Bonsooooooir ! Comment allez-vous ? OMG, j'ai l'impression que ça fait longtemps za,cozakxopkxpzxkapoxkxpsxedkoekdp alors qu'en fait ça fait une semaine et demi que je n'ai pas posté :O ! En tout cas, tous que je peux vous dire c'est que vous pouvez (comme moi) remercier ma prof de technique bancaire qu'à annulé son contrôle de vendredi à la dernière minute *c'est le signe que Noël approche ça* *-*

Parce que sinon, oui, effectivement, vous aurez eu cette suite vendredi ! J'espère qu'elle vous plaira et qu'elle vous permettra de deviner la réponse que Delilah a donné à Luke :D

VENDREEEEEDI.
LIBEREEEEEEE, DELI.....
C'EST LES VACAAAAAAAANCES !

Oui, j'avoue j'ai - un peu trop - regardé la Reine des Neiges, mais.... MAIS OLAF QUOI cnezc,eozckeopzckezpockpczpcck *sors*

♥

PS : Pour celle qui lisait Chesterfield blue (fiction avec Ashton) j'ai décidé de reprendre la fiction ces vacances de Noël, oh et sachez que j'ai récemment posté un extrait ! Et pour celle qui ne la connaisse pas, je vous invite à aller jeter un oeil. ♥

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"Hé, hé." Entendis-je Ashton rire, tel le sombre idiot qu'il est devant son téléphone. "Hé, hé." Je passai désespérément ma main sur mon visage, l'inclinant sur le côté afin de jeter un oeil sur l'écran. "Hé, hé."

De : @chinesexhood
Est-ce que tu penses souvent à tes fans ? <3

De : @calumhood
À chaque fois que mon écureil me le permet.

De : @chinesexhood
Et ça t'arrive souvent d'écouter ton écureil ?

De : @calumhood
Toujours.

De : @chinesexhood
Tout comme ça t'arrive souvent de mesurer ton.... ????

De : @calumhood
Évidemment. Tous le temps.
Chaque seconde, chaque minute, chaque heure, jour, mois et année.... ;)

De : @chinesexhood
Et c'est possible de connaître la taille ?

De : @calumhood
Bien sûr, elle est aussi grosse qu'un bébé tortue.

Et je ne pus m'empêcher de me joindre aux rires d'Ashton.

Pourquoi ça ne m'étonne même pas qu'il n'était pas sur son propre compte Twitter ?

"Qu'est-ce que ta donnée à Luke en échange de son code?"

"Des places pour l'avant-première d'Hunger Games." J'arquai un sourcil, surpris que Luke ait accepté un tel marché.

D'habitude, il avait des demandes très spécifiques.

Il n'a jamais accepté aucun des albums ou encore des boîtes collectors des séries et des films que je lui ai proposés, sous prétexte qu'il n'en avait pas besoin. Car, selon lui, c'était inutile de jeter ainsi l'argent par la fenêtre, étant donné qu'il lui suffisait de seulement quelques clics pour accéder à tous ça et avant même leur date de sortie.

"Sérieusement?!" M'écriai-je sans réellement m'en rendre compte. "Il les a vraiment acceptés?" Je lui donnai une tape contre son bras pour le pousser à me répondre plus rapidement.

"E-euh.." Ces yeux ne quittaient cependant pas l'écran. "Ouais, il voulait faire plaisir à son Dou.."

"Pourquoi il voudrait faire plaisir à cette idiote?" Le coupai-je instantanément en le gratifiant cette fois, d'une tape à la tête, quand il se mit à de nouveau ricaner comme un imbécile heureux.

"Aie, putain!" Il fit la moue, bien qu'il essayât de masquer ces éclats de rire en se mordant la lèvre.

"Oh, je te parle!"

À mes risques et périls, je re-penchai mon visage sur le côté, de sorte à pouvoir lire les nouvelles âneries qu'Ashton avait écris au nom de Calum.

De : @calumhood
J'aime la banana de Luke, j'aime la banana de Luke !!!!!

De : @cakeisgay
Oh mon dieu, oh mon dieu, oh mon dieu !!!!!!!!
J'arrive pas à croire que ,eaopczckpz^ckqlovjsvejvlkfnz ........

De : @cakeisgay
Je suis à l'instant même en train de caiozjdpzakpofkfpoezjgzifj

De : @cakeisgay
Je savais que CAKE était réel fzapdkzopadkzoapdkaz^pfkefepfefêf vous êtes si beaux !!!

De : @calumhood
Et il a un léger petit goût de caramel ;) ;)

Je me tapai désespérément sur le front, décidant de lui arracher le téléphone des mains. Je me permis sans gêne de lire les messages de Calum qu'Ashton avait répondu à son nom, où ce dernier m'incita à ouvrir une discussion qu'il avait entretenu avec une fan, une demi-heure plus tôt.

Je devrais peut-être penser à changer mon code.

"Hé, mon téléphone!" Pleurnicha-t-il en se penchant vers moi pour essayer de rattraper son bien.

"Dégage!" Grognai-je en glissant son cellulaire derrière mon dos. "Je te le rendrais quand tu auras fini de répondre à mes questions!"

"Aw, mais je croyais que t'en avais rien à foutre de cette idi.."

Avant même qu'il n'eut le temps de finir, je le poussai violemment du canapé, le faisant bruyamment tomber du carrelage.

Personne d'autre que moi n'a le droit de l'appeler 'Idiote'.

"Putain, Michael!" Je haussai innocemment mes épaules, souriant au coin.

"Je n'ai pas mesuré ma force." Il souffla d'agacement, puis se leva d'un bond, fulminant.

"Tu sais, j'en ai vraiment marre de tes changements d'humeurs." Il se pointa du doigt. "Et je suis quasiment sûr et certain que je ne suis pas le seul!" Il jeta dramatiquement ces mains en l'air. "Regarde autour de toi, Michael! Est-ce que tu vois ne serait-ce qu'une personne vivante à l'exception de moi ici?" Je déglutis, jetant un bref coup d'oeil à mes alentours : personne. "Calum, Mariane et Jordan ont préféré faire un tour en ville que rester ici, Luke et Delilah ont préféré partir regarder un film, que de.."

"La ferme." Marmonnai-je juste assez pour qu'il comprenne.

"Admet tout de même que tu es insupportable!" S'écria-t-il en venant m'arracher des mains son téléphone. "Avec tous le mal qu'on se donne pour nous faire pardonner de t'avoir laissé signer ce putain de contrat, tu nous a jamais montré le moindre signe de reconnaissance! On a absolument tous fait pour toi!" Il avait pris soin de bien insister sur le mot 'tous'. "On t'a aidé à ridiculiser tes assistantes, à les faire toutes partir et sans exception! On a même à chaque fois fermée les yeux, lorsque tu allais trop loin!"

"J'ai dit, la fe..."

"Et juste parce qu'on s'est tous pris d'affection pour une." Il secoua avec déception son visage de gauche à droite. "Une putain!" Insista-t-il en levant son index en l'air. "Toute la colère que tu as accumulée ces derniers mois, nous sommes dans un claquement de doigt tous retombé dessus." Il souffla bruyamment. "Sache que c'est vraiment injuste ce que tu nous fais vivre-là, Michael. Bordel, on ne mérite pas ça!" Je pinçai ma lèvre, m'obligeant à ne ressentir aucune culpabilité.

"Ashton..."

"Non, laisse-moi finir!" Je me tus, acquiesçant d'un mouvement de la tête. "Malgré tous ce que tu veux sembler faire paraître à cet instant.." Il se dirigea jusqu'à la sortie. "Toi et moi savons pertinemment bien, que tu donnerais tous pour être à la place de Luke à cet instant."

Et vous savez ce qui était le plus dur à admettre ?

C'est qu'il n'avait pas tort.

**

Le regard rivé sur les paroles de 'Close as strangers', j'essayai de modifier les rimes que j'ai écrite quelques jours auparavant, afin de les rendre plus dramatique qu'elle était précédemment. Ma guitare installée sur mes genoux, je n'hésitai pas à me saisir de mon médiator. À chaque nouvelle rime trouvée, je le glissai à travers les cordes, chantant par-dessus la mélodie pour connaître le résultat.

Quand je m'apprêtais à de nouveau passer mon médiator sur les cordes, je me figeai complètement sur place, en entendant les timbres de voix de Schtroumpfette et de Luke qui faisaient écho à travers le couloir de l'hôtel. De nature curieux, je me levai de mon siège et posai soigneusement ma guitare sur mon matelas. Je me dirigeai à pas de loup jusqu'à ma porte, plaquant complètement mon oreille gauche contre.

Pour être honnête, j'avais même retenu sans me rendre compte profondément ma respiration, de peur de ne rien entendre.

"Tu vois?" Je toussotai bruyamment, venant de me rendre compte que j'avais gardé un petit peu trop longtemps ma respiration, quel idiot ! "T'a entendu ce bruit?" Je plaquai brusquement ma main contre ma bouche.

"Quel bruit?" Je gratifiai doucement de plusieurs tapes sur la tête, pour 'punition' d'avoir été aussi indiscret.

"Mh, non rien. Qu'est-ce que je disais.. Ah, oui ! Ce n'était pas si horrible que ça de sortir avec moi, si?!" S'exclama le blond sur un ton enjoué. "Même si entre nous, je sais parfaitement bien que tu as préféré que ce soit Michael."

Evidémment qu'elle a préféré être avec moi !

Comment peut-on être aussi idiot ?

"Je n'ai jamais dit une telle chose." Répondit Schtroumpfette d'une voix monotone.

"Je sais." Tel que je le connaissais, il devait très certainement hausser avec innocence ces épaules. "Mais c'était assez amusant de voir Mike passait de blanc d'oeuf au choux de bruxelles! Après tout ? Il a bien mérité cette leçon! Il s'est toujours amusé à me piquait les filles que j'avais en vue donc, je me suis dit.." Il marqua une courte pause. "Pourquoi pas en faire de même? Maintenant que j'ai l'occasion de le faire."

Oh bordel, Luke !

Je ne l'ai fait qu'une seule fois !

Et effectivement, oui, j'admets que c'était amusant.

"Qu'est-ce que tu veux dire?" Sa question provoqua instantanément son rire.

"Oh, arrête! Ça se voit comme la dernière ridicule teinture violette qu'il vient de se faire!"

Instinctivement, je me mis à toucher mes cheveux violet.

Hé, je les trouve très bien moi !

"Oh, et puis, merde! Je préfère que tu ne le voies pas. Au moins, je suis sûr et certain que tu resteras concentrée sur ce qui est important. Tel que, par exemple.." Son silence m'indiqua qu'il venait très certainement de lui parler au creux de l'oreille.

'Ou certainement à quelques millimètres de son visage.'

Me nargua malicieusement ma conscience en jouant avec ces sourcils.

Je battis rapidement des cils et secouai violemment la tête, afin de chasser cette voix intérieure, qui j'ai remarqué, n'apparaissait que dans mes mots de solitude. Je n'hésitai pas à me graver dans le crâne que, la fatigue, le manque de sommeil et surtout le fait d'avoir travaillé, lu et relu les paroles de 'Close as strangers' était en train de littéralement m'achever psychologiquement.

Sérieusement...

Pourquoi je ne les entendais plus ?

"Qu'est-ce qu'ils peuvent bien foutre?" Marmonnai-je à voix basse en me retirant de la porte.

Plus qu'assez de jouer à l'agent double zéro sept, j'entrepris de passer ma main contre le poignet de ma porte, que je tourne, l'ouvrant complètement. Je déglutis difficilement la bille qui c'était coincé à ma gorge à la vue de Schtroumpfette, offrant volontairement d'elle-même un baiser sur la joue au blondinet.

'Elle t'en donnerait aussi, si tu t'amusais pas à lui forcer à chaque fois la main !'

La ferme !

Fis-je immédiatement taire cette satané conscience.

Bien que ce geste semblât adorable, voir innocent, aux yeux de n'importe quel être humain de cette Terre. J'ignorai le pourquoi du comment, mais je savais qu'au plus profond de moi, qu'il ne faisait qu'alimenter la rage qui consumait en moi depuis un certain temps déjà.

Il fallait que j'expulse au plus vite toute cette rage en moi.

"Toi qui aimes les jeux de guerre Mike, tu tomb..."

"Lucas!" Le coupai-je en milieu de phrase en le fusillant du regard. "Ven..." J'émis un pas hors de ma chambre d'hôtel. "De..." Mes phalanges se recourbèrent progressivement en poing. "Tta!"

Sans énoncer une syllabe de plus...

Je bondis sur lui.

**

"Les premiers jours où je vous ai tous rencontré, je n'ai jamais compris pourquoi vous vous battiez tous autant comme ça." Commence Schtroumpfette en trempant un coton dans du désinfectant. "Mais, au fur et à mesure que j'ai appris à vous connaître.." Elle vint tapoter le coton au coin de ma lèvre saignante, me faisant instantanément grimacer. "Je me suis rendu compte que.."

"Arrgh, putain Schtroumpfette!" Grognai-je comme un enfant en rétractant mon visage aussi loin que possible, quand elle exerça un peu trop fort la pression du coton contre ma blessure.

"Arrête de faire l'enfant, Michael!" C'est discrètement, que je vins saisir son poignet libre. "Et reviens... AHH!" Je venais subitement de tirer sur cette dernière, obligeant Schtroumpfette à s'asseoir sur mes genoux.

Son buste heurta mon torse dans un petit bond et j'en profitai pour nicher ma main droite confortablement au creux de sa hanche pour la maintenir en place. Je ne pus m'empêcher de malicieusement esquisser un sourire narquois, dû au changement de couleur de ces pommettes proéminentes. Finalement, j'approchai comme si ne rien était innocemment mon visage près du sien, comme elle me l'avait précédemment demandée.

Schtroumpfette leva les yeux au ciel, mais cela ne m'a pas empêché de remarquer son petit sourire au coin, qui démontrait qu'elle semblait aussi clairement amusée que moi. Elle racla à deux reprises sa gorge, pris une profonde inspiration et vint de nouveau tapoter le coton au coin de ma lèvre, avant de dériver sa main vers une nouvelle coupure qui était situé au coin de mon sourcil gauche.

Cette fois, elle s'était prise de la manière la plus douce possible. Elle n'avait pas complètement écrasée le coton contre la petite coupure, que Luke m'a faite en me griffant, non. Elle s'était juste contentée d'effleurer le coton contre cette dernière, tout en prenant soin d'éparpiller minutieusement le produit sur la zone.

"Vous vous battez tous les quatre comme ça, juste pour pouvoir relâcher toute votre frustration, rage, fatigue et colère que vous ne pouvez pas montrer en public, n'est-ce pas?" Finit-elle par me questionner en levant un sourcil.

"Oui." Admettais-je en la regardant droit dans les yeux. "Sauf que, cette fois.." Mes doigts se sont lentement serrés contre sa hanche, au point de maintenir une parcelle de l'étoffe de son haut. "C'était pour relâcher, ni frustration.." Je vins plaquer ma main gauche contre sa joue. "Ni fatigue.." Lentement, mais sûrement, le bout de mon pouce retraça la ligne de son menton, descendant instinctivement à sa gorge. "Ni colère et ni.." Progressivement, j'éliminai l'espace qui séparer nos visages. "Rage." Soufflai-je, dorénavant à un millimètre de sa bouche, retraçant la ligne de son oesophage de mon pouce jusqu'à sa clavicule.

"Tu es décidément la personne la plus lunatique que je n'ai jamais rencontrée jusque-là." Admit-elle dans un murmure. "Pour être honnête, je ne sais pas si je devrais écraser violemment mon coton sur la coupure qui te fait le plus mal ou... MICHAEL!" Hurla-t-elle tel une hystérique en relâchant brusquement son coton tacheté de sang.

"Bon sang, Schtroumpfette!" Grimaçai-je les paupières à demi-clos. "On peut savoir pourquoi tu hurles mon nom comme ça? Alors que, je suis juste..."

Elle ne me laissa même pas le temps de finir ma phrase qu'elle bondit hors de mes genoux, pour ramper avec précipitation sur mon matelas. Je clignai des yeux, confus, décidant de pivoter mon torse à demi pour suivre ces mouvements. Schtroumpfette avait saisi so.. Mon singe bleu fermement dans ces bras pour le câliner dans un sourire rayonnant.

Évidemment, c'était Michael le singe qu'elle appelait...

Pas moi.

"Je pensais que tu l'aurais jeté!" Devrais-je lui rappeler que c'était ELLE qui souhaitait le jeter et pas moi ?

"Non, jamais." Dis-je tout bas. Elle arrêta de s'agiter avec sa peluche dans tous les sens, plantant son regard droit dans les miens. "Jamais je ne le jetterai."