ai l'impression d'avoir bâclé leurs sentiments et une bonne partie du chapitre !!! BRUUUUH.
J'ai essayé de faire un peu d'angst, car faire de ses personnages des martyrisés est un de mes grand but dans la vie ! XD
Mais bref, je ne trouve pas ça profond du tout. On dirait que Marinette est juste une égoïste alors qu'elle doit être plus ravagée qu'égoïste. Après, j'ai pondu le chapitre assez rapidement aussi (depuis 22h je bosse dessus donc sans pause et en somnolant croyez moi c'est galère :'3 mais je pouvais pas m'arrêter !)
Je vous en supplie, des avis, j'en ai vraiment besoin là... ;u;
Si je vois demain que certaines choses ne me plaisent pas, je risque de modifier ce chapitre !
Ensuite : ce chapitre n'est que la moitié du chapitre que j'avais prévu. Pour raconter ma vie, en gros; c'est Parce que je suis une stressée de la vie et avoir un chapitre de 6000/7000 mots ça me stresse. Donc je réduis le tout à 3000 mots XD
Mais je vais essayer de sortir la suite pour ce weekend, pour essayer de reprendre le bon rythme !
Pour les personnes qui vont me commenter un truc du genre "mais c'est pas Marinette blablabla Marinette elle est pas comme ça piapiapia", ben si c'est Marinette mais dans ma fiction a moi, avec 3 ans de plus que dans la série : ce qui veut dire qu'elle a grandit mentalement aussi et donc changé. J'aime les personnages avec des défauts, car les personnages sans défauts sont chiants ( ne me dites pas le contraire ) ! :3
Les principaux défauts caractériel de Marinette et Adrien sont la colère et la peur. J'ai déjà introduit la colère de Marinette avec sa haine envers Volpina, et maintenant n'est que le commencement d'une nouvelle Marinette plus réaliste que jamais. AAAAAAAAANGST POWAA !!! \(◎ワ◎)/
Bon alors, comment se sont passées vos épreuves les gens ? 8D
Bac, brevet, toussa...
Personnellement j'ai pas eu des résultats formi-formidableuh, je suis même un peu choquée déçue.
9 à l'écrit en français et en sciences et 15 à l'oral et 12 en TPE. Je m'attendais à minimum 12 en français. En plus j'étais super fière de ce que j'avais fait ! BUHUHU... J'avais écris sur Miyasaki. MAIS FUCK L'ARGUMENTATION.
Mais je m'e fous un peu en fait, j'ai quand même ma 3DS en cadeau XD YATTA !!!
Puis OMGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGGG QUOI. BON SANG DE BONSOIR, JE NE SAIS PAS COMMENT VOUS REMERCIER POUR LES 6K DE LECTURES C'EST VRAIMENT EXTRAORDINAIRE.
C'est un chiffre extrêmement motivant qui m'a vraiment gonflée à bloc pour écrire ce chapitre (qui malheureusement me paraît naze) !
Je vous remercie encore et toujours de commenter, de voter et de lire La Ronde des Sentiments. C'est incroyable comme cette fiction a presque pris 1K de lecture en presque 2 semaines.............
Vous avez ma reconnaissance éternelle. ❤️❤️❤️❤️❤️❤️
Merci merci merci merci !
PS : ça ne sert a rien de venir me chercher en PV pour savoir quand est-ce que je poste la suite... C'est un chapitre par semaine qui sort le weekend et si, comme cette semaine, je ne peux pas écrire, tout est dit à la fin du précédent chapitre. Je préviens toujours.
Donc merci de respecter ma vie, car NON, désolée de vous l'apprendre, je ne suis pas une machine a écrire et j'ai des amis et une famille à coté de Wattpad. Incroyable mais vrai.
Donc maintenant je ne répondrais plus à vos "la suite stp" par message privé car tout est dit ici mais je le répète une dernière fois ici : j'ai des amis, une famille, des loisirs et des projets dans la vie qui passent avant Wattpad. (#coupdegueule)
Merci de votre compréhension et désolée d'être aussi sèche mais je fais de mon mieux pour sortir 1 chapitre par semaine alors sinon ne vienne pas m'enquiquiner Parce que j'ai une priorité autre que la fiction.
Sur ce, je vous dis bonne nuit et à la semaine prochaine !!! (≧∇≦)
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