La cloche sonna, mais plus fort qu'à mon arrivée, de manière à me faire sursauter.

-Ça va? me demanda Aurore

-Oui, oui, dis-je. Sa ma juste surprise

-J'aurais dû te prévenir, dit-elle gêner. Dans cette partie de l'école le son de la cloche est toujours plus fort

-Euh, désoler les garçons et bonjour, dis-je timidement

Ils sourirent

Observant que je ne savais plus trop quoi faire Aurore me proposa de m'asseoir. Je lui fis un signe de tête de haut en bas pour lui dire que j'étais d'accord, puis Roro s'en alla vers un groupe de fille en me saluent.

En regardant autour de moi j'aperçus des pancartes soigneusement accrocher aux murs affichant toutes les activités que le lycée organisait; concours de ping-pong, course à relais, sortie de ski et plein d'autre.Il y avait aussi placé près de la porte, le bureau du professeur qui était très en désordre. Ensuite a l'avant derrière le bureau nous trouvions accroché aux murs, plusieurs toiles et dessins du mondes, avec a cotés d'eux, une l'horloge ronde au contour noir et a l'intérieur blanc. Puis mon attention alla vers les fenêtres grande ouvertes ou était joliment placé quelques fleurs de toutes les sortes : Anthurium, Arum, Clivia et une Dracaena.

Un petit arbre, installé sur le coin du bord des fenêtres, attira mon attention, un bonsaï japonais. C'est comme ça que ce petit être vivant s'appelle, je décidai alors de me placé vers le bureau proche des fenêtres et du bonsaï aux fleurs blanche et rose au même moment.

En arrivant à ma place, je me plaçai à mon aise. Les coudes sur le bureau,en plaçant mon menton sur la paume de ma main gauche, mettant ma jambe droit sur ma jambe gauche et tourna ma tête vers le magnifique paysage qui m'était offert : arbres au feuille verte et aux fleurs rose éclosent, fleurs aux milles couleurs placée ici et la et un gazon vert éclatant.

*Ding Dong*

La deuxième sonnerie retenti et le professeur ne c'était toujours pas présenté en classe. Toutes la classe cria de bonheur, moi y compris, et tous les élèves se ruèrent vers la porte. Dan fut le premier arriver, mais à cet instant même la porte s'ouvrir laissant apparaître une jeune dame, par chance il s'arrêta mais il tomba au pied de mademoiselle Hatie.

Elle devait avoir dans la vingtaine pas plus, ses cheveux paraissait fait a la dernière minutes, a voir son visage rouge tomate elle devait très essoufflée. Alors tout sa me mène a dire que mademoiselle Hatie avait décréter aujourd'hui de faire la grasse matinée.

-Alors je suis désoler pour se petit retard, dit-elle d'un petit rire mal a l'aise.

-Madame vous avez droit à 2 heures de colle, vous ne deviez pas donner l'exemple à vos élèves? décréta un élève

-Oui, mais oublier s'il vous plait

-Oui, répondit la classe en cœur

-Maintenant reprenez vos places, dit-elle en frappant ses main ensembles. Mais Dan que fais-tu par terre?

-Longue histoire, répondit-il en se relevant

-Bien, tu peux y aller maintenant

Il répondit d'un signe de tête de haut en bas, puis il alla s'asseoir tout au fond de la classe ou se retrouvait les pancartes et cinq bureau ou était assis le reste de sa bande. Et moi je partie m'asseoir a la place que j'avais trouvé il y a deux minutes.

-Bien, tu peux y aller maintenant

Il répondit d'un signe de tête de haut en bas, puis il alla s'asseoir tout au fond de la classe ou se retrouvait les pancartes et cinq bureau ou était assis le reste de sa bande. Et moi je partie m'asseoir a la place que j'avais trouvé il y a deux minutes

-Tout le monde est à sa place, dit-elle en regardant ses élèves

-Non il manque Érica Madame, dit une élève

-Salvina, depuis combien de temps encore devrais-je te dire de m'appeler mademoiselle?

-Longtemps madame, longtemps, dit Salvina

Tout le monde commençais a rire

-Bonjour tout le monde, dit mademoiselle Hatie

-Bonjour Mademoiselle Hatie, répondit notre classe

-Aujourd'hui le directeur m'a informer qu'on allait avoir une nouvelle élève, dit-elle. Ou est-elle?

La moitié de la classe me pointa avant même que je prononce un mot.

C'est courant dans cette école de couper la parole au gens, pensais-je